14 ans de Crapuleries Etatiques et Judiciaires Belges concernant le vol de ma LéaFrancis… La suite…
Le port franc de Zeebrugge en Belgique est un espace sécurisé hors des lois, où dans des caisses et des locaux ainsi qu’en containers et hangars sécurisés, voleurs, recéleurs, affairistes, falsificateurs, escrocs, assureurs, cachent les “œuvres d’art’ volées ou mal acquises, voire en passe d’êtres saisies par un système fiscal aussi pourri et corrompu que la “Justice Belge” et divers apparatchiks gouvernementaux. On surnomme ces zones de non-droit, de leur nom fiscal, des “Ports Francs”. Ils existent dans presque tous les pays, agissant comme des soupapes de sécurité. L’un d’entre-eux est défini comme “le plus grand musée du monde”, situé au Sud-Ouest de Genève, dans la zone industrielle de la Praille, un grand bâtiment qui se dresse entre une voie ferrée et une large route.
De l’extérieur, personne ne peut se douter que ce hangar de 150.000m2 aux très sobres façades gris clair et blanc-cassé, cache des trésors estimés au minimum à 100 milliards d’euros : des œuvres d’art, des lingots d’or, des bouteilles de vin et même un grand nombre de voitures de luxe et surtout “de collection” sans payer de droits de douane ni d’impôts. Un grand nombre proviennent de vols et d’escroqueries de plus en plus souvent avec l’assistance de Politiciens véreux et de Magistrats corrompus, qui traitent en tant que chefs de bande avec des voleurs et gangsters tout simplement recrutés lors d’auditions d’enquêtes, qui de ces faits, deviennent “protégés” en “hauts lieux”…
C’est un système opaque régulièrement dénoncé mais que les Gouvernements laissent en place car ce sont des “soupapes de sécurité” et des “moyens” de gagner des fortunes en interprétant et/ou détournant les lois. J’en témoigne à l’appui d’innombrables preuves, que le Parquet de Bruxelles est corrompu, par exemple non-limitatif, qu’il refuse d’obtenir la preuve que deux avocats ont réellement été mandatés pour agir illégalement en créant et déposant une plainte pénale au contenu totalement faux, destinée à créer une escroquerie au jugement… que la Belgique ne reconnait pas formellement.
-En l’occurrence #1 : “Maître Yann Cuypers qui dépose une plainte avec Constitution de Partie Civile au nom d’une entité (AXA Art Versicherung AG qui n’a rien réellement demandé et n’est pas à la cause), en utilisant une fausse assurance, une plainte constituée de mensonges et déposée avec un faux numéro BCE d’identification appartenant à la SA Jean Verheyen qui est l’organisateur et réceptionnaire du vol de ma LéaFrancis… Le but de ce faux et de cette action de plainte étant de créer un barrage à l’action de saisie du montant défini (200.000€), action demandée par LAR/AXA ma défense en Justice
-En l’occurence #2 : Maître Delphine Malien qui dépose la même plainte avec Constitution de Partie Civile au nom de son client Hans Stevens, organisateur du show qui a co-organisé le vol de ma LéaFrancis par tromperies et manigances crapuleuses et qui, pour empêcher l’exécution du jugement d’une saisie conservatoire décidée par le fait qu’il n’a pas gardienné la LéaFrancis qu’il m’avait demandé que je lui confie sous sa responsabilité civile pour un montant de 200.000 euros défini sous Convention entre parties (qui selon la loi ne peut être anéantie, même par un juge), a organisé la création de cette plainte basée sur des faux et à l’inverse de toutes les preuves. Le but de ce faux et de cette action de plainte étant de créer un barrage à l’action de saisie du montant défini, (200.000€) action demandée par LAR/AXA ma défense en Justice
-En l’occurence #3 : Le Procureur du roi de cette époque, Jean Marc Meilleur qui a imaginé et créé les deux plaintes citées en #1 et #2 selon ses offres de créateur d’histoires alternatives pour 1.000 euros (voir ses publicités), plaintes “fumistes” qui sont l’exact contraire des éléments d’enquête ayant abouti à un non lieu me concernant dans le vol (et son organisation) de ma voiture de collection LéaFrancis. A savoir que : A) je n’ai pas demandé de participer à cette exposition, mais que c’était une demande expresse et sans ambiguïté de sa part et celle de son associé. A savoir que : B) le montant de 200.000 euros a été défini par une Convention, accepté sans réserve d’expertise avant le passage d’un expert, indiqué dans les demandes de devis de l’organisateur à son courtier, stipulé sans réserve d’expertise dans la vraie et seule assurance tracée par la SA Jean Verheyen, avant que son directeur adjoint Alexandre Moretus n’écrive deux jours après le vol que l’assurance ne couvrait pas le vol car l’organisateur (Hans Stevens FunCar) n’avait pas gardiénné la voiture qu’il m’avait sollicité avoir.
Manifestement ces deux plaintes étaient fausses et basées sur des faux (fausse assurance bricolée pour les besoins de leur cause, avec un faux numéro d’identification BCE, datée deux jours après sinistre, non signée de quiconque, sans réserve pour quelconque expertise en cours ou à faire, qui m’était juridiquement en rien opposable….
Ces plaintes “bidon” ont été curieusement mises à l’instruction à destination des mêmes services ayant conclu après deux ans d’enquète à un total non lieu me concernant dans l’implication au vol de ma LéaFrancis. Le fait de totale évidence que la saisie conservatoire de 200.000 euros avait été demandée par mon assistance en Justice AXA/LAR, a été volontairement ignoré, de même que le contenu manifestement faux des plaintes et des pièces y annexées. S’en est suivi des témoignages tronqués récoltés par Maître Yann Cuypers ce qui est déontologiquement et légalement interdit, témoignages obtenus sous menaces qui devaient faire l’objet de confrontations qui n’ont jamais été mis en œuvre. Principalement l’expert payé et dépéché par la SA Jean Verheyen qui a été manipulé par Maître Cuypers sous menace de perdre la clientèle d’AXA pour prétendre que je l’aurai hypnotisé pour qu’il définisse la valeur de 200.000 euros ! Idem pour le constructeur de la LéaFrancis qui a été abordé illégalement par Maître Cuypers pour qu’il témoigne que la LéaFrancis ne valait pas 200.000 euros…
Sur ce point 1° j’ai fait restaurer la LéaFrancis durant des années avant l’exposition 2° Cette personne (Barrie Price) avait réalisé une fausse immatriculation pour me vendre la LéaFrancis en indiquant mensongèrement une fausse année de première immatriculation qu’elle avait plus de 25 ans ce qui a été remarqué par la Cour d’appel de Mons dans un procès avec l’office belge des immatriculations qui m’a donné raison. En conséquence la crédibilité de ce “témoin” Barrie Price concernant la valeur de ma LéaFrancis était sujette a rejet !
Lors de la première instance, le Sunbstitut du Procureur Jean Marc Meilleur a inventé que j’étais l’assassin de ma femme et autres mensonges destinés à me décrédibiliser et faire oublier d’inclure aux débats une cassette que j’avais fait saisir par un Juge d’instruction dans laquelle Les deux organisateurs Hans Stevens et Guy Evens se disputaient se disant connaître et avoir parlé avec le voleur de ma LéaFrancis, Hans Stevens proposant d’en terminer en me dédommageant du vol… Tout cela a créé un “BOUM” car ca ne correspondait en rien aux plaintes de Maître Yann Cuypers et Maître Delphine Mallien. D’ou la diversion opérée par le Substitut…
Après ce cirque, le Procureur Jean-Marc Meilleur a dérobé/détourné le dossier pénal, aussi bien en Numérique (effacé) qu’en papier. De sorte que le dossier n’était pas consultable pour l’Appel ! Maître Philippe Monville s’en est plaint auprès du Procureur qui l’a menacé de détruire sa carrière s’il me défendait et que “De toute façon ‘est déjà jugé d’avance”. Les conclusions d’Appel de Maître Gérald Kaisin également menacé pour ne rien me dire ont été bâclées et volontairement remises en retard !!! Maître Roger Luyckx a préféré déposer une plainte écrite au Président de la Cour d’Appel et après quelques semaines partie du dossier est ainsi revenu alors que le Procureur Jean Claude Meilleur était démissionné… Ce n’en était pas pour autant terminé car la suite fut une totale manipulation qui visait à me faire condamner sur base des fausses pièces fabriquées par les auteurs du vol œuvrant de concert en bande criminelle organisée !
Le fait que le nouveau président de Cassation soit le frère du propriétaire de la ferme ou se cachaient les tueurs du Brabant Wallon en retours de leurs meurtres, ne présageait rien de bon concernant mon affaire… C’était l’apothéose de cette affaire unilatérale organisée par le Procureur Jean Mac Meilleur. Mais ça ne s’est pas arrêté là puisque le recours en Cour Européenne des Droits de l’Homme a été mis à mal par corruption… J’ai pu invoquer des articles des dispositifs CEDH pour contrer cette ultime manœuvre venant de la Belgique…
Comme vous le constatez à me lire, les œuvres d’art volées, en ce compris les voitures de luxe et automobiles de collection, si elles sont de grande valeur spéculative, comme toutes les œuvres d’art et automobiles de collection, se trouvent à l’abri de toutes enquêtes.
Elles se revendent ou s’échangent soit sans bouger, soit en allant d’un Port Franc à un autre.
La SA Jean Verheyen en Belgique, à considérer comme partie intégrante du système AXA, affiche dans certains de ses prospectus et publicités, stocker diverses œuvres d’art, automobiles de collection et autres objets, soit détournés du fisc, soit de la justice lorsqu’il s’agit d’objets de collection en attente de valorisation, dans son Port Franc de Zeebrugge et ce depuis des années et organise tout voyage d’un Port Franc à l’autre en totale impunité.
Ma LéaFrancis y est passée, aucun autre endroit n’est aussi sécurisant pour des opérations criminelles.
En une heure, avant même que la police ne soit avertie, ma LéaFrancis y a été déposée en container, de même façon que d’autres automobiles de collection, tableaux, sculptures. Protégés par les Etats qui doivent maintenir ce système comme une soupape de sécurité, s’est donc créé une zone légale de non-droit.
Concernant ma LéaFrancis volée, ce système a permis dans l’heure de “sécuriser le vol” et d’attendre que passe l’orage… 14 ans plus tard plus personne ne devrait plus s’en inquiéter, pas plus que les comptes financiers off-shore qui fonctionnent à l’appui de ces affaires. Au plus le temps passe au plus. les valeurs montent. Une voiture de collection à l’exemple d’une Ferrari GTO qui ne valait pas plus que l’équivalent de 10.000 euros début des années ’70… se négociait en enchères “par téléphone” donc anonymement caché par un Commissaire Priseur, à plus de 100 millions d’euros… L’argent va de compte secret à compte secret et indépendamment une commission officielle est payée au Commissaire-Priseur de manière à “officialiser” l’opération. Comme l’indiquait AXA dans un dépliant-prospectus richement illustré, une garantie d’opérations de 4 milliards a été placée sur un cpt sécurisé AXA Bahamas (et autres) garantissant les transactions en cours.
C’est le même système employé par le Président Ukrainien pour les dons charitables offerts par nos chers Présidents, qui sont ristournés jusqu’à 50% aux donateurs sur des comptes Off-Shore.
Tracfin m’a dit alors que j’enquêtais, que près de la moitié des œuvres d’art du Louvre étaient des faux, mais qu’ils ne peuvent rien y faire lorsque les transactions se passent sous couvert d’enchères officielles car c’est le Commissaire-Priseur qui doit se dénoncer… Bien évidement il ne le fait pas et… “passez muscade”…
Dès lors on découvre “accidentellement” des Bugatti’s et Ferrari”s de valeurs colossales en doublettes et triplettes de papier car comme “l’œuvre d’art” (en ce cas automobile) a été multipliée dans autant de clones dans divers Ports-Francs, il n’y a plus possibilité d’y comprendre quoi que ce soit.
J’ai des exemples :
Alfa Roméo 8C 1932 Figoni : châssis # 2211079… – Gatsby Online
L’enfer du monde des automobiles dites “de collection”… – Gatsby Online
La valeur du faux-vrai… – Gatsby Online
Faux, tromperies, escroqueries et blanchiment… – Gatsby Online
1957 410 Ferrari-Scaglietti-Boano SuperAmerica… #S/n0671SA et #S/n0579GT – Gatsby Online
1927 Bugatti Type 43 Torpédo Grand Sport… La valeur du faux-vrai ! – Gatsby Online
Une Bugatti sauvée des eaux… #1 – Gatsby Online
Une Bugatti sauvée des eaux… #2 – Gatsby Online
Une Bugatti sauvée des eaux… #3 – Gatsby Online
D’après les documents issus d’une fuite de données que les médias indépendants Reflets, StreetPress et Blast ont pu consulter, divers milliardaires tel Patrick Drahi, y laissent dormir dans des boîtes en bois, des containers et autres, environ un tiers de ses tableaux et sculptures, certaines de ces œuvres sont des trésors signés Picasso, Chagall, Giacometti ou Bacon y sont depuis plusieurs années. Environ un tiers de la collection Drahi, estimée à 1 milliard d’euros, selon le média suisse HeidiNews, se trouvent dans des ports francs, principalement dans celui de Genève.
En avril 2021, plus de 60 œuvres y étaient stockées, sur un peu plus de 200 recensées par ses équipes d’enquêteurs. En juin 2021, un décompte consacré à un peu plus de 80 œuvres orientalistes a constaté que presque la moitié sont enfermées dans des caisses en bois totalement anonymes. Un document de 2020 indiquent que diverses œuvres dorment dans leur boîte depuis 2013 en attente d’une plus value par 100, ce qui pourra alors centupler la fortune sans payer ni taxes ni impôts… Le reste de la collection du milliardaire (comme pour la majorité des milliardaires) est accroché dans diverses résidences fiscales, en Suisse ou dans diverses villas où iles privées à travers le monde.
Divers hackers de part le monde traquent ces maffieux d’affaires, gouvernementaux et judiciaire (tous corrompus) et s’échangent en ligne dans divers recoins cachés d’Internet, des milliers de milliers de documents piratés. Reflets, Blast et StreetPress se sont associés pour explorer ces leaks qui mettent en lumière divers groupes complexes, implantés dans des pays très souples en matière fiscale et très endetté. Cela permet de tracer le train de vie faramineux de gens aussi discrets que riches.
Les entrepôts géants installés en zones franches (Ports Francs) permettent aux ultra riches de stocker leurs biens inestimables en bénéficiant d’avantages fiscaux. Il en existe plusieurs dans le monde. Le port franc de Genève est spécialisé dans la conservation des œuvres d’art. D’après les documents issus d’une fuite de données que les médias indépendants Reflets, StreetPress et Blast ont pu consulter,
À l’origine, les ports francs servaient pour le stockage temporaire de marchandises en transit (durant le week-end, par exemple). Mais il y a eu un détournement des ports francs. Normalement, les œuvres d’art et automobiles “de collection” ne restent pas. Mais depuis 15 ans il y a une dérive parce que les biens restent. Tout a été complètement perverti, m’a souligné une pénaliste spécialisée dans l’art.
Le monde des ports francs est particulièrement opaque. Nous avons demandé à visiter celui de Zeebrugge ou a été stocké ma LéaFrancis volée avant d’être expédiée en Israël. Refus. Impossible également d’obtenir une simple interview d’un porte-parole. Et de nombreux professionnels du monde de l’art et de l’automobile de collection, sollicités, ont refusé de s’exprimer sur le sujet – y compris des acteurs publics. Parfois sans donner d’explications, parfois par peur de l’influence de divers “Pontifes”.
Dans mon cas, même en publiant que le CEO d’AXA ET le Parquet Bruxellois (Un et indivisible) couvrent le vol et l’exfiltration de ma LéaFrancis dans une opération (mal) élaborée par l’ex-Procureur du Roi de Bruxelles, Jean-Marc Meilleur (qui a volé détourné le dossier pénal pour effacer les preuves compromettant l’Agent Général AXA) et exécutée par les avocats Yann Cuypers et Delphine Mallien, affaire ensuite “re-bricolée” par le nouveau Procureur Ignacio de la Serna dont le frère faisait ami-ami avec les tueurs du Brabant Wallon (affaire jamais élucidée), rien ne bouge si ce ne sont de nouvelles actions d’étouffement (par corruption) à la CEDH…
Stocker en sécurité sans payer de taxe, sans être obligé de “rendre des comptes”… “Les ports francs permettent de stocker sans être imposable sur son bien”, relève Marine Vazzoler, journaliste au Quotidien de l’art qui ajoute : “Ceux (et celles) qui placent leurs biens dans ces zones sont assurés de les savoir en lieu sûr et confidentiel, et peut être qu’ils se disent que cela est plus risqué de les avoir chez eux car c’est effectivement une manière de contourner taxes et lois.
Pour une importation d’œuvres d’art en Suisse par exemple, la TVA qui s’applique est de 7,7% (de la valeur des œuvres). Alors, les milliardaires préfèrent les laisser dans une boîte. La boite reste en place mais change de propriétaires sans taxes ni imports”…
Autre avantage des Ports francs, il permettent de négocier le prix des assurances à la baisse. A la fois les documents de la SA Jean Verheyen spécialiste des exfiltrations d’œuvres d’art et d’automobiles de collection et les documents issus du leak, rédigé par Artspec, courtier dédié à l’assurance des œuvres d’art, précise ces éléments : “Les pertes ou dommages résultant du terrorisme sont exclus concernant les biens situés en des lieux d’entreposages professionnels ou autres locaux commerciaux (vous pouvez demander une cotation relative à cette disposition). Par contre, les pertes ou dommages résultant du terrorisme sont maintenus concernant les biens situés aux adresses privées ou en cours de transport”.
Donc, le temps ou on gardait les œuvres d’art chez soi est révolu… Un faux est créé pour donner le change, qui est exposé en ce compris dans des musées d’Etat, alors que la vraie authentique (sic) est stockée dans un Port Franc où tout dort à l’abri des regards en continuant de prendre de la valeur. Par exemple, si on vole une LéaFrancis et qu’elle est stockée en zone franche depuis une cinquantaine d’années, elle aura pris de la valeur sans avoir été taxée, explique Marine Vazzoler : “Et si on veut la faire sortir pour la vendre, on paiera à ce moment-là une taxe insignifiante mais la valeur de l’œuvre aura été multipliée par cent voire plus”.
Ce n’est pas encore le cas au Port Franc de Zeebrugge, mais le Port franc de Genève est équipé d’une salle d’exposition : “Cela permet de faire des ventes sur place sans avoir besoin de bouger les œuvres”, constate Alexis Fournol, avocat spécialisé dans le domaine de l’art. Ces ventes sont exonérées de droits de douane et de TVA. Les œuvres peuvent donc changer plusieurs fois de propriétaires, sans jamais quitter le port franc.
Les ports francs offrent toute une palette de services, concentrés en un seul endroit : stockages, sociétés de transports, fabrication des caisses de stockage, ventes et transactions, sociétés d’assurance… Un service optimal pour les collectionneurs”, apprécie maître Fournol.
Un total manque de transparence est à l’origine de plusieurs scandales Lorsque les camions arrivent sur le parking du port franc pour livrer de nouveaux trésors, impossible de deviner ce qu’ils transportent. Sur les boîtes en bois, pu les containers plombés, un numéro remplace le nom du contenant et celui du propriétaire. Les Ports Francs sont parfois équipés d’un scanner qui permet d’analyser le contenu des caisses. Un dispositif mis en place après plusieurs scandales. Mais il n’est pas employé de manière systématique, comme l’a raconté le journal Le Monde. Et les informations sur la provenance sont minimales. Dans son rapport de gestion de 2021, David Hiler, le président du conseil d’administration, précisait pourtant que “Les procédures de compliance [données de traçabilité, ndlr] sont bien appliquées et les objets archéologiques sont toujours soumis à un contrôle préalable avant d’être admis au port franc”.
En réalité le système reste opaque et est régulièrement dénoncé. Le Groupe d’action financière (Gafi) affirme dans un rapport, que “Les zones franches, y compris les ports francs, représentent une menace en ce qui concerne le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme, le vol d’œuvres d’art, en partie à cause de garanties inadéquates, d’une surveillance peu attentive et de contrôles insuffisants. Le contrôle fédéral des finances suisses mettait en garde contre l’usage impropre qui peut être fait des ports francs, à des fins d’optimisation fiscale ou pour contourner les lois sur les biens culturels, le matériel de guerre, les médicaments le commerce de diamants bruts et les oeuvres d’art volées en ce compris les automobiles de collection”.
En attente qu’arrive la même chose pour le Port Franc de Zeebrugge propriété de la SA Jean Verheyen Agent Général AXA, le port franc de Genève a, lui, été au cœur de plusieurs scandales de trafic illicite de biens culturels volés. Plusieurs objets ont été saisis au fil des années comme des morceaux de bouddhas de Bamiyan d’Afghanistan saccagés par les Talibans, des momies égyptiennes issues de fouilles illégales, des morceaux d’un tableau du Titien censé avoir brûlé à Venise en 1967… L’affaire qui fera le plus de bruit concerne Yves Bouvier. Le roi des ports francs détenait la première société locataire de celui de Genève. Il est accusé d’escroquerie par le milliardaire russe et collectionneur Dmitri Rybolovlev (connu aussi pour avoir racheté l’AS Monaco). La procédure judiciaire est toujours en cours pare que la justice est également impliquée
Un parallèle peut ainsi être établi avec la Belgique, concernant ma LéaFrancis. La justice se prétend désarmée, alors qu’en réalité elle est complie, tel que le démontre les actions de l’ex-Procureur du Roi Jean-Marc Meilleur qui se prétend spécialiste en histoires alternatives et en a d’ailleurs créé une pour couvrir le vol de ma LéaFrancis !
S’il est difficile pour la justice de se saisir de ce sujet, c’est selon Jean de Codt Ex-Président de la our de Cassation, en raison d’un manque de moyens. “Ce sont des enquêtes longues et coûteuses, où il y a très peu de magistrats spécialisés”... En fait c’est pire, il suffit de suivre le déroulement de l’affaire “LéaFrancis” pour se rendre compte que les Magistrats sont des nullités qui connaissent très mal le fonctionnement du marché. Et quand il y a quelque chose, si une instruction est ouverte ils obligent à un non-lieu qui va étirer les affaires sur six ou sept ans en moyenne (mon affaire dure depuis 14 ans). Donc, d’un point de vue pénal, c’est assez décevant…
Après cette succession de scandales, mais aussi suite aux révélations des “LuxLeaks” en 2014 et des “SwissLeaks” en 2015, ou encore des “PanamaPapers” en 2016, de nouvelles législations suisses et européennes ont imposé plus de transparence. En janvier 2020, l’Union européenne a par exemple mis en place une directive pour renforcer les règles sur l’identification des clients. En fait c’est de la poudre aux yeux.
La CEDH a été prise en flagrant délit de mensonge qui était en réalité de la corruption venant de l’Etat Belge… Et comme AXA finance la majorité de la presse, rien ne filtre car les journaleux si ce sont des “putes de l’info” n’en diront rien pour sauver leur emploi…
“Si les contrôles douaniers restent insuffisants, depuis ces scandales, l’OCDE a mis en place plus de transparence”, a confirmé Jean-Raphaël Pellas. Ce professeur à l’Institut supérieur du commerce de Paris (également co-pilote du groupe de recherche Fiscalité et prélèvements obligatoires de Fondafip) l’assure, “on sait maintenant ce qui transite et les entités et les personnes qui sont derrière, la seule zone d’ombre reste les trusts”…
Pour le grand public, ce système en vase-clos est immonde. Mais aussi pour les amateurs d’art : “C’est un rapport à l’art très mercantile. Ce sont des endroits assez essentiels dans le milieu mais ils disent beaucoup du fonctionnement et du milieu de l’art en général Il scelle en réalité une forme de confiscation. Ce sont aussi autant d’œuvres qui ne sont pas visibles depuis une cinquantaine d’années et qui manquent aux collections publiques, cingle cette passionnée. À la fin des années 70, le célèbre historien de l’art Nicos Hadjinicolaou avait défini ce qui constitue la valeur d’une œuvre : “Une œuvre d’art existe en tant que telle à partir du moment où elle est regardée”...
Pour ce qui est de ma LéaFrancis, 14 ans passés permettent de comprendre que le vol a été organisé sur base de ce que je ne cesse d’indiquer et que c’est bloqué pour préserver AXA d’un scandale (et de poursuites concernant l’organisation et la complicité du Groupe AXA) qui craint que ça déborde… C’est exactement ce que je fais, en tant qu’organe de presse dument enregistré, je vais mon job de journaliste mais aussi en étant dans l’action car c’est au nom d’AXA que ma LéaFrancis a été volée…
Patrice De Bruyne
de_bruyne_patrice@hotmail.com
A paraitre dans www.GatsbyOnline.com : (section ATARAXIE) Si vous avez des commentaires, envoyez-les moi sous 24 heures…
2 commentaires
Maître,
Je vous adresse de nouveau toutes mes félicitations pour votre pugnacité et pour la qualité de vos articles. Vous soulignez dans cette affaire le rôle central de la corruption en Belgique, comme le fait très médiatique le juge Michel Claise. Il me semble toutefois que vous l’avez publiquement dénoncée avant lui !
Vos encouragements m’encouragent… Ce qui est significatif, c’est que strictement personne ne me contredit ni ne dépose plainte contre moi pour diffamation. On ne sait ni ne peut déposer plainte pour des faits avérés. Le système Belge continue parce que le délit d’escroquerie au Jugement n’existe pas en Belgique alors qu’en France il est issu d’une abondante jurisprudence encadrée par des sanctions pouvant aller à 10 ans de prison ferme et un million d’euros d’amende pénale par tête de pipe ayant formé une bande criminelle organisée dans le but (ou avec l’intention) de réaliser une escroquerie au jugement… Ma tactique est de tellement en faire depuis la France en tant que citoyen résident Français envers les membres de cette bande, qu’elle aurait pu générer la réaction de l’un d’eux vers moi en France ce qui étendait l’escroquerie en France. Le CEO d’AXA qui n’est pas un imbécile a compris ma stratégie et interdit de réagir… Donc je continue de plus en plus… J’ai bon espoir qu’en finale l’escroquerie au Jugement sera appliqué en Belgique via la Cour Européenne de Justice, mais je reste circonspect car la corruption s’étend partout. Merci de me lire et soutenir.
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