Médiocratie et dictatucratie…
En Franchouille, l’année actuelle n’est pas similaire à la précédente en terme de confinement et temps passe à rien foutre d’autre que spéculer sur le non-devenir de l’inhumanité. Mais, suite aux évènements d’Ukraine, nous avons toutes et tous l’opportunité de constater que les chaines TV Franchouilles se sont spécialisées dans la diffusion de Fake-News en continu (voyez l’annonce promo en fin de cet article), ce qui n’est en fait pas bon pour la santé mentale. Le public est ainsi fortement influencé par le fait de rester devant le diffuseur merdiatique à rien branler, avec pas mal de conneries qui annihilent la notion du temps qui passe.
Les péroreurs et péroreuses qui squattent ces TV-Poubelles, n’y ont aucune ambition à prôner le bon goût ni les vérités vraies, ils et elles, très grassement payé(e)s avec l’argent public vous aident simplement à passer le temps en vous lobotomisant entre les séquences-pubs vantant des produits aussi avariés que leurs raconteries débilitantes. (Cyril Hanouna 80.000 euros/mois – Gilles Bouleau 40.000 euros/mois – Anne-Claire Coudray 30.000 euros/mois… Les ancien(ne)s touchaient aussi très lourd : Laurence Ferrari 50.000 euros/mois, Patrick Poivre-d’Arvor 71.500 euros/mois (soit près de 3.000 euros le JT). La palme revenant à Claire Chazal, rémunérée 120.000 euros/mois à l’époque. Élise Lucet 25.000 euros/mois. Laurent Delahousse 15.000 euros/mois, David Pujadas 20.000 euros/mois et les rois et reines des désinfos-Fake-News, chacun/chacune 40.000 euros/mois + les invité(e)s !!!
Une des chaines liberticides à même engagé d’anciennes Pin-Up Ukrainiennes maquillées comme des voitures volées qui ont créées une énorme explosion dans mon cerveau dès la première vision de leurs bouches hyper badigeonnées de rouge à lèvres ce qui a complètement désintégré en quelques secondes ce qui se passait d’autre autour de moi, fixant mon âme sur leurs élucubrations ressassées (quasiment) tout le long de cette débauche vulgaire qui passe en boucle sans jamais lâcher les spectateurs ahuris. Pour accompagner leurs affirmations dans la narration sans fin et répétitive de fausses aventures avalisées par des personnages annexes. Leurs babillements, leurs silences en hochant leurs têtes de pifs, fascinent, font sourire, pleurer, planer, et émerveillent tout du long, ils semblent à chaque écoute téléporter leur public dans une cellule de Guantanamo coupée de tout.
Une intense discussion de ce groupe qui n’était en réalité que des monologues superposés formant une cacophonie verbeuse, a récemment suscité en mon moi profond un émoi vif et quasiment sexuellement palpable. Les déficients sbires figurants, pourtant toutes et tous congénitalement engoncés dans une séquence au rabais, se sont mis à réfléchir jusqu’à s’interroger sur leur identité ajoutant du mélodrame branle-manche clitoridoluminescent, quant à la teneur des propos des succubes Ukrainiennes à qui un évaporé (qui ne sera plus jamais invité) a osé dire que la relation aux réalités des Succubes Ukrainiennes était plutôt biaisée.
Ne sortant principalement que pour me sustenter ou constater l’étendue des dégâts, je pense n’avoir de cesse de ruminer une exécration toute personnelle pour mes contemporains : “Oui mais c’est parce que les gens te déçoivent”, m’a dit un jour une magnifique plante vénéneuse dont l’étendue mammaire ferait rougir les concepteurs du Canal de Panama ! Certes ! De toute façon il me semble évident qu’un homme partiellement au foyer, ayant la fâcheuse tendance à éponger ses 73 ans ne peut avoir qu’un avis délétère sur la connerie humaine. Néanmoins, je constate que mes digressions dans www.GatsbyOnline.com ne sont pas vaines, au sens où le web-site affiche des milliers de vues quotidiennes.
Je me suis dit que les chiffres de fréquentation ne pourraient qu’augmenter en publiant quelques beautés Ukrainiennes et Russes sachant charmer, sans se limiter aux infinis étirements faciaux des Ukrainiennes des TV Franchouilles en continu, divers jeunes priapiques, macronistes hébétés gargarisant leur sombre bile cancéreuse dans un goitre d’autosuffisance. Je n’ai pourtant rien contre les Ukrainiennes. Bien au contraire. Je nourris d’ailleurs une passion assez dévorante pour celles-ci. Passion qui me soumet parfois à devenir le principal protagoniste de scabreuses errances où, l’éthylotest en bandoulière, je me retrouve à sucer les tétons d’une consœur d’agrément au physique de princesse Balkanique, récoltant ainsi jalousies et quolibets. Mais rien ne saurait ternir la qualité de la tension dans mon entrejambe, soyez-en persuadés. Rien ne saurait me détourner de ce vallonné chemin.
Une nouvelle fois je digresse et en viens presque à oublier de vous parler de ma découverte, venant je l’espère mettre un peu de clarté sur vos sourires d’abribus. Une Ukrainienne dont le buste semble issu de l’orfèvrerie, née en 1990 à Kiev, ville au combien célèbre pour son inépuisable vivier mytilicole venant alimenter la production gonzo mondiale, Petra Drabinova est clairement de celles offrant un buste de taille et de forme semblant issue de l’orfèvrerie d’une race immémoriale. Un tel graal de la gougoutte ferait aisément passer ma dernière croisade pour une quête du petit salé aux lentilles en promo. N’ayant à proposer en “Pub” qu’une très rare scène lesbienne ou elle léchouille maladroitement une compatriote du Donbass, j’en viens à me demander ce que sont devenues ces années de formation dans sa ville natale où elle pouvait allègrement se faire flageller l’arrière-train par la suante bedaine d’un casteur pro-nazi lors de levrettes fébrilement désirées.
Toute cette adolescence passée en appartement thérapeutique à gober les groseilles d’un oncle attardé, suivant les habiles recommandations d’une matrone hystérique., quelle tristesse ! Tous ces choix artistiques condamnant une génération de fellatrices hors pair, reléguant au vestiaire leurs talents d’apnéistes du barreau de chaise, délayant leurs prédispositions dans un mannequinat au rabais, tandis qu’un cheptel de chibres ronds n’attend, goutte au gland, que le moment de l’ultime libération sur leurs frimousses collagénées. Quelle folie, une compilation hallucinante d’effets chelous à n’en plus finir, ultra émotionnelles, qui n’en finissent plus de faire bander en ayant en tête les voyages vagabonds et le spleen des brèves rencontres charnelles sur lieux de cruising en Hot-Rod, pas de fioriture, c’est du terrorisme sexuel aussi rude et âpre qu’une redescente de drogue après s’être fait encorné par un taureau.
Dans mon antre encore noire de la nuit, le soleil semble faiblement perler entre les stores. Pas certain de l’heure exacte, je me demande si je n’ai pas simplement passé la nuit entière à attendre que “quelque chose se passe”, sans succès. A flotter mentalement, en roue libre complète, torpillé par les images ingérables des TV de Fake-News en continu, qui ne cessent de me tomber sur la tronche comme une pluie d’étoiles, trop épuisé par les conneries du monde pour dormir (un comble), je décide finalement de me lever et de marcher vers le salon, tenant à peine debout, les jambes raides et engourdies hurlant intérieurement pour un peu de repos. Stressé/fatigué d’avance par la journée à venir, me disant que me connecter à cette heure-ci me permettra de trier quelques emails et gagner du temps que j’ai en trop (sic !), j’ouvre mon ordi, qui m’éblouit de sa lumière blanche. Je n’ai rien à faire d’autre de toute façon.
Après avoir passé en revue mon Outlook, je commence à traîner sur le web au hasard, sans but, comme un mec coincé pendant une heure devant son menu Netflix, ne sachant quel film choisir, malgré les recommandations taillées sur mesure. Maison trop silencieuse, yeux qui brûlent légèrement, je décide de lancer “Deadbeat meets The Mole“. https://youtu.be/Erq7y7raJuU . Cette musique electronica chelou, joyeuse mais mélancolique, me berce doucement. Certains morceaux sont parfaits pour cette heure de transition, fin de nuit, aube aux teintes bleutées. La musique s’étire, j’en perds la notion du temps, et le fait d’être explosé par le sommeil renforce ce côté hypnotisant du tout. C’est beau, enjoué, un peu drogué. Parfait. Puis “Farfisa Hoser Hymnal” commence, https://youtu.be/2auPC6mmATE et, au moment où ce morceau absolument magnifique résonne, je me mets un peu à repenser que le monde part en couilles. Je suis éreinté, rongé par l’épuisement, à bout de force. Mais je me sens bien. En paix. Presque heureux… Ce monde n’a aucun sens ! Du coup j’écoute “Interstellar“ https://youtu.be/UDVtMYqUAyw de Hans Zimmer... Et là je retrouve ma Maman (décédée à la sortie de ce film) et se suis bien, relax, le monde peut bien crever, et moi avec, je n’en ai plus rien à foutre…
Me reste à écouter un autre morceau avec Valérie et Blacky, la nuit, quand le reste du monde dort, vu que les concerts et clubs même à Saint’Trop sont presque devenus des denrées rares (ou interdites), une autre musique céleste de “Hans Zimmer, Time (Inception)” https://youtu.be/va1oiojnGrA qui n’a pas attendu la pandémie pour faire voyager les gens insomniaques à coup de musique éthérée, aux mélodies cristallines et synthés beaux comme la mort. C’est l’un des rares rescapés à encore balancer des albums excellents. En bref, une cargaison luxueuse de morceaux à écouter la nuit en regardant les étoiles, laissant les pensées divaguer sur le paradoxe de Fermi (ci-après).