La Franchouille s’effondre…
Ouaisssss mes Popus, tout va au plus mal, comme en ’14 et en ’40… Avec la guerre en Ukraine, dont nous sommes les vrais irresponsables imbéciles… et les sanctions boomerang envers la Russie (qui nous reviennent en pire), les prix de la survie dans l’Europe “OTANisée” ont doublés, bientôt triplés, puis vont inéluctablement quadrupler et plus encore ! Les commerces stoppent car assassinés par les charges. Les boulangers n’ont plus les moyens de faire des baguettes de pain, alors que ce symbole de la gastronomie française a été inscrit fin de l’année 2022 comme faisant partie du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco… Un souvenir de plus pour dans l’autre monde…
Le Franchouillard hargneux et délateur qui traine des pieds en Charentaises avec ses chaussettes au dessus des bas de pyjama, un cubik de vinasse remplaçant la bouteille dans son filet de courses et son fameux béret basque, n’aura bientôt plus de baguette sous le bras, tout comme il n’a plus de mégot dans sa gueule édentée, ni de saucisson Corse à bouffer… en cause des problèmes de soins, des médecins et infirmières en grèves et des interdictions de continuer leur si merveilleux, presqu’apostolique boulot de merde, si refus de se faire injecter des saloperies de laboratoires conçus par nos meilleurs zamis-ricains dans le cadre du Grand-Reset… Ce n’est que la partie visible de l’iceberg ! L’invisible c’est le plus grand drame de l’économie française : la dette !
Ouaissssss mes Popus ! La dette publique de notre France ne cesse de battre des records historiques. Au troisième trimestre 2022, elle avait ainsi atteint 2.956,8 milliards d’euros et en janvier 2023 elle dépasse les 3.000 milliards d’euros. Depuis 2020, la dette publique a ainsi explosé de 581,9 milliards d’euros. Et tout ça pour quoi ? Pour que l’Ukraine devienne membre OTAN afin qu’aux ordres d’un sénile magouilleur psychopathe Yankee, l’Ukraine devienne la base stratégique manquante au plan d’annihiler la Russie pour s’accaparer de ses ressources. Un sursaut du colonialisme tel que les Angliches le pratiquaient. Le second effet boomerang de nos barbaries en Inde, en Afrique, en Australie et aux Amériques ou nous avons exterminé presque l’entièreté des populations…
Il y a de fortes chances qu’avant de cliquer sur le lien qui vous a amené ici, vous faisiez défiler des images de fin du monde dans vos têtes de pifs : vous passiez d’un titre merdiatique à l’autre dans un état second d’horreur… Cliquez une fois pour voir les prix de l’énergie monter en flèche… Cliquez à nouveau pour le dépérissement des démocraties… Une troisième fois pour la fonte des glaciers alors que le chaos climatique s’aggrave… Et un quatrième click pour les dons de charité à Zeelinsky “pour l’Ukraine” qui ne sont que des moyens d’obtenir 50% en retour sur un compte off-shore, pareil que McKinsey et autres… Ils placent les milliards qu’ils recoivent dans les mêmes paradis fiscaux que nos chefs en attente qu’on crève, ce qui ne saurait tarder !
Scanner de telles affreuses nouvelles ne peut que vous laisser vous sentir dépassé par l’ampleur des crises et crapuleries mondiales. Quel autre choix avez-vous, mes Popus, que d’étouffer vos émotions ? L’alternative serait la culpabilité et la honte de continuer vos vies sans faire grand-chose pour faire une différence. Nos sociétés avaient besoin d’un nouveau récit et les populations commençaient par abandonner les histoires vendues par l’autoritarisme et le consumérisme. Les manchettes “presse” pessimistes de notre époque semblent toutefois indiquer peu à peu qu’il y a deux avenirs à offrir. Arrêtez de zieuter les émissions TiVi officielles ou ânonnent les putes surpayées des dés-infos officielles… Dans toutes, un autoritarisme orwellien prévaut.
Craintifs face à des crises aggravées – guerres, climat, fléaux, pauvreté, faim – les gens acceptent le marché de dupe nommé “l’homme fort” : “Le Macron Fort” et la protection de ce chétif gérontophile chef de guerre en échange d’une allégeance inconditionnelle en tant que sujets obéissants… Ce qui suit c’est la dictatucratie. Dans cette mondialisation, tout le monde est un con-sommateur et l’autonomie devient un sport extrême. Les plus riches ont leurs villas de rêve et un billet pour Mars en main. Le reste, la plouquesque, s’efforce d’être comme eux, se débrouillant seuls alors que les robots prennent des emplois et que la concurrence pour des ressources de plus en plus rares s’intensifie.
Les avantages de la technologie, qu’il s’agisse de l’intelligence artificielle, de la biotechnologie, de la neurotechnologie ou de l’agrotechnologie, ne profitent qu’aux plus riches, tout comme tout le pouvoir de la société. C’est un avenir façonné par les caprices des milliardaires. Bien qu’il se vende sur les libertés individuelles, l’expérience pour la plupart est l’exclusion : un monde lourd de nantis et de démunis. Malgré la bande passante et les ondes consacrées à cette dystopie, existe-t-il une autre trajectoire ? Le défi n’est pas que l’avenir citoyen soit difficile à trouver ou compliqué à articuler. C’est simple, enraciné dans une vérité profonde, et émergeant partout. Mais il est caché car chaque jour, les gens se racontent d’autres histoires et de leur rôle au sein de la société.
De manière critique, les institutions renforcent ces autres récits, prenant l’oxygène de l’imagination, les faisant apparaître comme les seules possibilités. Les sociétés s’accrochent à des mentalités ou à des paradigmes… L’une des histoires profondes est la plus répandue c’est l’histoire du con-sommateur. Cela se passe comme suit : Notre rôle en tant qu’individus est de poursuivre notre propre intérêt, sur la base qui s’agrégera pour obtenir les meilleurs résultats pour la société. Nous nous définissons par la compétition. En cours de route, nos choix représentent notre pouvoir, notre créativité, notre identité, ils font de nous ce que nous sommes. Chaque institution, entreprises et organismes de bienfaisance en passant par le gouvernement, existe pour offrir ces choix.
Tous sont réduits à des fournisseurs de produits et de services. Cette histoire de consommateur est la façon dont nous arrivons à un futur qui sera empli de fuites vers Mars ou les milliardaires aux pouvoirs disproportionnés vont s’y installer en attente que la “plouquesque” crève avec des inégalités de plus en plus extrêmes. Le futur orwellien correspond au retour du Grand chef, le leader, le Grand-Macron et le Grand-Bidden qui savent tout mieux, traçant la voie à suivre et déclarant nos devoirs. La ‘plouquaille’ (une branche basse de la “plouquesque” est constituée d’innocents tous coupables, ignorants les questions importantes. Les gouvernements et les organisations sont paternalistes et hiérarchiques, avec les quelques supérieurs au sommet de la pyramide.
Très bientôt comme en Chine, des millions de millions de caméras de surveillance en place, seront automatiquement connectées à la reconnaissance faciale et à d’autres programmes d’intelligence artificielle. Le gouvernement mondial saura donc tout ce que font ses citoyens, des achats aux comportements de conduite et de sexe, en passant par les publications sur les médias sociaux et le temps qu’une personne passe à jouer à des jeux vidéo et à regarder des vidéos porno (en ce compris les titres, séquences et fréquences) avec la possibilité de prendre des photos ou vidéo via l’objectif-mouchard intégré. Il y aura aussi le système de crédit social, un énorme système de collecte et de traitement de données, qui accordera automatiquement récompenses punitions.
L’histoire du consommateur promettant un rêve en or, avec sa répartition plus large des ressources et des richesses, son remplacement de l’aristocratie par la méritocratie… se fissure, il s’effondre sous le poids de ses propres contradictions et nous entraîne avec lui. Nous avons une inégalité si omniprésente qu’elle menace la sécurité de tous (même les plus riches), alors que l’histoire dit que notre responsabilité première est de rivaliser pour accumuler davantage. Nous avons une rupture écologique, alors que l’histoire insiste sur le fait que notre identité et notre statut reposent sur une consommation toujours croissante. Nous avons une épidémie de solitude et de problèmes de santé mentale, mais l’histoire nous dit que nous sommes seuls…
Vous ne changez jamais les choses en combattant la réalité existante, pour changer quelque chose, il faut créer un nouveau modèle qui rend les modèles existants obsolètes. Le processus de réécriture de l’histoire est exigeant pour nous tous. Lorsque les fissures apparaissent dans une croyance de longue date, cela provoque de l’anxiété et de la douleur. Alors que le monde est remplacé par une grande incertitude, le risque est que nous nous accrochions à ce que nous savons plus que jamais. L’attraction gravitationnelle du familier s’exerce d’elle-même, peu importe à quel point nous savons que le familier est dysfonctionnel. Lorsque nous reconnaissons cela, nous pouvons tenir l’espace pour cet effondrement et cette transition plus respectueusement, avec soin.
Sinon, l’anxiété se transforme en colère et les gens perdent confiance et foi les uns envers les autres et leurs institutions. Le résultat risque de devenir un cercle vicieux : à mesure que les défis de notre époque s’intensifient, nous faisons moins confiance à nos dirigeants, les débouchés que nous recherchons dans notre insatisfaction, deviennent plus extrêmes, et nos dirigeants nous font moins confiance et nous n’avons plus confiance en eux. Ils deviennent encore plus enclins à s’en tenir à ce qu’ils savent, les vieilles histoires, nous refusant le libre arbitre alors qu’ils s’engagent dans des tentatives futiles de résoudre les défis pour nous, sans nous. C’est pourquoi le travail le plus essentiel en ce moment devrait être une ré-imagination de ce qu’est le leadership.
Si ceux qui sont en position de pouvoir agissent comme s’il n’y avait rien de mal, rien à voir ici, notre méfiance à leur égard s’approfondit encore davantage. Les leaders qui construisent l’avenir des citoyens commencent par reconnaître l’incertitude, partager des questions et des défis avec nous plutôt que de nous fournir (ou de ne pas nous fournir) de réponses. Ils créent des occasions pour nous de participer et de contribuer. Ils cultivent ce qu’on appelle “l’incertitude sûre” : reconnaître les voies inconnues, ne pas les nier. Ils ne prétendent pas savoir exactement à quoi ressemble l’avenir, ils nous rassurent sur le fait que nous le bâtirons mieux en travaillant ensemble. En finale nous mourrons, l’inéluctable destin… Un monde de merde !
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2 commentaires
Très beau texte mon cher Gatsby ! Votre citation de Buckminster Fuller est absolument délicieuse : architecte comme vous, père du dôme géodésique, philosophe comme vous et père des Dynamaxion, maisons et automobiles… vous leur aviez d’ailleurs consacré un excellent article en 2022 !
Quel bonheur d’être à ce point lu et apprécié…
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