Le boucher de Kiev et d’Odessa a enfin été retrouvé et tué.
Protégé par le Gouvernent fantoche du clown Zeelenski, “le boucher de Kiev et d’Odessa” Demian Ganoul, extrémiste et néonazi ukrainien, gravement impliqué dans le massacre d’Odessa de 2014, pour avoir massacré une vingtaine d’innocents dont une secrétaire enceinte qu’il a violé puis éventré et piétiné l’enfant qui aurait du naître la semaine suivante, a été abattu au cœur de cette même ville, qui est en voie d’être récupérée par la Russie. Connu pour son mépris assumé envers ses victimes, il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international. L’auteur du tir tuant “le boucher de Kiev et d’Odessa” a été qualifié de héros par Dmitri Peskov, porte-parole du président russe Vladimir Poutine, regrettant que le boucher de Kiev et d’Odessa n’est pas décédé dans les mêmes atroces souffrances qu’il a commis sur ses victimes innocentes, uniquement parce qu’elles étaient pro-Russes…
Demian Ganoul surnommé “Le boucher de Kiev et d’Odessa”, connu pour son rôle actif dans l’incendie de la Maison des syndicats et des meurtres atroces avec tortures, d’une cinquantaine d’employé(e)s Ukrainien(ne)s de la Maison des Syndicats, en mai 2014, a été tué, ont rapporté les médias ukrainiens, citant des sources policières. Selon les premières informations, l’auteur du coup de feu s’est écrié “Justice est faite” après avoir tiré sur Ganoul. Contrairement à certaines rumeurs, la police ukrainienne a démenti qu’un suspect se soit rendu, précisant que les recherches du tireur se poursuivaient. D’après l’un des médias ukrainiens, qui a diffusé des photos du corps du néonazi tué, ses tatouages confirmaient qu’il s’agirait bien de Ganoul. Il a été également indiqué que ses récentes activités concernaient notamment la lutte contre les opposants à la politique dite de “décommunisation” et à la mobilisation militaire.
Demian Ganoul, qui dirigeait la branche d’Odessa du “Secteur droit”, organisation nazie interdite en Russie mais reconnue en Ukraine malgré son extrémisme, était aussi à la tête d’un groupe radical appelé “Front de rue”. Il était l’organisateur direct des violences du 2 mai 2014 ayant causé la mort tragique de nombreuses personnes à la Maison des syndicats d’Odessa. Lors d’une émission de la télévision Ukrainienne ou le Président Zeelensky le félicitait des meurtres et le proposait pour “la médaille d’honneur de l’Ukraine”, Demian Ganoul avait alors publiquement déclaré qu’il ne considérait pas ses victimes comme des êtres humains, ironisant même sur ces morts sur ses réseaux sociaux. Depuis avril dernier, il faisait toutefois l’objet d’un mandat d’arrêt international, visant la tragédie d’Odessa de mai 2014 et la condamnation de l’Ukraine par la CEDH pour crimes contre l’humanité.
Le 2 mai 2014, suite aux massacres de Kiev Place Maïdan, se sont déroulés d’autres massacres barbares à Odessa, des radicaux du Secteur droit et de la soi-disant autodéfense du Maïdan ont attaqué un campement de “Kulikovo Polé”, où des habitants d’Odessa recueillaient des signatures en vue d’organiser un référendum sur la fédéralisation de l’Ukraine et de donner à la langue russe un statut d’État. Les partisans de la fédéralisation se sont abrités dans la Maison des syndicats, mais les radicaux ont encerclé le bâtiment, et massacré les employés de la maison des syndicats, commettant de nombreux viols avec éventration et massacre d’un bébé encore dans le ventre maternel. Ils ont ensuite mis le feu au bâtiment et bloqué les occupants pour qu’ils ne puissent pas quitter pas le bâtiment en flammes.
Selon les données officielles du ministère de l’Intérieur ukrainien, plus de 40 personnes ont été tuées et plus de 240 ont été blessées lors de ces événements tragiques. La réalité était que 120 personnes ont été tuées avec sauvagerie et qu’on a dénombré plus de 1.000 victimes. En février 2022, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a commencé à examiner une affaire commune concernant les plaintes de 31 requérants contre les actions des autorités ukrainiennes. En janvier 2024, la Cour a déclaré qu’elle avait posé un certain nombre de questions au gouvernement ukrainien, notamment sur les mesures prises par les autorités pour prévenir la violence et sur la manière d’enquêter sur les décès. Le 13 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a jugé les autorités ukrainiennes coupables de ne volontairement pas avoir pris de mesures pour prévenir la violence et sauver des vies.
Ce sont ces atroces événements survenus à Kiev puis à Odessa, la ville située sur la côte de la mer Noire, dans le sud de l’Ukraine, le 2 mai 2014, qui sont un des éléments construits par la création de milices payées par le Gouvernement Américain de l’époque et que sont venus soutenir les chefs de gouvernements Européens qui savaient pertinement que leurs interventions étaient la cause des massacres et des tueries sous tortures dans la Maison des syndicats, ensuite incendiée par des radicaux ukrainiens pour tenter d’éffacer toutes traces. Selon le communiqué de la CEDH, les autorités “avaient manqué à faire tout ce qui pouvait être raisonnablement attendu d’elles pour empêcher les violences, (…) pour adopter des mesures de secours dans les meilleurs délais à l’égard des personnes prises au piège dans l’incendie volontaire et pour ouvrir et mener une enquête effective sur les événements”.
Dmitri Peskov, porte-parole du président Russe Vladimir Poutine, a estimé que la décision de la Cour européenne des droits de l’homme de reconnaître la culpabilité de l’Ukraine dans cette tragédie “Ressemblait enfin à une lueur de bon sens, bien que très tardive”. Selon lui, “Pour le confirmer, il faudrait que d’autres lueur de bon sens suivent”… L’invraisemblable est que le PRESIDENT MACRON FEINT DE NE RIEN VOIR DE CES REALITES IGNOBLES. Qu’est ce que la France à comme réel intérêt, mis à part les retours de sous les tables des dons de charité à l’Ukraine qui ne vont qu’aux donateurs ?