A la recherche en Libye de la Fiat 500 Castagna “Capri” de Kadhafi !
Pour préparer la venue de ceux qui allaient brader à tour de bras le pétrole libyen et favoriser l’entrée triomphale des renégats de Benghazi, l’OTAN a bombardé la ville durant plusieurs jours, pire qu’à Dresde en ’45.
Semer la terreur, tuer des civils est devenu pour les occidentaux, un de leurs sports favoris.
Quant à leurs sous-fifres, c’est pire.
En Libye, les nervis d’Al Qaïda créés par la CIA (USA), aidés et financés par l’OTAN, avaient installé (comme en Palestine occupée illégalement) des check-points pour filtrer toutes les personnes qui tentaient de fuir ces bombardements.
Des familles entières ont ainsi été refoulées pour qu’elles “crèvent” dans l’horreur…
On les obligeait de retourner dans la ville…, tout homme était arrêté et molesté et même tué, soupçonné d’être, soit un militaire, soit un pro-Kadhafi, parce que de Syrte “sur Glane”.
Dans un silence de cathédrale, assourdissant et complice, les médias “meanstream” aux bottes de Sarkozy, Caméron et leur clique, montraient les soldats de pacotille du CNT à Tripoli, dépareillés et dégingandés comme toujours, qui donnaient un ultimatum à la population de Syrte “sur Glane”, véritablement victime d’un vrai génocide qui était en train d’y être perpétré, justifiant au passage leur suprématie militaire, évitant de dire que les forces spéciales françaises étaient à quelques centaines de mètres derrière eux et que l’OTAN tuait impunément des populations civiles en ce même moment.
Ce n’était plus tout à fait la même stratégie des années ’44 et ’45 appliquée ensuite partout dans le monde par les “alliés” : détruire les populations civiles pour créer la panique, comme à Dresde, comme à Hiroshima, Nagazaki…, comme au Viet-Nam, au Cambodge…, aussi comme en Afghanistan et en Irak, comme au Liban et à Gaza aussi…, puisqu’on peut “cibler” en “frappes chirurgicales”,, mais à l’envers de l’humain… c’est à dire détruire un hôpital et préserver une banque ou la maison d’un informateur sympathisant…
Le but est pareil que le génocide des Amérindiens, que celui des Palestiniens, on tue des femmes et des enfants d’un pays dont on désire voler toute la richesse pour être certains que plus personne ne pourra encore naître… et ces massacres sont enjolivés, minimisés, modifiés, via le sourire angélique de présentateurs et présentatrices œuvrant pour les médias sous ordres, qui débitent les intoxications gouvernementales, la propagande industrielle, les désinformations… en accomplissant leur plan de carrière, en lobotomisant nos têtes et en percevant leur salaire…, qui soit-dit en passant est cent fois plus important que les pauvres femmes tuées ou estropiées à vie parce qu’elles sont nées du mauvais coté de nos barrières….
On nous entraîne sur la soi-disant colère de dirigeants aux ordres…, mais, jusqu’à quand va-t-on se taire ?
En Libye, dans le génocide général, on nous montrait les villas pillées de la famille Kadhafi, on nous montrait une inconnue, voilée, qui prétendait que Kadhafi disposait d’une chambre de torture avec un fauteuil d’accouchement pour violer et torturer des femmes, des mensonges, de la désinformation crapuleuse…on nous racontait encore pire… mais, rien de Syrte “sur Glane”, entre autres massacres.
Tiens, c’était la ville natale de Kadhafi et toute chose qui pouvait être reliée à sa personne devait être vouée aux gémonies…
Mêmes les pauvres innocents de Syrte “sur Glane” et d’ailleurs.
Quel était leur crime ?
Qu’avaient-ils fait ?
Que leur reprochait-on ?
Et la soi disant protection des civils ?
J’ai toujours de la honte qu’un despote comme Sarkozy a pu organiser ces massacres avec l’aide de Bernard Henry Levy… qui a manœuvré pareil qu’en Ukraine…, honte d’être Français, Européen, Occidental…, tout comme les belges de Léopold II devraient avoir honte qu’on a génocidé le Congo (10 millions, bien plus que d’autres), pour la gloire de la Société Générale et l’extraction forcée du caoutchouc…, tout comme les allemands ont fini par avoir honte d’avoir été nazis…
Mais quand on se soumet au Nouvel Ordre Mondial, qu’on accepte d’être les esclaves d’un système…, quand on s’allie à l’Amérique, avec un peuple qui a génocidé les Amérindiens et largué deux bombes atomiques sur des populations civiles, rasé Dresde, le Viet-nam et le Cambodge, menti sur la réalité du 11 septembre 2001 et créé la fable des armes de destruction massive de Saddam Hussein pour justifier de massacrer un million d’innocents en Irak…, rien d’humain ne peut en sortir sur le long terme…
On nous fait étudier l’histoire du monde, les massacres du monde, l’Empire Romain, l’Inquisition du Moyen-âge, non pas pour nous apprendre à faire la paix, mais pour nous apprendre à ne pas commettre les erreurs des perdants.
Depuis que les “libérateurs” passent (avec la force militaire de l’Otan), c’est désolation partout.
La ferme verdoyante de Mouammar Kadhafi près de Tripoli contrastait-elle vraiment avec l’image du bédouin vivant au milieu du désert et s’alimentant frugalement de dattes et de lait de chamelle que se donnait l’ancien “Guide” Libyen ?
“Avant, ici, on se croyait en Europe méridionale, maintenant c’est Bagdad”, s’étonne l’un des vieux visiteurs (92 ans) de la vaste plantation dissimulée dans une immense exploitation agricole à 25 km au sud-ouest de Tripoli…, “même du temps de Rommel et de l’Afrika-Korps, tout était agréable, les nazis n’ont jamais détruit à ce point ni massacré les civils, mais avec Sarkozy, c’est un recul de civilisation, c’est un désastre. Beaucoup, ici, maintenant, crient ‘vive la France’, mais n’en pensent pas moins, avec des envies de vengeance et de meurtre”…
Ahmad Ramadan, 27 ans, employé du port de Tripoli, dit : “Avant que l’Otan ne bombarde et que les forces soi-disant révolutionnaires ne viennent tout piller et détruire pour le plaisir de détruire, voler aussi, le panorama d’arbres fruitiers bien alignés, de pieds de vigne bien soignés et de massifs de fleurs, était magique pour toute la population”….
Des centaines de morts jonchaient le sol tout autour, surtout des femmes et des enfants, un cheval aussi dont le cadavre cachait celui d’une mère coupée en deux et d’un bébé défiguré…
Au détour d’une superbe allée pavée et bordée de palmiers, se dressait les ruines pillées du petit château de style marocain, aux stucs blancs explosés qui étaient finement ouvragés, mais pulvérisés par les bombardements de l’Otan.
L’horreur…
Si c’est cela libérer et protéger les populations civiles, avec mandat de l’Otan…, on nous a menti !
Un jeune démontait un climatiseur en déclarant : “C’est pas que j’en ai besoin, mais je vais le revendre”… et quelques mètres plus loin, un homme robuste armé d’un gros poignard s’acharnait sur une berline allemande de luxe, une BMW blanche, blindée, dont il arrachait les pièces : “Je n’ai pas trouvé les clés, la voiture est blindée, j’ai tiré dans les vitres sans résultat, alors je me venge”...
Si Ahmad Ramadan quittait les lieux du massacre sans oser charger sa voiture de mobilier, de tapis ou d’autres trouvailles, beaucoup d’autres n’hésitaient pas à se servir.
Après la forteresse de Bab al-Aziziya, ancien quartier général de Kadhafi dans le centre de Tripoli devenu une attraction pour les Libyens qui s’y pressaient en famille pour observer les vestiges d’un règne, la ferme de Kadhafi était promise à un bel misérable non-avenir !
Si, à leur grand dam, “les enragés-lobotomisés” n’avaient pas réussi à mettre la main sur le Guide, ils avaient en tout cas retrouvé sa voiture.
C’était une étrange découverte qu’avaient faite les rebelles libyens en pénétrant dans le palais de Mouammar Kadhafi.
Mais on était loin de sa Jeep crème qui lui avait permis de prendre le pouvoir 42 ans plus tôt, encore plus de la Lamborghini que son fils Hannibal avait conduite à contre-sens sur les Champs-Élyséens.
Non, il s’agissait d’une minuscule Fiat 500 !
Malgré ses allures de poids plume, il a tout de même fallu pas moins de deux soldats pour la tirer hors des interminables tunnels souterrains que comptait le bunker présidentiel.
Cette belle italienne ne figurait pas sur le catalogue de la marque de Turin ; elle était en réalité l’œuvre du carrossier transalpin Castagna.
Baptisé Capri, ce modèle unique dérivé de la Fiat 500 cabriolet ne possédait aucune porte.
Mais toutes les options étaient au rendez-vous.
Les plus classiques : bois et cuir à volonté, jantes alliage de 17 pouces…, comme les plus farfelues : un intérieur couleur crème avec des finitions vertes, une capote couleur sable, une carrosserie vert et or…
Tout avait commencé en juin 2009 lorsque le carrossier reçu la mystérieuse commande, sans aucun commentaire, mais avec des garanties et une seule exigence : que le véhicule soit prêt pour septembre…, un détail mis cependant la puce à l’oreille de Gioacchino Acampora, architecte et propriétaire de Castagna : l’ordre de commande était accompagné du livre vert de Muammar Kadhafi.
Le doute se transforma en certitude quand arrivèrent les dernières spécifications du client : sur le flanc gauche du véhicule devait apparaître l’image rétro-éclairée du lion du désert, emblème du colonel…, sur sa droite devait être apposé le symbole de la nation libyenne.
Mais le plus étonnant restait le nez de la voiture : en lieu et place de la marque Fiat devait être placé un logo inédit décrivant la silhouette noire de l’Afrique, avec en vert la Libye, entourée des trois livres du “Guide”.
Kadhafi…, c’était un homme qui voulait être en phase avec son époque, fini les bolides, le 1er septembre 2009 il célébrait les 40 ans de sa prise de pouvoir et, la veille, il avait révélé le prototype d’un véhicule dessiné selon ses plans : “The Rocket”, présenté comme l’avenir de l’industrie libyenne…, réalisé par la société italienne Tesco TS et financé par des capitaux libyens…, ce prototype se voulait d’un design révolutionnaire…, long de 5,50 m et large de 1,87 m, il était équipé d’un moteur de 230 chevaux.
La Fiat 500 cabriolet Castagna “Capri” quant à elle, disposait d’un moteur électrique de 34 kW construit à Gênes, alimenté par des batteries au lithium… et le réservoir de carburant laissait sa place à un système de climatisation.
Mais il ne s’agissait pas non plus de faire de la figuration…., le véhicule atteignait une vitesse de pointe de 160 km/h et possédait une autonomie de 260 kilomètres, pour un temps de chargement n’excédant pas les dix minutes.
Cette prouesse avait été rendue possible par la livraison de deux charges centrales importées de Suède.
Comble du raffinement cher au Guide, rien n’indiquait que la “Capri” était électrique, puisque c’est dans le nez, derrière le logo, que se cachait la prise de recharge.
Le prix de cette voiture était d’environ 200.000 euros, batteries comprises.
Seule ombre au tableau, le transport de la voiture et de ses lourdes charges.
C’est finalement en avion via la France que la Fiat 500 révolutionnaire arrivera à Tripoli.
Le mystérieux client paiera sans mot dire, la firme italienne se permettra simplement de lui demander en récompense une photo du colonel au volant de la Fiat “Capri”.
Elle ne recevra rien…, mais de sources sûres, le travail aurait été très apprécié.
Deux ans plus tard, en apprenant la chute du tyran, Gioacchino Acampora a pour la première fois osé contacter les autorités libyennes au sujet du véhicule.
D’après lui, il était “juste” de les informer de la manière de le faire fonctionner… mais on n’a jamais retrouvé la voiture !
Ce qui est important, c’est de se rendre compte…, à l’occasion de ce reportage, des mensonges qui ont été utilisés pour justifier la guerre de l’OTAN contre la Libye !
C’est bien peu de chose que cette Fiat 500 “Capri”…
Les mensonges ont surpassé tous ceux créés pour justifier l’invasion de l’Irak.
Amnesty International et Human rights Watch, toutes deux avaient des observateurs honnêtes au sol dès le début de la pseudo-rébellion dans l’Est de la Libye…, en réalité une guerre de gangsters pour s’approprier des richesses Libyennes… et tous ont répudié toute accusation majeure utilisée pour justifier la guerre de l’OTAN contre la Libye.
En accord avec l’observateur d’Amnesty International, parlant couramment l’arabe, il n’y a pas eu de viols ni de tortures de femmes par Kadhafi, et il n’existe aucune vérification confirmée de viol par les combattants de Kadhafi, même pas un témoignage de médecin qui en aurait connu un.
Toutes les histoires de viols de masse sous viagra étaient des fabrications.
De même il n’y a aucune confirmation d’attaques d’hélicoptères des forces de Kadhafi contre les populations civiles, pas plus que de confirmation d’avions Libyens (pro-Kadhafi) bombardant leur propre peuple…, ceci invalide totalement la justification de l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne, que le conseil de sécurité des Nations-Unies a utilisé comme excuse pour déclencher les attaques de l’OTAN contre la Libye.
Amnesty n’a pas non plus pu vérifier une seule de ces histoires de “mercenaires africains” de Kadhafi… et les dires de la télévision satellite internationale, de mercenaires africains violant les femmes, qui furent utilisés pour répandre la panique dans la population de l’Est de la Libye et la forcer à fuir leurs maisons, ne sont aussi que des fabrications.
Après avoir passé trois mois au sol avec les forces rebelles et dans les zones contrôlées par les rebelles, l’enquêteur d’Amnesty n’a pu confirmer que 110 morts à Benghazi, presque tous supporters de Kadhafi.
Seulement 110 morts à Benghazi ?
Attendez une minute, on nous avait dit que des milliers avaient trouvé la mort là-bas, 10.000 même !
Non…, seulement 110 ont perdu leur vie presque tous pro-gouvernements.
Pas de viols, pas de mercenaires africains, pas d’hélicoptères de l’armée de Kadhafi mitraillant la foule, ni de bombardiers rasant des populations entières, pas de charniers non plus, chaque affirmation médiatique était un mensonge.
Mais, la Croix Rouge de pair avec le Croissant Rouge libyen, ont dénombré plus de 11.000 civils libyens tués par les bombes de l’OTAN, ceci incluant 4.000 femmes et enfants.
Plus de 6.000 civils libyens ont été blessés, pour certains très grièvement, ils sont estropiés à vie, paraplégiques, hémiplégiques, des morts vivants…, merci l’Occident !
Ce n’est pas l’œuvre de Kadhafi qui n’a jamais massacré son peuple, c’est notre œuvre…
En comparaison avec la guerre d’Irak, ce nombre est infime, mais les raisons d’avoir lancé cette guerre infâme contre la Libye n’ont aucune validité, sinon les mêmes objectifs : voler, s’approprier des ressources énergétiques…
La Libye du colonel Kadhafi n’a jamais envahi ses voisins, Kadhafi n’a jamais utilisé d’armes de destruction massive contre quiconque, encore moins contre son propre peuple.
Saddam Hussein lui aussi était un ami de la France et des Etats-Unis, il a été manœuvré pour entrer en conflit contre l’Iran, afin d’être affaibli en attente du moment ou les USA ont décrété qu’il possédait des armes de destruction massive sous la forme de gaz mortels.
Par contre, dans l’Algérie voisine, l’armée algérienne a combattu une guerre de contre-insurrection pendant plus de dix ans, guerre qui a vu la mort de quelques 200.000 Algériens.
Rien de similaire ne s’est jamais passé en Libye.
Des milliers de jeunes Libyens sont montés en première ligne combattant les rebelles, des renégats, des gangsters et des membres d’Al-Quaida… et malgré les milliers de raids aériens de l’OTAN, d’authentiques journalistes au sol, en Libye occidentale ont fait état de leur grande motivation.
En Égypte et en Tunisie, les marionnettes de l’occident comme Moubarak et Ben Ali n’avaient quasiment aucun soutien de leur population et certainement très peu ayant la volonté de se battre et mourir pour les défendre…, la majorité du peuple libyen s’est rassemblé derrière le gouvernement libyen et le “guide” Mouammar Kadhafi, avec plus d’un million de personnes ayant manifesté pour leur soutien le 1er Juillet à Tripoli, la capitale de la Libye.
En Égypte, l’explosion populaire qui vît l’armée prendre le pouvoir de Moubarak commença dans les quartiers les plus pauvres du Caire et des autres ville égyptiennes, là où le prix des denrées alimentaires de base comme le pain, le sucre ou l’huile de cuisson était monté en flèche et avait mené à des conditions de malnutrition généralisées.
Dans beaucoup de quartiers pauvre égyptiens, il est toujours plus facile de trouver de l’essence que de l’eau potable à boire…, l’aide médicale et l’éducation ne sont que pour ceux qui ont l’argent pour se le permettre.
Le peuple libyen, lui, avait le meilleur système de santé publique gratuit du monde arabe.
Le peuple libyen avait la plus grande espérance de vie du monde arabe.
Le peuple libyen avait la meilleure éducation gratuite du monde arabe.
La plupart des familles libyenne possédait leur propre maison et la plupart des familles libyennes avait leur propre automobile.
La Libye était bien mieux lotie que ses voisins, ce qui provoquait chaque année, une migration de dizaines de milliers de gens des pays voisins de l’Egypte et de la Tunisie vers la Libye, pour gagner l’argent afin de nourrir leur famille chez eux.
Maintenant (2017) à cause de NOUS, c’est l’inverse, les Libyens opprimés migrent vers le pays de leurs “libérateurs”, en réalité les responsables de la destruction de la Libye et du massacre des populations civiles…
Action-Réaction…, il faut faire l’effort de comprendre la réalité et ainsi ne plus s’étonner que les survivants civils de NOS bombardements ont engendré une haine à notre encontre… avant de pleurer nos morts, il conviendrait de se rendre compte que nos dirigeants ont organisé un massacre général !!!!
Quant à savoir comment Kadhafi a géré l’augmentation impressionnante des conditions de vie du peuple libyen malgré des décennies de sanctions du conseil de sécurité de l’ONU contre l’économie libyenne, les observateurs honnêtes doivent constater et admettre que Kadhafi dominait de la tête et des épaules tous rois, cheikhs, émirs et autres dictateurs qui continuent de dominer le reste du monde arabe…, parce qu’ils sont soumis aux diktats occidentaux !
Alors pourquoi l’OTAN a-t-elle déclenché cette guerre contre la Libye ?
– Dans un premier temps, Kadhafi était sur le point de créer un nouveau système bancaire en Afrique…, un système qui allait pousser dehors le dollar américain en déficit de plus de 200.000 milliards de dollars, y inclus le déficit “autorisé” par le Congrès américain, de 14.500 milliards de dollars, avec la bénédiction de la Réserve Fédérale américaine, de la Banque Mondiale et autres business associés des banksters.
Curieusement, considérant l’affaire qui a été montée contre Dominique Strauss Kahn, qui devait rencontrer Kadhafi quelques jours après son arrestation à New-York afin de finaliser la création de la nouvelle monnaie mondiale remplaçant le dollar en crise…, le système de prêts prédateurs occidental utilisé pour freiner et endommager les économies africaines à été réactivé avec l’égérie Sarkozienne nommée au FMI…
Au lieu de cela, il y aurait eu une banque d’investissement africaine pesant 4.200 milliards de dollars… et qui aurait été responsable des prêts majeurs à des taux d’intérêt pouvant même être de zéro en faveur des pays en développement. La Libye a financé des projets d’infrastructure majeurs en Afrique qui ont commencés à connecter les économies africaines entre-elles et les aider à s’émanciper de le dépendance perpétuelle d’avec les pays occidentaux concernant les importations.
– Dans un deuxième temps, on devrait se demander à combien s’élèverait la commission que pourrait demander un intermédiaire bien placé, proposant un hold-up du siècle à une bande de gangsters avec l’assistance de la France et de l’OTAN… et proposant simultanément à un président de pouvoir effacer son ardoise envers un “dictateur” peu recommandable…, tout en positionnant l’Occident tout entier aux premières places pour exploiter la totalité du pétrole Libyen à des prix imbattables, et pour avoir une base de premier plan sur l’Afrique…, sans oublier que cela annihilerait définitivement la création de la monnaie devant remplacer le dollar…
Astronomique, non ?
Plusieurs milliards, assurément, même bien plus…, inestimable… Or…, il se fait qu’un homme, justement… Bernard Henry Levy…
Outre que Kadhafi a financé une grande part de la campagne électorale de Sarkozy, ce que ne manquait pas de lui rappeler le “Guide” et son fils…qui ne voyaient aucun retour d’ascenseur…, ce qui a définitivement fait pencher la balance en faveur d’une intervention militaire directe de l’occident en Libye, fut la demande par Kadhafi que les compagnies pétrolières américaines, qui sont des facteurs économiques de longue date en Libye, devaient commencer à compenser la Libye de quelques dizaines de milliards de dollars pour les dégâts occasionnés à l’économie libyenne par les sanctions de l’ONU imposées à la Libye pour “l’attentat de Lockerbie”, sanctions qui s’étendirent des années 1990 aux années 2000.
Ceci devant l’émergence des preuves établies que la CIA avait payé des millions de dollars à des témoins du procès de l’attentat à la bombe de Lockerbie afin que ceux-ci changent leur histoire pour impliquer la Libye qui réellement n’avait rien à y voir !
Encore une manipulation de l’opinion publique, celle-ci étant utilisée comme base d’instauration des sanctions de l’ONU contre la Libye, sanctions qui eurent de graves conséquences économiques pour le pays.
Le gouvernement des Etats-Unis a menti et endommagé la Libye; ainsi les compagnies pétrolières américaines devaient commencer à payer plus… pour couvrir les dégâts occasionnés par les actions de leur gouvernement.
Pas difficile de voir pourquoi Kadhafi ne pouvait rester en place !
La guerre de l’OTAN contre la Libye avait bien plus à voir avec la guerre de l’OTAN au Kosovo contre la Serbie.
Ajoutez à cela le fait que Kadhafi avait clairement signalé qu’il voyait le futur du développement économique de la Libye et de l’Afrique avec la Chine et la Russie plutôt qu’avec l’occident… et ce n’était juste qu’une question de temps pour que le plan contingent de la CIA pour renverser le gouvernement libyen ne prenne corps et soit mis à l’ordre du jour, une réactivation assistée par un homme, Bernard Henry Levy, toujours lui, qui a compris qu’il pouvait espérer toucher d’inestimables commissions.
Ce sont des guerres de pouvoir et d’argent, il n’y a aucune révolution populaire, ni aucune volonté démocratique là-dedans…
Nous sommes les esclaves d’un système dont les bénéficiaires ont “Mein Kampft” en livre de chevet… et la Shoh en fond de commerce… et quand nous serons devenus trop pauvres pour consommer, que nous serons des bouches inutiles…, nous serons éliminés !
C’est d’ailleurs voté dans notre dos, depuis cette année 2017, si votre banque fait faillite, vos avoirs au dessus de 100.000 euros seront confisqués pour “sauver” la banque…
Et…, pour en revenir à la Fiat 500 Castagna “Capri” de Kadhafi…, ainsi que de “The Rockett”…, elles ont disparu… Point barre…
Et tout le monde s’en f…
Fin…