Actuellement la guerre économique… Demain la guerre nucléaire mondiale…
L’extraordinaire propagande conduite contre la Russie par les gouvernements des Etats-Unis d’Amérique et d’Europe et par leurs ministères de la propagande que sont les “médias occidentaux”, va mener le monde à une guerre totale que personne ne pourra gagner.
A ceux et celles qui écrivent disent et pleurent que les gouvernements Européens doivent se secouer de leur négligence parce que l’Europe sera la première à être évaporée à cause des bases de missiles des USA qu’elle héberge pour garantir sa “sécurité”…, j’ose répondre qu’à force de réflexions et d’études, j’en suis arrivé à déduire que ceux qui dirigent ce grand “machin” que Bush Senior nommait le “Nouvel Ordre mondial”, ont compris qu’il suffisait de payer très grassement les chefs de gouvernement Européens et leurs ouailles, pour en faire des alliés indéfectibles mettant leurs armées à leur service et manœuvrant pour saborder leur industrie aux seuls intérêts de cet empire en formation…
Comme rapporté par Tyler Durden de Zero Edge, la réponse russe à la sentence extra-judiciaire d’un tribunal hollandais corrompu, qui n’avait aucune juridiction sur le cas qu’il a arbitré, sentence qui ordonne au gouvernement russe de payer 50 milliards de dollars aux actionnaires de la Yukos (une société corrompue qui était en train de mettre à sac la Russie tout en fraudant le fisc), est très significative.
Lorsque on lui a demandé comment la Russie se comportera concernant la sentence, un conseiller du président Poutine a répondu : “Il y a une guerre qui est en train d’arriver en Europe et qui va rapidement se transformer en conflit mondial. Croyez-vous vraiment que cette sentence ait de l’importance ?”.
L’Occident s’est coalisé contre la Russie parce qu’il est totalement corrompu…, la richesse des élites a été obtenue non seulement en razziant les pays les plus faibles dont les leaders peuvent être achetés (pour connaître comment fonctionne la mise à sac lisez “Confessions of an Economic Hit Man” de John Perkins), mais aussi en volant leurs propres citoyens.
Les élites américaines excellent dans la mise à sac de leurs propres compatriotes et ont effacé la grande partie de la classe moyenne du nouveau 21e siècle.
Au contraire, la Russie a émergé de la tyrannie et d’un gouvernement basé sur les mensonges, pendant que les USA et l’Europe sont immergés dans une tyrannie masquée par les mensonges.
Les élites occidentales voudraient dépouiller la Russie, un plat succulent… et Poutine leur barre le chemin…, la solution est de se débarrasser de lui, comme en Ukraine ils se sont débarrassés du président Yanoukovitch.
Les élites prédatrices et les hégémonistes néo-conservateurs ont le même objectif : faire de la Russie un état vassal, cet objectif unit les impérialistes financiers occidentaux avec les impérialistes politiques.
J’ai recueilli pour les lecteurs la propagande qui est employée pour diaboliser Poutine et la Russie…, mais même moi, j’ai été surpris par les incroyables mensonges agressifs du journal britannique The Economist du 26 juillet 2014 (sur la couverture il y a le visage de Poutine dans une toile d’araignée, et, vous avez deviné, le titre de couverture est “une toile de mensonges”).
Vous devez lire cette propagande pour constater, soit le niveau de poubellisation de la propagande occidentale, soit l’évidente poussée vers la guerre.
Aucune moindre preuve n’est présentée pour supporter les accusations extrêmes de The Economist et sa demande que l’Occident arrête d’être conciliant avec la Russie et entreprenne les actions les plus dures possibles contre Poutine.
Ce genre de mensonges inconscients et de propagande éclatante n’ont d’autre but que celui de conduire le monde à la guerre.
Les élites occidentales et les gouvernements ne sont pas seulement totalement corrompus, ils sont aussi fous.., ne vous attendez pas à vivre encore longtemps.
Dans cette vidéo, un des conseillers de Poutine et quelques journalistes russes, parlent ouvertement des plans Américano-Européens pour attaquer la Russie :
La crise provoquée par les accusations portées par Washington et l’Union Européenne contre la Russie, lui attribuant la responsabilité d’avoir abattu le vol MH17, a rapproché le monde d’une guerre mondiale comme jamais auparavant depuis la crise des missiles cubains en 1962…, mais aujourd’hui, la situation est peut-être plus dangereuse encore.
Il y a cinquante ans, le gouvernement Kennedy, redoutant que des erreurs de jugement de part ou d’autre puissent déclencher un échange de tirs nucléaires, avait cherché à maintenir ouvertes les voies de communication et à éviter de diaboliser les dirigeants soviétiques.
Aujourd’hui en revanche, la CIA dirige une campagne de propagande incendiaire contre la Russie et son président, Vladimir Poutine, une campagne qui semble déterminée à provoquer une confrontation militaire directe avec un pays qui dispose du deuxième plus grand arsenal nucléaire du monde.
Il n’y a aucun doute que la CIA est en train de mobiliser toutes les ressources et tous les moyens dont elle dispose, au sein des gouvernements, des médias et parmi les universitaires, dans une campagne savamment orchestrée et destinée à empoisonner l’opinion publique avec de l’hystérie antirusse.
Pour le moment, il n’y a rien qui constitue, même de loin, une explication définitive de la chaîne des événements ayant conduit à la destruction du vol MH17.
En dépit de toute l’énorme technologie de surveillance à leur service et qu’elles financent à hauteur de milliards de dollars par an, les agences de renseignement américaines n’ont pas fourni le moindre élément concret de preuve pour étayer les accusations de responsabilité lancées contre la Russie…, mais si les circonstances physiques entourant la destruction du vol MH17 demeurent inconnues, les objectifs politiques pour lesquels cette tragédie est exploitée eux, ne sont devenus que trop clairs.
Depuis le début de la semaine, les trois magazines d’information à grand tirage les plus influents des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et d’Allemagne – Time, The Economist et Der Spiegel – publient des articles figurant en couverture qui associent de folles accusations à l’adresse de Vladimir Poutine à l’exigence d’une épreuve de force définitive avec la Russie.
La caractéristique la plus frappante et la plus évidente de ces articles est qu’ils sont quasi identiques…, la CIA en a écrit le scénario…, ils recourent tous aux mêmes insultes et aux mêmes inventions…, ils dénoncent le “tissu de mensonges” de Poutine…, le président russe est dépeint comme un assassin de masse “dépravé”…
Comment le président russe doit-il comprendre l’emploi d’un tel langage dans les magazines d’information les plus influents? Il est la cible de la même campagne de dénigrement que celle qui a déjà visé Slobodan Milosevic en Serbie, Saddam Hussein en Irak, Mouammar Kadhafi en Libye et Bachar al-Assad en Syrie. Poutine n’est pas sans connaître l’aboutissement de ces campagnes de propagande. La Serbie fut soumise politiquement par les bombes et Milosevic fut embarqué à La Haye où il mourut mystérieusement en prison. L’Irak fut envahi et Hussein exécuté. La Libye fut également envahie et Kadhafi, au grand amusement de Hillary Clinton, fut sauvagement torturé, sodomisé et lynché. Quant à Assad, les Etats-Unis ont organisé contre lui une insurrection sanglante qui a causé la mort de plus de 100.000 Syriens.
Dans ces conditions, on pourrait difficilement accuser Poutine de paranoïa s’il en concluait que les Etats-Unis et leurs alliés européens veulent sa mort. Par conséquent, faut-il se demander, quel impact pourrait avoir ces soupçons bien fondés sur sa propre ligne de conduite au fur et à mesure que la confrontation s’intensifie ?
Dans les trois articles de couverture, les gouvernements d’Europe de l’Ouest et des Etats-Unis sont pris à partie pour ne pas s’attaquer à Poutine et à la Russie. Les trois magazines adoptent un ton impatient et fâché face à ce qu’ils jugent être une agressivité insuffisante…, ils affirment tous, que le temps de la discussion est terminé…, Der Spiegel déclarant : “L’épave du vol MH17 est aussi l’épave de la diplomatie”…
Comment faut-il interpréter cette déclaration ?
Si la diplomatie a échoué, cela ne peut que signifier que la guerre est imminente.
Dans son article “En Russie, un crime sans châtiment”, le Time s’en prend à Obama pour avoir demandé à Poutine de contribuer à l’enquête sur le crash au lieu de proférer immédiatement contre la Russie des menaces de guerre. Il écrit : “C’était la crise en résumé : la moindre des choses que Poutine pouvait faire était le maximum qu’Obama pouvait exiger. Le président américain n’a pas annoncé de dates butoirs, n’a pas tracé de lignes rouges et pas lancé de menaces”…
L’invocation de “dates butoirs”, de “lignes rouges” et de “menaces” est le langage de la guerre…, comment interpréter ces mots autrement.? Time attaque l’Italie et la France et même le gouvernement Obama et la population américaine pour ne pas soutenir une agression contre la Russie : “Poutine n’a pas beaucoup de soucis à se faire en considérant les forces qu’on lui oppose. Obama, en tant que chef d’une nation lasse de la guerre, a exclu toutes les options militaires, dont la fourniture d’armes à l’Ukraine”… Il est clair que Time veut mettre l’option militaire sur la table.
Dans son article de tête intitulé “Un tissu de mensonges”…, The Economist suit le même script et accuse l’Occident d’être indécis : “Les Allemands et les Italiens affirment qu’ils veulent maintenir ouverte la voie de la diplomatie, en partie parce que des sanctions mineraient leurs intérets commerciaux. La Grande-Bretagne appelle à des sanctions mais est réticente quand il s’agit de nuire aux affaires rentables de la City de Londres avec la Russie. L’Amérique a un discours musclé mais n’a rien fait de nouveau”…
Cette campagne médiatique coordonnée est déjà en train de produire l’effet désiré. Mardi, l’administration Obama et l’Union européenne ont annoncé qu’ils s’étaient mis d’accord sur une nouvelle série de sanctions, plus agressives. On interprète ces mesures comme des mesures de transition vers ce que l’éditorialiste du Financial Times Wolfgang Munchau décrit comme : “La bombe atomique de la guerre financière”… L’article de Munchau a été publié non seulement dans le Financial Times mais encore dans Der Spiegel.
A travers une combinaison de menaces militaires et de strangulation économique, les Etats-Unis et l’UE se sont mis à déstabiliser la Russie.
Comme le montrent clairement leurs références constantes aux oligarques russes, ils espèrent que les sanctions financières vont encourager la constitution d’un complot visant à renverser ou même à assassiner Poutine. Un régime envisagé ainsi par Washington transformerait la Russie en un protectorat néo-colonial, entièrement subordonné à l’impérialisme américain sur le plan politique, économique et militaire.
Bien sûr, si Poutine changeait de cours et se conformait aux exigences américaines, la campagne médiatique ferait les ajustements nécessaires…, les événements peuvent cependant prendre une direction qu’aucun scénario de la CIA n’aura prévue.
L’irresponsabilité d’une politique de déstabilisation de la Russie, une puissance contrôlant le second en importance des arsenaux nucléaires du monde, est effarante. Dans une situation où les forces militaires de toute l’Europe de l’est et de la région de la Mer Noire sont en alerte et où des forces ukrainiennes et russes échangent des tirs d’artillerie de part et d’autre de leurs frontières, la possibilité d’une erreur de jugement devient de jour en jour plus grande…
Quel que soient les résultats à court terme du cours suivi par les Etats-Unis et les pouvoirs impérialistes européens, à long terme il mène inexorablement à la guerre, avec les conséquences cataclysmiques que cela implique.
Le plus grand danger pour la population est que des décisions sont prises dans les coulisses, la masse des gens n’étant pas, pour la plus grande partie, consciente des dangers auquels la population mondiale est confrontée.
Il y aura cent ans cette semaine que la Première Guerre mondiale fut déclenchée par de petites cabales de ministres, de monarques et d’intérets économiques de toute l’Europe et dont la décision de tout miser sur une victoire dans la guerre a conduit à de nombreux millions de morts.
Aujourd’hui, des forces similaires mettent en marche une dynamique menant à une conflagration qui pourrait aboutir à la destruction de la planète.
Il n’y a aucun moyen d’arrêter ce mouvement vers la guerre si ce n’est par une intervention politique consciente…, quiconque croit qu’une guerre nucléaire est impossible parce que les gouvernements modernes, à l’opposé de ceux au pouvoir en 1914, ne prendraient pas le risque d’une catastrophe, se fait des illusions. Les régimes existant aujourd’hui sont peut-être encore plus irresponsables que ceux de l’époque. Assaillis par des problèmes économiques et sociaux pour lesquels ils n’ont pas de solution progressiste, ils sont de plus en plus enclins à voir la guerre comme un risque valant la peine d’être encouru.
Que peut-on dire d’un pays qui accumule ses troupes autour des frontières d’un autre pays, lui portant tous les coups bas qui lui sont possibles, le provoquant dans tous les domaines pour le pousser à réagir en situation de faiblesse, allant même jusqu’à créer des casus belli ?
Ce pays est, de manière évidente, en état de guerre.
Si les Etats-Unis ne sont pas encore dans une phase d’offensive militaire, c’est qu’il leur faut d’abord mener et gagner une autre guerre qui est déjà en cours : mettre l’Europe dans l’impossibilité de refuser la guerre contre la Russie.
Sans l’Europe, les Etats-Unis sont dans l’incapacité d’entretenir quelque guerre que ce soit, et encore moins la gagner.
En fait, les américains aimeraient faire ce qu’ils ont toujours fait : amener l’Europe à faire la guerre pour eux.
Si, pour les Etats-Unis, le seul objectif est la guerre elle-même, aussi longue et aussi destructrice que possible, il faut bien trouver aux européens des raisons solides pour la faire…, déjà, ils ont réussi à impliquer l’Europe dans tous les chaos qu’ils avaient créés de toute pièce, réussissant même à faire créer certains de ces chaos chez les européens et par les européens eux-mêmes, comme en Ukraine.
L’Ukraine est un piège, non pas pour pousser la Russie à déclencher un conflit, mais pour emmener tout le monde dans une conflagration globale, et peu importe qui fera le premier pas.
De ce point de vue, ils sont en train de progresser vers la réussite de leur projet…, à coups de durcissements et d’escalades sur le terrain dans le sud-est de l’Ukraine empêchant volontairement l’incendie de s’éteindre, de manœuvres type false flag, de sanctions “innocentes” qu’ils obligent les pays européens à suivre, chacune rendant difficile tout retour en arrière, nous nous dirigeons lentement, mais sûrement, vers une situation qui ne pourra déboucher que sur des actions militaires de grande envergure.
Des actions militaires, il y en a déjà, et elles ne sont pas seulement le fait de l’armée ukrainienne…, cette armée de façade n’effectue aucune opération qui ne soit décidée, planifiée et gérée par les conseillers américains.
Quel que soit le sort futur de l’armée ukrainienne, gagnante ou perdante, tôt ou tard l’OTAN pointera officiellement son nez pour la renforcer…, cela aussi se fera progressivement, de la petite aide technique et la formation, qui a déjà commencé, jusqu’au déploiement des ogives nucléaires.
Pour le nucléaire, la préparation psychologique des européens a déjà commencé avec la demande, la semaine dernière, des députés du parti nationaliste Svoboda de restituer à l’Ukraine son statut de puissance nucléaire…, on se doute, bien sûr, d’où émane cette demande.
Le problème n’est plus de savoir comment réagira la Russie, mais ce que feront les européens, qui seront, dans cette circonstance, utilisés exactement comme le furent les djihadistes ailleurs, c’est-à-dire comme des soldats de l’empire.
Bon gré, mal gré, ils seront amenés, de manière soft et progressive, à une situation où la seule issue naturelle et logique sera de se battre pour défendre leur existence mise délibérément en danger, danger dont les origines auront été largement brouillées et remaniées par un système médiatique déjà bien rodé en la matière.
Ce que nous voyons aujourd’hui a déjà été réalisé à maintes reprises durant ces cent dernières années… et nous sommes, à chaque fois, surpris de revivre des évènements qui ont pourtant été vécus par nos pères et nos grands-pères, comme s’il s’agissait de nouveautés incroyables.
Les mêmes entités qui plongèrent l’Europe dans des guerres meurtrières au siècle dernier sont de nouveau à l’œuvre…, ce sont les mêmes qui, de Londres, en 1939, poussèrent l’Allemagne dans une situation de non-retour et fermèrent la dernière porte de sortie à Hitler en faisant volontairement capoter les négociations menées sous l’égide de l’Italie, trompant ainsi tout le monde, y compris l’allié français dirigé alors par le suiveur français de l’époque, Edouard Daladier, exacte réplique du toutou actuel, François Hollande.
Grandeur passée oblige, la France est toujours le pays qui, en fin de compte, finit par légitimer toutes les guerres de massacre en leur donnant la couverture universaliste dont son histoire se réclame (on comprend alors la fureur des Etats-Unis à propos des positions françaises sur l’Irak en 2003).
Hier à Londres, aujourd’hui à Washington, les décideurs sont les mêmes, l’un et l’autre endroit n’étant que des lieux d’application de leurs décisions.
Les invasions, les annexions, ne les intéressent pas le moins du monde, surtout si l’invasion est impossible comme dans le cas d’une terre aussi vaste que la Russie…, cela ne les empêche pourtant pas de l’encourager.
Pas plus que ne les intéressent des notions comme : qui va gagner, qui va perdre, qui va s’en sortir, etc.
Quels que soient les vainqueurs ou les vaincus dans une guerre, eux en sortiront gagnants.
Pour eux, l’humanité serait comme une masse de fourmis composée d’équipes de destruction et d’équipes de reconstruction.
Tirant profit de l’une et de l’autre, leur tendance logique est d’encourager la destruction pour ne pas mettre au chômage ceux qui sont chargés de reconstruire.
L’Europe, une fois de plus, est le candidat idéal pour une future reconstruction après destruction…, même si la Russie arrivait à se dérober, comme ce fut le cas en 1939 avec le pacte de non-agression germano-soviétique, l’Europe aura du mal à échapper au destin qui lui est réservé…, les nazis sont déjà en place, il ne reste plus qu’à les armer, comme ceux d’Allemagne naguère…, cela prendra juste un peu plus de temps…
Pour conclure, un ami qu’on surnomme “le Commandant” et qui œuvrerait en sous-marin pour l’O.T.A.N. m’a dit : “Ben, pour moi ça dérape de partout (cf Lybie, Egypte, Irak…), ce seraient plutôt les Hedges funds qui ont perdu la situation, mais pas Georges Soros. www.infowars.com/soros-funded-libyan-scenario-now-unfolding-in-ukraine Soros se retrouve derrière bien plus de choses qu’on ne sait…, mais l’autre jour j’ai découvert une info que j’ignorais. Tu sais que nous sommes allés Pxxx et moi au siège de Chatham House, dans le cadre d’un projet d’assassinat de Kabila. Pour d’autres raison, j’ai été en relation avec l’Institut Egmont, situé au palais d’Egmont. Cet institut aux activités réelles inconnues compte comme membres tous les anciens premiers ministres et comme président Etienne Davignon, qui a présidé longtemps Bilderberg. Dans ses statuts, il y est dit qu’il a été fondé la même année et sur le modèle de CFR (qui fait Davos)…, or Chatham House aussi a été fondé en 1921. Je me demandais donc ce qui est la clé derrière ces lobbies aux bras longs. J’ai trouvé récemment la raison réelle de la création de ces organismes : C’est pour empêcher les USA de prendre le contrôle du monde… Bon, tu vas dire que cela te fait une belle jambe pour les conflits actuels…, mais sachant que c’est Winston Churchill qui a financé le parti Nazi, chose que je ne comprenais pas non plus, je comprends maintenant le triangle infernal : Reine d’Angleterre (qui s’enrichit) – USA (les hommes de paille qui fournissent les armes) – Les pigeons (les juifs qu’on décime, les palestiniens qu’on bombe, etc…) – Sachant le manège qu’il y a eu pendant la WW2 ou le congrès US ne parvenait pas à forcer les GM, Ford et autres à arrêter de livrer des armes et véhicules aux NAZI…, qu’ils ont du se taper le coup de Pearl Harbour pour qu’enfin le vote passe en commission d’aller mettre fin à la guerre…. – Sachant que Soros a spéculé une nuit sur la livre sterling et s’est mis 1 milliard de livres dans la poche… Je me demande à quels jeux s’amuse la Reine d’Angleterre et ses copains… et si elle est ennemie ou amie avec Soros… Cela me semble une grosse historie d’hommes de paille. C’est vrai que le Huan (Yuan) est utilisé depuis quelques jours comme monnaie d’échange. Mais c’est fait. Les USA ne pourront plus l’empêcher. Je ne crois pas que les réserves énergétiques soient épuisées. Elles sont encore gigantesques. C’est certains que beaucoup veulent voir le cours le plus haut possible et font tout pour nous faire croire qu’il n’y en a presque plus. C’est certain aussi que le contrôle des flux reste stratégique, Comme les octrois du moyen âge. D’où certains intérêts autour de l’Ukraine. Je pense que les lobbies de l’armement américains perdent le contrôle. Eux aimeraient la guerre, mais le congrès ne le veut plus. Soros et ses spéculations ont plus d’effet et je pense que c’est lui qui continue à mener la situation. Selon moi la grosse inconnue est l’attitude réelle de Soros eu égard au jihad. Une guerre ne saurait l’éliminer. Qu’une guerre mondiale relance l’économie est certain, mais on ne veut plus la guerre. Il n’y a plus de guerre. Il n’y a plus que le jihad et des troubles internes”…