Boum…
Le sport automobile est dangereux, comme le disent certains commentaires d’articles concernant des voitures hyper rapides. Mais boire trop de vin aussi… Baiser matin midi et soir jusqu’à l’aube, aussi… Pfffffff ! Quantités d’actions indiquent le même leitmotiv et ça finit par énerver. C’était vrai dans le passé et c’est toujours vrai aujourd’hui à l’ère des châssis en fibre de carbone et des barres halo sur le conducteur, mais surtout, au moins en ce qui concerne la sécurité passive, elle s’applique au sport automobile historique en général. Ouaihhhh ! Il existe des voitures de course de Formule 1 où les pédales sont devant l’essieu avant et les monocoques sont rivetées ensemble en composite d’aluminium. Diverses voitures de course de Grand Prix ont des découpes du cockpit si profondes qu’on y tombe presque en position debout… Bien sûr, il y a aussi les “monoposto’s” (pas les ménopausées) avec un cadre tubulaire et une coque métallique très fine dans laquelle le conducteur s’assoit souvent entre les réservoirs de carburant.
Alors, quelle est la motivation et la volonté apparemment irrépressible des hommes et des femmes de s’exposer à ce risque parfois incalculable ? Est-ce l’envie et le plaisir de rivaliser avec les autres ? Est-ce le désir d’aventure ? La joie pure de vouloir gagner ? C’est probablement un peu de tout. A l’époque ou j’étais beaucoup plus fougueux, j’avais demandé à la femme d’un pilote qui faisait écrire par son frère, si elle n’avait pas peur pour son mari qui roulait à tombeau ouvert et baisait toutes les femmes passant à sa portée… Pas qu’il portasse lourd, mais X était rapide… Elle m’a répondu que ça le rendait heureux, et cela la rendait heureuse aussi de se retrouver avec moi… Cool… Les pilotes de course professionnels disent souvent, tout comme les hommes dans leur généralité, qu’ils sont conscients du danger mais qu’ils sont convaincus que rien ne leur arrivera. C’est là aussi une forme de déni. Je suis certain que les semi-professionnelles du sexe s’en moquent autant que de leur première fellation à grand-père pour avoir du chocolat à sucer…
De même que dans les courses avec des voitures historiques, ou des dragsters, les pilotes ressentent la même chose, même si les batailles y sont souvent assez difficiles en comparaison des baiseries payantes. Il y a aussi des duels à grande vitesse lors des tentatives de réconciliation avec l’être qui fut aimé et parfait, mais il y a presque toujours assez de recul pour faire de la place pour que l’autre puisse survivre, du moins la plupart du temps, une branlette contre une pension alimentaire est quand même assez sordide, mais je n’ose affirmer qui est à blâmer de vouloir malgré-tout survivre à la bêtise humaine… Mortelle dans certains cas… Cependant, il y a un aspect de la fascination que j’ai jusqu’à présent ignoré : Le frisson… Celui de la vitesse de celui qui cherche à en finir des calembredaines et des virtuosités éphémères qui éclipsent tout le reste de la sphère qui nous emprisonne. Et je peux tout à fait le comprendre, quoique que j’aime moins la vitesse, c’est d’ailleurs certainement plus dangereux sur les autoroutes que dans un lit, un divan, une banquette ou sur une table…
Les Van’s baisodromes des années Chromes (les Eighties) étaient réellement souvent affreux de leurs “peinturlurations”, mais leur style bordel intérieur en velours boutonné était approprié… Vingt à trente personnes partageant les mêmes idées et c’était la super-population sexuelle, on croyait en faire jouir une et c’est une autre qui gloussait, pareil avec les jeux de mains ça branlait mais pas toujours celle ou qui il fallait… C’était certainement aussi la (sur)prise de conscience de ses propres limites, que ce soit en termes de talent ou de courage, c’était alors toujours fascinant. Maîtriser une nanana vicieuse et lubrique c’était pareil que pour une voiture à la technologie qui court-circuitait : repousser sans cesse les limites, je crois que c’était là une grande partie de la fascination pour ces sports. En fait, il était souvent très intéressant de regarder les résultats des courses et les temps au tour par tournante. Il y avait des mecs qui étaient rapides dès le premier tour et qui restaient capables de maintenir ce rythme pendant toute la durée de l’épreuve…
Ensuite, il y avait des “ceusses” ayant des “swings” assez importants dans leurs temps, ce qui pouvait bien sûr avoir de nombreuses raisons cachées par pudeur. Il y avait rarement des accidents graves dans ces sportivités qui avec le temps passant deviennent actuellement historiques à nos yeux, car d’une autre époque. Et lorsque la technique échoue et que la technologie n’est plus alimentée, c’est très souvent en cause d’un dérèglement ou de circonstances imprévues qui n’existaient pas dans l’ancien temps… Cela peut également être dû au fait que certaines nananas sont maintenant plus qu’avant, extrêmement bien préparées quoique d’autres laissent aller. Les préparations se professionnalisent de plus en plus, j’ai pu le constater depuis un certain temps déjà, et rien chez les professionnelles n’est laissé maintenant au hasard. Et c’est une bonne chose. Rien ne s’oppose à la performance. Je trouve toujours excitant de regarder un duel mammaire pendant quelques secondes tout en gardant le contrôle à tout moment dans les érections qui s’ensuivent. C’est décidé, je vais écrire mes mémoires, ça s’appellera : mémoire d’une outre qui tombe. Ce qui vise certains gabarits. Ce sera la gloire, les baiseries et les beautés assurées !
Je passerai sur BFMTV et LCI entre deux parodies consacrées à l’Ukraine et la Russie… Les Américaines ricains seront comme folles et suivront mon pipo comme d’autres suivent un flutiste, un régime, la route de la soif ou un sens qui toujours leur échappe. Un nouveau genre, la piquette décomplexée, le transgenrisme Elyséen professoral gérontophile étant donné en exemple, parfois salement ordinaire, standardisé, maquillé et botoxé comme une vieille demie-mondaine customisée, avec option putassière sur l’étiquette. Je devrais en conséquence développer un bizness qui déchire jusqu’aux Hymen’s encore vierges de mauvaises pensées… et fonder une multinationale du consulting foireux qui va surtout enrichir une armée de juristes pour me protéger le derche des frondes syndicales des tiers-mondistes sous-payées. Je vais commenter les trucs et machins les plus mauvais imaginables. Je serai le Bob l’éponge des pauvrettes qui tarlouzes sur les réseaux asociaux. Ce sera comme pour le vin, pour un Haut-Brion extraordinaire, combien de mauvais Bordeaux ont fini sur des raviolis réchauffés ?…
Combien de Bourgognes trop acides sont passés à l’évier ? Combien de vins qui puent le fennec ? Combien de vin nature qui sentent le sperme de mouflon ? Tant pis pour les bobos, les pisse-chagrins, les affligés de l’entresol, les invertébrés de la membrane, les tourmentés de la coiffe, les endeuillés du gosier ou du slip et tous ceux qui n’aiment pas rire de peu, qui prophétisent, qui bêtisent et qui prétendent que ma prose n’est pas orthodoxe, ni chrétienne, ni Musulmane et encore moins Juive, je ne suis pas religieux d’aucun camp vers lesquels on envoie les pauvres loqueteux que leurs bourreaux ont ruinés… Voyez-vous j’hésite entre espérer une guerre atomique et souhaiter que tout ce bordel s’arrête, ce qui revient au même résultat, car tout le monde meurt à la fin… Je vais en faire mon auto-épitaphe avant mon auto apitoiement précédant mon avant d’aller mourir de peur et de rire avec le nouvel Alien… Notez qu’avant mes 75 ans, je faisais encore quelques concentres pour en tirer divers rires, maintenant c’est mort d’avant moi… J’ai peine à rattraper… Soutenez mes efforts, venez décrypter mes texticules en un clic : www.ChromesFlammes.com et www.GatsbyOnline.com