Ce que cache l’interdiction de vente de l’hydroxychloroquine…
La première action influençant la décision d’achat d’hydroxychloroquine intervient le 13 janvier 2020 avec le classement de l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses.
Jusqu’à cette date, ce médicament était en vente libre, désormais il ne peut être délivré que sur ordonnance, une mesure qui va, sans raison sérieuse, se muer en une interdiction générale aux pharmacies, de délivrer ce médicament, même avec prescription médicale.
Il a été affirmé que cette décision ne pouvait pas être imputée à la ministre de la Santé de l’époque s’agissant d’une procédure engagée en 2018 par le laboratoire Sanofi, fabricant des spécialités Nivaquine® (chloroquine) et Plaquénil® (l’hydroxychloroquine).
Il est prétendu que Sanofi souhaitait seulement obtenir un alignement des statuts de ses deux spécialités en ce qui concerne leur délivrance (avec ou sans ordonnance).
L’intérêt au niveau santé publique de Sanofi à requérir une telle modification laisse par contre dubitatif… En effet, cette position ne résiste pas à la lecture de certains documents officiels commentés ci-après :
A la suite d’une notification par les autorités japonaises en 2015-2016 d’un potentiel effet génotoxique de la Primaquine durant la grossesse et dans l’hypothèse d’un effet de classe pour des molécules qui en sont les dérivées, Sanofi a procédé à une relecture de la littérature médicale et de sa base de pharmacovigilance concernant la chloroquine (Nivaquine®).
Le laboratoire a alors déposé une demande de modification du RCP UNIQUEMENT pour la rubrique “fertilité/grossesse/allaitement” auprès du groupe de travail de l’ANSM en séance du 21 juin 2018. L’ANSM a refusé la modification du “Résumé des Caractéristiques du Produit” (RCP) visant à être plus rassurante, considérant qu’il n’existe pas assez de données.
Une seconde demande similaire a été formulée quelques mois plus tard par Sanofi pour l’hydroxychloroquine (Plaquénil®) et étudiée par le groupe de travail de l’ANSM en séance du 1er octobre 2018. Alors que le laboratoire entendait démontrer que la spécialité n’avait pas d’effet génotoxique significatif, l’ANSM a recommandé la modification du “Résumé des Caractéristiques du Produit” (RCP) pour déconseiller l’usage de l’hydroxychloroquine pendant la grossesse, qui ne l’était pas précédemment pour cette molécule ce qui correspondait à la première demande !
OFFICIELLEMENT, Sanofi ne sollicitait donc qu’une modification d’une section du “Résumé des Caractéristiques du Produit” (RCP) en ce qu’il déconseillait d’utiliser Nivaquine® (chloroquine) et Plaquénil® (l’hydroxychloroquine) durant la grossesse… et pas l’interdiction totale de vente ! Une manière “classique” d’agir pour qui ne veut pas montrer au public qu’en réalité il est “à la manoeuvre”…
Sanofi peut donc prétendre n’avoir jamais demandé l’alignement du statut de l’hydroxychloroquine (Plaquénil®) sur celui de la chloroquine (Nivaquine®) en ce qui concerne la nécessité d’une ordonnance pour la délivrance du dit médicament… il ne fallait qu’un “coup de pouce” de la ministre qui pouvait se blanchir en affirmant : “que le classement d’un médicament sur la liste II des substances vénéneuses est une procédure banale qui arrive tous les jours et qu’elle a donc suivi l’avis du 12 novembre 2019 de l’ANSES, résultat d’une procédure lancée en 2018, en prenant un arrêté 2 mois plus tard”…
L’ex- ministre Agnès Buzyn a donc menti ! Au surplus, l’explication de la ministre révèle de multiples incohérences au sujet de cette procédure. .. En effet, l’ANSES n’est pas l’organisme qui évalue la toxicité de la molécule concernée. L’ANSES est uniquement consultée, de manière purement administrative, avant chaque inscription sur une liste pour vérifier si celle-ci n’a pas de conséquences sur les médicaments à usage vétérinaire. L’ANSES rend environ 3 à 4 avis par an sur le classement ou le déclassement d’un médicament sur la liste II des substances vénéneuses depuis 2013. Les listes I et II des substances vénéneuses font l’objet de modifications 5 à 6 fois par an.
Par conséquent, la procédure n’était pas OFFICIELLEMENT à l’initiative de Sanofi la ministre Agnès Buzyn pouvait se retrancher sur une erreur d’interprétation… Quoique l’avis de l’ANSES est tout sauf déterminant dans cette décision de classement en liste II.
En outre, cette présentation s’affranchit d’une partie de l’histoire de la guerre anti-hydroxychloroquine qui ne date pas du Covid-19.
Dès 2004, plusieurs essais in vitro sur cellules humaines et in vivo sur animaux démontraient l’efficacité de la chloroquine sur les coronavirus, particulièrement en 2005 sur le coronavirus du SARS. Les recherches avaient cessé avec la disparition pure et simple du SARS.
Pas plus à l’époque qu’en 2020, Sanofi, n’est monté au créneau pour défendre l’efficacité du vieux médicament. Et pour cause, celui-ci était tombé dans le domaine public et désormais fabriqué par de nombreux laboratoires fabricants de génériques, il n’était donc plus porteur de bénéfices mirobolants !!!
Sanofi s’était engagée dans la course au vaccin contre le SARS, une voie extraordinairement prometteuse financièrement puisque le vaccin devait être breveté. D’ailleurs, Sanofi avait annoncé qu’elle développerait un vaccin anti-Covid-19 sur la base de celui préparé pour le SARS. A ce stade, manifestement l’intérêt à agir de Sanofi est donc de voir interdire son vieux médicament en donnant l’impression que ce n’est pas de son initiative !
Mais la synchronicité du classement sur la liste II alerte même si la procédure de classement avait été lancée quelques mois auparavant. En effet, le 9 janvier 2020, l’OMS annonçait que l’origine des pneumonies atypiques était un coronavirus !
Or, à cette date, il est connu que l’hydroxychloroquine avait démontré son efficacité sur les coronavirus dans des essais in-vitro sur des cellules humaines… Il n’y avait donc strictement aucune raison de l’interdire !
Ce n’est donc pas une étrange coïncidence, que 4 jours plus tard, la ministre prenait son arrêté d’interdiction !!! C’était plus que vraisemblablement l’aboutissement d’un plan assez machiavélique purement financier sous couverture !
Donc l’ancienne ministre de la Santé ment et est plus que vraisemblablement un des plus importants éléments de cette affaire ! De même que plusieurs ministres qui, de plus, ont donné des réponses volontairement vagues à la commission d’enquête pour envelopper la ministre.
Toutefois, sous le précepte de base de tout bon Juge d’Instruction “A qui profite le crime”, le 15 octobre 2020, les domiciles d’Agnès Buzin, d’Edouard Philippe, d’Olivier Véran, ainsi que de Jérome Salomon ont été perquisitionné et leurs ordinateurs confisqués dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la République sur la gestion de la crise du covid-19.
Leurs déclarations respectives lors des auditions par la commission d’enquête parlementaire ont manqué de précisions et n’ont pas convaincu les observateurs. L’ancien premier ministre Edouard Philippe déclarant à propos des masques avoir défini leur inutilité car “des médecins lui avaient dit” !!! Les contradictions de l’actuel ministre de la Santé sont également vagues et ce dernier vient d’être interpellé par Renaud Muselier président de la région PACA au sujet de la décision de l’ANSM de refuser une RTU (recommandation temporaire d’utilisation) à l’hydroxychloroquine, médicament hautement politisé qui ne semble donc pas faire l’objet de considérations équitables !
A ce sujet, toujours dans la recherche de :”A qui profite le crime”, il est utile d’examiner qui possède Sanofi et si les actionnaires ne sont pas dans le même courant d’appartenance à un Etat qui ne cause que des problèmes depuis la fin des années quarante…
Cela expliquerait la raison pour laquelle la totalité des menaces, des attaques et des plaintes envers le Professeur Raoult viennent quasi toutes des mêmes origines !
Rappelons que dans sa politique de gestion de la crise du covid-19, Agnès Buzyn avait décidé de classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses, le 13 janvier 2020 entrainant ainsi la fin de la vente libre de l’hydroxychloroquine quelques dizaines d’années après son autorisation de vente libre ! De plus Agnès Buzyn a interféré pour soumettre ce médicament à prescription médicale ! Lors de son audition par la commission d’enquête parlementaire le 30 juin 2020, Agnès Buzyn a déclaré que l’ANSM : “a dû recevoir des signalements d’accidents causés par l’hydroxychloroquine” … Une très vague explication vaseuse ! En somme, Mme Buzin explique mensongèrement en partie, mais pas en totalité, la procédure administrative qui a conduit à ce que l’hydroxychloroquine a été classé sur la liste II des substances vénéneuses.
Cela questionne le fait que Mme Buzyn n’est manifestement pas du tout intéressée de savoir pourquoi l’ANSM lui a demandé ce classement de l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses ! Elle n’a pas non plus vérifié l’avis de l’ANSES.
Avait-elle une confiance aveugle dans l’ANSM et l’ANSES ? L’explication est plus simple, elle avait plus que vraisemblablement un intérêt à agir, qui n’est pas un intérêt de santé publique ! En porte de sortie, l’alibi a été rpéalablement construit te l’erreur est humaine ! De plus, le “Lancetgate” (sous le ministère d’O. Véran) aurait dû l’inciter à douter du fonctionnement des institutions de santé française. Ça sert à quoi d’être ministre si c’est pour obéir aux demandes de ses subalternes (ANSM) et de certaines communautés. ?..
Lors de son audition parlementaire, Mme Buzyn conclut son laïus sur sa décision de classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses par cette phrase : “J’ai vu des théories complotistes circuler sur cet arrêté, mais il est pris le 12 janvier. À cette date, on compte cinquante cas en Chine, et un mort”…
Elle oublie de dire que la covid-19 est identifié officiellement depuis décembre 2019 en Chine ; que le 5 janvier 2020, l’OMS publie son premier bulletin sur les flambées épidémiques consacré au covid-19 ; et que le 10 janvier 2020, l’OMS publie un ensemble de conseils concernant le covid-19.
Son argument ne tient, donc, pas debout.
Devant les parlementaires Mme Buzyn, ne s’est donc pas expliquée sur le fond de sa décision de classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses. Elle explique ignorer le motif fondateur de sa décision. C’est donc une bonne raison pour que sa décision de classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses soit reconsidérée et même annulée !
Pour revenir à notre champion français, Sanofi a un partenariat avec Regeneron avec sa filiale SANOFIGENZYME. Rappelons que Regeneron est le laboratoire ayant fourni un des traitements utilisés (anticorps monoclonaux) par le président américain Trump. Sanofigenzyme et Regeneron auraient développé en phase 3 d’essai, un produit alternatif à l’hydroxychloroquine : le DOPILUMAB et le SARILUMAB. Ce médicament n’est pas sans rappeler le tocilizumab un médicament testé pour les formes graves de covid 19 mais initialement utilisé contre la polyarthrite rhumatoïde développé par Gilead puis vendu à Roche.
L’hydroxychloroquine étant dans le domaine public de longue date et donc ne rapportant plus rien, un des motifs de son classement a donc été de laisser la place à une molécule plus rentable. De plus une baisse de la production, accouplée à une augmentation de la demande aurait permis une augmentation du prix.
Sanofi est très silencieuse depuis le début de la crise à ce sujet. La boucle médicale pourrait être bouclée. Reste à savoir le rôle joué par les ministres respectifs et les autorités dans ces “arrangements” qui pourraient avoir été conditionnés par des dessous-de-table… et des “allégeances” religieuses !!!! Entre amis du même bord !
Ajoutez-y quelques attentats et actions sous faux drapeaux pour susciter la peur et la ruine et tout est en place au niveau planétaire pour une nouvelle gouvernance…
Dès lors, la procédure de classement de l’hydroxychloroquine en liste II est plus que suspecte, en ce compris la haine créée envers le Professeur Raoult… elle soulève beaucoup trop d’interrogations et nécessite d’être vérifiée. Mais curieusement (sic !) les documents ne sont néanmoins pas accessibles au public.
Sanofi est le premier laboratoire français et le second européen, avec plus de 100.000 salariés dans le monde, dont 23.000 en France (CDI, CDD) travaillant sur une trentaine de sites. Son chiffre d’affaires dépasse les 36 milliards d’euros et le résultat net des activités plus de 7,5 milliards d’euros.
Sanofi est un membre actif du LEEM (les entreprises du médicament) et du MEDEF par la Fédération Française des industries de santé (FEFIS : dispositifs médicaux, négoce dentaire, répartition pharmaceutique, optique, industrie chimique organique de synthèse et biochimie…) et des fédérations professionnelles européennes. Tous les organismes patronaux auxquels les Big pharma adhèrent sont de grands lobbyistes auprès des gouvernements, des parlements, des élus locaux, des hôpitaux…
Les deux premiers actionnaires sont L’Oréal et le Fonds de pension vautour Blackrock. L’année dernière (2019), la seule famille Bettencourt a touché 120 millions d’euros de dividende, et Blackrock plus de 200 millions d’euros.
Cette course effrénée à la satisfaction des actionnaires s’est traduite par une hausse continue du dividende (annexe 1) ainsi que des rachats/annulations d’actions (annexe 2). De surcroît elle a été soutenue par des aides publiques, celles-ci sans retour attendu (ni même demandé). Ainsi, de 2008 à 2020, Sanofi a bénéficié annuellement de 115 à 150 millions de crédit d’impôt, dont principalement le crédit d’impôt recherche, cela sans aucun engagement ni aucun contrôle de l’utilisation de ces fonds.
Dans le même temps ont été provoquées des casses industrielles désastreuses, lesquelles ont gravement impacté la recherche interne et la recherche publique. Cette gestion capitaliste de Sanofi s’est traduite par de multiples restructurations, dans le monde et en France, des arrêts d’activités essentielles et par près de 5 000 suppressions d’emplois en 12 ans en France !
Fondée en 1973, Sanofi n’est à ses débuts qu’une “start-up” de dix salariés, filiale du groupe pétrolier Elf Aquitaine. Pour atteindre sa dimension multinationale, une politique d’acquisitions tous azimuts, a été mise en place dont deux ont marqué son histoire. En 1999 d’abord, lorsque Sanofi fusionne avec une filiale de L’Oréal, pour donner naissance à Sanofi-Synthélabo. Parallèlement, l’allemand Hoechst et le français Rhône-Poulenc, nés à la fin du 19ème siècle, s’allient pour donner naissance à Aventis, une société de droit français. A l’assaut de laquelle Sanofi-Synthélabo se lance en janvier 2004. Le groupe parvient à ses fins, encouragé par le gouvernement français et particulièrement par le ministre des Finances de l’époque, Nicolas Sarkozy, très impliqué. En 2011 elle avale pour plus de 20 milliards de dollars l’américaine Genzyme (boitechnologies) et change de nom : Sanofi-Aventis redevient Sanofi.
Avec son Doliprane (paracétamol), ou encore sa pommade pour bébés Mitosyl à l’odeur si caractéristique, Sanofi est dans l’armoire à pharmacie de bien des Français. Mais le laboratoire commercialise aussi des traitements cardiovasculaires comme Plavix et Aprovel/Avapro, ou encore des médicaments contre le diabète. L’un des ses “blockbusters” – terme consacré dans la pharmacie pour les traitements aux plus fortes ventes – est le Dupixent, utilisé notamment dans le traitement de l’asthme et de la dermatite atopique. Et enfin, le Plaquénil® (l’hydroxychloroquine) ce qui lui vaut d’être au cœur de l’actualité actuellement, l’un des poids lourds mondiaux des vaccins humains (via Sanofi Pasteur).
Loin des blouses blanches, l’histoire du laboratoire a aussi une facette plus glamour. Le groupe qui s’appelait alors Elf-Sanofi a en effet pris en 1993 le contrôle de la maison Yves Saint Laurent, laquelle sera ensuite cédée en 1999 sous le contrôle de François Pinault. La partie parfums et cosmétiques sera ensuite cédée en 2008 à L’Oréal – qui détient aujourd’hui quelque 9,4% de Sanofi. Sanofi a aussi été présent pendant une trentaine d’années au capital du groupe Yves Rocher.
En février 2020, le groupe a été mis en examen pour “tromperie aggravée” et “blessures involontaires”, après une enquête sur l’antiépileptique Dépakine, qui peut provoquer de graves malformations sur le fœtus s’il est pris par une femme enceinte. Sanofi a assuré avoir “respecté son obligation d’information et fait preuve de transparence.”… Cela est à mettre en parallèle avec le Plaquénil® (l’hydroxychloroquine) qui a servi de contre-feu et plongé ces affaires dans un flou très largement protégé par le Gouvernement Français…
Le laboratoire a aussi été accusé par les Philippines d’avoir causé la mort de plusieurs enfants avec son vaccin contre la dengue Dengvaxia, le premier dans le monde à avoir été approuvé contre cette infection virale tropicale… ce qui fait donc peur concernant la réalisation concernant le Coronavirus !
https://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2020/1/13/SSAP2001007A/jo/texte
https://www.liberation.fr/checknews/2020/03/21/agnes-buzyn-a-t-elle-classe-en-janvier-la-chloroquine-dans-les-substances-veneneuses_1782466
https://www.ansm.sante.fr/content/download/150993/1985361/version/1/file/CR_GT_RGA+19201803__Grossesse.pdf
https://www.ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/701d0e5c318b9eabe5884aebc19f892c.pdf
http://videos.assemblee-nationale.fr/video.9274792_5efb5229b90c2.impact-gestion-et-consequences-de-l-epidemie-de-coronavirus-Covid-19–mme-agnes-buzyn-ancienne-mi-30-juin-2020 3h28’10’’
https://www.anses.fr/fr/system/files/ANMV2019SA0175.pdf
https://www.anses.fr/fr/search/site/substances%20vénéneuses?page=10&iso1=fr&iso2=en&tri=0
https://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&fastReqId=16255572&idSarde=SARDOBJT000007105967&page=2
https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/key-action/Table_of_therapeutics_Appendix_17022020.pdf?ua=1
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-2-69 http://courrier-arabe.com/coronavirus-sanofi-va-collaborer-avec-les-usa-pour-developper-un-vaccin/2020/02/20/
COVID-19 Gouvernement.fr: dernières informations sur le Coronavirus.