Chers cons-patriotes…, chers cons-sommables…
On sait que le pouvoir d’achat baisse tellement, que les Français (les Français en général, De Gaule n’y est pour rien ni personne), se demandent ce qu’ils vont pouvoir mettre dans la marmite… et même s’ils auront de quoi payer le gaz et/ou l’électricité et/ou le charbon et/ou le mazout et/ou le bois…, pour la faire bouillir cette marmite… et même s’ils ne l’ont pas déjà envoyée au Mont de Piété, la fameuse marmite… et d’ailleurs ils sont déjà à la rue, alors leur marmite : pfffffffff !
Et je ne parle pas des loyers et/ou des remboursements de frais, des charges mensuelles, trimestrielles, annuelles, des frais divers et d’hiver, d’été aussi, de toutes les saisons, des assurances qui n’assurent qu’elles-mêmes et du reste : les taxes, impôts, les amendes, les surtaxes, les impayés, les impayables, les surpayables…, jusqu’y compris la “boustifaille”, boissons et sévices compris… et celle des “zanimots” de compagnie, pour qui en a, par compassion, vice, ou amour : oiseaux, poissons, hamsters, chats, chiens, ours, lions, serpents araignées, cafards, éléphants et rhinocéros pour qui en veut… Les moyens de locomotion s’y ajoutent, chers, très chers : essence, gasoil…, l’auto et ou la moto si chère et les complémentaires inutiles pour “ceusses” atteints de “collectionite”, nécessitant garages, frais, taxes, redressements fiscaux, saisies… un cercle infernal ! Car ne vous y trompez pas plus que ne vous trompez pas de cible, les ennuis sont identiques, seul, entre pauvres et moins pauvres, riches, plus riches (en double sens) et méga-riches, change le nombre de zéros avant la virgule… C’est pour faire face à ces petits tracas pécuniaires qu’il est temps de revenir à quelques fondamentaux… sauf que “couler un bronze” ne change rien au désastre, même si “faire chier” les “zôtres” y aide aussi !
Toutes les vraies valeurs sont chamboulées, avant qui rêvait d’une Lamborghini Countach rêve du bonheur de la Smart-attitude… avant on faisait la révolution pour “le droit au repos”, maintenant comme on ne peut plus rien révolutionner, on fait grève pour tout et n’importe quoi, y compris pour “le droit au travail”…, c’est surréaliste ! J’aime beaucoup ce concept totalement crétin : “le droit au travail”, le droit d’être esclave, de s’user rapidement pour ne rien faire d’autre que faire tourner une machine devenue folle… Il y eut un autre concept tout aussi débile “le droit de consommer”… ou quelque-chose du même style : “Préserver le pouvoir d’achat”…, à croire qu’en dehors du consumérisme point de salut pour tous les cons-patriotes de Franchouile et d’Europe, du monde, de l’univers… les femmes doivent avoir le droit de faire les soldes et les hommes, les vrais, le droit de faire les pitres au bistrot du coin et au “foutebole” hurler et danser de joie en applaudissant des illettrés milliardaires et s’aplatir devant un système qui autorise les jeux du cirque tout en envoyant ses flics taper dans le tas…
C’est que pour péréniser le système il faut que le peuple copule, mais pas trop ouvertement… et pas par vice avec des putes, c’est maintenant illégal pour favoriser la copulation en couples légaux afin qu’ils créent des rejetons futurs esclaves… qui, après lobotomisation totale, doivent servir à faire tourner la machine qui ne sert qu’à produire des cons-sommables pour les cons-patriotes… en boucle, à l’infini… Le système est au point, les masturbateurs/masturbatrices étant rebelles à la soumission ne sont que des branleurs/branleuses… seule la copulation totale est citoyenne, créatrice de futurs esclaves et peut assurer aux procréatrices une pension alimentaire en remerciement des sévices rendus ! Ceux et celles qui s’adonnent aux joies du même sexe pour toutes OU tous sont même maintenant canalisés dans des contrats de culs-culs permettant l’adoption des abandonné(e)s… Ne restait qu’à légaliser la mise à mort des retraité(e)s qui affament les vrais travailleurs et authentiques travailleuses en osant percevoir des montants faramineux à ne plus rien faire que des radotages… et pour cela rien de tel que le Coronavirus…
La totale débilité servile de la plèbe auto-proclamant ses droits à rien, ne gagne en finale que “le droit de fermer sa gueule”, de se faire rincer et ponctionner jusqu’à ce que mort (naturelle ou pas) s’ensuive… Ce Barnum, s’auto-donne le pouvoir de torturer, flinguer, exploser les sous-hommes (souvent d’une autre couleur) pour piquer/voler leurs richesses sous prétexte qu’ils sont des abrutis incapables de les exploiter eux-mêmes… avec l’alternative de les exploiter nous-mêmes en les payant de leurs cacahuètes pour se voler eux-mêmes à notre profit…, tout ça pour consommer des inutilités… Et on s’étonne… et on pleure, que ceux d’entre-eux, ayant vu leurs familles bombardées, massacrées, anéanties, par notre France aux ordres d’un philosophe en chemise blanche chargé de soudoyer grassement nos chefs irresponsables, les sans plus riens, les sans-dents et les sans plus rien à perdre, via des mensonges et falsifications… viennent se faire exploser chez nous…, action, réaction, réciprocité…
Tout cela est finalement, je m’en avise, pour dire que je vois dans ces événements débiles, des moments d’horreur et de tuerie que nos chefs soudoyés, arrivent, avec les complicités merdiatiques serviles, à transformer en un cirque de folie, de contradictions hystériques et d’errance terrible de l’esprit et du jugement.
Ce barnum vous est destiné… par les bons soins d’un glomérat d’êtricules génuflectants, triés sur le volet chez les hume-pets de l’ignoblesse locale (parmi laquelle on reconnait quelques pachymerdes du députodrome lutéçois et autres crématorieux, potdevinistes ou politouilleurs bien en cour), qui accueillent nos désatrogènes géniverbeux à grand renfort d’hipipipourassements et de godesaivedequingues médéférants. De quoi soigner la giflose dont souffre l’égolâtre entroipiècé, tout juste sale-hué par d’impieux crépus poing-tenus à l’écart par la policinelle maîtropolitaine. Pour vous sodomiser bien profond, la télé vous présente quand il faut, le président se fendant d’un discours buboniforme foutricoté par son nègre firmamental, avec plein de € et de $ pour faire richou…, ou il rictusse les huns, hargneusite les zootres, obamasque la coloritude, rimellise sur la krise, superlifique ses réfaurmes et havedreame un avenir radieudelaméduse pour les républiquettes ultramarines et pour la merdesarts.
Au finiche il se poudrescampettera palper les royalties et autres dons pour sévices rendus… tandis que les sexes durs l’acclamateront et que les sexes mous lovationneront : “Sus au buffet de l’État général pour se ratafianiser la gueule en expectant du caviar frais sur les tartines”. Il ne manque plus au tableau que la maigrelette alléchanteuse épousetouflette-starlette de l’égolâtre, habillée en rien-du-tout, pour lancer des rémolades pompadoucereuses et vendraffamer ses sacs pipeules pour une bonne cause… un copier-coller dantesque de “comme le faisait” une chantoneuse inaudible lors du présicédent quinquénat… Les cons-patriotes et cons-sommateurs, en cette suite, comme d’habitude allumeront des bougies et déposeront des fleurs, et ils en sortiront encore plus fous, encore plus hystériques, encore plus contradictoires et insensés dans ce monde qu’ils détruisent en jurant qu’il le construisent.
Le constat est pourtant, implacablement, que ces moments d’horreur et de tuerie mettent encore plus en évidence les effets évidemment insensés de leur folie sans cesse plus hystérique… et combien ils ne savent plus ce qu’ils font… et combien même, ils ne savent plus qu’ils font encore quelque chose, pour terminer chaque jour de leur empire devenu fou (et flou) en faisant le décompte des corps déchiquetés qui ne sont rien d’autre, mais aussi rien de moins, que la conséquence du déchaînement de leur folie hystérique. Il n’en est pas un seul, parmi ce troupeau hétéroclite et beuglant, pour avoir remarqué que, derrière ce “bruit et cette fureur, hurlés par des idiots et qui ne signifient rien”, se dissimule une tragédie qui n’est pas bouffe (tragédie-bouffe), qui est une vraie tragédie comme seul le Ciel peut nous en donner, qui est celle de l’effondrement dans la dissolution jusqu’à la néantisation d’une civilisation (la notre) qui, somme toute fort satisfaite d’elle-même, prétendit un jour que l’histoire du monde s’arrêtait avec elle. En nos temps de déglingues, l’obscur devient éclair… et c’est comme un pot-pourri qui va chuter des cieux…
La lumière pétaradante de Son auguste Lanterne, portant sa perruque à cinq lauriers, inonde les ténèbres. Et la mêlée rampe à Ses pieds, secouée comme par un choc électrique. Enfin Il lâche Son Esprit qui est comme un pigeon voyageur en flammes. La Beste emplumée vient se poser sur le sous chef du Premier Homme de France, qui s’éclaircissant la voix dit à ses disciples rassemblés : Cons-parses et cons-plices, la France n’est pas encore sortie des années de crises et de chômage ni du règne de Notre Baudruche bien-aimée (et dans baudruche, il y a ruche) ! Elle est même en plein dedans, la France, avec Son Hautesse que je value bien bas, qui dispose d’un mandat qu’elle n’est pas prête de lâcher. Avec la Réaction, grâce aux dons reçus d’un pays dont je suis indéfectiblement lié…, ainsi que le patronat qui nous verse une rente, reprennent le destin des Français en main. Il était temps. En s’engageant clairement dans leur vote, sans savoir que notre excellence ultime leur racontait des sornettes…, en exprimant leur confiance en nous-mêmes, ils ont jeté les fondements d’une France fille aînée des Marchés qui affirme sa volonté de changement dans la continuité et de modernité d’arrière-garde qui veille sur le pactole… et j’ai une pensée émue pour le Maréchal et pour Franco qui ont lutté pour leurs valeurs ! De cette servilité nous sommes tous comptables. En démocratie bourgeoise, le succès d’une poignée qui tient les rênes du pouvoir et s’y accroche signifie bien le déni des autres. Chaque Français doit respecter cette loi divine et mettre au rebut ses convictions non conformes aux nécessaires réformes. C’est ainsi que nous nous sommes assis sur les votes anti traité européen, votes de refus majoritaires en apparence. Nous le ferons encore en rompant avec la pesanteur d’élections qui imposent de respecter le résultat des urnes. Pour tout dire, je crois à la chienlit, facteur d’efficacité et complément naturel du gouvernement. Quand à notre parti, il a le droit d’assumer sa victoire, avec arrogance et sans complexe, mentir à tout le monde est un devoir de mémoire, nous contrarier est illégal, nous contrer fractal !Notre loyauté envers sa Suffisance, que je salue encore une fois bien bas, ne saurait étouffer ma volonté d’étouffer la morgue de la populace. Comme chacun d’entre nous, j’aime passionnément la richesse, fruit juteux de l’exploitation capitaliste… et j’ai moi-même longtemps privilégié cette approche séculaire d’Ancien régime (d’ailleurs je vis dans un château) avant de constater qu’elle avait atteint ses limites. Nous pouvons faire encore mieux, en repensant de fond en comble les fondamentaux de nos pillages. Nous ne réussirons faute d’avoir osé rompre avec ce cercle vicieux qui consiste à ne pas vouloir s’attaquer à la veuve et à l’orphelin, c’est une image, qui bénéficie outrageusement de la redistribution imposée par l’alliance socialo-communiste d’après guerre, ainsi que d’exorbitants privilèges acquis. Nos atermoiements ont pu laisser croire au vulgum pecus à la faiblesse de notre virilité, et a provoqué un divorce entre le pouvoir et la populace qui n’entend que la musique du bâton. Il a été sanctionné par une instabilité préjudiciable aux profits maximum et au vol organisé, je le déplore et suis-je dès-lors déterminé à classifier que la simple critique de notre action, sera poursuivie férocement pour antiterrorisme ciblé… Par chance la kyrielle des sacro-saintes journées d’action bénites de grâce a su crever les abcès et éviter que tout nous pète à la gueule : la canaille, la racaille est rentrée dans le rang. Que nos partenaires soient ici chaleureusement remerciés d’avoir fait l’impasse sur leurs postures idéologiques et leurs réflexes claniques en enjambant les clivages…, grâce à ce consensus, dont le parlement croupion nous donne des exemples tous les jours, nous pourrons enfanter un nouveau contrat politique et social digne d’un Maréchal, ou du Franquisme dont ma famille est issue… Plutôt que d’être dans la défensive toujours douloureuse et la vaine contestation, choisissons l’anticipation et la participation où entrepreneurs et salariés joignent nos intérêts très bien compris. Si, d’aventure, tel n’est pas le cas, le Gouvernement prendra ses responsabilités sans faillir et la tourbe mise au pas mangera la terre !Nous n’avons su trouver ni le courage ni la pédagogie pour expliquer à la vulgaire piétaille qu’une bavure historique était à l’œuvre. Je veux parler de la destruction complète du patrimoine de la république : patrimoine de ses services publics, de sa fonction publique, de son école publique, de sa santé publique, de ses infrastructures publiques…, la liste est longue, j’en oublie. Patrimoine sublime, certes, mais qui ne rapporte pas assez aux libéraux capitalistes dont les poches crient famine… Cette nouvelle donne historique est sans doute angoissante pour les plus frileux de la plèbe qui restent attachés aux ressorts usés du modèle français ; mais comme elle est passionnante pour les appétits aux grandes dents, doués, terriblement motivés ! Eux qui portent sur notre pays un regard lucide grâce à un nouvel état d’esprit insufflé par sa Gracieuse qui est notre tremplin éclairé. Nul ne doit s’y tromper : la nécessité est dans des choix courageux et l’obligation d’agir vite par crainte que le blessé ne se réveille. A défaut de pédagogie, nous aurons le courage de trancher… Pendant des décennies, la France, s’est endormie sous l’État providence et la Gueuse s’est engraissée comme une grasse truie. Aujourd’hui par ces temps béni(t)s de crise, les Égorgeurs sont de retour : tout est à vendre, tout est à prendre, profitons-en ! Pour nous, nos familles, nos ascendants, nos descendants et collatéraux… ayons de l’ ambition et le courage de notre appartenance à la bande internationale des écorcheurs d’abattoir. Les circonstances sont historiques, nous avons en main la possibilité de reconfigurer les règles du jeu à notre mesure. Sur les décombres de la cohésion sociale, sus au petit peuple ! La France est grande lorsqu’elle est grande pour ses nantis. La France est grande lorsqu’elle se débarrasse de l’immense cohorte des inutiles qui se complait dans l’échec et remplit les pôles emplois quatre étoiles. La France est grande lorsqu’elle tourne le dos au conservatisme social. La France est grande lorsqu’elle se débarrasse d’une jeunesse qui lamine son corps par sa fainéantise de pou et alimente l’extrémisme et le terrorisme. La France est grande lorsqu’elle défend bec et ongles sa bourgeoisie. La France est grande lorsqu’elle avance sans a priori, sans tabou, sans pitié. C’est ça la France, celle qui n’est pas rance… Elle a une identité, celle de l’épée, du sabre, du goupillon et de la tire-lire. Une identité dont les racines plongent vers Poitiers où Charles Martel fit son devoir. Une identité fleurdelisée sur fond bleu marial, blanc royal et rouge crête-de-coq. Il y a dans la France de la liberté d’expression, pays de tolérance envers nos humoristes, sauf quelques-uns…, pour qui j’ai fait adapter et distordre la Constitution… un vent puissant de piraterie organisée qui accélèrera l’Histoire. Sa Soufflette en est le forgeron, j’en suis l’exécuteur…