Chris Anderson…
Yo Chris Anderson… Hunter Thomson m’avait parlé de toi concernant l’interview qu’il a réalisé dans ton web-site, j’attendais donc qu’on se rencontre, ce qui est fait. Christian Audigier m’avait de son coté affirmé qu’il me léguait sa collection de guitares “par Chris Anderson”, y compris la Smet, ce qui m’a été confirmé il y a une dizaine de nuits par Johnny. Je lui ai répondu que dans ma collection de mandolines et Binious ça la ferait Cooltitude…, faut faire gaffe à sa meuf qui est chiasse et rafle tout ce qu’elle peut (encore)…
–Chris-Putain j’y crois pas, c’est bien vous le génial éditeur de Chromes&Flammes qui m’apostrophez ?
Yeaaahhh, Chris, ça fait du bien là ou on gratouille. Je suis quasi en érection spirituelle du contenu de ton web-site et surtout de tes bouquins écrits en bafouilles, sincère mon pote, c’est jouissif… et tu es là pour contribuer (gracieusement) au destin quasi mythique de Chromes&Flammes que j’ai ressuscité fin 2018 rien que pour mon bonheur de faire chier tous les affreux connards des mags concurrents !
–Chris-Et ça marche ?…
Depuis que C&F est à nouveau publié, une grande part se sont cassés la gueule…, je pense que c’est de ma faute, mais “ils” préfèrent prétendre que c’est à cause du climat économique et de la bassesse intellectuelle des classes non privilégiées…, ce qui m’a rendu suspicieux et contrarié.
J’ai tenté d’en savoir plus via les réseaux “sociables” sans succès, “ils” se cachent, les pleutres.
–Chris-Maintenant que tu cherches à participer à ma confrérie de dégénérés, et moi (en personne) à la tienne, ça me rassure qu’il existe un pluche pire dans l’univers connu et au delà que toi, je cause de moi, bien sur, mais c’est pas grave…
Sache, mon Pote, que c’est moi qui achète l’entièreté de tes bouquins sur Amazon, je l’avoue, c’est une action transcendantale dictée par des ondes positives d’origine indéterminables aux esprits obtus qui m’a poussé à agir ainsi, caché en pleine lumière de mes nuits noires, je les ai soigneusement empilés façon œuvre d’art et ça fait zoli.
–Chris-Pour le reste, quoi dire ?
Je m’interroge sur ce… et simultanément je me gratte les couilles dans une étrange béatitude ahurie qui m’aide à t’écrire tout ceci. Pour faire court, l’idéal serait que tu redemandes à Hunter Thomson de tapoter un texte sur un sujet s’accordant à ton génie (réel), je te laisse le choix du sujet, ce “truc” paraitrait (gratuitement, mais tu peux me faire un don d’organes) sur www.ChromesetFlammes.com pareil que www.GatsbyOnline.com… l’infinité y est réelle, c’est du déroulant, il te suffit de dérouler et m’envoyer le texticule façon nouveau chef-d’œuvre de la littérature Steampunk (ou autre) et HOP je publie…
–Chris-C’est simple !
On devrait pouvoir glisser dans sa poche des phrases qu’on sortirait en colt pour abattre ceux et celles qui font rien que nous emmerder grââââve…, n’avez vous pas l’impression que le jour d’aujourd’hui qu’on vit, le vit du courage en berne, est un tonneau de mélasse molle déversant la bêtise sur nos épaules.
–Chris-On nous roule, on nous ment…
Yeah mec, on nous prétend que le libéralisation est synonyme de liberté et de bien-être alors qu’elle se nourrit de cadavres marginalisés, on coupe les ailes à ce qui vole, on interdit même de péter plus haut que son cul, ce qui est pourtant un strict droit si on se sent capable de cet exploit…, les faux artistes et les faux intellos trustent les prébendes, se saoulent de mondanités plus que de pédagogie et de sens à communiquer au peuple.
–Chris-Le monde du travail exige de la sueur, du sang et des larmes supplémentaires de ses féaux pour pas un balle de plus, mais avec le risque que les victimes dépressives de ce “toujours plus pour les autres” s’en tirent une, de balle, dans la tète.
On accepte ça, bouche ouverte et baveuse, immobiles comme la statue d’un soldat nain, con, nu, râlant, inconnu, de ne pouvoir gueuler que les guerres sont du mouron pour les aigles puissants, mais de la graine de mort pour les p’tits oiseaux…, moitié mollusques, moitié singes au garde-à-vous, on accepte un vécu en état de bêtise par crainte de se faire remarquer.
–Chris-Pour aller de l’avant, lorsqu’on nous interdit d’atteindre un horizon, seule la marche à reculons fonctionne…, servons nous donc de la bêtise pour la retourner contre elle-même.
Prenons-la à notre compte, la bêtise est alors “la bêtise” une mise entre guillemets qui change la donne, tout comme les petits points que je laisse souvent en fin de phrases pour faire comprendre que rien ne se termine jamais…
–Chris-Croyez-moi, “la bêtise” sera pour vous dès-lors, une enfance de l’art, une mise hors d’atteinte de vous-même des attaques extérieures.
”La bêtise” assumée consiste à ne se laisser poisser par aucun discours, de s’interdire opinion ou rumeur qu’on croit siennes alors qu’elles viennent des vents grégaires qui nous sont entrés dans une oreille et, malheureusement, pas sortis par l’autre… ”La bêtise” quand on la fait fleurir spontanément, et qu’elle choque la respectabilité petite bourgeoise de ceux et celles qui savent, nous rend au “vert paradis des amours enfantines”, alors que l’intelligence, ou plutôt ce “réflexe” d’accumulations de données qu’on nomme ainsi, est laborieuse, fruit de l’effort, de l’étude et de la mise en moule.
–Chris-Se mettre volontairement en expérience de “bêtise” fait retrouver l’innocence d’aimer les gens vrais, les bouchers, bergers, paysans, Gaston Lagaffe, vieilles femmes, facteurs, mécanos, fripouillons, québécoises, parisiennes…, et permet de n’avoir pas d’avis à donner mais de n’en penser pas moins et d’agir pour qu’éclate le ballon de vanité des autres, sans méfiance, car ils et elles vous voient “bêtes”….
Faites l’imbécile, jamais le malin, la farce n’est-elle la dernière arme de ceux et celles dont le pouvoir se moque ou veut profiter… Voila mon enseignement, livré bêtement à vos sarcasmes imbéciles… Mes écrits, dans un style inimitable, pétillants, malicieux, qui grattent sans cesse la fine pellicule de faux savoir sur vos cranes d’œufs, sont le fait d’un grand vieux gosse de merde qui pique sa plume là ou ça fera mal…
–Chris-Ne tranchez pas en fonction d’un avis sur l’autre….
Lorsqu’on pratique “la bêtise”, on ne tranche que le jambon ! La bêtise conduit au racisme, à l’injustice, à la destruction sociétale. ”La bêtise” fait aimer le dénominateur commun propre aux humains, elle est charitable pour les humbles, elle écarte (grâce à un rire bête) les…autres. ”La bêtise” est une force révolutionnaire en forme de tarte à la crème. Point un hasard si, à quelqu’un qui dit le vrai en prenant des risques, on rétorque : “Tu as dit la vérité, mais quelle bêtise…mon vieux…!” Il aurait mieux valu proférer une “bêtise” dérangeante et agissante qui met moins en danger celui qui la pratique.
–Chris-Jouer à la “bêtise” réclame, à cause du coté déjanté de votre web-site, un brin d’hypocrisie. Comme se plaquer un faux pseudo au dessus de son pseudo comme un masque de fausse naïveté sur la cervelle, comme pour cacher ses dents sous un brave sourire de dernier de classe.
Etre “bête ” permet de casser les consensus, les discours pathos, c’est oser avouer que la majorité des gens qui viennent “chier” sur mes textes ne se lèchent pas assez le cul… Mes textes qui parlent de choses toutes simples, toutes “bêtes” que sont l’amour, la mort, le plaisir du désir charnel et milles et une autres bêtises comme par exemple les automobiles extraordinaires…
–Chris-Je ne vous cacherai pas que pratiquer la “bêtise” est un art très dangereux qui peut coûter statut, réputation et l’intégration dans un groupe de débiles…
Ben… tant mieux….! Ceux et celles qui ne pratiquent pas cette “bêtise” mais vivent leur bêtise sans guillemets, ont toutefois de l’avenir, une profession presque oubliée, confortable et d’avenir dans les pays de soleil, celle d’innocent du village, du brave neneu que tout le monde aime- et qui caquète ses bêtises à longueur de nuits et jours… Quelques places sont encore vacantes pour cause de morts de bêtises…
–Chris-Tentez votre chance… Les histoires les plus vraies ne sont pas celles qui sont arrivées…, ou est le vrai, ou est le faux ?
Comment s’étaient-ils rencontrés ?
–Chris-Par hasard, comme tout le monde…
Comment s’appelaient-ils ?
–Chris-Que vous importe !…
D’ou venaient-ils ?
–Chris-Du lieu le plus prochain….
Ou allaient-ils ?
–Chris-Est-ce que l’on sait ou l’on va ?…
Nous vivons dans un monde ou tout est sans cesse en train de s’écrouler. J’ai noué avec vous un anti-pacte ironique pour vous forcer à vous interroger sans cesse, à ne pas vous laisser prendre à vos propres jeux et à vous décentrer sans arrêt. Le réel, c’est toujours plus que le réel, il n’y a pas de réalité, il n’y a que des interprétations…
–Chris-Je suis et reste sans voix, voie, Whooaaa !!! Mais que vous êtes cool, mister “Chromes & Flammes”, master Patrice de Bruyne, je crois et je suis même sûr que c’est la discussion la plus intense que j’ai vécu, c’est pour dire ce qui fait de toi un être unique. J’ai une question, et si on publiait cet interview unique, juste pour ton magazine, ça pourrait-être incroyable non ?… Si cela te convient, je pourrais parler des guitares, du chrome, de la rouille, et de mes bouquins tendance sex blood & rock’n roll…
Jeune, je “faisais” le conservatoire de musique et j’ai donc appris le solfège, pouvant lire et jouer des partitions même complexes et jouer du piano… Cela m’a donné la possibilité de juger les gratteurs de guitare comme étant assez souvent des gratouilleurs de bruit voire de vacarme… De là, j’en ai eu ras les oreilles des formations débilitantes style Beatles avec des formations toutes identiques et des crétins passant des jours et nuits totalement pétés aux drogues à chercher un accord finalement trouvé par hasard et ensuite répété, tout cela avec des textes d’arriérés mentaux…
–Chris-Pour le Rock, il n’y a aucune comparaison possible avec le classique, ce sont deux choses totalement différentes, un peu comme les peintres du 17ème siècle et l’art contemporain, ce sont des choses qu’on ne peut comparer tellement les techniques sont différentes. Est-ce que quelqu’un pourrait mettre sur la même échelle Le Caravage et Soulage, où dans la sculpture un Rodin et un Koons, non ! Pour la musique c’est pareil, mais ce n’est que mon avis
En voilà une nouvelle plume à la Baudelaire, Edgard Alan Poe ou même Arthur Rimbaud… Non ! Je déconne, toi, c’est plutôt Sex, Blood et Rock’ n Roll, façon gros pavé saignant, dégoulinant dans une sauce de sang frais. Qu’est-ce qui a pu te pousser en tant que créatifo-peintro-auteur and Co, toi, Chris Anderson, à dégorger sur plus de 750 pages et balancer le tout, en dialogues interminables, ciselés au couteau, dans tes bouquins et ainsi prendre la suite de celui que l’on appelle plus depuis longtemps, l’enfant terrible du cinéma, à plus de 55 balais, faudrait pas déconner, j’ai nommé : “Quentin Tarantino” et puis finalement pourquoi aller se faire chier à donner suite à plusieurs de ses films ?…
–Chris-Pourquoi j’ai fait ça ? C’est ta question Patrice ?
Ouaihhhhhh Mec !
–Chris-Mais parce que, en plus de 25 putains d’années, personne n’a jamais eu l’idée de le faire, voilà pourquoi !!!
Ok, mais alors pourquoi Tarantino ?
–Chris-Je suis un fan de Tarantino depuis que j’ai vu la première fois, il y a de nombreuses années, Reservoir Dogs, ce film m’a tout simplement fasciné. La façon dont tout a été fait, monté, et surtout dialogué, dès la première scène, s’engage un dialogue sur le pourquoi (encore) du comment de la chanson de Madonna “Like a Virgin” où chacun a sa propre interprétation des paroles. Est-ce qu’elle raconte, que cette première fois, a été pour elle un souvenir inoubliable, est-ce qu’elle raconte que la fois où elle est passée par les mains expertes de son amant, elle s’était sentie comme une vierge déflorée pour la première fois, bref ! Un dialogue totalement inattendu pour une scène d’intro, de plus, dans un film de mafieux… C’était vraiment quelque chose de nouveau dans le cinéma, une sorte d’Audiard poussé au maximum et 2.0… et pour les films suivants, c’était la même chose
Je comprends, mais comment t’es venue cette idée, 25 ans plus tard, d’écrire la suite ?
–Chris-J’en sais rien, c’est juste venu comme ça. Une nuit je me pose devant mon ordi et j’y suis allé, une sorte de transe, une écriture automatique, les dialogues et l’histoire sont justes apparus devant moi, je n’ai fait que suivre mes mains. Il faut dire que je connais vraiment par cœur tous les films de Tarantino, et là, prendre la suite de Pulp Fiction et Reservoir Dogs était pour moi une évidence, mais il fallait commencer par le commencement et surtout ne pas partir dans des directions totalement connes, les fans sont nombreux et la moindre fausseté m’aurait été fatale, et comme je n’avais pas envie de passer pour un con, il fallait trouver un bon début. Je suis donc parti de la scène où Vincent Vega se prend une rafale de Mac10 dans le bide… Est-ce qu’il aurait pu survivre à ça ? Je suis allé voir des médecins, qui m’ont confirmé, après avoir expliqué la scène, que, si toutes les balles n’avaient pas touché des organes vitaux, et avec beaucoup de chance, beaucoup, beaucoup de chance, c’était possible, donc j’avais mon départ, de plus il était bourré de dope, ce qui a donné un coup de boost à son cœur, mais bon, je ne vais pas raconter tout le livre. Mais dans l’histoire que j’ai raconté tout est vraiment super crédible, les lieux, les miles, les tarifs des taxis, les menus des restaurants de l’époque, j’ai poussé les détails jusqu’au bout du bout dans « REVENGE » ! (Disponible ICI : https://amzn.to/2Yw5yFB )
Ok, c’est dingue cette histoire !
–Chris-Ouaihhhhh, c’est exactement ça, ahahhaha ! Ensuite tout s’est enchaîné à la perfection et j’ai pu apporter les réponses à toutes les questions restées en suspens depuis 25 ans.
Mais tu ne t’es pas arrêté là ?
–Chris-Non, et ça, ça n’était pas prévu non plus. Mais lorsque j’ai reçu les premiers commentaires et les soutiens des lecteurs et des Fans-sites Francophones de Tarantino qui avaient adorés le livre, la suite est, elle aussi, venue toute seule… Mais il me fallait un personnage fort, “Stuntman Mike” est alors arrivé plein phare dans ma tronche au volant de sa “Chevy Nova SS Flat Back de 71” et je peux te dire qu’il avait bien les boules, parce que je ne sais pas si tu te souviens, à la fin du film “Death Proof” (Boulevard de la mort en Français), il en prend plein la gueule par trois furies, façon “Faster PussyCat Kill Kill” qui lui explosent la tronche à coups de santiags et le laissent crever sur la route ; mais je me suis posé la question “Est-ce qu’il est bien mort” et ma réponse fut “Non”… Je me parle aussi à moi-même, un peu comme toi. Donc un super départ pour la suite du film, urgence, coma, hospitalisation durant plusieurs mois, chirurgie faciale etc… et il était de nouveau debout, prêt à retrouver ces trois salopes et surtout prêt à se venger, car il ne faut pas oublier que ce type est non seulement cascadeur mais aussi tueur en série et nombreuses sont les filles a être passées sous ses pneus… la suite, c’est dans le bouquin, “Mike Cascadeur et Serial Killer”
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Et donc logiquement (je suis d’une perspicacité incroyable) tu as enchaîné sur un troisième ?
–Chris-C’est ça, et quoi de mieux que de partir sur LE sujet qui préoccupe depuis plus de 25 ans les fans… “Les frères Véga”. Ce qu’il faut savoir c’est que tous les films de Tarantino sont liés les uns aux autres, par des lieux, des histoires et des personnages, et les deux personnages les plus emblématiques sont Vincent Vega dans Pulp Fiction et Vic Vega dans Reservoir Dogs, les 2 sont frères, mais on ne les as jamais vu ensemble, on le sait, c’est tout, et tout le monde rêvait de voir un film racontant leurs histoires, communes ou pas, c’est ce que j’ai fait aussi… Tarantino rêvait de le faire, mais les années passants, les acteurs vieillissants, le projet ne s’est jamais fait et ne se fera jamais, alors moi, je l’ai fait avec “The Vega Brothers”… c’est simple non ? ( Disponible ICI : https://amzn.to/2LCD9tF )
Comment considères-tu tes livres ?
–Chris-C’est-à-dire ?
Par rapport à Tarantino…
–Chris-C’est un immense hommage que j’ai voulu lui rendre avec ces livres, j’ai travaillé dur pour faire en sorte que rien ne puisse laisser penser, que lui, aurait écrit ça différemment, et je pense, en toute modestie y être arrivé lorsque je lis les commentaires et les messages que je reçois depuis. Et les livres sont depuis leurs sorties, classés dans les toutes meilleures ventes sur Amazon dans la catégorie “tueurs en série”. Actuellement j’ai les trois livres, plus le pavé regroupant les trois histoires dans un seul volume, ( Disponible ICI : https://urlz.fr/bjb4 ) dans le haut du classement, des meilleures ventes, des plus demandés et des plus offerts, c’est une putain de fierté tu ne peux pas imaginer le truc !!!! J’ai réussi à construire un lien unique.
Nous pourrons en reparler ensemble, il y a pas mal de véhicules dans tes histoires, je pense qu’il serait bien de se pencher là-dessus. J’ai vu que tu as de nombreuses autres occupations, comme la création et la customisation de guitares, de bijoux, de tableaux et de tout un autre tas de machins et de trucs et même un livre sur une aventure se déroulant à Saint-Tropez, comme quoi le monde est plus petit qu’on l’imagine ! ( Disponible ICI : https://urlz.fr/aPeW )
–Chris-Sans problème, je reste à ta disposition et merci pour cet échange, je suis certain qu’il y en aura d’autres prochainement
C’est ça ! Bon je vais bien entendu conseiller à mes visiteurs, visiteuses et lecteurs, lectrices internautes de lire tes bouquins, sinon je ne me serai pas fait chier à faire cet échange, parce que c’est quand même pas commun tout ça, et puis, t’es sympa, oui je sais ça n’a aucun rapport avec les livres, mais bon, c’est quand même mieux de lire des livres d’un type sympa plutôt que ceux d’un gros con qui se prend pour le nouveau génie de la littérature, non ?