Chromes&Flammes en fanfare...
Si www.GatsbyOnline.com est un site totalement hors-norme, atypique, déjanté, snob et caustique…, réservé exclusivement à la crème du pot planétaire, aux véritables membres certifiés de la Jet-Set internationale et aux tycoons de carrure universelle…, Chromes&Flammes magazine est également hors-norme, atypique, déjanté, snob et caustique…, réservé exclusivement à la crème du pot planétaire, aux véritables membres certifiés de la Jet-Set internationale et aux tycoons de carrure universelle…
Femmes, Hommes, Transsexuels, extra-terrestres…, soyez bienvenus…, pour fêter cet évènement en fanfare, un plan marketing a été élaboré, visant à créer un “évènementiel” d’envergure démontrant aux peuplades éberluées que GatsbyOnline ET Chromes&Flammes étaient en un même bloc, le nouveau vectoriel démontrant le renouveau en matière journalistique osant combattre de face le consumérisme…
Pour aller au devant des “ceusses“, qui, perdus, abandonnés, délaissés, oubliés, cherchent en vain depuis les années Rock’and’Roll, de participer au grand mouvement planétaire de la Customisation et du Hot-Rodding…, notre dévolution éditoriale s’est portée en un premier stade sur l’évangélisation de la zone PACA en sud-France…, particulièrement le charmant village de Seillans qui a baptisé sa Grand-Place : “Place de Bruyne” en hommage au créateur des magazines Chromes&Flammes (sic ! mais bon !)…
C’est d’ailleurs à Seillans, village mythique ou a habité Max Ernst, un artiste essayiste et explorateur de l’art, qui fut l’un des acteurs majeurs des mouvements Dada et surréaliste sans s’y confiner…, que circule quotidiennement une Berline emblématique décorée façon “Custom-Vintage-Chromes&Flammes” en une sorte d’hommage aux peinturlurations de Max Ernst, dont le propriétaire porte ainsi bien haut la symbolique enflammée de notre magazine et de notre web-site qui sont les seuls médias qui osent publier des articles et des photos extraordinaires sur une variété de sujets exceptionnels sans aucune limite et aucune censure…
Je profite de cette rubrique pour écrire “Merci à toutes et tous d’être là (et non las) dans cette grande aventure, car si GatsbyOnline, est en effet le plus déjanté et le plus créatif des sites-web, c’est “le seul média de ce genre existant au monde et même dans l’univers” comme certains l’affirment ironiquement…., idem que le magazine Chromes&Flammes”…
Fondé en novembre 2006, GatsbyOnline a rapidement été la vedette du réseau internet et a dépassé le million de visiteurs en à peine 9 mois d’existence, www.GatsbyOnline.com a publié des milliers d’articles comme aucun autre magazine ne sait les écrire…, ce site-web, réellement unique et d’avant-garde, a, entre autres sujets fait de l’absurdité déjantée et caustique sa raison d’être, sans jamais se départir d’un ton à nul autre pareil, donnant libre cours à l’imagination farfelue de ses rédacteurs parmi lesquels se cachent, paraît-il, quelques plumes (ou plutôt claviers) de médias très respectables.
C’est bien connu, les médias ne disent pas tout… et pour ceux qui seraient tentés de croire aux nouvelles extravagantes publiées, je souligne que : “Les lecteurs devraient renoncer à croire à ce qui est écrit, ou que ce soit et juste prendre du plaisir à vivre, car ce n’est pas la fin du voyage de nos vies qui importe, mais le voyage en lui-même, autant y prendre un maximum de plaisirs et de jouissances, que de vouloir être sérieux“.
Parmi les “scoops” de cet extraordinaire site-web : la révélation qu’Elvis Presley n’est pas mort, qu’Ophélie Winter s’est fait gonfler les seins avec le même vide que dans sa tête, que la vie est une connerie… et que nous allons tous mourir un jour…, GatsbyOnline a également révélé quelques personnages qui sont devenus des figures de la culture populaire mondiale qui, au fil des articles, ont déjoué quantité d’arnaques automobiles, mis à jour divers systèmes de blanchiment surtout via les ventes aux enchères, révélant toute une série de faits pour lesquels les merdias “traditionnels” n’attachent aucune importance.
On a appelé Max Ernst le “Léonard du surréalisme“…, il ressemble en effet au grand Florentin par l’étendue de sa culture, par ses multiples intérêts (philosophiques, mathématiques, littéraires), comme par sa volonté de tout expérimenter, de tout connaître.
Peintre, sculpteur, poète et essayiste, il a créé une œuvre à sa mesure…, imbu d’art ancien et contemporain, grand lecteur des écrivains de son pays natal, les romantiques allemands, de Nietzsche et de Freud, il découvrit très tôt l’art des malades mentaux et éprouva le besoin impérieux d’élargir l’expression artistique, en l’ouvrant au foisonnement de l’inconscient, aux archétypes et aux mythes…, Max Ernst va ainsi dépasser les limites de la peinture purement descriptive ou abstraite en même temps qu’il va en renouveller les techniques…, par l’utilisation du collage, du frottage et de l’assemblage, il a conquis la liberté d’aller “au-delà de la peinture” et créé une nouvelle iconographie, capable de transcrire les rêves, les angoisses et les aventures de l’homme moderne…
Seriez-vous capable de citer le titre d’une œuvre de Max Ernst ? Non ?
Il n’y a pas de quoi rougir, malgré un parcours particulièrement riche, cet artiste, né en 1891 près de Cologne (Allemange) et mort la veille de ses 85 ans, reste méconnu du grand public, on oublie qu’il créa à Cologne un satellite allemand du mouvement Dada, en 1919 (avec Hans Arp et Johannes Theodor Baargeld)… et bien qu’il ait ensuite été l’un des pionniers du mouvement surréaliste, il reste infiniment moins populaire que Magritte ou Dali… et bien peu d’amateurs d’art savent qu’il est à l’origine de la technique du dripping, consistant à faire gicler de la peinture sur la toile et qu’il a influencé directement l’Américain Jackson Pollock.
Ce sont presque toujours les trois ou quatre même tableaux d’Ernst qui sont reproduits, ils datent de sa période surréaliste la plus prolifique, de la fin des années 20 jusqu’aux années 30.
Cette toile, peinte en 1926, est doublement provocatrice, d’abord, ce pied-de-nez à l’histoire de l’art détourne une des images qui a le plus inspiré les artistes occidentaux, la Madone à l’enfant…, ensuite, la toile est sacrilège (à la suite de son exposition, Ernst sera d’ailleurs officiellement excommunié par l’Eglise catholique) : la Vierge, dépeinte en mauvaise mère, fesse violemment Jésus dont l’auréole, comme un vulgaire couvre-chef, est tombée au sol (Remarquez d’ailleurs que l’auréole encercle la signature de l’artiste, qui se voit ainsi “sanctifié”, comble de l’ironie)…, dans l’encadrement d’une sorte de fenêtre, trois témoins : les pionniers du surréalisme Paul Eluard (à gauche), André Breton (à droite) et Max Ernst lui-même, dont on devine au fond le regard bleu, trois drôles de rois mages qui viennent signer cet attentat contre le bon goût et les institutions religieuses.