Comment aider les milliardaires ?
Peut-on imaginer qu’un site de ventes aux enchères réservé aux riches endettés ou frappés par la récession puisse exister ?
Un moyen pour eux d’écouler leurs objets et propriétés en toute discrétion, pour éviter l’humiliation… car les temps sont rudes pour tout le monde, la crise n’a pas épargné les milliardaires, dont beaucoup sont désormais contraints de réduire leur train de vie en sacrifiant certains luxes et caprices…
Grâce à un site qui leur serait spécialement dédié, les milliardaires endettés et frappés par la récession, pourraient y vendre en toute confiance et en toute discrétion yachts, voitures de luxe et autres bijoux sans devoir passer par des prêteurs sur gages.
D’ailleurs, n’y rentreraient pas qui veut : les membres du site devant justifier de revenus nets d’un montant minimal de deux millions de dollars…
Un groupe de génies opportunistes y ont pensé… et créé www.BillionaireXchange…
Sur ce site internet de ventes aux enchères international, lancé officiellement voici quelques temps, on découvre une centaine d’objets allant de l’art, aux antiquités en passant par l’immobilier ou même la reprise d’une entreprise commerciale.
L’enchère minimum est fixée à 1.000 dollars.
Quelques exemples de ce que l’on y trouve ?
– Une demeure de prestige à Miami mise à prix à 17,9 millions de dollars…
– Une Ferrari F50 à 750.000 dollars…
– Un yacht à 50 millions de dollars, ou un iPhone Rose gold diamant à 17.900 Livres sterling…
– Un jeu de Backgammon en or à 1,5 million de dollars…
Le site, qui garantit l’authenticité des marchandises jusqu’à la livraison (mais comment font-ils ?), prélève une commission de 5% sur les ventes : “Il n’existait aucune plate-forme d’enchères de confiance pour des transactions de cet ordre de prix“, m’a expliqué Quintin Thompson, co-fondateur de BillionaireXchange.
Il précise que la majorité des transactions sont destinées avant tout à régler des dettes importantes sans subir d’humiliation : “En raison de la conjoncture économique actuelle aux Etats-Unis, beaucoup de personnes ont besoin d’écouler ou d’échanger certains de leurs articles de luxe, de façon discrète et en privé. Cela leur évite d’éprouver de la honte ou de la gêne lors de la transaction“, explique Quintin Thompson, “BillionaireXchange qui travaille exclusivement en ligne, entend exploiter ce nouveau créneau, entre les sites de vente aux enchères comme eBay ouvert à tous les publics et les maisons d’enchères telles que Sotheby’s et Christie’s spécialisées dans les oeuvres d’art et les collections. Le site compte 26.000 multimillionnaires et une douzaine de milliardaires parmi ses membres et a écoulé pour plus de 180 millions de dollars de biens durant les dix mois de sa phase de test“…
Seul souci… et de taille, mis à part une seule enchère de 500.000 dollars pour un jeu de Backgammon en or affiché à un minimum de 1,5 million de dollars, il n’y a strictement aucune autre enchère !!!
Rien, nada, nix, zéro…
Qui plus est, les enchères proviennent pour la plupart de sociétés amies avec les organisateurs, disons que ce sont ceux-ci qui les détiennent…
Un grand coup de bluff donc…
Vous constaterez par vous-même, lors d’une petite visite sur ce site, que les enchérisseurs ne se pressent pas au portillon.
A suivre, avec circonspection…
Comment devenir milliardaire ?
Nous sommes nombreux à nous poser cette question à 1 million : quelle est la clé du succès ?
Une bonne idée, une part de chance, une habile stratégie…, la recette du succès diffère d’un millionnaire à l’autre.
Et de toute façon, peu importe la manière dont s’est bâtie leur richesse.
Il y a peu de chances que vous réussissiez à faire fortune avec la même idée.
Pourtant, cela vaut encore la peine d’écouter les riches de ce monde, ils ont appris à gérer leur argent comme personne et ils connaissent assurément la clé du succès.
D’ailleurs, certains d’entre eux ont décidé de partager leurs connaissances.
Voici quelques uns de leurs conseils.
Aucune dette…
Si vous vous lancez en étant criblé de dettes, c’est clair, vous ne partez pas gagnant.
Aussi logique que cela puisse paraître, les “millionnaires en herbe” commencent au bas de l’échelle et peuvent faire fructifier leur argent uniquement en le gérant de manière économe.
“Apprenez comment vous pouvez vous en sortir avec votre budget et reportez la réalisation de vos rêves. De telles habitudes vous permettront d’amasser des millions“…, c’est en substance le conseil d’Adrian Cartwood, un millionnaire ayant fait fortune dans le secteur de l’industrie technologique et qui depuis diffuse ses connaissances au travers d’un blog intitulé “How to Make 7 Million in 7 Years“.
De la passion…
Pour “devenir riche“, la motivation seule ne suffit pas.
L’argent est un moyen, rarement un but.
Qu’est-ce qui vous intéresse ?
Que savez-vous bien faire ?
Et surtout : qu’est-ce qui vous passionne ?
“Pourquoi ne feriez-vous pas carrière dans un domaine qui vous intéresse fortement ? Même si ce domaine n’est pas directement rentable, il y a toujours de multiples manières d’atteindre les sommets et de l’argent à gagner. Et vous aurez plus de chance si vous êtes passionné par ce que vous faites“, raconte le millionnaire Alan Corey.
Des objectifs clairs…
Que souhaitez-vous devenir ?
“Je veux être riche” est une réponse trop vague.
Jen Smith, la femme qui se cache derrière le blog à succès : “Millionaire Mommy Next Door” conseille de définir clairement vos objectifs : combien d’argent souhaitez-vous gagner, à quoi allez-vous consacrer cet argent, comment allez vous réinvestir les bénéfices ?
Ne perdez jamais de vue vos objectifs et utilisez-les comme sources de motivation.
De la confiance…
Alan Corey a épluché de nombreuses (auto)biographies de millionnaires.
Il espérait trouver ainsi LA recette à succès pour pouvoir engranger une fortune.
Voici sa conclusion : “Ils ont tous une chose en commun : la certitude d’avoir un succès financier“…
Corey joignit les actes à la parole : il investit dans l’immobilier et devint millionnaire.
Par ailleurs, le titre du dernier livre de Donald Trump est également de la même trempe : “Think Like a Champion“.
Être obstiné…
Les millionnaires ont encore une chose en commun : ils vont tous à contre-courant.
Par exemple, Warren Buffett amassé sa fortune grâce à des actions délaissées par d’autres investisseurs.
“Si vous voulez que vos actions rapportent plus que la moyenne, vous devez agir autrement“, affirme-t-il dans sa biographie.
Cette philosophie n’est pas uniquement valable sur les places des marchés boursiers.
Copier les bonnes idées d’autrui rapporte rarement.
Partez à la découverte de nouvelles voies et essayez de vous distinguer.
Être travailleur…
Donald Trump dédie son succès à son dur labeur, interprété comme simple chance par de nombreuses personnes : “Si vos efforts s’avèrent payants, ce qui sera sans doute le cas, les gens vous diront que vous avez eu de la chance… et peut-être est-ce vrai, car vous aurez eu la chance d’avoir suffisamment d’intelligence pour travailler dur“…
Être économe…
Engranger une fortune est une chose, la maintenir en est une autre.
Et si vous vivez en dessous de vos moyens, vous gagnerez automatiquement de l’argent.
C’est la devise de Jen Smith, la femme qui se cache derrière le blog populaire “Millionaire Mommy Next Door” .
Elle n’a jamais terminé ses études, elle rêvait de devenir financièrement indépendante avant même d’avoir des enfants… et elle réussit à atteindre cet objectif grâce à son blog.
Investir en actions n’est pas un jeu de hasard…
Un peu de chance est, bien entendu, toujours bon à prendre, mais il vaut mieux disposer d’une bonne vision. John Templeton avait une excellente vision.
Ou plutôt : Sir John Templeton, car il a été nommé chevalier par la reine d’Angleterre.
Templeton est devenu l’un des hommes les plus riches du monde grâce à des investissements risqués.
À 26 ans, il emprunta 10.000 dollars qu’il utilisa pour acheter à chaque fois 100 actions auprès de 104 entreprises.
Les trois-quarts de ces entreprises se situaient au bord de la faillite.
Mais quelques années plus tard, elles lui fournirent quand-même des bénéfices mirobolants.
Encore plus remarquable : seulement 4 entreprises se sont avérées sans valeur.
Quelle était sa recette du succès?
Après ses études, Templeton entreprit un tour du monde qui lui permit de visiter 35 pays.
Il remarqua rapidement que des opportunités existaient également en dehors des États-Unis.
Et cela durant les années 30, alors qu’il n’était pas encore question de globalisation.
Il lui semblait déjà logique de ne pas se limiter aux frontières du pays.
“La question n’est pas : où les affaires vont-elles bien ?, mais plutôt: “où cela se passe-t-il mal ?“, c’est l’une des affirmations de Templeton qui l’ont rendu célèbre, “c’est là que se trouve le plus grand défi d’un investissement, car il est extrêmement difficile d’aller à contre-courant tout en réalisant des bons chiffres. Mais quand cela réussit, l’argent coule à flots. Investir dans des entreprises ou des secteurs qui vont mal, c’est une chose, mais savoir prédire une amélioration est encore différent. C’est la raison pour laquelle vous devez surtout avoir l’oeil sur la base sous-jacente à long terme. Si elle est bonne, un investissement vaut la peine“.
Dans les années 60, le fonds d’investissement de Templeton a investi plus de 60% de son capital au Japon.
Cela serait impossible à l’heure actuelle et un gestionnaire de fonds qui réaliserait cela serait rapidement mis à la porte.
Templeton était en premier lieu un investisseur, pas un “trader“, mais même pour les investisseurs patients, c’est très frustrant d’acheter une action bon marché qui diminue encore de valeur par la suite.
Templeton conseille donc de placer vos nouvelles idées d’investissement sur une liste d’attente ou d’en acheter une quantité limitée avant de vous y consacrer pleinement : “Car s’il s’agit réellement d’une bonne affaire, il est inutile de se presser“, selon le milliardaire, “si vous ne vous sentez pas en sécurité dans une foule, vous ne réaliserez jamais des prestations extraordinaires“.
Templeton a appliqué cela de manière littérale.
Il déménagea du coeur financier de Manhattan pour s’établir aux Bahamas.
Le régime d’imposition favorable n’y était naturellement pas étranger.
Mais selon l’Américain, il prenait aussi de meilleures décisions suite à son éloignement de Wall Street.
Pour Templeton, cela n’a aucune importance que le marché évolue de manière favorable ou nou : “Je ne me pose jamais la question, parce que je ne connais pas la réponse. En outre, cela n’importe guère“, affirmait-il auprès du magazine Forbes, “je cherche dans divers pays des actions cotées très bas, alors qu’elles valent plus à mes yeux. 40 ans d’expérience m’ont appris qu’il était possible de gagner beaucoup d’argent sans connaître l’évolution du marché“…
Comment dilapider vos milliards ?
Vous ne devez pas toujours travailler durement pour devenir riche.
Vous pouvez devenir riche soudainement via un héritage ou en gagnant quelques millions au Lotto.
Mais gare à ne pas vous laisser aveugler par cette fortune, vous finiriez comme vous aviez commencé : les mains vides.
Des exemples, il y en a des tas.
L’Américaine Janite Lee a gagné en 1993 pas moins de 18 millions d’euros…, moins de 10 ans plus tard, elle avait déjà tout versé à des bonnes œuvres ou autres organisations caritatives.
Ou le cas de William Post: en 1988, il disposait de 16 millions du lotto…, après un an, il s’est retrouvé endetté suite à de mauvais investissements et de nombreux procès.
Bien entendu, la chance de gagner au Lotto est infime, mais un héritage important ou la chance au jeu peut tout à coup vous mettre en présence d’une belle somme d’argent… et il est très facile de tomber dans quelques pièges, qu’il s’agisse de 10.000 euros ou de 10 millions d’euros voire de plusieurs milliards, les principes de base restent les mêmes.
Achats importants inutiles…
Une réaction naturelle est de vous offrir quelque chose dont vous rêviez depuis longtemps : un voyage lointain, une nouvelle voiture, une grande maison.
Mais mieux vaut ne pas dépasser certaines limites.
L’argent que vous avez gagné ou hérité ne doit pas être utilisé à n’importe quoi.
Souvent, les gagnants du lotto ne considèrent pas l’argent gagné comme une partie de leur plan financier original… et ils ont tendance à l’utiliser de manière moins responsable.
Gardez à l’esprit que des achats importants pourront vous coûter beaucoup plus tard.
Une voiture chère est souvent plus chère en entretien et augmente considérablement le coût de votre assurance… et vous devrez continuer à payer ces frais, même si votre fortune est épuisée.
Nouveau style de vie et investissements à risques…
Si vous prenez goût à l’argent, il y a des chances que vous adoptiez un nouveau… et surtout cher, style de vie.
Quand l’argent coule à flots, les dépenses ne sont plus surveillées de près.
Et vous serez alors rapidement confronté à des surprises désagréables.
De nombreuses personnes ont tendance à utiliser de manière irréfléchie l’argent qu’elles n’ont pas gagné en travaillant.
Elles cherchent souvent refuge auprès d’investissements à risques.
Leur raisonnement ?
On peut parfaitement se passer de l’argent tombé du ciel, car on y arrivait parfaitement avant.
Mais ce n’est pas parce que vous disposez tout à coup d’une fortune qu’il faut la gaspiller aussi vite.
Il vaut mieux répartir vos risques d’investissements dans des placements différents.
Pas de gestion de l’argent…
Même si vous ne disposez pas d’une fortune, sans doute avez-vous certains objectifs financiers.
Il ne faut pas vous en défaire.
Vous devez considérer l’argent supplémentaire comme un moyen d’atteindre plus rapidement ces objectifs. Et cela ne change en rien votre approche par rapport à l’argent…
Histoires de milliardaires…
Vous avez trop peu d’argent dans votre portefeuille ?
Rien de plus normal : la crise a tout balayé sur son passage.
Les mauvais résultats boursiers et la diminution de valeur de l’immobilier ont affecté les Américains, puis le reste du monde.
Si vous avez perdu de l’argent, vous n’êtes pas le seul.
La seule à blâmer, c’est la Bourse.
Mais même les millionnaires de ce monde commettent des erreurs, parfois dramatiques, qui les sanctionnent sévèrement et érodent leur portefeuille.
A ce niveau, il s’agit de plusieurs millions, voire de milliards…
Mettez-vous un peu de baume au coeur en lisant ces six récits d’infortunés millionnaires.
1) Deux cailloux pour 17 milliards de dollars…
En 1883, le docteur William Howey rendit visite aux ouvriers en train de construire le Canadese Pacific Railway.
L’expert y trouva des pierres intéressantes, couleur cuivre, qu’il récolta.
Une fois revenu chez lui, il les envoya au directeur du Geological Survey of Canada.
Verdict ?
Ces cailloux n’avaient aucune valeur. Howey s’en débarrassa.
Un entrepreneur, Thomas Murray, les récupéra et décida un an plus tard d’explorer le site où ils avaient été trouvés.
Il découvrit que les pierres étaient en cuivre et mit ainsi au jour l’une des plus grandes mines de cuivre au monde, produisant des millions de dollars de minerais.
Les minerais contenaient en réalité d’importants niveaux d’un nickel rare.
Le site fut baptisé ‘International Nickel Company of Canada’ et devint le deuxième site de production de nickel au monde.
En 2006, Vale racheta l’entreprise pour 17 milliards de dollars…
2) Un mariage en or…
Madonna a beau être d’une grande intelligence, son divorce d’avec le metteur en scène Guy Ritchie a tout de même fait très mal à la ‘material girl’, surtout en termes financiers.
Aucune clause financière n’avait en effet été prévue lors de leur mariage.
Madonna avait déjà remporté 25 fois l’album d’or mais dut verser à son ex la bagatelle de 75 millions de dollars pour pouvoir s’en séparer, soit un peu moins de 10 millions de dollars par année de mariage.
Rassurez-vous : la reine de la pop s’en est bien remise? Elle vaut toujours plus de 400 millions de dollars 8
3) Le geste imprudent…
À l’automne 2006, Steve Wynn, propriétaire d’un casino à Las Vegas et grand amateur d’art, voulait amuser un groupe d’amis en leur dévoilant sa peinture de Picasso baptisée “Le rêve“.
Il venait de décider de vendre la pièce pour la bagatelle de 139 millions de dollars à un collègue collectionneur, Steve Cohen.
Mais “Le rêve” de Wynn se transforma en cauchemar.
En voulant montrer son trésor, Wynn eut un geste du coude malheureux, qui transperça la toile de maître.
Ses hôtes promirent de taire l’incident et Wynn choisit de conserver l’oeuvre.
Celle-ci fut restaurée mais ne valut plus ensuite que 85 millions de dollars …
Ce geste imprudent lui coûta du reste 90.000 dollars en travaux de restauration.
Une bonne assurance aurait pourtant pu lui éviter bien des désagréments.
4) Une course en taxi à 4 millions de dollars !
Philippe Quint, violoniste russe et vainqueur d’un Grammy, réfléchira désormais deux fois avant de monter dans un taxi.
En 2008, le virtuose oublia purement et simplement son Stradivarius, un exemplaire fabriqué en 1723 d’une valeur de 4 millions de dollars, sur le siège arrière d’un taxi au retour de l’aéroport.
Moins de 700 exemplaires de ce violon, fabriqué à la main, existent au monde.
Six heures d’angoisse après cet incident, Quint reçut un appel téléphonique d’une personne de l’aéroport, à qui le conducteur de taxi Mohamed Khalil avait restitué le violon.
Lorsque le violoniste récupéra son instrument, il se mit à genoux pour remercier le conducteur de taxi.
Pour lui témoigner sa gratitude, Quint invita Khalil et ses collègues à un concert privé de 30 minutes à l’aéroport.
Son collègue, le virtuose David Garrett, eut moins de chance…, ce violoniste d’envergure tomba, à la fin de l’un de ses concerts, sur son Stradivarius, un modèle fabriqué 290 années plus tôt.
Le violon le plus cher au monde fut ainsi totalement détruit…
5) Un escroc très doué…
Le champion de tennis et commentateur sportif John McEnroe ne craint personne sur le court…, mais dans une galerie d’art, McEnroe peut montrer ses failles… et perdre 2 millions de dollars.
Lawrence Salander, collectionneur d’art new-yorkais, lui vendit en effet la moitié de sa part dans les oeuvres d’art Pirate I et Pirate II, signées du peintre Arshile Gorky.
L’escroc avait juste omis de préciser un détail : il n’était pas le propriétaire de ces tableaux…
6) Le fiasco Ferrari à 1,5 million de dollars…
L’acteur Eddie Griffin était animé des meilleures intentions lorsqu’il s’inscrivit à une course automobile dans le cadre d’une oeuvre de charité et de la promotion de son film Redline, en 2007.
Impatient de montrer ses talents automobiles, il s’installa au volant d’une Ferrari d’une valeur d’un million et demi de dollars, dont seulement 400 exemplaires furent produits dans le monde.
Après un virage pris beaucoup trop court, Griffin toucha un cône et s’encastra violemment dans la rambarde.
Heureusement, le comédien ne fut pas blessé et put s’extraire facilement de la voiture.
Celle-ci, en revanche, partit directement à la casse…
La situation aurait-elle pu être pire ?
Oui !
Le propriétaire de la Ferrari n’était autre que Daniel Sadek, le producteur du film Redline…