Connaissez-vous ArtPrice ?
Non !
Et Groupe Serveur ?
Non plus !
Je suppose que le nom de Thierry Ehrmann ne vous en dit pas plus ?
Ahhhhhhhhhhh !
Bien…
Vous pouvez vous rendre sur le site ArtPrice et lire, regarder et écouter ce que Thierry Ehrmann veut que vous compreniez.
Il y a beaucoup à lire, regarder et écouter.
Qui plus est, tout y est combiné pour que vous vous abonniez à cette grande affaire qui aurait enrichi le Gourou-Thierry jusqu’à le faire entrer dans le cercle des milliardaires en dollars et euros grâce au web !
Ça fait quelques années que “je suis” cette affaire… et au delà d’une sorte d’aspect boursier du monde de l’art qui tend à tout expliquer dans les valeurs, cotations, spéculations et autres joyeusetés financières, j’ai plus que l’impression que “la grande solution” (pas encore finale) de tout ce fourbi, n’était en réalité qu’un moyen de régenter un système, voire de le contrôler, sous prétexte d’informer.
ArtPrice a beau aligner des millions de données, établir des tableaux, prétendre que le “grand secret” de l’art se trouve dans quelques algorithmes qui permettent de maîtriser et comprendre les cotations et les résultats de vente…, strictement rien de toute leur littérature n’explique pourquoi (au hasard) les tableaux de Van Gogh, un peintre miséreux et illuminé qui n’a jamais vendu un seul tableau de son vivant, tournent aux environs de 50.000.000/100.000.000 de US$…
Les Iris, petite huile sur toile de 71 x 93 cm, datée de 1889, est une œuvre exécutée par Van Gogh alors qu’il se trouvait à l’asile de Saint-Remy-de-Provence, l’année précédant sa mort.
Van Gogh considérait cette peinture comme une simple étude, ce qui explique pourquoi il n’en existe aucune esquisse connue.
C’est l’écrivain Octave Mirbeau qui en fut le premier propriétaire pour l’avoir achetée en 1891, ainsi que “Les tournesols”, pour 600 francs au père Tanguy, marchand de fournitures d’art qui ne les avait pas payées car il fournissait Van Gogh en pinceaux et en couleurs !
En 1987, ce tableau fut réputé être la peinture la plus chère jamais vendue car adjugée chez Sotheby’s à l’homme d’affaires australien Alan Bond, pour 53 millions de dollars !
Pourtant ce record ne tint que deux ans et demi, l’acheteur australien s’avérant incapable d’honorer son enchère.
C’est Christie’s qui négocia avec le musée Paul Getty à Malibu en Californie, qui finit par acheter et exposer le tableau.
Toutefois, la cote de Van Gogh ne baissa pas pour autant et, en 1990, “Le portrait du docteur Gachet avec branche de digitale”, fut vendu chez Christie’s à New-York pour 70,9 millions de dollars !
Surréaliste !
Qu’est ce que des fonds de pension Japonais, ou des milliardaires Texans, voire des Mafieux Russes et un faux milliardaire australien, ainsi que des Tycoons d’affaires véreuses… en ont à faire d’un peintre fou, débile, névrosé et totalement fauché, qui a peint des tableaux dont personne n’a voulu de son vivant, qui plus est, par exemple, des Iris et des fleurs de Tournesol…?
Je sais que le plus grand plaisir des touristes aisés (généralement des “congés-payés”) est d’aller “chez les pauvres”, les vrais miséreux, les pouilleux, pour s’extasier de leurs masures en torchis et des minables objets qu’ils vendent…
Au plus les pouilleux le sont, au plus les touristes immortalisent le pathétique en souvenir de vacances !
Mais, cela ne peut expliquer que des milliardaires deviendraient dingos de posséder une croûte peinte par un pouilleux… et ce au point de la payer 100 millions de dollars ou d’euros !
Il n’y a donc aucunement quelconque soif de reconnaître un talent artistique auprès des miséreux, de la part des milliardaires…
Vous même qui me lisez, n’accordez strictement aucun crédit aux “peinturlurations” des pauvres gens que vous n’allez voir qu’en vacances au bout du monde…
Les pouilleux de “pas loin de chez vous”, ne vous préoccupent d’ailleurs pas, ils n’intéressent que les riches touristes du bout du monde…
Le monde, a donc plaisir d’aller admirer les pouilleux des autres…
Bref…, vous conviendrez que les milliardaires n’en ont strictement rien à f… des miséreux et de leurs œuvres…, alors que pourtant, ils payent des centaines de millions d’euros pour des croûtes que personne n’admirerait si aucun expert et aucun média n’affirmerait péremptoirement qu’il s’agit d’œuvres d’art !
Plus encore si elles sont décrétées “œuvres d’art majeures”...
C’est donc l’expert qui fait l’œuvre et les médias qui la pérennisent…
Mais ce n’est pas suffisant pour qu’une croûte représentant des Tournesols puisse être cotée plus de 100 millions de dollars !
N’oublions pas que Van Gogh est mort dans la plus atroce des misères.
Qu’il ait eu une vision particulière des Iris et des Tournesols dans un moment de folie, ne change rien à la marche de l’humanité !
Pas de quoi y dépenser 100 millions de dollars !
La motivation est dès lors toute autre…
Oui mais qu’elle est-elle ?
Avant d’aller plus loin (et plus profond), je précise que je ne fais pas de fixation sur “Les Iris” et les “Les Tournesols” de Van Gogh, toutes autres “peinturlurations” font partie de ma même réflexion, en ce compris des sculptures et autres choses indéfinissables, de même que les voitures dites “de collection”, terme galvaudé…
Ainsi, nombre de voitures anciennes, parmi les plus abominables conçues, parfois fort laides, souvent peu pratiques, absolument pas fiables, toujours fragiles et inutiles… qui de plus étaient totalement invendables en leur époque, donc généralement invendues…, sont les plus recherchées par de soi-disant “collectionneurs” (il y a de quoi rire de tant d’imbécilité qui font partie intégrante du système dans lequel nous vivons), qui les payent des sommes stratosphériques au mépris de toute considération humaine (je pense aux miséreux)…, alors qu’à leur époque, personne n’aurait payé quoi que ce soit pour elles !
Comment se ferait-il, alors qu’elles ne valaient rien et que personne n’en voulait…. et qu’elles sont toujours identiques (et même pires), qu’elles sont cotées à des sommets…
Une mauvaise voiture en 1930 est toujours une mauvaise voiture en 2010 !
Une croûte peinte en 1900 est toujours une croûte en 2010 !
Or, certaines se vendent maintenant 100 millions de dollars et bien plus !
Pourquoi ?
J’en reviens donc à ArtPrice, car j’ai cliqué sur les liens ci-après pour comprendre le pourquoi du comment du marché de l’art…
Faites de même :
– http://web.artprice.com/start.aspx?video=1
– http://blog.ehrmann.org/films/999.html
Au point d’envoyer un émail à Thierry Ehrmann, le grand Gourou de l’affaire…
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Date : Wed, 21 Jul 2010 12:29:53 0200
From : sw252640@swing.be
To : artinvestment@artprice.com
Subject : Et au delà ?
Monsieur Thierry Ehrmann, http://web.artprice.com/start.aspx
Artprice
Domaine de la Source
BP 69- 69270 Sain- Romain-au- Mont-d’Or
Fax : 33 (0)478 220 606
Tél : 33 (0)472 421 741 Bonjour, Et au delà ? Difficile de tout lire chez vous, impossible de tout comprendre, seule une réflexion finale, bien humaine, m’amène à vous écrire ce pour quoi je vous suis (virtuellement) depuis quelques années : pourquoi, mis à part les réelles motivations du génie créateur de “Groupe Serveur” et de “Art Price”, les “artistes” meurent-ils de faim ou de rage de n’arriver “nulle part” (pour autant qu’il importe d’arriver “quelque part”), alors que plus tard, bien plus tard, les opportunistes dans l’opportunisme, réalisent, avec tout cela, un business d’enfer (le coté Dantesque du lard artistique) qui ne profite quasi jamais aux dits artistes…, sauf, comme Picasso, lorsqu’ils s’aperçoivent que la manière à plus d’importance et de valeur que l’objet créé. Sauf également… et ce serait là une évolution, peut-être une révolution…, que des “artistes” ne seraient que des “inventions”, des pantins créés par quelques milliardaires ainsi que par divers affairistes, galeristes et entremetteurs d’art… pour servir à un système de “blanchiment”, plus pour “blanchir” des revenus occultes…, mais pour créer des revenus qui échappent à l’ogre fiscal… Ma question vous parait mal posée, c’est qu’elle est complexe… Ou alors, elle n’est pas vraiment une question, mais bien plus qu’une réflexion : une attente ? Une atteinte aussi… Son fond est pourtant simple : pourquoi des cochons tatoués valent-ils tant, de même que “Les Tournesols” de Van Gogh, alors qu’en réalité, lorsqu’on en retire tout le bruit des soi-disant experts et autres Gourous, ce ne sont que les résultantes d’incapacités… qui finissent par déboucher une latrine industrielle, elle même réutilisée quelques années plus tard par les “ceusses” qui voulaient se moquer de ce “système” !
A ce jeu, ou l’art est étranger sauf qu’il est le prétexte des “festivités”…, toutes les tranches de profits qui s’ajoutent à d’autres…, pour en arriver à des centaines de millions d’euros ou dollars…, ne servent qu’une économie ou les seules vraies valeurs ne sont pas les œuvres-prétextes…, mais les expertises et les cotations, qui ne s’appuient nullement sur l’essence même de l’art (qu’est-ce que l’art ?), mais sur le jeu des plus-values, des escroqueries subtiles (quoique…), sur base d’affirmations diverses que la masse des beaufs accepte sans broncher, tout comme toutes les autres actes de lobotomisation de masse. Mais les “beaufs” dans cette histoire, ne sont utiles que dans leur aval à un système auquel ils ne comprennent rien et sur lequel ils n’ont aucune prise… Dans toutes ces affaires, l’art, c’est avant tout celui de “l’enroule”, à bref, moyen ou long terme, avec ses lots d’invendables invendus temporaires et quelques “valeurs” certaines, qui ne le sont que parce qu’on l’affirme… et parce qu’on a intérêt à l’affirmer. J’ai connu dans différents arts… et ils sont nombreux…, celui de blanchir de l’argent avec des objets, toiles ou automobiles “de collection”, terme galvaudé qui sert avant tout de paravent à des activités qui sinon paraîtraient débilitantes… C’est une affaire assez simple : – ou est l’argent à blanchir, doit être créé une société ou une entité, si possible fausse sous des airs de formidables réalités médiatiques…, – ou et à qui est destiné ce blanchiment, il suffit d’acheter une œuvre d’art qui n’a pas encore été “découverte”…. et… elle va se “découvrir” lors d’une vente aux enchères, voire en gré-à-gré sous le label d’un entremetteur-expert… et atteindre des sommets !
Soit que l’argent à blanchir sert à acheter l’œuvre (ou l’objet), soit que c’est l’achat de l’œuvre (ou de l’objet) qui permet une évasion de sommes qui si non auraient du être englobées dans le calcul de l’impôt…
Ainsi “labellisée”, l’œuvre va finir par avoir sa vie “propre” (en fait pas propre du tout)…, les gogos-beaufs à qui cet “exploit” extraordinaire magnifié par les médias est présenté comme une “logique” de marché (le marché de l’art, avec ses cotations et… algorithmes…), vont alors croire à Noël à Pâques et être convaincu que les pires croûtes munies d’une expertise, augmentent de valeur…, ce qui génère des augmentations de valeurs (cotation) avalisées par les experts et médias, ArtPrice étant les deux simultanément ! Jusqu’au moment ou les “blanchisseurs” vont à nouveau changer de méthodes (c’est cyclique) et que le “marché de l’art” va s’effondrer… en attente d’un nouveau rebond ! C’est dans ce fourbi que je vous imagine être allé. Il m’est manifeste que certains artistes ne “créent” que pour alimenter une méthode de blanchiment au profit d’un cercle de personnages très fortunés qui officiellement aident “l’art”, alors que comme dans le monde de la Formule1 et du Football (entre autres), le système ne sert qu’à des retours en dessous de table… Ce système a besoin d’effets médiatiques pour se justifier et annihiler toutes controverses, en noyant le monde, les médias, les gens, le peuple, en ce compris les experts imbéciles…, dans des montagnes de statistiques et de chiffres à qui ont fait dire tout et n’importe quoi… C’est ce que vous faites ! En achetant des cochons tatoués, des ferrailles, des cocottes en papier et des chiens-chiens en forme de ballons géants, on peut imaginer un des plus riches “patrons” de France se donner l’allure d’un mécène, féru d’art au point de créer une ou plusieurs fondations pour y entreposer les “invendables” acquits à prix d’or… alors que 80% reviennent sur des comptes d’ailleurs… La grande dame milliardaire “parce qu’elle le vaut bien” aurait pu agir de même à hauteur d’un presque milliard d’euros avec un “artiste-photographe” qui aurait été dès-lors non pas le réel bénéficiaire, mais le moyen justificatif artistique… Ahhhhhhhh, s’il n’y avait pas eu une jalousie de famille, qui sait…? Bref, dans ma question, se trouve la réponse à la raison pour laquelle l’art à tant de valeur… Se pourrait-il que toute votre affaire ne soit qu’une énorme entreprise de justification ? Qu’en plus, vous puissiez également profiter de cette grande affaire en “conseillant” vos abonnés vers des artistes “qui montent” ou “vont monter”, avec l’image d’un super Gourou milliardaire, MAIS artiste, preuve en est votre demeure-atelier psychodramatique mêlant les superstitions les plus basiques aux réutilisations les plus diverses…, le tout dans une atmosphère ou fleure bon quelques senteurs et attitudes sadomasochistes… En attente de votre érection-réaction, agréez mes très sincères civilités… Patrice De Bruyne
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From : sw252640@swing.be
To : artinvestment@artprice.com
Subject : FW : Et au delà ?
Date : Wed, 21 Jul 2010 23:15:21 0000
Monsieur Thierry Ehrmann, artinvestment@artprice.com
Artprice
Domaine de la Source
BP 69- 69270 Sain- Romain-au- Mont-d’Or
Fax : 33 (0)478 220 606
Tél : 33 (0)472 421 741 Bonjour (bis), Et au delà ? (suite) Je n’ai pas reçu de réponse… Je continue donc ma réflexion…
J’ai lu sur le site-web de ArtPrice que Thierry Ehrmann et ses sociétés étaient en conflit avec la maison de ventes aux enchères Christie’s qui appartient à Bernard Arnault (né le 5 mars 1949 à Roubaix), propriétaire du groupe de luxe LVMH… et à la tête de la première fortune française, (selon le magazine Forbes), également la première au niveau de l’Union européenne… et la septième fortune mondiale en 2010, avec près de 23 milliards d’euros !
Tantôt on le classe devant Liliane Bettencourt, tantôt juste derrière elle…
Dans cette lutte de classe (c’est un jeu de mots), l’implacable rivalité entre Bernard Arnault et son “rival” François Pinault (les deux nababs du capitalisme français), a trouvé, depuis 2005, un nouveau terrain d’expression médiatique : celui de la culture et plus exactement de la fondation à vocation artistique.
François Pinault avait défrayé la chronique au printemps 2005 lorsqu’il avait annoncé renoncer à son projet de fondation d’art contemporain sur l’île Seguin, l’ex-de Renault à Boulogne-Billancourt, avant d’opter finalement pour Venise et son Palazzo Grassi.
Après l’avènement de l’initiative de son éternel concurrent, Bernard Arnault y est allé lui aussi de son projet de mécénat d’ampleur, même s’il se défendait de tout mimétisme avec le fondateur du groupe PPR : Toute comparaison avec d’autres initiatives ne serait pas pertinente.
Pour se démarquer de son encombrant prédécesseur, le patron de LVMH avait pris soin de préciser que sa Fondation Louis Vuitton pour la création s’installerait à Paris, à l’horizon 2010, et plus précisément dans une portion du Jardin d’Acclimatation près du Bois de Boulogne.
Et ce à la plus grande joie du maire de la capitale, qui a salué “l’immense cadeau fait à Paris et à la place de Paris dans le monde”.
Se voulant un lieu de création et d’échanges, la fondation Louis Vuitton présentera une collection regroupant le patrimoine d’œuvres présentes et à venir du groupe LVMH et des expositions temporaire.
Le bâtiment en lui-même, dessiné par l’architecte américain Frank Gehry, abritera, outre des galeries d’exposition, un auditorium ainsi qu’un jardin d’hiver, le tout réparti sur 6.000 mètres carrés… pour un montant d’investissement d’environ 100 millions d’euros.
Après s’être affrontés directement au tour de table de Gucci, François Pinault et Bernard Arnault ont bataillé ensuite par acquisitions interposées sur le marché de l’art, se rendant coup pour coup : le premier s’est ainsi offert la maison de ventes aux enchères Christie’s tandis que le second ripostait en contrôlant le numéro trois du secteur, Philips, puis en raflant l’étude de Jacques Tajan, le premier commissaire-priseur en France.
La rivalité entre les deux groupes fut encore plus évidente lorsque François Pinault a décidé de se recentrer sur le luxe en vendant un par un les fleurons de son pôle distribution…
Ces deux lascars possédant chacun une maison de vente aux enchères ainsi que des magazines (y compris économiques), des journaux et des participations un peu partout ou on décide de l’avenir des gens, des affaires et du monde…, disposent de tous les leviers nécessaires et utiles pour influencer la valeur du marché de l’art…
Tel que je l’explique, batailler “honnêtement” sur des valeurs passées est moins rapide et bien plus complexe actuellement que de fabriquer des valeurs sans que quiconque n’y comprenne rien et donc n’y retrouve à redire (en ce compris les fonctionnaires du fisc).
Soit qu’on fait partie du système… et qu’on y est grassement rétribué, soit qu’on en a fait partie et qu’on a crainte de son devenir…, soit qu’on aspire à en faire partie…
Ce sont les seules façon de savoir réellement ce qui se trame dans le marché de l’art… et dans ces trois cas de figure, personne ne parle ni n’écrit…
Il n’y a qu’un illuminé expérimenté comme moi… ou un bonhomme comme Thierry Ehrmann pour s’aventurer sur ces terrains…, sauf que là ou j’explique les mécanismes, Thierry Ehrmann se positionne comme nouvel acteur clé du marché de l’art, risquant de tout chambouler s’il ne peut participer aux agapes…, d’ou un conflit avec Christie’s…
Toujours est-il, que c’est assez simple avec tant de moyens techniques, financiers et humains, qui plus est avec des médias aux ordres…, de créer un artiste, de faire semblant de le découvrir, de faire monter la valeur de ses “œuvres”, d’organiser des “ventes” dans lesquelles des prix stratosphériques sont atteints “officiellement”… et ainsi d’organiser une évasion fiscale de grande ampleur au moyen de laquelle les profits gargantuesques se réalisent à tous les échelons et étapes.
Tout d’abord, l’artiste est créé, ses œuvres ne coûtent quasi rien…
Ensuite, ces œuvres pour “quasi-rien” atteignent des montants stratosphériques en centaines de milliers et en centaines de millions d’euros…, dans un circuit fermé, puisque tous les acteurs et intervenants font partie d’un même groupe !
Le montant payé pour les œuvres par une des firmes, au nom de la sauvegarde et de l’aide artistique, est déduite fiscalement…
Les profits réalisés par la société de vente aux enchères restent dans le groupe puisqu’elle en fait partie…
Le montant de la “transaction” qui est destiné à l’artiste n’est pas soumis à l’impôt en fonction de diverses lois, surtout si en finale le copyright est propriété (et ce n’est pas un lapsus) d’une société basée en Irlande…
En F1, dans le Football et autres…, entre 50 et 90% sont reversés au décideur en dessous de table…
Donc, sous prétexte de mécénat et d’amour de l’art, on a là un système colossal d’évasion fiscale qui se nourrit et s’amplifie de lui-même, avec le “black” généré qui se “blanchit” avec l’acquisition d’autres œuvres et ainsi de suite jusqu’à plus soif…
Quant aux œuvres, elles sont alors cotées des fortunes et ce “officiellement”, avec comme “preuves” diverses transactions…
Rien de plus simple de les vendre sur ces bases à des personnes étrangères à se “carrousel-artistique”, ce qui génère un super-profit pour une œuvre fabriquée rien que pour cela…
Cet “Art-nouveau” ou gravitent des “nouveaux artistes” sans aucun passé, est un ensemble de “n’importe quoi”, tels des cochons tatoués, des ferrailleries grotesques, des statues débiles, des “peinturlurations” pathétiques… que seuls les médias “aux ordres” louent comme des créations géniales !
En dehors de ces “systèmes” bien rodés et juridiquement hyper protégés, ou les leaders politiques peuvent aussi se servir et participer aux agapes…, il en est d’autres plus simplistes…
Je pense par exemple que le photographe Bernier n’a pas véritablement conservé le presque milliard d’euros versé par le groupe l’Oréal pour qu’il organise des expositions de ses œuvres au sein du groupe…, mais que c’était là, aussi, un moyen de créer une échappatoire fiscale…, je n’imagine pas Liliane Bettencourt stupide au point de dilapider un milliard en échange de galipettes !
Et pour les automobiles rares, là aussi, c’est assez facile de décréter des valeurs stratosphériques et de suivre un schéma semblable, quoique c’est moins évident que de décréter qu’un cochon tatoué vaut 1 million d’euros !
Voilà…
Toujours en attente de votre érection-réaction, agréez encore mes très sincères civilités…