LES PUTES DE L’INFO grassement subventionnées par l’Etat Français, bientôt poursuivies ?
La liberté de la presse est l’un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression. Ainsi, l’article 11 de la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen de 1789 dispose : «La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi». L’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme aussi dispose la protection de la liberté de la presse. «La liberté d’expression vaut non seulement pour les « informations » ou « idées » accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent : ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels, il n’est pas de « société démocratique».
Le Dr Reiner Fuellmich, avocat spécialisé en protection des consommateurs en Allemagne et en Californie et membre de la commission d’enquête allemande sur le Covid, a réuni un réseau d’avocats internationaux de plus de 60 pays, pour plaider dans la plus grande affaire de responsabilité délictuelle de toute l’histoire : la fraude du Covid19 et le crime contre l’humanité qu’il représente, au sens des tribunaux de Nuremberg. La partie la plus importante de l’enquête menée par ce collectif, est que le test PCR part de prémices qui sont fausses et ne sont nullement étayées par la science.
Contrairement aux dires colportés par une presse vendue aux pouvoirs en place, ainsi que des fausses affirmations de MM. Drosten et Wieler et de l’OMS, rien ne renseigne sur un quelconque état infectieux qui serait dû à la présence d’un virus, et encore moins une contamination par l’agent pathogène contagieux du SRAS-CoV-2.
Le CDC américain, lui-même, en a convenu à la page 38 d’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR, datée du 13 juillet 2020 :
1) La détection de l’ARN viral n’implique pas nécessairement la présence d’un virus infectieux ou que le nCoV 2019 soit l’agent causal des symptômes cliniques que présente la personne testée.
2) La réalisation de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement des risques d’infection par le nCoV 2019.
3) Ce test n’exclut pas que l’infection ait pu être causée par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.
Il n’est toujours pas certain à ce jour que le virus de Wuhan ait jamais été isolé de manière scientifique, de sorte que personne ne sait exactement ce que l’on recherche par le biais de ce test. Et ce, d’autant moins que ce virus, tout comme celui de la grippe, MUTE rapidement. Les écouvillons PCR prélèvent une ou deux séquences d’une molécule qui, parce qu’invisible à l’œil nu, nécessitent plusieurs cycles d’amplifications pour devenir lisible. Or, une amplification qui dépasse l’ordre des 35 cycles donne des résultats dénués de toute fiabilité et de tout fondement scientifique, comme l’a rapporté notamment le New York Times. Pourtant, c’est à 45 cycles que sont fixés le test de Drosten et tous les autres tests recommandés par l’OMS qui lui ont emboîté le pas. Cela répond à une volonté de produire le plus grand nombre possible de résultats positifs et, partant, d’accréditer la thèse d’un phénomène épidémique. (qui en réalité n’existe pas)
Le test n’est pas en mesure de distinguer entre matériel inactif et matériel reproductif.
En effet, un résultat positif peut tout aussi bien se produire lorsque le test a simplement détecté un débris ou fragment de molécule provenant d’un vieux rhume dont le système immunitaire de la personne a réussi à se débarrasser.
Drosten, lui-même, déclarait en 2014, dans une interview accordée à un magazine économique allemand au sujet du prétendu dépistage d’une infection par le virus MERS à l’aide du test PCR, que ce dernier était tellement sensible que même des personnes en parfaite santé et nullement contaminées étaient susceptibles d’obtenir un résultat positif.
Dr Reiner Fuellmich – AVOCAT INTERNATIONAL
Le film-vidéo “Hold-Up” a disparu des écrans le 11 novembre 2020, quelques jours après sa sortie suite à une campagne de presse des journaux et magazines subventionnés grassement par le pouvoir en place, affirmant que tout n’y était que “Fake-news” créés par des complotistes… Puis il revient, puis il repart… et revient encore ! C’est aussi intolérable que le cirque merdiatique que nous présente notre gouvernement et les merdias serviles “aux ordres”...
En suite d’un commentaire sur Libé concernant ce film, je leur ai envoyé ce message :
Lettre ouverte à Libé qui se gargarise de l’effacement du film “Hold-Up”…
Mes Sieurs de Libé…
Qu’est-ce qui vous légitimise de jouer au chantre de la connaissance absolue en prétendant que vos réponses à vos questionnements auto-créés sont les seules vraies ?
La crédibilité de la presse papier, audio et télévisée est inversement proportionnelle aux avantages financiers consécutifs au Sésame qu’est d’obtenir la Commission Paritaire, ainsi qu’aux aides et subventions directes (par dizaines de millions) offertes par le gouvernement français en contrepartie desquels les articles restent dans “la norme”.
C’est une forme de prostitution.
Que la quasi majorité de la presse en soit réduite à cet avilissement, alors que les actionnaires sont généralement des milliardaires ou considérés tels, ne devrait pas lui donner la morgue d’une donneuse de leçons, c’est pourtant le cas!
La population croit en effet que la presse est un contre-pouvoir, c’est une illusion, en s’en apercevant les lecteurs la délaissent peu à peu qui dès-lors imagine que se prostituer davantage à vil-prix réduit à 1 euros la passe, lui permettra de survivre.
J’ai été victime via mon très petit groupe de presse de 1° la banqueroute Presstalis estimée à un milliard et demi, 2° des décisions de l’Arceps en faveur des moins impactés et 3° des conséquences de ce rejet du public envers les putes de l’info dont vous faites partie…
Puisque nous sommes “en guerre” selon la vision manichéenne “Dictatucratique” et “Macronienne”, vous ne vous positionnez pas dans la résistance mais dans la collaboration…
Bien à vous.
Patrice De Bruyne
Sur les réseaux sociaux, c’est la guérilla, à la limite du lynchage, en rappelant qu’existe la liberté d’expression, je me suis fait insulter de “crapule”, “pourriture”, “complotiste”, et curieusement aussi de “antisémite”, ce qui pourrait laisser croire que le Mossad serait à la manœuvre inverse que pour Charlie Hebdo (qui est absous d’avance de tout et n’importe quoi). Cela donne l’ampleur d’une sorte de nazification dictatucratique et ça fait craindre que la réalité soit pire encore que ce qui est décrit dans ce film… Le jour de sa sortie je l’avais acheté et téléchargé, donc il n’est pas perdu comme les photos d’Apollo sur la lune… et cela me donne la possibilité de le placer ci-dessus…
La pandémie de la Covid-19 a donné lieu à des échanges contradictoires entre médecins, spécialistes, professeurs, hommes politiques et experts, le tout orchestré et alimenté par le feu nourri des médias. Les scientifiques “officiels” se sont ainsi retrouvés discrédités avec notamment l’affaire du Lancet. Le Conseil scientifique, censé piloter cette pandémie, est ouvertement accusé d’incompétence et d’arrogance, preuves à l’appui. Et nous dans tout ça ? Que penser ? Que faire avec toutes ces informations ? Qui croire ? Allez lire ICI :
LES PUTES DE L’INFO donnent des leçons de morale !!!
Qu’en est-il des journaux et magazines qui s’arrogent le droit de faire la morale et ont inventé la chasse aux “Fake-News”, démolissant absolument tout ceux qui ne sont pas dans la forme imposée par la Dictatucratie gouvernementale ?
La moitié des subsides gouvernementaux en France vont à des journaux et magazines détenus par 7 milliardaires et une banque.
Ainsi, (Le Parisien, Aujourd’hui en France et Les Échos), journaux possédés par Bernard Arnaud, première fortune de France, touche 12,3 millions d’euros, soit 15 % des aides publiques directes à la presse.
Les titres de Patrick Drahi (Libération, le groupe L’Express, BFM-Business, BFT-TV, RMC), ont reçu plus de 7 millions d’euros chacun et chaque année. Le système lui a confié près de 50 milliards d’euros pour se lancer dans une folle boulimie d’achat, notamment dans les télécoms.
Autre exemple le groupe Dassault, via principalement Le Figaro, a obtenu 6,3 millions d’euros.
Que dire également de l’’importance croissante des aides versées par les géants de l’internet Google et Facebook, ainsi que de la Fondation Bill et Melinda Gates, à la presse nationale française. Parmi les journaux ayant reçu des financements : Valeurs Actuelles, Le Monde, Libération, Le Figaro, Les Échos, Les Inrocks, Paris-Match… L’Agence France Presse, France Télévisions, BFM-TV, 20 Minutes et d’autres sont aussi partenaires de Facebook pour la mise en place d’un système de lutte contre les prétendues « fake news » ce qui n’est que le moyen de faire croire que les journaux et magazines qui critiquent le “système” sont démolis ! Nous en sommes arrivés à une dérive en forme de “police éditoriale” sans aucune base légale et au mépris des lois !
Les journaux et magazines les plus aidés, (en particulier Le Monde, Libération et Le Figaro), sans ces aides publiques seraient en situation de faillite !
La Cour des Comptes a écrit : « Il pourrait être opportun de repenser globalement l’action publique en faveur du pluralisme des médias »
Ce sont les questions auxquelles le documentaire HOLD-UP tente de répondre en partant à la rencontre de soignants, chercheurs, experts, juristes offrant une autre lecture sur cette crise sans précédent et dénonçant une batterie de mesures gouvernementales jugées inefficaces pour la plupart.
«Ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux» – Alexis de Tocqueville
Depuis l’éclatement de la crise du coronavirus en mars 2020 et face au nombre restreint de lits de réanimation en milieu hospitalier, le gouvernement français proclame l’état d’urgence sanitaire et assoit son autorité à grand renfort de mesures liberticides : confinement, attestations de déplacement obligatoires, couvre-feu, amendes pouvant avoisiner les 3750 euros et peines de prison allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement en cas de non-respect des règles.
D’un point de vue économique, ces mesures ont pour conséquence la fermeture de 400 000 PME et la précarisation de 4 millions de français, 1 million d’entre eux risquant de rejoindre les rangs des 10 millions de français vivant d’ores et déjà en deçà du seuil de pauvreté et des 900.000 personnes sans domicile fixe.
Que dire de ces mesures pour une épidémie dont le taux de mortalité actuel est établi à 0,15% et touchant principalement les plus de 65 ans affectés par la comorbidité ? Saisis par l’urgence de la situation, le réalisateur Pierre Barnérias (TPROD) et le producteur Christophe Cossé (Tomawak) décident de s’atteler à la production du documentaire HOLD-UP, dévoilant les erreurs commises par les plus hautes instances publiques et questionnant les fondements mêmes de nos libertés et l’avenir qui nous est réservé si nous restons impassibles face à ces dérives politiques.
«Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler : Coup d’Etat» – Christophe Cossé
A terme et dans un souci de diffuser ce film citoyen au plus grand nombre, TPROD & Tomawak s’engagent à mettre ce film en accès libre sur différentes plateformes web. Pour ce faire, les 2 sociétés lancent une nouvelle campagne de soutien financier sur la plateforme Tipeee afin notamment de financer l’extension des droits d’utilisation d’images d’archives et de musiques sur différents supports, l’adaptation du film en différentes versions étrangères (anglais, espagnol, italien, allemand), les frais de montages supplémentaires et les frais de sortie.
https://odysee.com/@STOP_Masques_Vaccins_National:2/Manigance-19-Mensonges-Et-Vérités-Sur-Le-Covid:4