COVID19 : La Grande Réinitialisation Mondiale est “en marche” !
Chers “Tousses”... Plutôt que perdre votre temps dans les “Fake-News Gouvernementales”, documentez-vous sur “The Great Reset” “La grande réinitialisation”, en effet vous êtes manœuvrés par les fausses cibles inventées pour créer une diversion, notamment la haine “virale” montée à l’encontre du Professeur Raoult qui n’oppose que du bon sens au magma de contre-vérités débitées par divers endoctrineurs et endoctrineuses qui prétendent porter la seule vérité universelle, alors que les médias mainstream restent silencieux car maintenus en laisse par les aides financières gouvernementales gigantesques sans lesquelles ils feraient faillite.
Qui sont les plus virulents en France à vouloir la tête du Professeur Raoult ? Un militaire tueur de Palestiniens devenu bellâtre Filousophe collectionneur de plantes vénéneuses et poules faisandées !… Un exploiteur colonialiste donneur de leçons !… Un révolutionnaire pédophile !… Le frère, chroniqueur d’extrêmes, d’un Pépé incestueux !… Envie d’un savoir plus ? Envie de réécouter leurs insultes ?… Pas de chance elles ont été officiellement effacées !
Le “doctrineur en chef” c’est Klaus Schwab, né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, un ingénieur et économiste allemand qui a fondé en 1971 le “Symposium européen du management”, organisé à Davos en Suisse, qui deviendra en 1987 le “Forum économique mondial”. Il n’a pas les mains rouges du sang des martyrs parce qu’ils décèdent “proprement” sans “faire de tâches” sous leurs draps ! Ses mains ne sont pas pour autant noires ou blanches, elles sont incolores ! Tout “doctrineur” écrit sa bible. Jésus Christ a été utilisé via des évangiles apocryphes post-datés pour créer une nouvelle religion, Adolf Hitler a utilisé son temps de prison pour écrire “Mein Kampf”. Et Klaus Schwab à tapoté “Covid-19 : la grande réinitialisation”. Ce fondateur du “Forum de Davos” imitait le même principe que “Les Protocoles des Sages de Sion” qui étaient le guide (controversé mais pas juridiquement interdit quoiqu’une propagande affirme le contraire) des directives pour dominer le monde. Sur ce thème sa consécration en tant qu’architecte de “La Grande Réinitialisation” devait avoir lieu en janvier 2021 lors de “son” Forum de Davos. Ce livre a été co-écrit “officiellement” par Klaus Schwab et Thierry Malleret (un consultant français). Aucun des deux n’a réellement écrit ce livre dont le style ampoulé est typique des cabinets de conseil américains du genre ‘McKinsey’ ou ‘Boston Consulting Group”. C’est rébarbatif à lire, rien n’est jamais affirmé franchement, c’est toujours un “on” qui “dictature”, jamais un “je” ! Sans doute pour tenter d’éviter des poursuites pour avoir pré-organisé un gigantesque guide de l’ultime crime contre l’Humanité, suivi en application par les chefs de gouvernements et les dictateurs déjà en fonction !
Ça commence en introduction “fanfaronesque” par : “La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas d’équivalent dans l’histoire moderne”... La base de la nouvelle dictature mondiale que je nomme “La Dictatucratie nouvelle” est suscitée par la peur, de cette peur nait l’apocalypse qui permet de prendre le pouvoir sur les esprits. La création de cet “événement” selon l’aveu des auteurs :“Va changer le cours du monde”. Ils affirment que “Beaucoup d’entre nous vont se demander quand les choses reviendront à la normale ?... Pour faire court, la réponse est “JAMAIS !!! Grâce à cette pandémie créée artificiellement, la normalité d’avant la crise sera “brisée” et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d’inflexion fondamental dans “notre” trajectoire mondiale“ (1.1)
Et attention, pas question de peser le pour et le contre pour les auteurs qui dénoncent “Le sophisme économique consiste à sacrifier quelques vies pour sauver la croissance” (1.2.1.2), “Il faut obliger les populations à se conformer docilement au confinement”... Retarder le confinement ou rouvrir trop tôt est une tentation politique très forte mais mauvaise pour le but à atteindre. Il faut affirmer aux populations que : “Plusieurs études ont montré qu’une telle tentation comportait des risques considérables. Que les mesures rigoureuses de confinement imposées à grande échelle en mars 2020 ont permis d’éviter 3,1 millions de décès dans 11 pays européens” (1.2.1.2).
La manipulation éclate ainsi dès les premières pages avec des estimations totalement délirantes et maintes fois démenties. “Le programme est tout tracé, il faut confiner de force et attendre pieusement le vaccin salvateur en affirmant qu’un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible et administré à chacun au niveau mondial” (1.2.2.1) Vaccin au demeurant excessivement rentable par centaines de milliards aux laboratoires et sociétés pharmaceutiques…
Il est dit aux dirigeants que “même le vaccin, au fond, ne changera rien, on ne reviendra jamais à la situation antérieure, mais que cela rapportera des millions de milliards à qui suit la voie ! : “Dans l’ère post-pandémique, selon les projections actuelles, la nouvelle “normalité” économique pourrait être caractérisée par une croissance beaucoup plus faible que dans les décennies passées. Dans de telles conditions, alors qu’une croissance économique plus faible semble presque certaine, beaucoup de gens peuvent se demander si cette “obsession” de la croissance est utile, en concluant qu’il n’est pas logique de poursuivre un objectif de croissance du PIB toujours plus élevé” (1.2.2.3)
Et voici le premier coupable qui apparaît, le PIB : “La dépendance excessive des décideurs politiques à l’égard du PIB comme indicateur de la prospérité économique a conduit à l’épuisement actuel des ressources naturelles et sociales”. (1.2.2.3). Les auteurs soulignant qu’il faut donc affirmer que : “L’augmentation du PIB ne garantit pas l’amélioration du niveau de vie et du bien-être social” (1.2.2.3).
C’est historiquement faux, le PIB (produit intérieur brut) est la somme des valeurs ajoutées des entreprises, c’est-à-dire la libre initiative des entreprises de produire et la liberté des consommateurs d’acheter ou pas. Remettre en cause le PIB, c’est attaquer le marché libre, qui garantit justement la prospérité économique.
Selon le livre de chevet doctrinaire des irresponsables présidents-dictateurs du monde : “Il faut profiter du Covid19 et ses dérivés pour abattre “la tyrannie de la croissance du PIB qui finira par prendre fin, la pandémie accélérant les changements dans bon nombre de nos normes sociales bien ancrées”. (1.2.2.3). “Et ensuite il faudra engager le monde dans la décroissance, c’est-à-dire l’appauvrissement général “inclusive et durable” en faisant attention à ce que la poursuite de la décroissance ne manque pas de but précis” (1.2.2.3)…
Pour que les populations à asservir comprennent que la finalité libératoire est de tuer le libéralisme et le libre marché, désigné sous le terme de néolibéralisme il faut affirmer que : “Avant tout, l’ère post-pandémique n’était qu’une fausse redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail”…. En réalité le COVID-19 sonnera le glas du néolibéralisme, un corpus d’idées et de politiques que l’on définira comme privilégiant la concurrence à la solidarité, la destruction créative à l’intervention gouvernementale et la croissance économique au bien-être social”.…
“La création et l’exploitation du COVID-19 va porter le coup de grâce aux libertés individuelles” (1.3).
Ce programme “National Socialiste” se rapproche autant du “socialisme de marché à la chinoise” que du “capitalisme de connivence” que nous connaissons malheureusement en Occident, il consiste à tuer la petite entreprise libre et indépendante pour offrir ses dépouilles aux grandes multinationales liées aux États (via la commande publique, les subventions, les réglementations, le pantouflage), comme l’indiquent ingénument les auteurs : “La fausse pandémie du Covid19 permettra que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront et disparaîtront. Une grande chaîne de restaurants, par exemple, a de meilleures chances de rester opérationnelle car elle bénéficie de plus de ressources et, en fin de compte, d’une concurrence moindre à la suite des faillites de plus petits établissements” (2.2.1). Ou encore : “Dans les villes où un pourcentage élevé du budget alimentaire était traditionnellement alloué aux restaurants, ces fonds seront dépensés dans les supermarchés urbains, à mesure que les citadins redécouvrirent le plaisir de cuisiner chez eux” (2.2.2).
Le confinement semble être une image de notre avenir… D’ailleurs en obligeant la fermeture des petits commerces et en laissant les Grandes Surfaces ouvertes, les Gouvernements contribuent efficacement au plan général !
L’objectif final, c’est l’étatisation de la société mondiale, décrite comme allant de soi : “L’une des grandes leçons à tirer des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises sévères contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a pas de raison que ce soit différent avec la pandémie de COVID-19” (1.3.3).
C’est historiquement faux car, sur la période, au XVIIIe siècle, la liberté a fait en Europe et aux États-Unis un bond spectaculaire qui a justement marqué le début de la prospérité de ces nations. Mais non, pour le doctrinaire, l’histoire est toute tracée : “À l’avenir, les gouvernements décideront tout, mais avec des degrés d’intensité différents, qu’il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire l’histoire et certaines règles du jeu et d’accroître leur rôle de façon permanente. Certains pays choisiront la nationalisation, tandis que d’autres préféreront prendre des parts au capital ou accorder des prêts. En règle générale, il y aura davantage de réglementation couvrant de nombreuses questions diverses” (1.3.3) “Et pour accélérer cette transition, on pourra compter sur les activistes, dont les antifas forment la pointe la plus violente, mais cela sous la forme inventée que ce sont des personnes indignées par l’injustice flagrante du traitement préférentiel dont bénéficient exclusivement les riches, pour que cela provoque un vaste tollé dans la société”.(1.3.1) Et plus loin : “L’activisme des jeunes se développe dans le monde entier, révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation dans une mesure qui aurait été impossible auparavant. Elle prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait guère de doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’impulsion critique pour la Grande réinitialisation”. Il suffit de manoeuvrer ces jeunes en contrôlant les GAFAM“(1.3.4). Le livre fait même l’éloge du mouvement violent d’extrême-gauche “Black Lives Matter” et des émeutes qui ont suivi : “La mort de George Floyd a été l’étincelle qui a allumé le feu des troubles sociaux, mais les conditions sous-jacentes créées par la pandémie, en particulier les inégalités raciales qu’elle a mises à nu et le niveau croissant de chômage, ont été le carburant qui a amplifié les protestations et les a maintenues”. Il faut s’en servir ! (1.3.2).
Ce qui a été mis en marche et confirmé dans ce livre, n’est rien d’autre qu’un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales. C’est basé sur le même principe du National Socialisme : “Comment des hommes ont-ils pu en arriver à tuer des millions d’individus sans défense ? Et pourquoi les avoir torturés, violés, tyrannisés de cette façon avant de les détruire ? Comment le parti national-socialiste a-t-il pu connaitre un tel succès malgré de telles méthodes” ?
Tenter de comprendre le phénomène nazi qui revient en force, impose une analyse pluridisciplinaire : histoire, économie, droit, psychologie, philosophie. Et même à cette condition, la pensée vacille encore face à cette réflexion sur notre propre barbarie. Car cerner la responsabilité des crimes nazis, c’est d’abord parler de la responsabilité de l’individu face au groupe.
Ces hommes ont d’abord été des individus “normaux”. Comment sont-ils arrivés à tirer dans une nuque (Shoah par balle), verser du Zyklon B dans une chambre à gaz (industrialisation du crime), planifier l’aiguillage d’un train ou signaler des voisins suspects ? Tous ces acteurs-bourreaux ont répondu à une logique : celle du sens qu’ils donnent à leur action. L’idéologie nazie n’est pas née du cerveau d’un petit caporal. Depuis la naissance du IIe Reich en 1871, un mouvement mêlant racisme, pangermanisme et esprit de revanche prépara l’arrivée d’un Führer.
On a longtemps pris le nazisme pour une aberration ou un accident de l’Histoire, comme si Adolf Hitler était parvenu, par son seul charisme, à plonger dans l’extrémisme l’Allemagne toute entière. Mais cette doctrine aux effets dévastateurs n’est pas sortie de nulle part. Elle est au contraire l’émanation d’un puissant mouvement : la pensée völkisch (Volk signifie le peuple), populisme de droite imprégné de racisme, qui naît au moment où l’Empire allemand se cristallise. Puisant dans le romantisme et l’exaltation d’un passé glorieux, ses leaders se sont acharnés à sonder les mystères de la race, de la nature et de l’identité. Mais pour fédérer ce magma de pensées, encore manquait-il un Führer… En attente, la fausse pandémie du Covid19 fait des ravages !
La réalité s’impose : jamais définie, jamais interrogée, elle vient anesthésier toute réflexion et disqualifier comme “utopique” toute idée non orthodoxe. D’où un fatalisme qui, en économie comme dans la perception que nous avons de notre propre être historique, est lui-même : fatal. C’est la condescendance technocratique du macronisme ou de l’«àquoibonisme» hollandiste dérivés du giscardo-barrisme des années ’70. L’histoire de la montée du nazisme peut nous libérer du fatalisme ambiant… Ce n’est pas dans Facebook qu’elle se lit !
“La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine – inévitable – on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial”. – Jacques Attali.
“Aujourd’hui, les Américains seraient scandalisés si les troupes des Nations Unies entraient à Los Angeles pour rétablir l’ordre. Demain, ils vous en seront reconnaissants! Cela est particulièrement vrai si on leur disait qu’il y a une menace extérieure invisible qu’elle soit réelle ou promulguée, qui menace notre existence même. C’est alors que tous les peuples du monde s’engageront auprès des dirigeants mondiaux à les délivrer de ce mal. La seule chose que chaque homme craint est l’inconnu. Lorsque présenté avec ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés contre la garantie de leur bien-être qui leur sera accordé par leur gouvernement mondial.» – Henry Kissinger, rencontre du Bilderberg
Cette pièce de théâtre liberticide et sans issue se poursuivra que parce qu’une majeure partie de la population s’est laissé embobiner par cette fausse pandémie de peur et qu’elle s’est soumise docilement. Tant qu’une grosse partie de la population va obéir et se conformer, “ils” vont continuer à avancer leurs pions jusqu’au moment où tout sera terminé et où plus personne de la classe moyenne ou des classes inférieures ne sera en mesure de se rebeller. Bien entendu, on va nous présenter ce plan d’une manière attirante, et inspirante, mais il cachera une triste réalité : Nous ne possèderons plus rien !