Covid19 : Un moyen de domination mondiale !
Celui qui détient la dette mondiale possède également le monde. Pourquoi ? Parce que qui paie, achète aussi, c’est si bien dit… C’est si simple !
Le monde croule sous les dettes. L’ensemble de la dette mondiale dépasse 255.000 milliards de dollars (230.000 milliards d’euros) à la fin de 2019, selon l’Institute of International Finance (IIF), soit près de 32.500 dollars pour chacun des 7,7 milliards d’humains vivant sur terre !
Voyons le Covid19 au départ comme une arnaque basique…
Une arnaque basique telle que toutes les façons de faire en France, qui ne pourraient continuer sans des réseaux, des connivences, des amitiés au plus haut niveau de l’Etat, avec des hauts fonctionnaires et certains politiques qui permettent d’organiser ça. Mais c’est minable, que quelques milliards gagnés espérés en ventes de vaccins à une population de crétins-fauchés nostalgiques de l’époque de Pétain qu’ils ont connue par la procuration de leurs parents. Ce qui se passe, c’est que, en plus d’être incompétents, nos politiques, en majorité, vivent avant tout en vendant la souveraineté de la France, du collectif, au plus offrant. On ne peut pas faire grand-chose pour ce qui va se passer dans le futur. La majorité, les gens s’en fichent encore. Ils ne changeront pas leur façon de vivre, de penser et de s’entre-tuer avec la crise écologique qui couve. Pour eux, ça n’est pas suffisant pour bouger, il suffit de lire les commentaires des plus abrutis qui hurlent de pendre le Professeur Raoult. Mais lorsqu’une crise économique majeure va mettre une grande partie du système à terre, quelques-uns se réveilleront et demanderont : “Comment tourne cette machine ? Qui fait marcher l’Etat ? C’est quoi cette histoire de dette ?”…
Voyons donc la suite avec le Covid19 comme un moyen de domination mondiale…
La star Française étant Macron en besogneux fidèle comme tout employé de banque… tout comme quasi tous les chefs de gouvernements et Trump surjouant à l’Américaine le rôle du Cow-Boy Président dépité car poussé à la sortie au moment où débute la plus grande escroquerie financière depuis que le monde existe ! Il ne s’agit pas d’un Hold-Up comme décrit dans la vidéo virale concernant les dessous du Covid19 sous l’angle de la santé publique et des milliards de profits de l’industrie pharmaceutique, non… c’est bien pire et plus, il s’agit de détenir l’entièreté de la dette mondiale !
Pas besoin de fracturer les coffres-forts des Banques fussent-elles nationales ou la FED… trop mesquin, non… il s’agit de tout prendre, absolument tout, jusqu’aux êtres humains actuels et à venir.
On pourrait croire les Gouvernements devenus fous !
Oui, en effet ils stoppent l’entièreté de l’économie mondiale “pour sauver des vies” ! Ben non, en fait c’est intelligemment pensé, en coulant l’économie, ils créent “de la dette”, une dette grandiose, phénoménale, planétaire… Et qui détient la dette, possède le monde… et tout le monde qui est responsable de l’écroulement général… Chacun même en naissant sera donc redevable, à vie, d’un montant que plusieurs vies en travaux de misère ne rembourseront jamais… Pourtant créer de la dette, c’est simplement inventer de l’argent, comme fait une banque lors d’un crédit !
De là à éliminer les inutiles, c’est simple… déjà abrutis par la pandémie et les contraintes, obligations et soumissions primaires comme s’écrire son autorisation de sortir son chien, son autorisation de prendre l’air, son autorisation d’aller acheter quelques denrées bon-marché avec un masque de nivellement par le bas et l’absurde, bientôt l’autorisation de faire pipi, l’amour et la prière, il ne reste qu’à brandir l’obligation de se faire piquer (vacciner) la pire intrusion extérieure au sein de nos corps, de notre organisme… C’est aussi pire qu’un viol obligé “pour notre bien à tous”… ce qui en outre augmente la dette car les vaccins coutent chers ! Ensuite les gens vont mourir de leurs propres conneries, beaucoup d’ailleurs rêvent de se suicider… Les inutiles bien morts, la planète s’estimera contente que 9/10 n’existent plus… Restera à recréer un nouveau monde…
Dans ce nouveau monde, oubliez l’argent que vous n’aurez plus !
L’argent est devenu quelque chose d’évanescent depuis que Nixon a monté un coup tordu en éliminant la contre-valeur (parité) or, les dollars sont devenus des papiers comme des chèques qu’on n’encaisse jamais mais qu’on échange… Ensuite avec le numérique l’argent s’évapore, il n’est plus palpable, ce n’est rien que des transferts numériques, du vent… ça ne fonctionne que parce qu’on y croit et parce qu’on est stupide, mais avec la grande arnaque mondiale que certains illuminés (illuminatis) nomment “The Great Reset”... on va en revenir à la préhistoire.
À quoi sommes-nous confrontés?
Au caractère indispensable d’un reset, d’une remise des compteurs à zéro. La “Grande Réinitialisation” (“Great Reset“) sera le thème d’un sommet unique qui aura lieu en janvier 2021, et qui sera convoqué par le Forum Économique Mondial. Et c’est ce qui permettra que le non-dit transparaît dans un discours de type collapsologue : “l’idéal humain n’est réalisable qu’au sortir d’un grand effondrement, assorti d’un grand dépeuplement, comme l’étape nécessaire par laquelle il faut nécessairement passer”. La question doit être posée si, vue d’une certaine altitude : du point de vue de l’espèce dans son ensemble, la justification de la politique dite “du colibri” : “J’accomplis ma minuscule part”, ne relève du principe biologique de l’apoptose : le suicide programmé de cellules dans le cadre d’un organe ayant conclu qu’il était condamné… Suicidons 90% des habitants de la planète et la machine repart !
Ça vient d’où la dette ?
C’est tout sauf une invention moderne ! Depuis les Sumériens les gens s’endettaient auprès des gouvernants ou des créanciers quand ils ne disposaient pas de ressources suffisantes (dû à une mauvaise récolte par ex). Pour les Babyloniens, la dette c’était même leur moyen de paiement, ils n’avaient pas de monnaie et pour ne pas avoir à s’encombrer avec leur bétail systématiquement pour faire du troc, ils notaient ce que l’autre devait lui amener quand il aurait le temps et les ressources suffisantes. A ce moment-là, là la dette était d’abord et surtout une relation de confiance entre deux personnes et qui permettait de créer du lien social. (D’ailleurs, c’était même l’expression utilisée dans le “Notre père” au début : ils ne disaient pas “Pardonne-nous nos offenses”… mais “Annule-nous nos dettes” … comme dans le “Kol-Nidré” des Juifs)
Mais, quand on a commencé à vouloir en faire une activité économique en soi, qu’on a voulu vendre de l’argent comme on vend une marchandise, c’est devenu un peu moins sympathique. Il y avait donc les riches créanciers, comme la famille Médicis par exemple, qui prêtaient de l’argent aux gens, aux Etats ou aux entreprises, qui en contrepartie s’engageaient à rendre la somme et un p’tit plus pour remercier le généreux donateur. Ça a poussé les débiteurs (ceux qui contractent une dette) à faire tout et n’importe quoi pour ne plus être inquiété par la dette.
Par exemple, pendant la colonisation de l’Amérique, les navigateurs empruntaient de lourdes sommes pour financer leurs expéditions (à taux élevés parce que les créanciers ne savaient pas s’ils allaient revenir vu les risques que représentait la traversée) et du coup une fois sur place ils détruisaient, et dévalisaient tout et tout le monde pour arriver à tirer ne serait-ce qu’un petit bénéfice personnel. Il fallait à tout prix rentabiliser le voyage pour rembourser le créancier, financer l’équipage etc. Donc ils exploitaient un maximum de ressources, et asservissaient les populations autochtones pour gagner le plus possible. Donc là, la relation de confiance avait pris un sacré coup parce que d’un côté il y a celui qui emprunte qui est forcé de travailler plus, de produire plus avec la boule au ventre s’il se rend compte qu’il va peut-être être mutilé parce qu’il n’arrive pas à rembourser, et de l’autre côté il y a celui qui prête de l’argent, qui s’enrichit comme un malade en exploitant le travail de l’autre alors que tout ce qu’il a fait c’est prêter l’argent d’autres gens à ce gars.
L’après Covid (si l’affaire fonctionne, c’est pour cela qu’on pousse les merdias amis à détruire ceux qui pensent différemment) !
La dette, même si elle est quelque part nécessaire pour tout le monde, c’est aussi et surtout un instrument de pouvoir Dans son article L’Esclave, la dette et le pouvoir Alain Testart montre qu’il y a un continuum entre esclavage, dette et pouvoir ; l’endettement est une forme d’esclavage parce qu’on est lié personnellement à une institution. Et historiquement, les gens qui ne payaient pas leurs dettes pouvaient être mutilés, aujourd’hui on peut aller en prison pour ça.
Donc il y a déjà une relation de pouvoir entre le créancier et le débiteur mais aussi entre l’Etat souverain et les créanciers, parce que les grands créanciers se retrouvent avec un pouvoir énorme sur les citoyens. Pendant longtemps les Etats régulaient ce marché des dette privées mais aujourd’hui on est passé dans le paradigme de l’autorégulation des marchés, ce qui a pu mener à des véritables désastres et notamment la crise des “Subprimes”. Cette crise mondiale est due au phénomène de tritrisation : les créances sont vendues sur le marché financier mondial, ce qui fait que quand les Américains qui avaient un emprunt “subprime” n’ont plus pu rembourser, c’est toutes les banques qui avaient acheté des créances qui sont tombées. Mais pour éviter que ce soit l’intégralité du marché financier qui s’écroule, les pays se sont endettés pour sauver les banques ; en gros, les Etats se sont endettés pour désendetter les banques.
Tout notre système monétaire repose sur la dette !
Quand on fait un emprunt, la banque fait de la création monétaire « ex nihilo », c’est-à-dire qu’elle note juste un chiffre sur notre compte – qui n’a aucune valeur en soi puisque l’argent n’existe pas encore – en pariant sur le fait que cet argent “virtuel” sera détruit par le remboursement. Mais ces deux “nuls” créent en fait un même montant numérique que la banque va utiliser dans des achats de biens réels… Une arnaque légalisée ! Personne ne réclame, c’est normal ! 90% des gens sont crétins donc pourquoi se priver… Et leurs taux d’intérêts ça leur sert à spéculer sur les marchés financiers (où plus c’est risqué plus ça rapporte gros), et à financer les millionnaires qui travaillent avec la banque. Maintenant que la planète est surpeuplée, il fallait trouver un moyen de liquider un max de gens tout en ne détruisant pas leurs biens !
Vers une domination mondiale de nouveau type…
Certains stratèges, aux Etats-Unis, rêvent de prendre le contrôle des réseaux cybernétiques et des fabuleuses richesses que vont produire, semble-t-il, les industries de l’immatériel, du savoir et de la connaissance. Ils veulent construire le nouvel Empire de l’ère électronique. Au centre de celui-ci : un marché mondial totalement innervé par les technologies du futur. Comment s’opposer à cette moderne tentation totalitaire ? Sans doute par un bouleversement politique de type révolutionnaire.
Ancien haut responsable au Pentagone, aujourd’hui doyen de la Kennedy School de l’université Harvard, M. Joseph S. Nye souligne, dans un récent article (cosigné par William A. Owens) publié par la revue Foreign Affairs, combien l’Amérique, grâce à son « incomparable capacité à intégrer les complexes systèmes de l’information », va conforter dans un avenir prévisible sa domination politique mondiale. Il pense que la géopolitique se définit de plus en plus comme le moyen de contrôler le « pouvoir immatériel » (soft power), c’est-à-dire les technologies de l’information dessinant les frontières du cyberespace. Une telle vision se fonde sur l’exemple de la guerre du Golfe, modèle embryonnaire de ce que la puissance cybernétique permettra de réaliser à l’avenir. Une fois encore le rêve faustien d’un empire mondial se nourrit d’un dopant technologique, mais on ignore encore qui pourrait contrôler les contrôleurs alors que les gouvernements démocratiques eux-mêmes sont de moins en moins capables d’exercer sur leur territoire leurs responsabilités vis-à-vis de leur peuple. Mais il est une autre catégorie de rêveurs. Il s’agit de ceux qui ont une vision libertaire de la communauté cybernétique, qui ne prennent en considération que les « netoyens » — ces citoyens du « net », du réseau Internet —, qui ignorent les signes d’identification traditionnels que sont la nationalité, l’appartenance ethnique, la religion, le sexe, l’enracinement géographique, et qui, pourtant, sont capables de relier entre eux les détenteurs de convictions les plus diverses mais aussi les plus sinistres, perverses ou étranges, disséminés un peu partout. M. John Perry Barlow, éminent futurologue, cofondateur de la Fondation de la frontière électronique de Davos (fait significatif, ce village suisse accueille chaque année les responsables du capitalisme mondial), a publié une « Déclaration d’indépendance du Cyberspace »