Crime parfait en septembre…
Le simulacre, c’est la copie à l’identique d’un original n’ayant jamais existé…
Le simulacre n’est pas la représentation truquée, falsifiée, manipulée de la réalité…, trop souvent on confond le mythe platonicien de la caverne et le simulacre…
Chez Platon, il y a encore de la réalité (des hommes enchainés au fond de la caverne) et de l’illusion (leurs ombres sur le mur)…
Alors qu’en fait, il n’y a pas plus de réalité que de représentation, c’est simplement la déduction d’une illusion qui pourrait être une réalité…
Il n’y a pas de cadavre du réel… et pour cause : le réel n’est pas irréel, donc il ne peut mourir, il ne peut que disparaître, le réel n’est alors plus, il s’évanouit, il se dissipe dans le désert du réel.
C’est un crime parfait : c’est le virtuel, que l’on oppose généralement au réel, qui l’a liquidé.
Les images numériques, internet, le clonage, toutes ces technologies et ces techniques (que l’on nomme virtuel) ne dupliquent pas la réalité, mais œuvrent à sa dissolution.
Cependant, il faut écarter les malentendus : la disparition du réel n’est qu’une hypothèse qui n’intervient qu’au plan métaphysique ; le réel n’a plus de consistance propre, il est systématiquement confondu avec le virtuel.
Je vous sens perdu, là, d’un coup, affaiblis aussi, vous attrapez mal à la tête, vous avez envie de cliquer, incapables de tourner une page qui n’existe pas…, vous perdez vos repères, les mots ne décrivent plus le réel, vous confondez même “dire” et “écrire”…
Voyez comme c’est simple de modifier l’espace, le temps qui passe sans passer, qui s’arrête, ou va plus vite au gré des manipulations…
Il devient impossible de distinguer l’original et la copie, l’authentique du faux, l’événement de son interprétation…, l’implosion des faits dans l’hypertrophie de leurs commentaires…, la chose de sa représentation.
Dans cette indistinction…, qui est une déréalisation du monde, votre stade hyperréel renvoie à l’impossibilité de discerner l’original et la copie.
Puis vous optez pour l’expression paradoxale d’une réalité intégrale qui désigne une ère où les supposés opposés (réel/virtuel) s’entremêlent jusqu’au vertige.
Vous êtes perdus, là, maintenant, vous commencez à confondre, une certaine confusion s’installe en vous, pour vous en sortir, sans savoir de quoi, vous venez de décréter subitement que cet article est fou, œuvre d’un fou…
De ce flash lumineux, d’un coup, vous allez mieux et êtes prêts à lire la suite, convaincus que votre point de vue est un anti-virus efficace à cette dérive…
Quoique !
La réalité intégrale que vous vivez est l’irréalité d’un stade où les choses perdent leur distance, leur substance, leur résistance dans l’accélération indifférente d’un système qui vous échappe et où les valeurs affolées se mettent à produire leurs contraires !
Réveillez-vous, vous ne faites ici que revivre en accéléré le simulacre des vérités et réalités, telles que les médias vous les matraquent : réversibilité de la production et de la consommation dans l’ordre économique ; réversibilité de la gauche et de la droite dans l’ordre politique ; réversibilité du beau et du laid dans l’ordre esthétique ; réversibilité du bien et du mal dans l’ordre moral.
Cette réversibilité infinie ébranle la possibilité de perceptions et de jugements solides et fait perdre le sens des réalités.
Lumière sur un virtuose de cette magie occulte, j’ai nommé David Rockefeller (assisté de ses “illusionnistes”) avec son tour le plus bluffant (c’est le cas de le dire) : le Nouvel Ordre Mondial, métamorphosant l’ordre en désordre et la paix en enfer tout en prétendant faire le contraire et sans se heurter à la moindre sédition.
Du grand art avouez-le mais n’applaudissez surtout pas !
Les truquages sont là, en coulisse… et il ne tient désormais qu’à vous de les découvrir en quittant la place d’esclave ignare qui vous a été réservée (quelle délicate attention !).
Ne vous laissez pas hypnotiser par le spectacle truqué, aux “artistes”, aux “comédiens” et aux décors spécieux.
Réveillez-vous, levez-vous et effectuez pas à pas la marche subversive vers la vérité qu’on vous cache et par la seule prise de conscience massive de laquelle le changement sera enfin possible grâce à votre contre inertie fataliste…
Savez-vous au moins dans quelle réalité vous vivez ?
La société de consommation, terme utilisé par le philosophe Henri Lefebvre dans les années 1960, désigne le stade dans lequel l’achat des objets de consommation est à la fois le moteur et la finalité de
la société.
Dans cette organisation totale de la quotidienneté, dans cet environnement climatisé, aménagé, culturalisé, la vie se transforme en un immense travelling où, parmi les centres commerciaux et les villes façon Disneyland, le shopping perpétuel devient l’activité principale de l’individu contemporain.
La valeur d’usage des objets, présuppose qu’ils ont pour fonction de répondre à des besoins clairement identifiables.
Or, un objet excède toujours sa fonctionnalité : un vêtement, même dans les tribus les plus primitives, ne sert pas uniquement à se vêtir, mais revêt des fonctions à la fois esthétiques, culturelles et de prestige.
Et la ruse de la société de consommation est d’abolir la distinction entre l’utile et le futile, le nécessaire de l’accessoire et de créer sans cesse de nouveaux besoins.
Des motivations jugées secondaires (la quête de distinction, l’affiliation à un groupe social supérieur, l’affirmation de soi, la volonté d’être moderne) deviennent déterminantes dans l’acte d’achat.
D’où le caractère ambivalent, à la fois “comblant” et “déceptif” de la consommation : l’objet ultime, celui qui va combler vos désirs, satisfaire vos envie, est toujours le suivant, le prochain…
Les objets échappent donc à toute utilité et à tout usage.
Ils s’abstraient dans des logiques de goût, de distinction, de connotations infinies.
Bref, ils deviennent des signes, les objets renvoient à un monde moins réel que ne le laisse croire l’apparente toute-puissance de la consommation et du profit.
En ce cas, je vise l’automobile dans sa généralité, son besoin incessant de métaux, de plastiques et de pétrole… des industries planétaires aux mains de quelques-uns qui régentent et dirigent le monde à leurs seuls profits !
C’est un concept mystérieux qui les anime et qui les contrarie en même-temps…. et pourtant il irradie, il s’inspire du don et du contre-don des sociétés primitives, c’est-à-dire la règle ancestrale voulant qu’à chaque présent soit rendu un présent supérieur, ce qui engendre un duel symbolique pouvant aller jusqu’à la ruine de l’un des participants.
La dépense, le gaspillage, sont des principes tout aussi important que la nécessité d’accumuler et de produire.
Cette formidable entreprise de dépense irrationnelle, de gaspillage, de consommation des efforts de production et de travail, est à l’œuvre…, projeté au cœur de la modernité et détourné de son sens initial.
L’échange symbolique, qui n’est pas cantonné dans un avant ou dans un ailleurs (les sociétés primitives), est un principe de défi à tous les ordres, un principe supérieur à toute rébellion et à toute révolution (toujours menacées de récupération) et qui consiste à défier l’adversaire par un don auquel il ne puisse pas répondre, sinon par sa propre mort et son propre effondrement !
C’est sous cet angle qu’il vous faut percevoir et comprendre les attentats du 11 septembre 2001 : c’est une logique de défi maximal, puisqu’à la mort offerte, aucun adversaire ne pouvait répondre et surenchérir !
Démonstration que les attentats n’étaient pas l’œuvre de “terroristes-islamiques” qu’on n’a jamais pu “éradiquer”…, par impossible, car ils sont irréels, inventés, tout comme la version “officielle” et le scénario tarabiscoté : les tours qui implosent, une troisième non touchée aussi…, un avion qui se miniaturise et dont les ailes rétrécissent dans un trou trop petit sur le Pentagone dont aucune caméra n’a jamais saisi la moindre image…, un autre avion qui se liquéfie dans une cavité plus petite qu’une piscine gonflable, sans débris…
Des mensonges débilitants qu’aucun média aux bottes des gouvernements n’a jamais investigué sérieusement, des irréalités auxquelles vous êtes tenu de croire sous peine d’être assimilé à des révisionistes, voire (et en ce cas, c’est surréaliste) à des antisémites !
Ces attentats ne sont pas des agressions de “terroristes-islamistes” mais la mise en action d’un plan machiavélique ou, pour obtenir l’aval du monde entier afin d’aller voler les ressources d’Afghanistan et d’Irak tout en enrichissant les industries de l’armement et du pétrole…, il était obligatoire d’accomplir comme un sacrifice d’Abraham, tuer ses fils et filles pour avoir la bénédiction des dieux…
Le 11 septembre 2001 a mis la mondialisation triomphante aux prises avec elle-même, concrétisant un vœu inavoué des Occidentaux : Nous en avons rêvé car nul ne peut ne pas rêver de la destruction d’une puissance devenue à ce point hégémonique !
Nombreux se demandent toujours comment il est possible de trouver de la jubilation à tuer des innocents d’ailleurs… et voler leurs biens… dans l’organisation d’actes de terreur contre ses propres citoyens…
La réponse est : Ce sont des jeux du cirque, peu importe qui meurt dans d’atroces souffrances, pour autant qu’on en jouisse…
Néron, ici, c’est ce cher David Rockefeller…
Espérant que le spectacle vous a plu, car son coût va vous ruiner, il y a eu un premier choc en 2008/2009 qui a précipité l’économie occidentale au tapis…, on prévoit un second choc, bientôt…
J’imagine que David l’a prévu, car l’ennemi a abattre, c’est vous…
Les Projets de David Rockefeller…
David Rockefeller face à Benjamin fulford 1/4
David Rockefeller face à Benjamin Fulford 2/4
David Rockefeller face à Benjamin Fulford 3/4
David Rockefeller face à Benjamin Fulford 4/4