Toute quête spirituelle commence par un meurtre, celui de l’ego…
Si vous mourez et que vous êtes envoyé au paradis Porsche, outre que vous y verrez Adolf Hitler statufié en hommage à l’amitié indéfectible qui le liait à Heer Doctor Porsche qui fut le génie créateur de la Vokswagen Käfer (quoique “pompée” sur la technologie de la Tatra), mais vous serez stupéfait de constater que le paradis Porsche se trouve aux USA et pourrait ressembler à quelque chose comme “The White Collection”… 63 automobiles Porsche’s, dont 56 Supercar’s, toutes peintes en blanc, toutes rassemblées en une seule collection privée par Tim Goodrich, leur défunt propriétaire américain, axé sur la perfection et le génie Nazi de Ferdinand Porsche…Rien n’est à en dire et critiquer puisque le père de Georges W. Bush (Président des USA) était fervent admirateur des Nazis et également ami d’Adolf Hitler. Manifestement la guerre 1939/45 a été industriellement gagnée par les Nazis, quoiqu’on puisse prétendre, puisqu’au départ de la petite Käfer/Cox/Beetle, Volkswagen possède Audi, Seat, Cupra, Škoda, Porsche, Lamborghini, Bentley, Jetta, Bugatti, Ducati, Scania, MAN, Navistar… et que BMW a racheté Rolls Royce… Beaucoup de survivants Nazis sont devenus Juifs-Ukrainiens et une grosse part en trop-plein ayant ainsi changé d’identité sont devenus plus Juifs que Juifs et sont partis coloniser la Palestine, créant dernièrement un “Remake” d’Oradour-sur-Glane à Gaza-sur-Palestine… Pourquoi un tel massacre ? À la suite du Débarquement du 6 juin 1944, l’armée allemande souhaitait se défaire de la menace que représentait la présence de Résistants (nommés Terroristes) à l’arrière du front. Une opération de terreur ayant pour objectif de servir d’exemple est alors mise au point… Résultat : 643 morts et aucun blessé à Oradour-sur-Glane… L’horreur absolue… En similitude, plus de 5.000 morts et 6.500 blessés à Gaza-en-Palestine… 20 fois plus… 20 fois plus horrible que les crimes nazis… Pas à dire, en 79 ans les progrès sont considérables… Comme de plus, ma LéaFrancis volée par une bande criminelle organisée a été exfiltrée en Israël par l’Agent Général AXA Belge, ma coupe est pleine… Mon Papa Antoine, qui avait caché deux familles Juives en 1944 pour les sauver des camps, doit se retourner dans sa tombe… Bien… Cette partie étant publiée et conforme aux faits historiques, je continue mon billet d’humeur…
D’évidence, pour les “ceusses” conscient(e)s de la dérision de la plupart des engagements humains, de la plupart des existences et de la plupart des cérémonies (toujours mortuaires), le jeu n’en vaudra jamais la chandelle. Tout autour et alentours, les imbéciles sont en position de force, ne serait-ce que parce que le pouvoir ne s’obtient qu’à condition d’être le plus connard possible, politiquement-correct, crédule, aux ordres, obéissant… Aussi, trouver un imbécile est-il facile, ils pullulent au rebours des politiquement-incorrects qui sont une espèce rare. Observez le premier quidam que vous croiserez, son regard est terne, sa démarche pesante, engourdie, disgracieuse, même ses cheveux semblent sur le point de se décoller de son crâne. Tout en lui témoigne de l’imbécilité. Par exemple, il se pourrait qu’il vous donne l’impression d’émettre des radiations et ce serait logique car il se dégage toujours quelque chose des imbéciles, une puanteur accompagnant l’arrêt de leurs fonctions cérébrales, de quoi vous faire vomir votre déjeuner si vous y êtes trop longtemps exposé. Hériter de la vie et parvenir à s’y accrocher, tel est, dans notre société pusillanime, cruelle, hypocrite, le problème ! En littérature, nous avons eu quelques bons professeurs et autant de mauvais. Mais, quand il y va de l’histoire des nations, l’équilibre est rompu : dirigeants et leaders politiques n’ont été, au fil des siècles, que de piètres crétins, de sorte qu’ils sont responsables de la situation catastrophique dans laquelle nous nous débattons. Si nos grands hommes, ou passant pour tels, doivent, par nécessité, se montrer fourbes, incompétents et bêtes à manger du foin, c’est que, pour espérer pouvoir un jour diriger les imbéciles, il leur faut parler un langage adéquat et prêcher des méthodes mortifères comme la guerre afin d’être compris par les cerveaux en état de putréfaction avancée. L’histoire, parce qu’on l’écrit toujours au nom de l’Ordre, au nom de la Ruche, ne nous aura laissé que des flots de sang, des instruments de torture et des amoncellements d’ordures. Aujourd’hui encore, après des milliers d’années de civilisation dont 2.000 ans de judéo-chrétienté, les rues fourmillent d’ivrognes, de mendiants, d’affamés, et aussi d’assassins, de flics, et d’handicapés livrés à eux-mêmes, et voilà dans quel océan de merde nos enfants sont précipités, nous l’appelons Société…
À moins d’un revirement phénoménal qui tiendrait du miracle, je ne suis pas certain que le monde puisse être sauvé. Et puisque le salut du monde n’est pas de mon ressort, je me “spermet” au moins de dresser un état des lieux et d’examiner le sort qui nous est fait. Les sauveurs se ramassent à la pelle. Ils sont presque aussi nombreux que les imbéciles. Et, d’ailleurs, un grand nombre de ces rédempteurs appartiennent déjà au peuple des morts. Car, quelque part en chemin, ils ont oublié de se sauver eux-mêmes. Membres de cette société à la dérive, les poètes y jouent par voie de conséquence un rôle dont l’importance varie précisément en fonction de leur investissement respectif dans ladite société. S’ils s’aplatissent devant elle, ils toucheront leurs trente deniers. Il en est d’autres qui, bien qu’en désaccord avec la marche de l’histoire et les gouvernements en place, s’interdisent le moindre commentaire et reçoivent eux aussi le salaire de leur silence. Le plus souvent, et quelle que soit leur attitude, tous ces poètes accouchent, non sans un certain raffinement, d’une poésie où le futile le dispute à l’inutile. Voilà qui est écœurant, tristement écœurant. La majeure partie de notre mauvaise poésie, je pense particulièrement aux chansons saumâtres pour bisounours masturbateurs (et trices), celles que tout le monde s’arrache, sont écrites par des recalés de l’inhumanité, qui font tourner la roue de leur fortune aidés de diverses marionnettes collaborant de tout leur être au système, même si à l’occasion, par jalousie ou carriérisme, il peut leur arriver de se disputer quelques bribes de pouvoir. Chacun/chacune vient au monde avec sa propre originalité, laquelle ira en s’émoussant au fur et à mesure de l’usure du temps. Dans la mesure où elle n’est qu’un alinéa de l’histoire des natures mortes, tout cela n’est d’aucune utilité. La société nous répète pourtant qu’un homme dépourvu d’une formation, qui a refusé de jouer le jeu, finira tout en bas de l’échelle en se voyant affecter aux besognes les plus indignes comme de livrer des produits issus du consumérisme, de faire le garçon de course, de laver des voitures, de faire la plonge, de surveiller des halls d’immeubles, et ainsi de suite. Aussi, moins longtemps vous y réfléchirez, plus vite vous finirez par vous décider.
Et, au vu des minables choix proposés, vous ne sauverez pas le monde mais, pour sûr, vous ne lui causerez aucun mal. Et si vous avez sans mentir la poésie dans la peau, rien ne vous empêchera d’en écrire à votre rythme, rageur ou serein, un rythme qu’aura suscité dans votre âme la situation misérable qui est la vôtre. Pour peu que la chance s’en mêle, vous choisirez de crever la dalle plutôt que de crever à petit feu en lavant la vaisselle des autres à qui vous cirerez les pompes en finale. Les grands mots stériles et sépulcraux couleront dans vos têtes de piafs, tant et si bien qu’ils finiront presque par avoir du sens si vous avez suffisamment de patience pour les découvrir, ajoutant leur touche de morbidité à une histoire qui n’est déjà qu’un immense mouroir, empilant artifices sur artifices, mensonges sur mensonges… moyennant quoi, sous cette avalanche de pestilentielles déjections, vos pauvres âmes, déjà bien mal en point, vont se consumer d’ennui. Mais, surtout, n’oublions pas les idiots, généralement des imbéciles supérieurs, qui sont prêts à tout pour être admis dans le club des Grandes Têtes Molles, ceux-là pousseront le vice jusqu’à pondre de mortelles entourloupes, lesquelles, comme celles de leurs maîtres, ne parleront de rien, de rien. Pour ma part, j’écris toujours le dessous des choses, bien en dessous, alors forcément, lorsque, je tapote un mot derrière l’autre, je n’observe pas vraiment les conventions établies. Je n’en ai jamais respecté aucune. De sorte que, pour m’émanciper de ce monde d’imbéciles, je ne cherche, n’en doutez pas, à plaire ou à impressionner. Pour la plupart des imbéciles, il est interdit d’introduire du bruit et de la fureur dans les écrits. La préciosité tient au fait de ne pas s’intéresser à ce qui ne compte pas ce qui revient à gérer un compte épargne. Les tronches d’imbéciles, aux traits sculptés par la médiocrité, la sournoiserie, la pétoche, ne disparaîtront jamais. Quitte à pleurer, je préfère le faire sur toutes ces jolies filles que l’âge a fini par rattraper, ne me faites pas un mauvais procès, je ne prétends pas à l’immortalité ; je ne réclame aucun traitement de faveur, tout est précieux, je fais partie de ces rares hommes qui, talentueux ou non, ne supportent plus ce sempiternel jeu de la mort, et qui, avec leurs bras, leurs nez, leurs cerveaux, leurs os, essaient d’injecter un petit peu de raison dans ce monde enténébré.
La recrudescence des manifestations avec tabassages par la police atteste en effet que quelque chose de formidable est sur le point de naître. Et ce qu’il y a de plus extraordinaire, c’est que la majorité des nouveaux (les doués, pas les autres) ne s’intéresse pas, ou peu, à la politique. Voilà pourquoi la police a reçu mission de matraquer, et ce bien qu’elle soit surchargée, mais oui, de travail. Le plus dur, entre parenthèses, ce n’est pas la flicaille, mais le tribunal, car la présomption d’innocence ne signifie plus grand-chose. Il faut en avoir plein les poches si l’on veut déjouer les pièges de la loi et pénétrer les esprits étriqués des juges. Bordel de merde, même si vous confiez à votre avocat ce que vous pensez, il va devoir repatouiller, reformuler votre déclaration afin qu’elle s’accorde avec ce code pénal que les morts-vivants ont écrit pour protéger les leurs. Plus personne d’ailleurs n’y comprend quoi que soit ; l’esprit des lois, ayant perdu tout rapport avec la réalité, s’est lentement dissout au fil des années. J’entrevois ainsi le jour où l’on aura réussi à nous faire oublier que Van Gogh fut dans sa jeunesse un idiot magnifique, le jour où l’on attribuera son échec final à un manque de pureté, de cœur et de perspicacité, tout le contraire de ce qui est communément admis aujourd’hui. Que voulez-vous, on n’arrête pas le progrès. Matisse, en revanche, continuera de trôner au sommet, car jamais on ne se lassera de sa peinture. Dostoïevski tiendra bon lui aussi, même si certains de ses romans feront sourire et il n’est pas exclu qu’on le traite d’excentrique et, peut-être même, d’agité du bocal. Bernard Henry Levy, notre grand romancier, tombera en un clin d’œil dans l’oubli. Bien que d’une totale sincérité, Kafka disparaîtra en même temps qu’on découvrira de nouvelles dimensions spatio-temporelles, mais je suis bien incapable de vous en expliquer la raison. Je ne possède pas toutes les réponses, je ne fonctionne qu’à l’intuition. Quoi qu’il en paraisse, mon article se veut être une déclaration de guerre contre tous ceux qui parasitent ma vie. La réussite n’implique pas de rouler au volant d’une Ferraillerie, bien au contraire, c’est justement pour m’éviter un tel piège et une flopée d’autres que j’ai écrit cet article parce que trop peu de rebelles ont songé à publier un manifeste sur lequel s’appuyer. J’espère que ces lignes, toucheront certain(e)s d’entre vous… Pffffffff ! Venez lire www.GatsbyOnline.com de pair avec www.ChromesFlammes.com et www.SecretsInterdits.com