Dieu a toujours une tarte à la crème cachée dans sa manche…
On sait que dieu a toujours une tarte à la crème cachée dans sa manche.
On râle de se la prendre en pleine figure qu’on a maintenant, bronzée, blanche ou noire, puis on en rit avec d’autres couleurs parce qu’on n’aime pas saler le pastis avec des larmes ….
Les braves pas toujours malins ou beaux, ont aussi vite la main aux fesses qu’au cœur.
On râle de se la prendre en pleine figure qu’on a maintenant, grise, fripée ou sourire, puis on en pleure avec moins de couleurs parce que les larmes remplacent ici les armes ….
Plus personne ne sait plus si la vie est un post-scriptum ou un préambule.
On râle de se la prendre en pleine figure qu’on a maintenant, incolore, pale ou multicolore, puis on en meurt jusqu’au bout de l’héroïsme pour que les aimés et aimées s’en revivent …
Il faut une infinie humanité pour supporter les dires et dédires narratifs.
On râle de se la prendre en pleine figure qu’on garde, prolétaire, fonctionnaire ou patronale, puis on en renaît dans une sincérité de voyous aux âmes qui scient les coups de cœur…
Patrice c’est Quelqu’un…