Écrits vains… Écrire pour une misère… Pour lire : https://nakba.life
Appréciez (d’avance) le double sens de ce titre : “UNE MISERE”… C’est d’abord le contenu d’un livre écrit depuis quelques années, la misère et le martyre Palestinien nommé “Nakba”… Mais c’est aussi “La misère” que me paierait un éditeur “engagé” pour publier ce que j’en ai écrit (le double sens “engagé” n’est par-contre pas involontaire car c’est l’attrape-nigaud habituel pour faire et laisser croire en tout et n’importe quoi d’un même bord de pensée et de politique) ! Depuis le 16 mai 2014 je suis enfin (ou déjà, c’est selon mon humeur) retraité…car né le 16 mai 1949. Certains pensent (personne n’ose me le dire ouvertement) que ça ne doit me changer en rien du temps que je passe sur mon ordinateur, ce en quoi ils n’ont pas tort, dans le sens ou j’écris beaucoup (parce que c’est mon bon plaisir) sur mes anciennes passions automobiles, mais aussi de manière politiquement (très) incorrecte sur divers sujets qui me fâchent de plus en plus… Toujours est-il qu’en suite de mes publications sur le web-site sur lequel vous me lisez, je reçois quotidiennement dans ma boîte émail virtuelle, entr’autres commentaires généralement admiratifs et laudatifs, très engagés à mes causes, (donc à chaque article), des offres pernicieuses, scientifiquement calculées par un logiciel d’intelligence artificielle créateur d’escroqueries, me proposant (je résume) des affaires à ne pas laisser passer, qui ne sont que des tentatives destinées à me piquer les économies de toute ma vie dans des affaires “juteusement-foireuses”… Et, dans ce bazar des mille et un cauchemars, se trouvait un courriel de mon avocat préféré m’informant qu’un éditeur était enthousiaste rien qu’à l’idée d’éditer mon livre “Nakba” en France… Ce qui est suspect…
Ne recevant pas vraiment les coordonnées de cet éditeur (seulement le lien de son site-web ou ne figure aucun contact possible ni téléphone), je me suis d’abord échiné à découvrir son adresse “physique”… Puis je me suis renseigné sur son état financier général (je reste vague, mais cela inclus des commentaires d’internautes ayant été publiés par lui mais jamais payés)… Ensuite je lui ai téléphoné, naïvement convaincu qu’il était assis devant son téléphone à attendre mon appel, se morfondant de plus en plus au fil des heures… Pas du tout, son tel n’étant qu’un “portable”, il pouvait être “joignable” jours et nuits s’il daignait décrocher (un double sens)… Et, pour moi (sic !), sitôt branchés, il s’est d’emblée lancé dans un discours très rodé à destination des écrivains-scribouilleurs, n’osant toutefois pas, ni me dire qu’il me mettait dans le même sac, ni me proposer de m’éditer à compte d’auteur (qui paie tout et ne reçoit rien)… J’ai réussi à lui commenter qui j’étais, ce que j’avais fait, créé, publié, en ce compris une expérience malheureuse d’édition à compte d’auteur et autres déboires, précisant que “Nakba” avait été réalisé en suite (dix ans plus tard quand même) de mon autre livre “Les Protocoles De Sion”, qui pourtant m’avait empoisonné l’existence, quoique j’étais sorti blanchi (un non-lieu) de plaintes déposées pour en interdire la diffusion, qui était donc 100% libre de toutes entraves !
J’ai précisé que j’étais vendeur des droits d’auteur pour le monde entier… et il m’a certifié m’écrire dans la journée pour me proposer un contrat-type…
Un contrat-type n’est pas très valorisant car il signifie que quel que soit l’ouvrage en négociation à publier, quel que soit son intérêt, son contenu, son style et son potentiel, il est égal à ce qui est, soit pire, soit meilleur ! Il ne m’a finalement pas envoyé de contrat-type, il n’a pas osé (à moins qu’une brève concertation avec notre avocat commun l’a décidé à être plus aimable), il m’a envoyé ceci :
Cher Monsieur,
Je suis intéressé d’éditer “Nakba”, le livre que vous avez réalisé en maquette et donné à vos proches, dont votre avocat, qui m’a confié son exemplaire. Suite à notre conversation téléphonique, je suis allé sur votre web-site www.GatsbyOnline.com qui est très intéressant, l’information y est dense et de qualité, bravo ! Je ne vous impose pas de financer votre édition et de travailler à compte d’auteur mais je travaille de manière classique : une petite avance dans certains cas, max 500€, et un droit d’auteur de 8% sur prix public hors TVA. Le premier tirage sera de 1.500 exemplaires. L’e-book est publié de manière conjointe sur iTunes et Kindle. Vos droits sur l’édition numérique sont de 15 % de mon retour net, soit prix de vente public (min. 30 % inférieur au prix du livre papier) moins déduction de ce prix de vente de la TVA (variable selon les pays) et de la commission Amazon / Kindle de 30 %. Ces 15 % se comptent sur le chiffre d’affaires. Je n’édite qu’en français, et bien sûr, cela inclut Belgique, Luxembourg, France et Canada francophone. Je veux bien me charger de négocier vos droits étrangers, si intérêt, mais ce n’est absolument pas essentiel pour moi, vous pouvez très bien vous en charger et donc conserver l’entièreté de vos droits étrangers à négocier vous-même. Ma trésorerie n’a rien à voir avec mon choix, mais pour éditer votre type d’ouvrage, il faut être un éditeur engagé. Les éditeurs de pays du Maghreb et autres pays arabes, assez « libéraux » et susceptibles d’acheter les droits de ce type d’écrit, il n’y en a pas légion, et ne sont pas fortunés. Si vous avez un intérêt après avoir eu connaissance de ces éléments de base, je vous enverrais mon contrat type. Je vous joins le lien d’un site d’un de mes prochains auteurs, j’imagine que vous le connaissez, vous travaillez tous les deux dans le même sens, ce site et son information vous intéressera.
Sincères salutations…
Il y a 15 ans, peu après les évènements du 11/09/2001, les attentats de Londres et de Madrid, mais avant mon bouquin “Les Protocoles de Sion“ … j’avais écrit “Dictatucratie“ … et en cette suite, j’avais fait comme pas mal de scribouilleurs-textuels : simplement envoyé mon texte à différents appels à textes… J’avais auparavant tenté les revues et les concours de nouvelles (Il y en a pléthore sur le web)…, sans succès ! Cette initiative tordue, cette ambition dégénérée n’est heureusement pas devenue une obsession première dans ma vie, car c’est un chemin boueux : “Plutôt se caler un flingue dans la gorge comme Papa Hemingway”. C‘est le genre de chose qu’on se dit au moment où on se retrouve face à la dure réalité du monde de l’édition en France, un monde dans lequel quiconque n’a pas plus d’une chance sur un million de réussir à être édité. Il n’empêche que “Dictatucratie” a été choisi par un éditeur et que j’ai reçu un contrat-type… Quelle excitation de recevoir ce bout de paperasse ! Déjà l’annonce : “J’ai le plaisir de vous faire savoir que notre comité de lecture a retenu votre livre parmi de très nombreuses propositions et qu’il sera publié prochainement”… Naïf-candide, j’ai eu un peu de mal à réaliser que mon travail menait quand-même, un tant soit peu, à quelque chose… J’ai pensé sauter de joie, deux secondes…, mais, ces deux secondes passées, je suis redescendu sur terre….
À “vrai dire vrai”, la première publication du genre, malgré que j’avais publié quelques romans, des journaux et des magazines durant plus de trente ans… est toujours gratifiante, le truc, c’est qu’on se rend également compte que les petites prétentions littéraires seront satisfaites, plutôt que par l’écriture en elle-même, par d’autres activités comme “se faire un nom et et construire son propre réseau“… Vous voulez connaître un peu les détails d’un “contrat-type de ce type” ? Eh bien, tenez-vous bien dans votre siège troué : ce ne sera jamais que 5 à 10 % à partager par moitié avec le fisc… C’est-à-dire qu’on peut espérer une certaine somme équivalente à pas grand chose si ça se vend assez, mais ça ne l’est jamais pour qu’on puisse toucher un chèque… Et au cas où il y aurait “quelque chose”, il faut cavaler pour palper… Mais il faut compter avec le prix de la justice inquisitoriale qui tend à poursuivre pour des opinions qui déplaisent et nuisent aux affaires…, En conséquence presque tout le monde “laisse tomber”..., C’est comme ça que ça se passe en réalité… On est bercé d’espoirs, mais en finale ce ne sont que des désillusions… Là ou on croit qu’il y aura de la notoriété à recevoir, il n’y a que des emmerdes… Et là ou on croyait devenir célèbre et fortuné, on se retrouve poursuivi en injustice avec le risque d’être condamné à payer des dommages à des “ceusses” qui en vivent très bien… Mais comme la vie m’a appris que tout, même rien est bon à prendre (il y a du masochisme à être écrivain), j’ai signé pour mon livre “Dictatucratie”… Qu’est-ce que j’aurais bien pu faire d’autre ? Ne rien faire était la réponse adéquate… Mais j’ai mal choisi, me retrouvant embarqué dans une arnaque me visant…
Or, pour espérer percevoir l’aumône de l’éditeur, il faut que l’écrivain veille à ne pas se faire arnaquer, ce qui m’est arrivé et qui arrive régulièrement à bon nombre de naïfs trop sûrs d’eux, ou parfois, en sus, complètement cons… Sachez qu’on peut tomber dans n’importe quel panneau, par exemple (vécu) pour mon bouquin “Dictatucratie”, je n’ai jamais touché un rond… et je suis loin d’être le seul ! Un gars qui se prenait pour un nouveau Bukowski (comme la plupart des jeunes littérateurs), m’a raconté qu’il avait reçu une offre de publication pour un texte : un contrat à compte d’auteur… Il a signé, payé de sa poche (ce qu’un véritable éditeur ne demande jamais, bien entendu), puis finalement, les seuls qui eurent le privilège d’avoir son livre entre les mains furent trois ou quatre de ses potes et lui-même. Dans un cas comme ça, le pigeon est cuit… C’est juste un homme pressé bourré d’ego qui a succombé aux chants des sirènes… Vous savez comment ils appellent ça outre-Atlantique, cette méthode d’édition ? Le “Vanity Publishing”… Tout est dans le mot…, je vous fais grâce de la traduction… L’expérience du mur et de l’échec, voilà le mot qui gicle…
Vous êtes écrivain et cherchez à être publié ? Grand bien vous fasse, à vos risques et périls ! Vous avez du contenu ? Soit ! Vous êtes certain que votre écriture a suffisamment maturé ? OK ! Alors commencez par envoyer vos nouvelles ou poèmes à des revues et à répondre à des appels à textes à tous. Ce doit être fait dans votre ligne éditoriale, de préférence (n’envoyez pas de la science-fiction ou vos exploits érotiques à un type qui fait du roman historique)… C’est un bon premier pas. Votre roman ne va pas être publié comme ça en un claquement de doigts… Bien sûr parfois ça arrive, mais à combien de types ? En réalité, c’est surtout une question de feeling, de moments, d’entente entre une personne et une autre… Il y a de l’aléatoire… et pas qu’un peu… Il n’y a que ça, en fait… Sachez que votre réussite littéraire ne dépend en aucun cas de vous, ni de votre travail… Tout ceci s’éclaircira un peu à force de ratages… Il vaut mieux l’avoir pratiqué un peu, cette immense étendue boueuse qu’est l’édition : les trucs typiques à éviter, ce qu’il faut faire impérativement pour avoir un texte publié, etc… En effet, impossible de prédire à l’avance si tel lecteur du comité de chez Flammarion (il vous faut viser gros, n’oubliez pas) qui s’apprête à tomber sur votre tas de feuillets, se sera suffisamment fait pomper le dard la veille pour être de bonne humeur et se pencher avec concentration sur votre ragoût de tête. Impossible en effet, mais la réponse est prévisible : NON. C’est pourquoi la vie de l’écrivain est (dans un premier temps, du moins), caractérisée par la patience… Oui, c’est un mot qui fait mal… C’est un énième constat déplorable avec lequel vous allez devoir composer si vous êtes écrivain, inconnu, jeune et pauvre. Publier un roman est un truc difficile, surtout s’il s’y trouve du sexe…
En réalité, publier un premier roman est un truc quasi impossible si vous n’en avez pas déjà publié un… C’est kafkaïen, c’est fou, mais c’est la réalité… Il faut commencer de suite à apprécier les lettres de refus, elles sont comme un rite de passage ! Aucun éditeur, ou presque, ne parie sur un jeune romancier du tac au tac, à les écouter, cela équivaut à un suicide éditorial… et ils n’ont pas tort… De plus, il y a bien trop d’appelés, bien trop de demandes de la part des gens… Les gros bonnets savent ce qu’ils veulent et une chose est sûre : ce n’est pas vous (ni moi)… Même les petites maisons d’édition sont récalcitrantes en ce qui concerne le roman en tant que tel… Elles privilégient souvent le texte très court… Le marché du roman est monopolisé à un point que vous n’imaginez même pas, notamment parce que les libraires veulent de nouveaux gros vendeurs de type Lévy, Musso ou je ne sais quelle autres merdes. Si vous, bien sûr, voulez qu’on vous remarque pour votre style, pour votre qualité littéraire (si elle existe)…, j’aurais presque envie de vous dire : “Vous déconnez, hein ? Si vous n’êtes pas prêt à en baver, passez votre chemin, ça ne se fera pas du jour au lendemain et c’est peu de le dire. Alors construisez-vous un réseau et avancez au pas. Allez-y au culot, si vous êtes sûr de vous (vous devez l’être), l’audace paie parfois”… Dans les romans, ce genre de conneries marche ! Dans la réalité : NON.
Faire ce métier signifie que vous allez en manger plein la tronche… D’abord par vous-même, éternel insatisfait, puis par les autres, que ce soit sur les blogs où vous débitez vos simagrées, dans vos petites publications non rémunérées par-ci par-là (même dans de plus grandes si vous me prenez en exemple, avec mon web-site www.GatsbyOnline.com), mais aussi dans les longues et douloureuses lettres de refus qui vont pleuvoir dans votre boîte aux lettres. C’est un truc à en perdre la tête… Vous vous découpez les boyaux, vous donnez de votre personne, comme disait Céline… Vous posez vos tripes sur la table… et en retour c’est le néant, (pour la plupart d’entre nous)… En tout cas, il ne faut jamais essayer. Faites toutefois le truc jusqu’au bout, sinon lâchez tout… Vous n’êtes pas écrivain à moitié… Soit vous l’êtes, ou soit vous ne l’êtes pas. Si vous n’aimez pas galérer, si vous n’êtes pas résistant aux intempéries de l’ego, ne devenez jamais écrivain… Si vous n’êtes pas prêt à bouffer des patates à l’eau pendant dix ans minimum, à faire des boulots de merde pour payer le loyer de votre deux-pièces mansardé, ne devenez jamais écrivain… Si vous n’êtes pas prêt à voir les femmes vous fuir l’une après l’autre prétextant que vous courez après du vide, si vous n’êtes pas prêt à encaisser les défaites comme des crochets du gauche de Joe Frazier, si vous n’êtes pas prêt à vous prendre tour à tour pour un demi-Dieu et un chien galeux et ce, dans la même journée, si vous n’êtes pas prêt à mordre la poussière, alors ne devenez jamais écrivain, c’est un conseil d’ami ! Bref, outre que j’ai préféré devenir éditeur, j’ai répondu à ma manière…
Hello… Si prolixe dans mes écrits vains, je ne sais que vous répondre question finance d’écrivain… Tout cela (votre offre) est loin des cachets de Miss Trieweller… et j’en suis le premier ennuyé ! 600 exemplaires (sur 1500 diffusés) vendus à 20 euros = 12.000 euros à 8% soit 960 euros théoriques dans ma poche avant taxes… Tout ça pour tant d’écriture en suite de tant de recherches… Sans compter (durant l’attente de percevoir quelque chose), les sempiternels vigiles du droit Hébraïque (gag !) qui, sur une simple dénonciation sans grand risque, peuvent déclencher des hémorragies financières et du temps perdu (c’est destiné à décourager l’écrivain à recommencer et les candidats-écrivains à commencer)… Je passe (volontairement) sur un autre temps (bien moins relatif) que tout ce bazar va durer…, avant de passer aux savants calculs de pourcentages de “Nakba”… et ensuite viendra le fisc… Vous avez sûrement senti dès notre discussion téléphonique qu’un schéma type n’allait pas me satisfaire (sic !), raison sans nul doute que vous avez pris un peu de temps à m’envoyer une proposition plus personnelle, écrite avec des gants de velours… Sans doute que l’attrait d’être publié est une vanité qui pousse les écrivains à accepter jusqu’au compte d’auteur… Généralement ils en achètent une centaine pour éblouir leurs proches et achètent les invendus en finale (gag-bis !) un peu plus cher que les soldeurs qui de toute façon préfèrent les gros bouquins richement illustrés en quadri sur papier glacé. Bref, on ne va pas pleurer ensemble… Je suis un gars pragmatique, il n’y a rien que du miséreux à gagner (pour moi) alors que pour vous c’est l’ensemble de ces miséreux qui permet d’atteindre des montants utiles, car il n’y a, pour eux, pas de raison de refuser de quoi payer les “courses” du moi… Euhhhhh, du mois, au supermarché, quoique sans calculer, les joueuses de mandoline et les apitoyés des chiens aux portes des dits supermarchés, gagnent plus sans risquer la case prétoire à rallonge… Donc, la seule manière de s’en sortir est de voir plus grand… Je vend le contenu de “Nakba” sur PDF et traitement de texte Open-Machin-Apache ainsi que les droits pour l’univers entier pour 10.000 euros avec la réserve que mon texte peut être publié en français sur mon site www.GatsbyOnline.com et ses dérivés, à mon seul profit (misérable). Vous pouvez revendre les droits par langue, par pays et/ou continent sans plus me verser rien du tout pour ne pas me compliquer la vie dans des recherches incessantes et ne toucher que des centimes, je n’ai même pas besoin que mon nom figure comme auteur. C’est une affaire…, sans rire, là…, vous touchez à l’international dans un sujet potentiellement gigantesque… Et si ça pête en Palestine, c’est Jackpot assuré… Aucun autre bouquin traitant de ce qui s’y trouve n’existe… Et c’est le seul qui dévoile et analyse tant et tant sur la création d’Israël et l’origine du terrorisme, ainsi que l’aspect politique entre les deux guerres.
Voilà, à vous d’investir, je suis certain qu’il y a pas loin du demi-million d’euros à gagner pour vous… Ensuite, on pourra papoter sérieusement de mêmes montants à gagner avec d’autres bouquins.
Bien à vous…
Bien avant (bis) les hommes politiques et les footballeurs, les auteurs célèbres étaient les vrais pineurs de leur temps, la plupart de ces génies de la littérature ont su élever leur prose au rang d’art, et, contrairement à DSK ou à Ribéry, ils pouvaient fourrer leur queue un peu là où ils voulaient, sans que le monde entier ne soit au courant dans la demi-heure qui suit. Étonnamment, les écrivains contemporains ont toujours plus ou moins la paix (qui sait que Michael Chabon, l’auteur des Extraordinaires aventures de Cavalier et Klay, a refilé le papillomavirus à sa femme ?). Dans l’optique de rappeler et d’encourager les lecteurs et auteurs contemporains (vous ?) à baiser partout et tout le temps, tant que cela peut déboucher sur un bon bouquin, j’ai pris la liberté de compiler quelques anecdotes salées.
JAMES JOYCE
À sa sortie, son livre “Ulysse” a été taxé d’obscène et interdit aux États-Unis. Mais James Joyce avait gardé le plus scabreux pour sa femme, Nora. Dans les missives torrides qu’il lui envoyait (des sortes de sextos avant l’heure), il racontait à sa chère et tendre combien il adorait “l’odeur de son con” et lui exposait son amour des pets : “C’est merveilleux de baiser une femme qui pète, quand chaque coup de boutoir lui fait relâcher son sphincter”… Un obsédé textuel…
FRANZ KAFKA
Il y a quelques années, James Hawes, spécialiste de Kafka, a mis en lumière les préférences sexuelles de l’auteur du Procès ou de La Métamorphose. Sans réelle surprise, Franz Kafka accumulait des supports masturbatoires non conventionnels. Par exemple, il était abonné à Der Amethyst, une publication qui contenait des images de créatures mi-homme mi-hérisson taillant des pipes à des hommes… et des golems arrachant les seins de jeunes innocentes à l’aide de leurs griffes et des bébés qui sortaient de jambes coupées… Un vicieux dégénéré…
LEWIS CAROLL
L’auteur d’Alice au pays des merveilles était un diacre anglican sans enfants. Il aimait vraiment les petites filles, c’est-à-dire qu’il persuadait les parents de sa petite congrégation de le laisser photographier leurs jeunes enfants dans le plus simple appareil. Carroll aurait même demandé Alice (la véritable petite fille qui l’a inspiré pour écrire son fameux roman) en mariage quand elle avait 11 ans. Un pédophile masturbateur…
LORD BYRON
Le fameux poète a passé sa vie à voyager autour du monde, emportant avec lui une véritable ménagerie d’animaux exotiques et tirant un coup à la moindre occasion. Parmi ses conquêtes, on peut citer sa demi-sœur Augusta Leigh, sa cousine Margaret Parker et son jeune protégé, John Edleston. On raconte même qu’il aurait violé Augusta deux jours seulement après son accouchement, en la sodomisant. C’est le prix à payer pour des vers de légende…
Bien, j’en reviens à cette affaire de la publication “papier” de “Nakba”… et vous dévoile le courriel reçu peu après un message déposé sur mon répondeur téléphonique…
Bonjour Monsieur, Désolé de ne pas vous acheter le jackpot, mais je ne suis pas intéressé. Cela ne met pas en cause votre travail, qui est énorme et parfait, et votre intelligence qui est probablement hors du commun, mais encore une fois, il ne m’intéresse que les droits langue française. Ceux-ci sont fortement altérés du fait que le contenu entier de votre livre se retrouve sur votre site, j’imagine que vous le comprendrez sans problème. Je ne modifierai pas ma proposition, et reste partenaire si celle-ci vous convenait. Vous trouverez peut-être quelqu’un d’autre qui gérerait “Nakba” pour le monde entier hors droit francophone ? De toute façon, vous ne trouverez pas partenaire qui répondra à votre demande, j’en suis certain.
Cordialement
Bah ! Que de bétises… J’ai rétorqué ci-après :
Hello,
J’ai écouté votre message et je viens de lire votre courriel… Ainsi va le monde… est le titre d’un moment de télévision “autre” sur LCi ou tout se dit dans les non-dits… et pourtant ça reste mièvre… Mais il n’y a rien d’autre, sauf ne plus regarder !
Bien à vous… PS1 : Je retire mon offre PS2 : Je publie nos échanges épistolaires sur mon web-site comme pièces à conviction concernant votre assassinat textuel…
Réponse :
Patrice,
Je propose que vous rajoutiez ceci en message sur votre site : << En complément d’informations, l’éditeur dont je vous parle et que j’ai contacté me répondit : Mon pauvre monsieur votre logorrhéite aiguë vous empêche de calculer, je suis déçu de ce manque d’à-propos ! Quand un éditeur imprime 1.500 exemplaires, ce n’est pas comme dans votre calcul savant, pour en vendre 600, c’est au moins pour vendre 1.400 ou alors il n’en imprime que 800 car l’ouvrage lui paraît scabreux. Le calcul de 8% de droits d’auteur d’un livre au prix public de 22 €, pour 1.400 exemplaires vendus, constituera donc pour l’auteur une rémunération de 2.324,52 €, l’éditeur prudent n’imprimera bien sûr pas 6.000 exemplaires d’un seul tirage mais réimprimera l’ouvrage par 1.500 ou 2.000 exemplaires en fonction de la demande. À la deuxième réimpression et dès celle-ci vendue, l’auteur touchera également la même somme. Il sera peut-être précisé au contrat bien négocié par un auteur vigilant que dès 3.000 exemplaires vendus le droit d’auteur passerait à 10 %, ce qui, dès le troisième tirage de 1.500 exemplaires suivants vendus, (même donne, prix public 22 €, droit d’auteur 10 %), constituera 3.113,20 € de rémunération encore à verser à l’heureux auteur. Curieux cet auteur qui tellement certain de la qualité et de l’impact de son œuvre qu’il la qualifie de jackpot mondial, propose à son éditeur un forfait global définitif de 10.000 € alors que la vente de 6.000 exemplaires procureront la même somme ?! Cet auteur ne doit pas être très malin pour calculer si mal, être si peu certain de son œuvre qu’il ne sache parier sur son succès ou le risque de succès… Et quel risque partage-t-il puisqu’il n’investit plus rien, son temps de travail d’écriture, il l’a déjà investi ! Probablement que son ouvrage est du même acabit : inutilement polémique, illogique, non réfléchi; tout compte fait, il est peut-être heureux que la demande saugrenue de cet auteur ait provoqué le refus de l’éditeur qui a bien raison de fuir un auteur si savant qu’il ne sait additionner 2+ 2 >>.
Marco Pietteur
Ps : mon offre est également retirée, je ne m’encombre pas utilement de problèmes !
Réponse :
Marco, mon ami…, mon bienfaiteur…
Quel combat, une bordée, et paf on se coupe un mât et on se pulvérise une chaloupe de sauvetage… Je vous préfère comme ça, c’est moins guindé, dommage que ça n’a pas débuté ainsi… C’est cool, sauf la fin qui laisserait supposer que vous n’avez pas lu “Nakba”, de plus, vous vous trompez totalement en m’écrivant en justification que “Nakba” a été intégralement publié dans mes sites, faux… jamais publié…, de plus, vous auriez dû préciser vos chiffres ! Cette première passe (d’arme) c’est quand même un peu du flan lorsque vous me soulignez que vous escomptiez 1.400 ventes sur 1.500, c’est psycho pour faire regretter l’autre (moi), mais c’est utopique, sauf si vous récupérez les invendus (dans quel état ?) pour les liquider à un soldeur au prix de l’impression… Notez que si vous rétribuez l’auteur à la quantité imprimée et non à la vente, alors ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Putain, z’êtes un lascar, vous… J’en ai fait des bouquins et des mag’s, c’était du temps des AMP (Belgique) et des NMPP (France), de 1979 à 1989 pour mon cycle, mais ça continue encore aujourd’hui en Hollande et en Allemagne… et plus (Suède), mais je n’ai jamais entendu de ventes à 95%… Pourtant, sans rire, dans les années ’80, “Chromes&Flammes” en 5 éditions/langues par mois tirait à 500.000 exemplaires et vendait pas loin de 60%… Quant au livre “Les Protocoles de Sion”, il faut aller lire cette saga sur www.LesProtocolesDeSion.com …, “Nakba” est 100 fois plus intéressant, votre réponse ou vous citez 6.000 tirages potentiels me le confirme et… avec votre style du petit matin, vous me semblez avoir la rage et les couilles pour faite Jackpot… Si vous mettiez tout ça dans un contrat (pas type) convaincu que vous allez tirer 6.000 exemplaires de mon “œuvre” grandiose (sic !), vous auriez du accepter “mon idiotie” qui vous offrait le reste du monde gratuitement… C’est pas trop tard… Si on se faisait une p’tit bouffe pour célébrer notre joyeuse querelle ? Faisons un deal, on repart à zéro, je ne suis dupe de rien, vous non plus, j’ai pas le temps d’attendre des promesses de contrat ni pleurer pour des clopinettes (les 500 euros d’avance c’est miséreux), proposez moi du direct valable, les tranches de jambon mouillé refilez-les à qui vous voulez, mais pas à moi…, mon job avant c’était d’éditer, c’est loin, mais c’est toujours le vôtre… Un bouquin comme “Nakba” c’est du tout bon… Ne le ratez pas…10.000 c’est cool…, ça les vaut, sauf si vous ne pouvez pas avancer cette somme, alors dites-le !
Amicalement quand même
Patrice
Voilà…, c’est (sans doute) fini !
Je précise que je n’ai rien demandé à quiconque, ni pas plus aux éditions Marco Pietteur qui par contre ont marqué leur envie de publier “Nakba”…
Dans ce contexte d’affaire, c’est logique que le demandeur (en ce cas l’éditeur) me demande quel est le prix de mon travail…, or en ce cas, cette maison d’édition est en demande mais voudrait m’imposer son offre que j’estime dérisoire… Tout ceci n’est pas destiné à me plaindre des vicissitudes de la vie, mais à évoquer pourquoi une grande part de l’information, incluant le savoir, les idées, l’histoire, reste dans les tiroirs de l’oubli… Donc, voilà, j’évoque… Ce jour, vous l’attendiez depuis des mois, peut-être des années. Vous avez raturé, corrigé, relu, bu des litres de vin, de thé ou de café en butant sur un mot, une expression; vous avez compulsé religieusement, voire fanatiquement votre dictionnaire des synonymes, inversé l’ordre de vos chapitres, rêvé de votre personnage principal et de la situation affreuse que vous alliez lui faire subir ; vous avez assommé votre partenaire ou vos proches de vos questions et de vos doutes.
Et puis est enfin arrivé ce jour où, trépignant de fierté et d’impatience, vous avez compté vos 400 pages recto verso encore chaudes sous le regard impassible d’un imprimeur d’une rue estudiantine. Il ne sait pas encore, lui, le pauvre, que ces pages formeront le prochain prix Goncourt; mais vous, vous en êtes secrètement persuadé(e)… Quelques jours, quelques mois plus tard, toujours rien. Pire que le refus, le silence. Vous avez ouvert votre boîte aux lettres plusieurs fois par jour, vérifié encore et encore les adresses où vous avez envoyé vos précieux écrits. Pourtant rien, jusqu’à cette lettre assez impersonnelle dont les quelques lignes froides vous renvoient à l’implacable réalité de l’anonymat littéraire: le produit de votre labeur ne sera jamais reconnu tandis que s’affichent ici et là les noms des derniers prix du moment… C’est très déstabilisant. Même si on sait de façon très rationnelle que les chances d’être publié sont infimes, on croit au conte de fées. On espère toujours être reconnu, célébré, et en même temps on doute de soi en permanence. Le refus non argumenté, et peut-être encore pire, le silence, peuvent être extrêmement douloureux à gérer.
Mais cela ne se cantonne pas aux premiers romans : c’est un processus récurrent pour tous les auteurs, y compris ceux qui publient… Le manque de réponse vient toucher directement à notre narcissisme. Cela nous renvoie à un vide abyssal, réveille cette angoisse profonde qui nous hante sous la forme d’un “on ne veut pas de moi”… Cela peut aussi toucher à un vécu ou à l’image de soi, c’est encore plus vrai pour les personnes qui “sortent d’elles”, c’est-à-dire qui, dans le processus d’écriture, se livrent vraiment à l’extérieur, affrontent l’idée de partager un moment de leur intimité. Le refus s’identifie alors à un sentiment de rejet, avec dans certains cas des conséquences violentes… Aucune lettre de refus d’éditer accompagnée d’une argumentation en conseils n’est jamais envoyée aux écrivains qui se sentent “écri-vains” sans aucune forme forme d’espoir, de reconnaissance pour le cheminement accompli par la personne qui s’est autorisée à écrire et à partager…. D’après une étude savante, plus de la moitié des Français(e)s de plus de 18 ans ont écrit ou aimeraient écrire.
Pourtant, très peu atteignent ce statut prisé de l’écrivain. C’est un particularisme assez français. D’un côté, on sous-entend que “tout le monde peut écrire” alors que c’est un mythe, car l’écriture n’est pas quelque chose de forcément inné. On a en France une culture de l’édition traditionnelle très forte, qui impose la reconnaissance symbolique de ceux qui écrivent. Cette culture se pense à l’antipode d’une tendance très américaine née au sortir de la Seconde Guerre mondiale, celle de la fabrication d’auteurs tout droit issus des programmes de “Masters of Fine Arts” (MFA). Une ère depuis quelques années sous le feu de la critique… Comme des lapins, les mauvais auteurs sont partout, élevés aux cours de MFA, créant des histoires banales et interchangeables… La nuance est peut-être à trouver dans ce que le terme d’écrivain recouvre tant il véhicule en France une certaine aura, être écrivain publié étant considéré comme le statut le plus haut de l’aristocratie intellectuelle dans notre pays… Alors que l’on est écrivain quand on écrit… Mais dans le langage courant et la compréhension collective en France, on est écrivain quand on a publié, c’est une énorme différence entre la pratique et la façon dont c’est compris. Il faut se détacher d’un certain formalisme ou d’une solennité inhibante.
Quand mon premier roman “Par qui ce scandale” est sorti en librairie, je m’attendais à ce qu’il se passe quelque chose… Et en fait non. Il ne s’est rien passé. Les écrivains sont ceux qui font “œuvre”, des noms de la littérature, ceux qu’on range dans sa bibliothèque. Car j’imaginais qu’il y avait quelque chose de sacré dans le livre. J’ai réussi à passer le cap en devenant abominablement critique… C’est ce rapport très complexe propre à l’écriture et sa légitimité qui permet à des personnes de légitimer leur parole. Le fait de se raconter correspond aussi à des gens qui, souvent, n’ont pas d’autres occasions d’être entendus ailleurs. Le processus peut s’assimiler à une deuxième naissance. L’écriture pallie des manques ou des besoins survenus lors de processus psychiques dès l’enfance. C’est le fait de dire quelque chose pour exister. Or, ce besoin de légitimité par l’écriture ne s’arrête pas à la publication et ne change rien aux angoisses de l’auteur ou de l’autrice. On vit avec cette peur mais elle est aussi exaltante quelque part. Il ne faut pas oublier qu’un livre est aussi un produit. Mais il s’agit d’un produit en déclin, sur un marché de l’offre d’autant plus convoité, comme le montrent les derniers chiffres du Syndicat national de l’édition, appuyant une tendance à la baisse de 5% par an… A ce rythme, en 2030 les gens ne lirons plus donc comme l’écriture ne paiera plus, il n’y aura plus rien que TV et radotages sur les réseaux asociaux. Tout auteur a son lecteur… La surproduction fait qu’un livre reste en moyenne six semaines en librairie avant de partir au pilon. Certain(e)s ayant même écrit cinq romans qu’aucun éditeur ne prendra la peine de lire et qui donc ne seront jamais publiés. Les auteurs, devenant comme fous travaillent le même texte année après année par simple besoin d’écrire, en attendant de mourir… Peu importe l’échec, le silence, le rejet… Avant toute chose, un écrivain écrit pour lui-même… C’est dans cet esprit que j’ai créé mes magazines Chromes&Flammes fin des années ’70…
Je me dois de vous écrire que la suite fut un enfer… Michel Hommel a copié mon titre et sorti Nitro avec une bande de bras cassés et direct mené une guerre, la guerre du Kustom… N’arrivant pas à dépasser les ventes de Chromes &Flammes et sans aucune capacité de diffuser dans le monde entier, il m’a créé une dénonciation fiscale de 117 millions, le fisc étant heureux de bloquer mes avoirs bancaires et autres… Cela va durer 10 ans avant que dans un geste “humain” le montant de 117 millions (de l’époque, soit l’équivalent d’un milliard en 2023) soit ramené à la moitié… Puis au quart avec des discussions de chiffonniers… Après 20 ans le Groupe Michel Hommel s’est cassé la gueule et la totalité des fiers-à-bras (cassés) s’est retrouvé dans la merde des égouts… Les rats retournant dans leur milieu naturel. Voilà ce qu’est l’édition, un “truc” à se faire chier en attente d’un Jack-pot… Dans mon cas, un “ami” a volé une de mes voitures, dans une escroquerie en bande criminelle organisée en utilisant AXA comme bouclier… Ca dure depuis 12 ans et c’est loin d’être fini… Pour comprendre ? Pfffffff ! Tapotez “LéaFrancis” et lisez…
Pour en revenir au plus important, qu’est le fond de Nakba… Tout en un clic sur : http://nakba.life … C’est le dernier chapitre qui explique ce qui se passe actuellement à Gaza… Le fond de l’affaire c’est le gisement de gaz qui est en eaux territoriales Palestiniennes et que pompe Israël et l’Egypte. Envoyer les Palestiniens dans le Sinaï c’est leur voler Gaza et donc le gaz… Personne n’en cause. C’était déjà la cause des problèmes du temps d’Arafat… C’était la cause des soucis qu’on m’a créé avec “Les Protocoles de Sion”... Dès que j’ai diffusé les conclusions pour cette affaire, elles ont disparu (10 exemplaires déposés aux Greffes)… Ce sera exactement pareil pour l’affaire LéaFrancis ou le Procureur du Roi Jean Marc Meilleur a volé de dossier et détruit des preuves ainsi qu’un enregistrement.
“Nous avons droit à notre gaz”, pouvait-on lire sur un panneau à l’occasion d’une manifestation à Gaza, le 13 septembre 2022, avant l’extermination des Palestiniens de Gaza… “Israël et l’Autorité palestinienne (AP) mènent depuis 25 ans des “discussions secrètes” autour de l’exploitation du champ gazier baptisé Gaza Marine, situé à 30 kilomètres de la côte de l’enclave palestinienne de la bande de Gaza”, avait révélé le jeudi 4 mai 2023, le site Internet de la chaîne de télévision israélienne Channel 13.
Ce champ gazier baptisé Gaza Marine est situé à 30 kilomètres de la côte de l’enclave palestinienne de la bande de Gaza. Ce partage s’intégrait dans des pourparlers, plus larges, politiques et sécuritaires entre les deux parties. Ces dernières avaient repris langue ces dernières semaines, sous la pression des États-Unis, lors de récents sommets en février 2023 à Aqaba situé en Jordanie, et en mars 2023 à Charm El-Cheikh, en Égypte. Découvert en 1999 dans les eaux territoriales Palestiniennes, le gisement de Gaza Marine contient plus de 30 milliards de m3 de gaz naturel. Pour l’Autorité palestinienne, il pourrait représenter “un revenu annuel compris entre 700 et 800 millions de dollars”, écrit le site Middle East Eye, qui avait rapporté l’information.
“Ces gisements ont longtemps été considérés comme un tremplin majeur vers l’indépendance énergétique palestinienne, mais ils sont restés inexploités principalement en raison des obstacles israéliens.” En réalité, les “discussions secrètes” révélées par Channel 13 autour du champ gazier au large de Gaza ne sont pas nouvelles. Au temps d’ARAFAT, Israël, l’Autorité palestinienne et l’Égypte, habituel médiateur entre les deux parties, avaient échoué à se mettre d’accord. Parmi les questions en suspens, celle du positionnement du Hamas palestinien, rival d’Israël et du Fatah, qui contrôle l’AP, explique la chaîne israélienne. Comme Israël considère que l’AP (l’Autorité Palestinienne) n’a pas les moyens d’exploiter ce champ, il était question qu’une société égyptienne chapeaute le projet en distribuant 55 % des bénéfices à l’Autorité Palestinienne et 45 % à la compagnie égyptienne. C’est autour d’une solution similaire que les discussions avaient repris sur les gisements de gaz et de pétrole repérés dans les eaux territoriales des pays bordant la Méditerranée orientale, de la Turquie à la Palestine (la bande de Gaza), en passant par le Liban et Chypre, qui espéraient pouvoir exploiter pleinement cette ressource. La Palestine en étant toutefois légalement seule propriétaire selon les conventions internationales et les décisions de l’ONU… D’où l’idée Israélienne de profiter de la révolte de Gaza pour éradiquer totalement toute vie Palestinienne (un génocide total) et amener les survivants à migrer dans le Sinaï… Le Hamas a donc besoin de s’ancrer dans son territoire pour faire valoir les droits Palestiniens. C’est pourquoi les USA ont dépêché d’urgence deux Porte-avions et une armada pour éviter quelconque aide aux Palestiniens et laisser Israël “génocider en paix”... Jésus et toutes les religions n’ont rien à voir dans cette affaire qui vaut des milliards… C’est en effet une affaire de milliards de milliards de dollars que les Israéliens veulent posséder sans partage, même s’il faut éliminer la totalité des Palestiniens… Il n’existe aucune autre explication… Ce sont les faits que les merdias aux ordres nous cachent…