Fausse Manif’… Vraie Manip’…
Voici une des vraies photos de la mise en scène des chefs du monde en pleurs…, loin de la foule, pour faire croire qu’ils partageaient l’émotion du peuple de France…
Pendant ce temps là les foules compactes disaient leur refus des interdictions, de la censure, leur exigence de libertés, liberté de s’exprimer…, elles s’écoulaient dans des flots immenses, sans peur des attentats ou des mouvements incontrôlés…
La foule courageuse, pleine d’émotion n’était pas entrainée par cette bande de pingouins dont certains ont à leur actif plus de meurtres que n’importe quel terroriste, qui parfois les ont subventionnés pour continuer à coloniser, à piller…
Pas un pour sauver l’autre… et le lendemain, la grande répression a commencé !
Pour faire croire à une foule dense et que ces chefs d’Etats mènent la danse.
Les photos et films à destination du public, ont été réalisées entre 1M et 1m60 du sol afin qu’on ne puisse voir que 10m en arrière, il n’y avait strictement pas de foule !
Le bombardement sensoriel est une forme de torture généralement employée sur des prisonniers pour les faire parler…, les autorités déshabillent les prisonniers à nu et les enchaînent à un mur, avant de les forcer à écouter une chanson en boucle diffusée à plein volume, pendant plusieurs jours, voire même plusieurs semaines. .., après 24 heures de “Baby One More Time”, les fonctions cérébrales et musculaires commencent à s’altérer, réduisant progressivement les sens à néant.
Au fil des jours, des semaines, des mois, des années à regarder les infos en télé et lire les vérités des médias “sérieux”…, soit on est lobotomisé durablement au point de croire en tout ce qu’on nous raconte et explique (avec des graphiques, ça fait encore plus vrai), soit on apprend à détester chaque minute de ces manipulations, jusqu’à ce que notre santé mentale s’en trouve affectée.
Ce qui débute comme un débat de trente minutes sur les écueils et les pièges de la vie sociétale, entre diverses chansons grotesques ânonnées par des imbéciles…, lentement se transforme en une succession de rires maniaques, de réflexions existentielles et de séances d’autoflagellation…, c’est tellement mauvais que ça en devient divertissant.
Quel effet ça fait sur vos cerveaux de voir les mêmes idioties qui se répètent et parfois tournent en boucle ?
L’effet premier est qu’il devient impossible de se concentrer sur ce qu’il se passe réellement…, on ne peut plus porter son attention sur la réalité…, on regarde tellement ces “tellement vus’ que notre cerveau ne peut plus le supporter…, d’où des sautes d’humeur parfois violentes.
Parfois, on arrive encore à se marrer sur une blague, mais cinq minutes plus tard, on est au fond du trou…, on se fait parfois des jeux de rôle étranges qui consistent à se mettre dans la peau des victimes supposées…, on garde nos rôles pendant une heure, puis certains pètent les plombs avec l’inquiétude de devenir vraiment fou. et on se dit : “Putain mais qu’est ce qu’on branle de tout ça ?”…
Certains/certaines subissent en cette suite, de vraies souffrances psychologiques, voire même philosophiques au lieu de se demander ce qu’on aurait pu accomplir si on avait consacré son temps à une activité plus utile !
POUR HOLLANDE LE GOUVERNEMENT « INVENTE » DES… par latelelibre
La magie d’Internet !
Rien ne se perd jamais plus !
Flamby est donc pour la liberté et contre les actes terroristes sous faux drapeau quand il n’est pas au pouvoir…, intéressant !
Le Président manipule le pays à grande échelle avec sa marche “républicaine”… et moins d’une semaine plus tard quelqu’un fait les poubelles et découvre cet enregistrement…
Rien de tel qu’un parrain pour expliquer la mafia……
Néanmoins, les pouvoirs régaliens étant entre leurs mains, ils peuvent se permettre tout et son contraire, ça s’appelle la dictature…
Tandis que dans les médias, les photos et vidéos des dirigeants étaient presque invariablement réalisées à 1M50 du sol pour donner l’impression d’une foule massive derrière eux…, une des prises de vue d’en haut (à 6m, second étage), montre qu’ils sont très serrés sur à peine une dizaine de rangées et dans une rue vide, bouclée par un lourd service de sécurité et séparés du reste des manifestants.
Rien ne pouvait mieux symboliser avec plus de clarté le caractère réactionnaire de cette collection de responsables d’Etat ni la fraude de leur tentative de se donner des airs de grands défenseurs des droits de l’homme.
Au milieu de ceux qui participaient à cette photo se trouvait le président français François Hollande, dont la popularité dans les sondages touchait le fond ces derniers mois (environ 15 pourcent d’opinions favorables à la fin de l’année).
Le président espèrait sans doute que les évènements liés à Charlie Hebdo allaient l’aider à renforcer son gouvernement dans la poursuite de sa politique impopulaire tant en France qu’à l’étranger.
Outre Hollande et ses homologues chefs d’Etats impérialistes européens, les mains dégoulinant du sang versé au Moyen-Orient, en Afrique ou en Ukraine, ces manifestants comptaient le premier ministre turc Ahmet Davutoglu, dont le gouvernement a emprisonné plus de journalistes que quiconque sur la planète ou encore le ministre des Affaires étrangères égyptien Sameh Shoukry, dont le régime a massacré des milliers de personnes et emprisonné des milliers d’opposants politiques….
Il y avait aussi, posant pour les caméras (sur une prise de vue il saluait une foule qui donc n’existait pas) le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dont le régime a massacré des milliers de Palestiniens et réprimé sans pitié les médias palestiniens.
Parmi les autres champions des droits démocratiques (sic !) qu’on avait sous la main se trouvait le Roi de Jordanie qui a récemment condamné un écrivain à 15 ans d’emprisonnement pour avoir critiqué sa monarchie.
Présent aussi l’ambassadeur d’Arabie saoudite en France, Mohammed Ismail Al-Sheikh, le représentant d’une monarchie dictatoriale qui a imposé une sentence d’un millier de coups de fouet et 10 ans d’emprisonnement à Raif Badawi, un bloggeur accusé d’avoir insulté l’école wahhabite de l’Islam, promue par l’Etat.
Tous les responsables réunis dimanche pour cette mise en scène photographique se trouvent, à la fois par leurs objectifs politiques et les intérêts sociaux qu’ils défendent en opposition directe à la masse de la population laborieuse en France et dans le monde.
C’est pour cette raison qu’ils étaient blottis ensemble, sous protection policière intense, pour la pose photo dans un périmètre bien sécurisé et bien à l’écart des autres manifestants parisiens.
Tandis que parmi les millions de personnes qui ont défilé en France le week-end dernier, il y en avaient sans aucun doute beaucoup qui éprouvaient un sentiment d’horreur et de tristesse devant l’assassinat des douze personnes tuées dans les locaux de Charlie Hebdo, les chefs d’Etats et hauts responsables s’étaient rassemblés pour des raisons tout à fait différentes.
Il étaient là dû au désir commun d’exploiter le choc et la confusion causés par l’attentat, dans le but de promouvoir la guerre contre la terreur, une conspiration d’Etat pour des guerres sans fin à l’étranger et la suppression des droits démocratiques aux mains d’Etats policier à l’intérieur.
L’absence remarquée du président Barack Obama ou de tout autre haut responsable des Etats-Unis sur la photo, est devenu le centre d’une controverse politique au sein de l’appareil d’Etat américain.
Le ministre de la Justice, Eric Holder, qui se trouvait à Paris à ce moment là, ne s’y est pas rendu non plus, laissant l’ambassadrice américaine en France, Jane Hartley, récemment désignée à ce poste en remerciement de ses services en tant que collecteur de fonds d’Obama, de représenter les Etats-Unis.
L’explication donnée par la Maison-Blanche de l’absence d’un représentant envoyé par les Etats-Unis à Paris dimanche dernier, est que ceci aurait nécessité un tel déploiement massif américain de sécurité qu’il aurait rendu la marche elle-même quasiment infaisable (sic ! si ces gens sont aimés comme les sauveurs du monde, pourquoi ont-ils peur ?)….
Etant donné les vraies circonstances du “rassemblement “, on peut se demander si les services secrets auraient insisté pour effectuer des fouilles corporelles des chefs d’Etats réunis et de leur personnel de sécurité. (gag !)
Quelles que soient les raisons de l’absence d’Obama, sa présence n’aurait été que le point culminant d’une mascarade cynique…
La présence d’Obama, ou de tout autre représentant américain de haut rang d’une administration qui est le principal agent de la terreur d’Etat sur la planète, n’aurait fait que rajouter à l’hypocrisie grotesque du “selfie” organisé par les soi-disant dirigeants mondiaux dans une rue lourdement sécurisée de Paris !