Franchouilleries ubuesques…
Il y a, pour certaines politiqueuses et certains politicards financés par l’argent du pétrole, une forme assez ubuesque de vouloir à tout prix briller devant “leur” peuple, en assortissant leur pensée profonde d’une pensée unique…
Cela porte le dit “peuple” à ne pas être enclin à la gratitude, moins encore à la béatitude, certains faisant (double sens possible) dans le pâté de campagne alors que d’autres préfèrent le pâté de ville.
Chers anonymes, si vous lisez avec ahurissement les divers messages déjantés publiés sur les réseaux sociaux, tentant de créer une révolution au nom du pouvoir d’achat en vue des marchés de Noël, vous avez pu vous rendre compte que les efforts du pouvoir (d’achat) portent leurs fruits (pourris), en connivence avec l’œuvre monumentale qu’est la vie de cons (et connes) que nous subissons toutes et tous…
Je digresse, je digresse mais c’est tout un art que d’empapaouter les cervelets.
S’il y a, en effet, des approximations logorrhéiques nouvelles, dans le flux de mots dits pour satisfaire à l’égo de certains, la bêtise partant plus vite qu’une balle de 357 magnum haute vélocité, j’ai remarqué au fil du temps et du rasoir qu’on nous sert les states de la connerie humaine comme un fruit magnifique.
J’ai tout bon !
Je jouis presque de l’écrire…
Détends-toi, toi qui me lis !
Ca nous met en pleine connitude, éventuellement en pleine merditude !
Contrairement à ce que nous disent nos “chefs à penser” en nous l’enfonçant bien profond, tout en se foutant le doigt dans l’œil à défaut de prendre la direction des vents en se le garant ipso facto dans l’oigne : “que va-t-il nous rester si les si (vous pouvez y aller en silési, il y a des mines, donc du taf) primaires animaux que sont les beaufs se mettent à penser ?”
Je vous le demande un peu !
Comment pourrons-nous justifier notre incommensurable bêtise, à chercher une liberté enfouie, en nous croyant encore, les seuls êtres intelligents de l’univers ?
Je vous le demande ?
Pour peu que l’on découvre que le roseau pense à la place de pencher, et c’est tout un pan de nos croyances qui fout le camp !
On est dans la merde !
C’est là que la merditude franchouille prend toute sa signification, lorsqu’aucune autre voie ne parait possible sauf celle de rester embourbé dans nos certitudes passées.
La merditude nous fera t-elle nous dépasser ?
Nous sommes déjà bien braves d’écouter les sornettes qu’on nous ressasse à la TV !
Regardez les désinformateurs et désinformatrices des merdias commenter ce choc des civilisations qu’est la crise du pouvoir d’achat mené par diverses peuplades franchouilles soucieuses d’acheter des boules pour leur traditionnel sapin…, ces girouettes-journaleuristiques aux sévices du “politiquement-correct” utilisent leur image pour ratisser large…, mais malgré leurs beaufs sourires de dents blanches immaculées, ces gens n’en a rien à branler, tout ce qu’ils veulent c’est louer le bonheur d’être crétin et con-sommateur, et faire allumer des bougies pendant que les sévices d’ordre pulvérisent tout ceux qui pensent différement à coup de pétards, puis de bombes lacrymogène qu’ils auraient préféré être au phosphore et à l’uranium enrichi…
C’est beau l’amour des bougies, là, non ?
A croire que les milliards de l’Europe servent entre autres conneries à inciter les pauvres crétins à allumer des bougies en chantant Noël… et à payer les “forces de l’ordre” à protéger les exemptés de taxes, qui perçoivent en un mois ce que les citoyens lambda ne gagnent pas en 2 ans de dur labour !
Quel peut donc être la cause de leur plaisir sadico-masturbatoire d’emmerder les gens, de les voir s’auto-ruiner tout en se saoulant les neurones de conneries…
C’est obsessionnel chez eux…, ils allient les poncifs, en rhapsodes miséreux, la lune dorée à l’obélisque argenté, et les fait se rencontrer en vaines discussions pour tenter d’obtenir plus de radis, de pépètes et quelques avantages contre nature…
Tout ça avec le pognon des masses qui paient et disent rien, obnubilés par les promesses de jours meilleurs….
C’est d’un truisme…, mais notez que ça marche tellement bien que les zôtres politicardes formations copient le concept pour l’utiliser en remplacement…
En Franchouillerie, ils ont aussi compris qu’une paire de roberts surmontés d’un sourire angélico-assassin pouvait entourlouper les masses de cons et connes…, là, ils font fort…, n’empèche qu’au plus l’enculade est profonde, au plus le peuple des cons et connes jouit…
Le cochon aime le gland ; gens de la ville il vous faut bien intégrer cette donnée, seul le cochon aime glander, le gui il s’en fout, les bougies aussi !
Un goret et sa gorette peuvent passer sous le gui, la seule chose qu’ils verront en regardant en l’air est le gland dernier sur la ramure du chêne endormi.
La femme bien que gourmande s’émerveillera des petites boules d’argent entourées de feuilles oblongues d’un vert luisant.
Ver luisant qu’elle imaginera porté par un noble loup hormonalement surdosé, intellectuellement défectueux, le neurone largement à découvert sous son scalp.
L’homme comparativement à la femme est très rudimentaire, deux balloches une pendouillerie, trois raisons implacables d’être totalement différent de cet être cher, si cher !
Votre banquier, surtout s’il œuvre façon copain-copine vous le confirmera lorsque vous lui rapporterez votre carte de crédit.
A part son nombril, le foot et le cul, l’homme le vrai, le seul, l’unique, qu’est ce qui peut bien se faire connecter chez lui le neurone perdu, dans l’immensité du vide crânien ?
A quoi se connecterait-il d’ailleurs ?
Autre impressionnant mystère !
C’est une interrogation vitale, essentielle pour ne pas dire existentielle, pour qui cherche à percer les secrets de la politique…. et, vous remarquerez que je cause de la liberté, de l’unique liberté…. ce qui pour un être mono-neuronal comme certains hommes, est absolument prodigieux, sans aucun doute casse gueule et générateur de surchauffe…..
Peut-on dire méningée ; lorsqu’une telle solitude neuronale fait se comporter certains comme des gorets, et certaines comme des truies ?
Venons-en au vide crânien des masses ahuries…, je ne dirais pas que c’est sidéral, pour la raison que celui-ci n’existe que dans les romans de science fiction à deux balles, cent sous si vous préférez et n’en parlons plus !
Absolu non plus, ou alors fortement alcoolisé, bien imprégné…, je vous narre, là, quasi en direct ce qui se passe…, et vous vous marrez…
Pourtant l’heure est grave, il ne reste quasi plus de liberté…
Tout ça pour quoi ?
Les interférences multiples et différentielles, annonCent quelques problèmes dans le stabilisateur gyroscopique à impulsions parallèles et simultanées du convertisseur de conneries (la machine du pouvoir en quelque sorte) !
Nul doute que vous vous en doutiez, hein les chafouins !
A pluche…