Gatsby : Autopsie de la campagne de publicité de 198 millions d’€uros en cours !
Incroyablement diabolique, ayant gagné 220 millions d’€uros à l’Euro million, Patrice De Bruyne, l’éditeur de GatsbyOnline et GatsbyMagazine, à décidé d’utiliser la presque totalité de ce pactole soit 198 millions d’€uros pour lancer une campagne publicitaire “Gatsby” simultanément dans 12 pays ! Cette vague s’accompagne d’une signature de marque internationale : “Gatsby, le 1er magazine Gonzo-Satirique de l’univers et au-delà”... Un univers “homme” inédit, fait de moments uniques et de sensations fortes, s’annonce au monde, pantois ! Toutefois, généreux, il va faire don des dessous de table de discussions, ainsi qu’aux ristournes cachées, soit 33% des 198 millions, à une fondation pour chiens : la fondation Blacky.
Depuis mi des années ’80, surnommées “les années Chromes&Flammes”, Patrice De Bruyne n’avait pas lancé de nouvelle campagne internationale de publicité. Avec cette gigantesque campagne publicitaire mondiale dont l’importance est presque égale à celle de Caco-Calo, c’est chose faite ! Un slogan simple mais net, met en avant le plaisir toujours renouvelé de lire la continuation d’un magazine mythique associé à l’automobile déjantée, à savoir “Gatsby Magazine” ! Quelle que soit la marque y publiée/présentée : Gatsby assure des sensations indescriptibles, le plaisir des sens et, au final, des instants privilégiés uniques !
L’éditeur Patrice De Bruyne, invité dans une cinquantaine de chaines TV et en matinales-radios, a pu à chaque fois développer un discours dont la ligne maitresse était simple et forte : “Je réaffirme que Gatsby est numéro un. Je le prouve avec la confirmation de Donald Trump qui m’a signé un document officiel en attestant. GatsbyOnline est d’abord un site-Web réalisant des scores énormes de centaines de milliers de visites par jour, mais aussi un magazine de très grand luxe réservé aux épicuriens baroudeurs aimant la vie, les automobiles, les motos, les bateaux et les avions extraordinaires, un magazine Up To Date qui se décline en diverses versions, toutes partageant les mêmes folies, les mêmes valeurs et la même iconographie visuelle. Les lecteurs, lectrices et internautes apprécient leur Gatsby chacun à leur façon, mais quels que soient leurs choix, ils veulent un Gatsby magazine qui leur permet de sourire et rire des pires absurdités de la vie !”…
Lors de son passage en TV, il a affirmé : “Une créativité époustouflante d’audace retranscrit mon idée-phare-primale, selon laquelle les caractéristiques inhérentes de Gatsby créent des moments de lecture exceptionnels ! Des instants uniques ! Lire Gatsby, quel que soit l’article, est un plaisir qui fait de chaque instant un moment grandiose. Pour porter ce message basique et fort, un nouveau design de couverture a été réalisé et une série de visuels graphiques ont été conçus par le numéro un mondial de la profession, mon graphiste Olivier Fayoux, génie créatif et premier prix du prestigieux Award-Flip ! Pour peaufiner l’aspect numérique de l’édition Web, Juan Concalvés champion incontesté des techniques numériques, a réalisé un travail remarquable. C’est grace à ce duo de premier plan, que les innovations les plus audacieuses ont pu être transcendées au sein de GatsbyOnline et de GatsbyMagazine !”…
Pour le contenu, le monde entier reconnait que la plume magistrale de Patrice De Bryne explose dans ses articles époustouflants et prégnants concernant divers scandales, entourloupes et escroqueries, perpétrées par des chefs d’industries et des icones de l’automobile, des stars multimilliardaires, des Commissaires-Priseurs et divers de leurs clients corrompus jusqu’aux plus hautes sphères des Etats, couverts par des magistrats. Ces abominations sont révélées sans aucune censure ! Les pires magouilles et tromperies sont examinées et commentées, de toutes origines soient-elles, des histoires universelles et humbles sont également offertes aux lecteurs/lectrices, internautes pour rappeler au monde que, plus qu’un site-web et un magazine, Gatsby est aussi une expérience extraordinaire !
Olivier Fayoux a voulu préciser que la publicité était une forme de communication de masse, dont le but est de fixer l’attention d’une cible visée : consommateurs, utilisateurs, usagers, électeurs, etc… afin de les inciter à adopter un comportement souhaité : achat d’un produit, élection d’une personnalité politique, incitation à l’économie d’énergie, etc. : “Évoquer le nom d’une entreprise, d’un magasin, ou encore d’une marque, n’implique pas automatiquement un acte publicitaire. Mais cela le devient à partir du moment où le but volontairement recherché est d’attirer l’attention sur l’objet évoqué et/ou de suggérer d’aller à tel ou tel endroit. La pub, cette apocope est devenue un synonyme à part entière, n’est pas limitée aux biens de consommations ou aux services. Elle peut aussi promouvoir des hommes ou des femmes, vanter un lieu touristique, une organisation gouvernementale ainsi que des événements sportifs ou culturels. La publicité peut viser des changements de comportement ou la promotion de valeurs considérées comme positives ou bénéfiques au niveau de la société, mettre en garde contre les drogues, inciter au respect de l’environnement, ou encore promouvoir la prévention routière. Ni science, ni art, la publicité est une technique largement empirique qui emprunte à l’économie, à la sociologie et à la psychologie, qui teste ses intuitions via des panels et des études de marché.”….
La créativité en est le cœur mais elle n’est pas un art. La gratuité et l’objectivité lui font défaut. Si elle peut le devenir, ce n’est pas le but premier de son commanditaire qui cherche, lui, en premier lieu, à faire passer un message pour vendre : “La question de la publicité comparative reste aujourd’hui un sujet qui fait débat : si le concept lui-même rencontre un écho réel dans le public et les associations de consommateurs, la mise en œuvre concrète de l’idée reste controversée. La majorité des auteurs rapprochent ou assimilent la publicité à un phénomène de propagande propre aux sociétés contemporaines. Au sein de la société, elle augmente les échanges et accélère la diffusion des nouveaux produits ou des innovations techniques et elle représente un poids économique très important. De nombreuses législations nationales préviennent ses dérives potentielles. Les produits toxiques ou dangereux pour la santé se voient interdire de publicité dans certains pays, le tabac, par exemple, alors que parallèlement la réglementation protège certaines catégories de personnes.”…
La saine orientation prise par Gatsby a été confirmée par la Vice-présidente du groupe Pavale, Valérie de Perlinghi, très connue et vantée dans les milieux artistiques Tropézien, ayant dirigé une galerie renommée : “Lire Gatsby permet de capturer des moments de vie, à la limite qui disparaît entre ce que les gens sont et ce qu’ils adorent faire. Gatsby tient un rôle phare dans la presse automobile car il renforce la couleur, la texture et l’émotion des images et des textes. Chaque magazine est unique et la lecture quasi dégustative de chaque article, quel qu’il soit, rend ce moment encore plus exceptionnel”.
La version magazine “papier” compte 148 pages hyper-luxe, la version numérique “augmentée” dépasse les 300 pages dans lesquelles l’exceptionnel tient le rôle principal. La campagne publicitaire est déclinée en affichage, annonces-presse, publicités sur lieux de vente ainsi que sur internet. Le tout s’accompagnant d’éléments plus traditionnels de la communication pour que chacun/chacune puisse vivre un hymne au plaisir et aux sens !
Pour mettre en musique les spots TV, Gatsby a fait appel à son frère Pascal, compositeur en vogue, avec un remix créant la signature digitale de Gatsby. Mais ce n’est pas tout ! L’instant unique de la lecture d’un Gatsby est également mis en scène : du bruit des pages qu’on feuillette au “Aaaagggghhhhhh, ils ont osé et dépassé toutes les bornes” de satisfaction des lecteurs/lectrices-internautes, l’expérience Gatsby est minutieusement réalisée.
La France aux avant-postes ! Après le lancement de la campagne à Saint-Tropez, la France accueille le lancement mondial de la nouvelle campagne internationale. Saint-Tropez, symbole de l’art de vivre “à la Française”, s’imposait pour cet événement qui est partagé dans 12 pays du monde. Gatsby a le vent en poupe ! Un dispositif complet : Presse, TV, affichage, et digital a été mis au point ! Cette campagne exceptionnelle (en tout, 96 spots ont déjà été diffusés pour un montant de 500.000 euros les 30 secondes d’antenne ! D’ailleurs, c’est la marque Gatsby qui a consacré le budget le plus important) s’appuie en effet sur plusieurs supports de communication, pour présenter Gatsby au plus près des populations. Le thème Gatsby est diffusé chaque heure en radio et en prime-time sur les écrans de télévision et digitaux avec une forte présence sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram et YouTube notamment). Le président-directeur-éditeur de Gatsby sera également vedette évènementielle en affichage avec deux vagues successives dans toute la France, une opération gigantesque et complexe qui est organisée par Monsieur Flory, le célèbre Michel-Ange de l’affichage ayant mis le Président de la France en vedette !
Bien… C’était cool ! Waouwwww ! Mais je n’ai rien gagné à l’Euro-million ! Dommage ! La campagne de pub est virtuelle, les campagnes de putes sont, cependant, authentiquement vraies. Je vais m’en contenter et vous aussi, le magazine Gatsby et le web-site GatsbyOnline se démerdent pour vivre et survivre, quoique si vous vous abonniez en masse, bande de rats, ça serait bien mieux et plus relax ! Waouwwww ! On cause de fakes news aujourd’hui en visant internet comme s’ils venaient de naître ou plutôt comme si Internet avait donné naissance aux fakes news ! C’te connerie !!!
-RRRrrrr!!!
-Il va faire tout noir !
-Ta gueule !
Voilà comment on faisait taire la véritable information au temps de la préhistoire…
Mais le journalisme c’est quoi ? Prenez les infos TV, sur 30 minutes d’info combien sont réellement des infos et combien sont réellement utiles ? Pis, combien sont des manipulations ? 8 minutes ? 10 minutes ? Pas plu, pas moins, le reste n’est que de la broderie. Mais cela porte le nom d’Information, donc on écoute et on regarde “Les Informations” en les croyant vraies alors qu’elles sont des manipulations ! Et en plus maintenant on peut même se les tortorer 24 heures sur 24 sur des chaînes spécialisées. Bon ça c’est pour les masos, mais y’en a, et beaucoup, au vu du nombre de ces chaînes, qui augmentent ! Là nous parlions des mots, les mêmes que les infos-radio, il ne faut pas rêver, mais en plus les infos TV montrent du sang, des morts, des malades, des blessés, des accidents, des guerres, des enfants affamés, etc. Parfois et même souvent ce sont des images d’anciens conflits, ce sont donc des manipulations ! Et, pour rester dans le milieu de la TV, vous avez toutes les émissions qui reprennent les gros titres des infos chacune à leurs sauces et qui refont le monde sauce piquante, sauce curry, sauce chinoise, sauce merde… Heu ! Non ! On va éviter la sauce chinoise, celle-là en ce moment elle, a mauvaise presse, c’est le moins qu’on puisse dire. Et il n’y a pas de raison. C’est une manipulation !
On se penche maintenant sur les informations papier, Le sacro-saint Journal… et même pas besoin d’acheter un journal, il suffit simplement de lire les gros titres sur les kiosques et là est le plus important car les aimants sont là et quand vous ouvrez le journal, ils ont disparu… Et pourtant vous cherchez le truc accrocheur gros comme une maison ! Oui mais c’était la vitrine ! Encore une manipulation ! Mais faut pas déconner non plus, on ne va pas développer, on ne va pas risquer un procès pour diffusion de Fake news fausses mais vraies car faisant volontairement obstacle aux fausses fake news vraies… Mais ce qui a retenu votre inconscient, resteront les gros titres. Il y a les spécialistes de toujours là-dedans : Paris Match, Ici Paris, Détective et tellement d’autres. Le poids des mots Le choc des photos ! Sérieux dans tout ce merdier il n’y a pas de fakes news ! Point-barre ! Les journalistes sont honnêtes !
Avec les infos en amont et/ou en aval, il y a toujours des manipulations de l’opinion, ce que l’on appelle les infos vraies, ne sont que des fakes news, des vilaines fakes news, des crapuleries de fake news. Et je reprends le terme d’ailleurs parce qu’avant de se nommer fakes news ça s’appelait INTOX et je préfère ce terme, parce qu’il est français ce qui montre bien que ça l’est aussi… et parce qu’il est parlant : intox : intoxication. Souvenez-vous du vénéré et vénérable Poivre d’Arvor inventant un interview de Fidel Castro… C’était d’évidence une fumisterie, une tromperie, une saloperie de mensonge, une fake new… Et c’est Michelle Cotta, sa patronne qui a été chargée en suite de créer et présider des conférences anti-fakes news dans une suite de manipulations en réunions de mairies pro-gouvernementales…
Pareil en pire avec une journaleuse TV qui a monté les faux viols en chaises de dentiste-gynécologiques de Kadhafi, les fausses tueries dans les couveuses Kowétis par des Irakiens assoiffés de sang, sa fausse entrée de nuit sous les tirs en Syrie, le faux enlèvement d’une journaliste avec libération sous rançon ! Des mensonges et crapuleries en cascade, des manipulations, des fakes news… Les deux points culminants étant les armes de destruction massive de Saddam Hussein et les prétendus attentats du 11 septembre…
Là nous arrivons à Internet, bien sûr, et les réseaux sociaux en particulier. Avant on refaisait le monde au bistrot avec des inconnus en clopant peinards, mais on ne peut plus y fumer ! Je pense d’ailleurs que ce n’est pas anodin car vous remarquerez que la France est devenue sans réaction et les Français moutons depuis qu’on les a privés de ces espaces privilégiés. On nous a donc construit “le meilleur pire des mondes” où l’on refait aussi le pire du monde avec des inconnus… Mais surtout avec les fausses informations qu’on veut bien nous donner à échanger et sous surveillance. Il n’y a pas de fumée sans feu mais il n’y a pas non plus de feu sans fumée. Je m’explique : Imaginons que la France des réseaux sociaux soit polarisée sur un sujet fumant et que cela prenne une ampleur dangereuse risquant de mettre le feu qui déplait aux puissants ! Alors insidieusement l’alarme sonne : un autre feu plus gros est allumé et on vous en balance la fumée : une fake new qui dit que toutes les autres infos sont des fakes news, qui diront pareil, avec une même réponse… Quelle est alors la fake news authentique, la reconnait-on de la fausse fake new… Donc, la manipulation est incessante !
Du coup votre inconscient est intoxiqué n’arrivant plus à distinguer le vrai du faux mais surtout il est détourné car votre subconscient a pris le relai, forcément puisque vous prenez en pleine figure une information tellement énorme appuyée si possible par des photos, des vidéos, des témoignages et des contraintes et obligations… que vous réagissez par réaction et que lorsque l’on agit par réaction on s’assied sur la chaise cassée ce qui fait qu’au lieu d’aller voir d’où vient cette chose, quand et comment elle est arrivée jusqu’à vous, quelle en est sa source… vous vous cassez la gueule sur la chaise branlante (comme les news) et vous vous en débarrassez en la balançant à votre voisin car il vous est impossible de la garder pour vous et lui fera de même !
Mais comment reconnaître le vrai du faux ? me direz-vous ! Alors déjà réfléchir et se poser la question est un plus : A qui profite l’info ? Partagez là en premier avec un ami proche de manière à effectuer les recherches à deux car en général chacun utilise ses sources propres. Attendez 24 heures, c’est à peu près le temps qu’il faut pour qu’un démenti soit fait. Mais n’oubliez jamais que parmi ces fakes news se trouvent aussi à la base de vraies infos que l’on voudrait nous faire prendre pour de fausses et que les réseaux sociaux ne sont qu’un immense bocal scruté par des dizaines de microscopes. D’où les problèmes que rencontrent les lanceurs d’alertes qui eux tentent de nous dire une vérité qui dérange car ils sont les fées des faits ! Qui entrevous s’inquiète encore du lanceur d’alerte Julien Assange qui a été piégé par une agente Israélienne en prétextant un faux viol ? Personne ! Il crève lentement pour avoir osé publier des vraies infos, des manipulations d’états ! Z’êtes coupable !
C’est entendu : Avant l’entrée en campagne de M. Donald Trump, la démocratie et la vérité triomphaient… Gag ! Certes, les médias vivaient grâce à la publicité qui promet le bien-être aux buveurs de Coca-Cola et relayaient les actualités fabriquées par des agences de communication. Mais les fausses nouvelles s’appelaient “informations”, puisqu’elles étaient publiées soi-disant de bonne foi par des journalistes professionnels : les mêmes putes qui trompaient la Terre entière en décembre 1989 avec les faux charniers de Timişoara en Roumanie ; les mêmes putes qui diffusaient sans vérification en octobre 1990 la fable des soldats irakiens détruisant des couveuses à la maternité du Koweït afin de préparer l’opinion à une intervention militaire ; les mêmes putes qui révélaient à la “une” du Monde les 8 et 10 avril 1999 le plan “Fer à cheval” soi-disant manigancé par les Serbes pour liquider les Kosovars, une invention des services secrets allemands destinée à légitimer les bombardements sur Belgrade ! Sans oublier les éminences du New York Times, du Washington Post ou du Wall Street Journal qui relayèrent en 2003 les preuves imaginaires de la présence d’armes de destruction massive en Irak pour ouvrir la voie à la guerre ! Ils sont donc complices de millions de morts, innocents ! C’étaient des fakes news… Réfléchissez-y concernant le Covid19 et les prétendus vaccins qui n’en sont pas ! Je trouve, sans connaître la réalité, qu’on nous pousse trop à y croire officiellement… Et cela m’irrite beaucoup !
À présent, leur monopole de l’influence s’effrite, et ils fulminent : les poids lourds de la désinformation s’indignent que des chauffards du bobard roulent les lecteurs sans permis ! Maintenant les médias sont devenus des merdias et les journalistes des journaleux, réunis dans un même monde : “Les putes de l’info”…
5 commentaires
On est supposé expliquer ça aux enfants avant leur adolescence au risque qu’ils se suicident ou ne soient jamais heureux de rien, ou bien vaut-il mieux les laisser vivre leurs désenchantements petit à petit ?
Est-ce qu’il vaut mieux visiter une boîte de nuit enivré quand ça tourne à fond, ou le lendemain à 14h quand on fait le ménage ?
Ne pas faire d’enfants permet de ne pas être malheureux d’en avoir fait !
Je déteste les boites de nuit, les boites de jour également.
C’est la somme des expériences… Pour ma part, j’en ai énormément !
Est-ce le monde actuel qui est devenu nauséabond et irrespirable, ou la somme des expériences extraordinaires d’une vie exceptionnelle qui a permis d’ouvrir les yeux ?
La somme des expériences extraordinaires d’une vie exceptionnelle permet d’ouvrir les yeux sur le monde actuel devenu nauséabond et irrespirable…
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