PlayBoy, king et Gatsby à Saint-Tropez
J’étais nu en bord de piscine, face à la mer, à un jet de diamants de Saint-Tropez, en train de me bâfrer avec Blacky d’un petit-déjeuner avec la distinction d’un phacochère nihiliste pendant qu’un bonheur incompréhensible me cisaillait l’hypothalamus… quand “il” m’a (enfin) téléphoné qu’il arrivait… me disant toutefois que la fin d’un de mes derniers textes de GatsbyOnline (également publié dans son magazine King), ressemblait à du Zola réécrit façon Gonzo par Nietzche…
Ce “il”, c’est à dire Jean-Christophe Florentin, éditeur Parisien, partenaire de Gatsby magazine, en relance du fameux Playboy entouré de Playmates sexuellement époustouflantes, espérait que dans notre collaboration d’échanges de bons procédés, le texte prochain que je projetais d’écrire serait encore plus trash, encore plus épique, plus fou, plus dingue, plus immoral, plus vénéneux… j’ai donc bafouillé un “Hipsss” pour toute réponse et terminé mon Mojito abandonné sur le rebord, tiède depuis déjà un bon moment ! (le Mojito, pas le rebord de la piscine)…
Avant l’automne 1953, la presse magazine comportait quelques titres prestigieux comme Time et Newsweek aux Etats-Unis, Stern en Allemagne, Paris-Match en France… à vrai dire, des publications sans grand intérêt dont le contenu divergeait peu des quotidiens… les mêmes rubriques reconditionnées dans un format plus facile à prendre en main et égayées de quelques photos reportage, une habile opération de packaging, mais mièvre en style et contenu !
Il a fallu réellement attendre le mois de novembre 1953 pour que sorte à 50.000 exemplaires le premier numéro de Playboy qui faillit s’appeler au départ Stag Party (soirée entre hommes)… ce concept de génie est inventé par Hugh Hefner, un journaliste de 27 ans qui fume la pipe, porte des socquettes blanches et se présente avec l’assurance d’un jeune puceau… comment ce bonhomme d’une banalité affligeante dans l’Amérique des années 50 est-il à l’origine d’une révolution journalistique ?
C’est un garçon bien sage, poli mais déterminé qui va mettre en couverture Marilyn Monroe avec cette accroche en Une : First time in any magazine, full color, the famous Marilyn Monroe nude… personne n’avait pensé avant lui aux centres d’intérêts masculins, il est donc le premier à marier tous les genres : la fiction, la politique, la culture, le sport et bien évidemment une fille dénudée qui expose l’intégralité de son anatomie en trois volets… Hugh Hefner a compris qu’il fallait décomplexer une Amérique puritaine..; le rapport Kinsey sur la sexualité va l’aider à bousculer les mentalités.
Mais Hugh est surtout un redoutable commercial, il connaît très bien les comportements des lecteurs : ils n’oseront jamais acheter un magazine de charme.
Il leur propose alors le plus grand magazine d’actualités du monde avec des interviews de Fidel Castro, Malcom X, Miles Davis, Martin Luther King Jr., la Princesse Grace ou encore Frank Sinatra, des débats sur la guerre du Vietnam, des nouvelles de Ian Fleming, Henri Miller, Truman Capote ou Woody Allen. une playmate et du contenu, les deux sont indissociables dans le succès du magazine, l’un favorise l’acte d’achat, l’autre déculpabilise. l’affaire va lui permettre de devenir multimilliardaire… mais, devenu vieux il se contentait de vivre en partageant la Mansion avec diverses écervelées blondes, la couleur qu’il a toujours affectionnée… et comme c’est notre sort inéluctable à tous, il est décédé… il faut pourtant se souvenir de lui comme le représentant d’un nouveau monde terriblement excitant, des bunnies aguicheuses, un DC-9 aux couleurs du Lapin, des soirées débridées et un grand vent de liberté.
Depuis mars dernier, aux Etats-Unis, le magazine créé par Hugh Hefner n’est plus disponible que sur internet… mais en France Jean Christophe Florentin a relancé Playboy ! Tiré à 100.000 exemplaires, le nouveau Playboy trimestriel est paru mi juillet 2020 : 212 pages, version classieuse façon “MOOK” avec un quart de photos dénudées. On y trouve des articles sur le Darknet, l’exorcisme ou encore une interview de Bill Gates, pour fêter cet évènement, nous aurions aimé inviter avec nous Johnny Deep et Keanu Reeves, les deux stars dont les interviews “A Saint-Tropez” sont publiés dans Gatsby magazine, mais leur emploi du temps chargé en plus des restrictions dues au Coronavirus nous a poussé à fêter l’évènement de manière plus ludique !
J’étais cool… mais, de mémoire, il n’y aurait eu que le contraire de cet état d’esprit capable de me surprendre… mais rien ne pouvait l’affirmer avec certitude, encore moins le démontrer de manière indiscutable… d’autant que mes souvenirs en la matière avaient à peine plus de crédibilité que la fois où j’étais persuadé d’avoir vu mon ancienne institutrice nue dans une salle de billard enfumée un soir de grand désarroi… souvenir qui venait à point nommé enrichir les divagations hallucinées que je vous déballe maintenant… avec en plus d’une très belle érection… cette réminiscence débile et complètement fausse par simple démarche absurde qui caractérise certains de mes écrits…
J’étais motivé par toutes sortes de projets existentiels considérés par l’ensemble de l’humanité comme totalement inutiles, refusant de le reconnaître par principe, ne me déplaçant plus en permanence au dehors de mes murs dans des Excalibur’s… j’étais fatigué d’elles, je ne les voyais plus qu’en salopes dévoreuses d’euros m’ayant toutefois amené à mépriser la bêtise, par réflexe lucide… je ne conservais dès-lors qu’un seul rêve latent, celui d’arriver un jour à penser à autre chose qu’à Gatsby fut-il Online où Magazine…
J’étais temporairement inapte à toute réflexion profonde y concernant, puisqu’il n’y avait pas matière à analyser ou à extraire quoi que ce soit de l’ exutoire néantisant de cinquième catégorie qu’était l’observation flasque du Van Gogh (ci-dessus) enchainé dans la bibliothèque, qui se trouvait considéré par mon jugement tortueux comme étant l’ultime œuvre d’un fou dont le statut vital ne dépassait guère celui d’un distributeur de cigarettes pour prostituées camées à la sortie d’épiceries nocturnes… une occupation qui ne figurait pas dans ma liste d’options de vie… il m’aurait donc, toutes réflexions faites, été illogique de ne pas profiter de mon lap de temps restant… ayant encore un objectif éditorial qui occupait par défaut mes comas éveillés n’ayant pas plus de sens que le reste de mes acquis mentaux… et je crois que c’est en vertu de cela que j’y voyais un signe du destin… ou du vertige humain général.
A force de fantasmer sur MON concept d’un magazine de luxe populaire, j’avais quasiment réussi avec Gatsby à atteindre mon but… il ne me restait plus qu’à arrêter d’écrire à n’importes quelles heures des jours et des nuits, là où en arrivent les plus perspicaces : survivre pour que la prétention au titre de rénovateur de l’inhumanité automobile n’ait pas l’air injustifiée… et je pensais bien que réussir à cette obtention était désespérément dans mes cordes, même si au final tout cela venait d’avoir voulu faire de Chromes&Flammes (ci-dessous) un magazine populaire luxueux contribuant à générer la haine des Nitromaniaques et des Power-Glandeurs ahuris (ci-dessus)…
Michel Houellebecq aurait très bien pu entrer dans ma vie, avec son air de lémurien diaphane il se serait assis à côté de moi en jetant un œil brillant et passionné sur mon style syntaxique que ça ne m’aurait pas enlevé le désir intense de scruter le plafond pendant de longues heures à la recherche d’un défaut similaire à un faux espoir en quelque chose… en résumé, je pensais que pour être factuel, il ne me restait que l’espoir en rien… je ne savais même plus dans quel ordre je devais positionner mes idées sur l’échiquier planétaire, quelles pièces pouvaient passer par-dessus les autres ou si c’était à mon tour de jouer… car ce qui était évident chez l’adversaire fantôme qui hantait mes nuits blanches et qui lui donnait un avantage certain dans cette partie très déséquilibrée, c’était la présence d’une stratégie rodée qu’il mettait en place avec une sérénité qui ne pouvait qu’exacerber mon moi profond.
D’autres l’auraient fait et peut-être à juste titre, mais je n’avais pas vraiment ni le courage ni l’envie véritable de verser cinquante centilitres de Mojito tiède sur le clavier de mon ordinateur, de jeter des piécettes aux touristes qui passaient leur tête au dessus des haies et d’envoyer encore une fois par lâcheté absolue un message vil et blessant à certains internautes avant de prendre un dernier verre avec une interrogation en tête : “Depuis que j’ai reçu d’un lecteur facétieux, un porte clés de nana à poil avec les seins qui clignotent quand je siffle, je me demande à quoi servent les femmes qui n’ont pas les nibards lumineux ?”... je me suis tellement fait étanche que la plaie coule à l’intérieur et ne cesse de recycler la substance toxique… il faut percer l’abcès : “Avec une lame de plus de sept doigts“, me suggère ma solitude… mais, cette autre salope m’a particulièrement mal conseillé ces dernières années, alors je ne lui fais plus confiance… je serre l’épiderme, bien au contraire…
Je me suis préparé à monter très haut un jour, j’ai décollé un autre jour… je me suis aussi préparé à rester à flot tout le long, en sachant bien que je finirai par céder… mais tout cela ne fut qu’une longue attente meublée à coup de blasphèmes et de parjures… oui, j’ai souffert… longuement… je n’ai même pas le culte du regret car j’ai déjà celui de la perte… je ne suis qu’un déjanté qui cherche le Graal de l’existence… qui n’existe pas… je fuis ma propre image en recopiant des pages acnéiques, trop vieux pour songer à me suicider… il me faudrait encore plus de finalité à ne pas exister et je n’ai aucune finalité… toutefois, un de mes objectifs est d’en trouver un qui échappe à la loi du système métrique et au matraquage publicitaire observable dans les abribus… et entre les séries télévisées déconcertantes de manichéisme… vaste entreprise.
Je blablatise en frappant mes textes avec les coudes en me prenant pour un pseudo courant circulatoire encombré… sérieusement… je me fais péter des empires à la gueule en souriant, je fous le bordel partouze et je bouffe des pâtes sans scrupule… en finale, je ne m’emmerde pourtant jamais en blog majeur, parfois un pneu en site mineur d’un manque de participation de la part de seulement quelques-uns qui répondent épisodiquement ne pas avoir de répondant, ce qui est un double-sens… tout cela entre deux éructations d’hémoglobine et une partie de Ping Pong sidaïco-texticulaire : “Vous allez me manquer, chers lecteurs… je pars… sauf si vous me retenez… retenez-moi ou je fais un malheur”… balivernes, est-il concevable que j’arrête d’écrire mes conneries comme on rentre dans les salles obscures un grand seau de pop corn sous le bras…?
J’ai trop la chance de vous avoir attiré à raison de 6.000 visiteurs/visiteuses par jour en moyenne, pour obtenir ce succès, je vous ai cherché durant plus de vingt ans depuis que j’ai créé www.GatsbyOnline.com (fin 1999), toutes et tous rencontrés “un par une” avec vos yeux globuleux explosés par la lumière de vos moniteurs d’ordinateurs… de plus j’ai réussi à duper mon propre désespoir avec la plupart des filles qu’il m’a été donné de rencontrer grâce au web : Isabelle, Delphine, Maud, Anamary, Claire, Noémie, Vanessa, Jennifer et bien d’autres… avec lesquelles j’ai simulé l’état de grâce pour atteindre mon rythme de croisière… dans le domaine des relations sentimentales, plus qu’ailleurs, il est conseillé de surjouer… la difficulté de l’existence se prête parfaitement à la “dégoulinance” ultime et les femmes en raffolent… un conseil : Ne surtout jamais les en priver… tout le monde y trouve son compte.
Dans des cafés branchés, dans des hôtels grand genre, dans des stations de ski réputées et des clubs de vacances, jusque sur la côte mexicaine, j’ai ingurgité des flacons de potion érectiles estampillés ‘Grand crus’ en dégustant des mets aux fumets distingués dans des établissements gastronomiques… ensuite j’ai glissé ma peau sur le tissu soyeux des draps de princesses, de bourgeoises, de battantes, de commerçantes, d’étudiantes et même de femmes de chambres, de putes, d’artistes et journalistes… d’innombrables attentes de jouir de mon corps dans le leur, si complémentaire et bénéfique.
Envoûté… avant j’essayais de donner un sens à tout, je regardais les programmes télévisés pour échapper à l’ennui, j’observais les variations du baromètre, je détectais les signes avant coureur de ma survie et de la compassion que j’éprouvais pour la vie… me rendant sourd de trop de masturbations à la dialectique des courtisanes bien mises qui s’en sentaient coupables… avant de s’en ressentir grisées, concluant avec moi une série impressionnante de pactes tout juste voués à nous empêcher de laisser nos corps éructer à leur guise… même si ce n’est pas malin, il y a eu de quoi en être fier… soyez en assuré(e)s et comptez sur toute ma sympathie… mais rien d’autre… la vie est trop courte… le jour où on décide d’appartenir pour de bon… on n’y échappe plus jamais… c’est une erreur qu’il est souhaitable de commettre… c’est un avis pour celles qui ne s’y sont pas encore laissées attraper… hordes de femmes erratiques, connaissez vous votre bonheur ?
Désastre flamboyant et jubilatoire… que s’effondre le ciel protecteur qui nous anesthésie et que frappe la foudre avec son cortège de désirs frustrants et d’échecs mobilisateurs… j’ai donc échangé ce qui relevait du fantasme socio-spasmodique contre un comportement hédoniste…. mais pour terminer, si d’aventure vous trouviez ma story désolante, mon manque de sociabilité accablant, mon argumentaire tendancieux, juste peut-être… suivez mon conseil : jetez un coup d’œil au fond de vous-même… demandez-vous combien de temps l’étranger qui se trouve en votre for-intérieur, continuera à vous duper, avec votre complicité, votre sens de la lucidité… posez-vous la question de l’éternité et du destin, redevenez l’animal que vous n’auriez jamais dû cesser d’être… mais ne m’en voulez pas de vous avoir pointé du doigt, vous-même, pas nécessairement la vérité.
Je vais peut-être descendre faire un micro-trottoir pour en avoir confirmation… je tomberai avec un peu de chance sur un disciple survivant de l’ancienne secte Moon qui verra en moi un grand potentiel d’adorateur du bulbe de cèpe… et je passerai les prochaines années en kimono à chanter les louanges d’une entité quelconque en jouant du tambourin en queue de file pendant les processions quotidiennes de prières spontanées aux esprits élémentaires… à moins que je ne devienne plus Tropézien que fou-furieux, un Bravadeur exultant la miséricorde du Cépoum en tirant des salves de poudre afin de crever les tympans des touristes… que voulez-vous que je vous dise de plus sur ce folklore… ça me fait pleurer de rire alors que j’ai plutôt envie de pleurer tout court… c’est sûrement un des effets thérapeutiques de l’écriture ou un système défensif disposant d’un générateur de camouflage en mauvais état de marche.
Certains auteurs détaillent avec style le programme accompagnant la fin d’un texte, à savoir aller aux putes, se bourrer la gueule ou chier de façon prospère… moi, je vais continuer à surveiller les alentours depuis mon perchoir dans l’attente d’un évènement dénué du moindre intérêt afin de pouvoir vous en faire un exposé détaillé prochainement… voilà, ce sera tout pour ces premières réflexions du cru hautement réalistes, vous pouvez me croire sur écrit… et si vous prenez un billet pour Saint-Tropez suite à cette lecture, je ne vous en voudrais pas, je vous demanderais simplement de me laisser en paix, fatigué d’attendre ce qui n’arrive jamais…. bien aimable à vous.
Il est bien peu aisé d’écrire en travaillant, ne serait-ce que trente-cinq heures chacune des quarante-sept semaines, le tout élevé à la puissance annuelle, car il est avéré que les révolutions terriennes ne s’ajoutent pas mais se multiplient par elles-mêmes, en tout cas si l’on en croit le faciès des gardiens et gardiennes des bonnes mœurs que j’aurai le plaisir de vitrioler du regard dès demain lors de mon départ vers “La Tarte Tropézienne” ou je déjeune ostentatoirement méprisant et naturellement agressif.. comme mon Cocker Blacky… interdit d’entrer dans notre cercle vital, moi je grogne, lui aboie….
Il est certain qu’écriture et activité professionnelle jumelées font rarement bon ménage ; pour preuve, on constatera que les scripts lucides ne concrétisent que rarement une activité autre que celle qui revient à pilonner les rotules de leurs contemporains à coups de masse de chantier tout en insérant de nombreux pipe-lines dans leurs orifices corporels… bienheureux hommes réalistes qu’ils sont… le travail est un phénomène originellement accidentel entretenu depuis des temps reculés (immémoriaux) par des personnages avides et malveillants qu’il aurait fallu droper nus depuis un transport aérien de troupes au milieu d’un champ d’oliviers grecs durant la saison chaude des sangliers et autres bouquetins locaux afin qu’ils parviennent finalement, au bout de quelques mois d’errance douloureuse – oserai-je dire homérique – à admettre que leurs “prophétisations” sinistres étaient tout à fait sans fondements (Je tiens à m’insurger ici-même de l’orthographe consternant et abusif du terme ‘prophétisassions’, encore un méfait de linguistes peu inspirés qui devraient subir une sanction similaire à celle de leurs tristes collaborateurs cités un peu plus haut. Ce ‘t’ devra donc être considéré par les hordes de profanateurs à la solde des rampantes valeurs ataviques comme étant le porte-drapeau de mon indignation littéraire ainsi que l’usufruit de mon âme impitoyablement contestataire et belliqueuse envers ses dépôts de Pivotiens analement encombrés. Et je suis encore bien trop indulgent)…
On trouve bien évidemment des illustrations notables de récits néo-réalistes faisant mention de ce principe largement modelé donc et ce, à des degrés divers… certains essayent d’y voir un prétexte et d’autres – à l’instar d’un glorieux compatriote exilé au pays du trèfle – y décèlent une légitimité à écrire… opposition drastique s’il en est entre les méritants de lauriers à triple étage culminant au faîte de l’encéphale et de compteurs à gaz vigoureusement enfouis dans la tempe car si le sujet est vaste, l’aspect notoirement bêlant de ce que l’on peut péniblement en survoler et maladivement en lire l’est aussi et plus démesurément encore (Notez l’usage outrancier de notre ami et confrère l’adverbe. Nonobstant une récurrence délibérée, son effet de dynamisme larvé reste néanmoins indispensable à toute construction syntaxique d’ordre majeur se voulant et devenant de fait, toute inhérence conservée au talent et à l’instinct scriptural du stratège malicieux juché sur sa chaire lettrée et positionnant ses bataillons à la mesure synaptique des mélopées wagnériennes qu’il affectionne, d’un style dénué de retenue quelconque ainsi que de toute modestie qui serait ici d’un goût absolument douteux et inadapté à l’éloquence reconnue dudit commandeur)…
Fréquenter cet univers immonde peuplé d’hommes et de femmes qui ne sauraient plus en être vraiment, croyez-moi, ne vous rapportera qu’agacement exacerbé et dévalorisation spontanée dès lors qu’une ignoble tant que stridente sonnerie matinale, vous rappellera à l’ordre de vos insurmontables erreurs passées au centre purulant desquelles vos doigts légitimement fébriles signant en bas de votre acte de décès intellectuel mais que vous avez voulu assuré face à l’engeance démoniaque comme une affligeance obtenue par combinaison génétique innommable… qui ose à présent se poser en employeur de votre négligeable personne… tiennent une place dont la prépondérance n’est, fatalement et misérablement pour vous, même plus à démontrer.
De manière large et englobant synthétiquement les denses et non moins admirables développements antérieurs, si jamais la circulation vasculaire de votre cervelet à l’image de celle de votre bulbe rachidien demeure suffisamment élevée pour permettre une appréhension de ce niveau, vous comprendrez donc qu’effectuer un travail de catégorie non-littéraire simultanément à une charge aussi monumentale et prioritaire que la description chronique des sens et de leurs opposés, revient à s’amputer de la cuisse à l’étau de menuisier en tentant d’extraire le bloc de marbre rose qui pointe inévitablement à équidistance de vos sourcils dont la délicatesse de l’expression est sans le moindre débat à ce sujet, comparable à la grandeur de la posture du Yorkshire nain déféquant sur la promenade longeant le littoral de la ville de Boulogne-sur-Mer par une bourrasque polaire alors que l’octogénaire tractrice de cabas roulants expérimentée et abonnée des premiers jours à Gala, dont votre niche pestilentielle est bourrée jusqu’à la gueule, joue de son poignet grêle pour vous décoller les vertèbres cervicales à l’aide de faibles mais néanmoins répétitifs coups sur votre laisse écossaise, froissant dans le même geste votre fameux pull boudinant en patchwork Jacquard…
Un second volet quelque peu éloigné des affres suicidaires spasmodiques qui n’a pas pour but de mettre en avant mon aspect lunatique et exhaustivement martelé à la perforeuse… mais plutôt, et vous conviendrez aisément de la primauté de sens induite à son endroit… la désastreuse prolifération de l’élément professionnel au cœur des priorités psychiques… et donc par extension porteuse d’une logique tant évidente que limpide, sa responsabilité indéniable pour ne pas dire grossièrement flagrante concernant l’attraction vers le bas subie par les aspirations déjà hautement abyssales des bipèdes nous environnant.
Voilou… j’ai tenté de vous décrire au mieux ma vie à Saint-Tropez totalement éloignée de tout concept moralisateur, je suis au bout… et à bout… mais heureux d’avoir créé une synergie entre nos respectives maisons d’éditions entre Jean Christophe Florentin (Société Médialyd éditant PlayboyFrance, King, Cuisine AD, Voyages de luxe, Voyages & gastronomie, Zen, Chats d’amour, Friendly, Généreux, Les Crados, Star grands) et moi-même Patrice De Bruyne (Société SAS Pavale éditant Gatsby magazine, GatsbyOnline, Chromes&Flammes, Secrets Interdits, Saint-Tropez Vice, Ataraxie, Pixbel)
En vous remerciant… bonjour et bonsoir.