Les filousophes écrivent beaucoup sur le vain !
Malgré quelques avis contradictoires, le vain est moralement répréhensible ! Selon une enquête réalisée puis publiée au hasard du calendrier, le coté vain de la vie et de diverses choses a été reconnu d’inutilité publique. Je cite : “A la vue des désirs dont ils sont perpétuellement agités, des passions qui les tourmentent, des inquiétudes qui les rongent, des maux tant physiques que moraux qui les assiègent de toutes parts, on serait tenté de croire que le bonheur n’est point fait pour ce monde, et que ce serait une entreprise vaine que de vouloir guérir des esprits que tout conspire à empoisonner.” (Paul Henri Thiry d’Holbach. “Système de la nature ou des lois du monde physique et du monde moral“)…Je viens donc vous présenter ce qu’est depuis un demi siècle ma contribution avec le coté vain des articles intelligents de “Chromes&Flammes/GatsbyOnline” présentant des automobiles (et autres choses) vaines, dans un magazine particulier en “papier” qui a finalement obtenu le titre envié de magazine mythique et est ainsi devenu le graal qui fait rêver tous les amateurs de vaines automobiles dans le monde entier ! Ce magazine grand cru, édité maintenant à Saint-Tropez sous forme numérique, avait tout un temps des années’70’80’90 été édité en 5 langues/éditions à 500.000 exemplaires “papier” mensuels. Pour en acheter un, il fallait l’acquérir à parution faute de quoi c’était la rupture de stock…
Un demi siècle plus tard il est 100% numérique, 24h/24h, se traduit dans la langue de l’internaute et ne coute qu’un euro le premier mois pour obtenir le bonheur d’accéder à près de 5.000 articles. Cette initiative a été qualifiée de “courageuse” en nos temps incertains. Vous savez que ma nouvelle vie se déroule depuis quelques années à Saint-Tropez entre Brigitte, Arnault et Kriss., Toutes et tous m’ont répondu que mon initiative était méritoire ! Je suis habitué à ces types de remarques perfides… Parmi les nombreuses pratiques locales bizarres et grotesques, enfoncer des portes ouvertes est une coutume locale en expansion constante qui fait la fierté de la cité. Selon la rousse aux gros roberts, les Tropéziens aiment grossir les traits d’humour, être les mouches du coche, ils adorent mettre en boite, jouer aux chats et aux souris, chercher la pierre philosophale, mettre des bâtons dans les trous, cracher dans la soupe aux poissons, pisser dans les violons des quêteurs de monnaies aux terrasses, trouver la quadrature du cercle. À table, la bonne chair et les bons mots se mêlent et s’en mêlent et aucun Tropézien n’hésite à remettre les couverts, les petits plats dans les grands, couper les cheveux en quatre, prendre les désirs des autres pour de la télé réalité. Les pots de vin sont plus appréciés que les canettes et les cubis. Quand le vin est tiré, il faut le boire pour le croire.
On peut verser (où recevoir) un pot-de-vin sans boire la tasse, même si c’est du pipi de chat, mettre de l’eau dans son vin quand on a les yeux plus grands que le ventre, quand on est entre deux vins, entre la poire et le fromage, quand on a la pêche ou la frite, et quand on fait la tournée des grands-ducs et qu’on boit comme des éponges, ronds comme des queues de pelles avec une gueule de bois à faire vomir un charpentier. Cela étant, après, on se referme comme des huitres, aimables comme des portes de prison… Mais ce n’est pas grave puisque l’humanité vit ses dernières heures et que vous l’ignorez. Enfin, plus maintenant ! C’est la guerre en Ukraine, les gouvernements Européens saisissent les biens des oligarques, pour payer à leur place les frais de gardiennage et d’entretiens avant de devoir juridiquement les restituer… De plus, la peste bubonique arrive, le déluge biblique également, les tremblements de terre, les collisions des comètes, l’invasion des sauterelles, le retour de la revanche du Kraken, les lettres noires, les ténèbres, l’apocalypse, la fièvre jaune chinoise, le retour de la Corona en magasins. On est mal barré. On va nous redemander de porter des masques. Moi, le seul masque que je possède, c’est un masque de zombie de Walking Dead…. Pas bien sûr que mes voisins Tropéziens apprécieront. Déjà que je traine dans le quartier dans un Hot-Rod avec flammes. Pffff !
Je vais balancer, je suis un peu tendu avec toutes les mauvaises nouvelles venues de Chine. Si le vain est vain, le but d’un vin est d’être bu, de préférence apprécié, mais c’est avant tout un plaisir de nature animale, qui relie une excitation physique à la satisfaction d’un besoin naturel, boire. Déguster un vin, c’est mettre en éveil et stimuler nos cinq sens, c’est interroger le verre. La dégustation est une grande école d’humilité. Elle est une longue partie d’échecs aux combinaisons infinies : cépages, millésimes, régions, producteurs, cuvées…Juger de l’harmonie complexe du vin, de son état d’évolution et de sa capacité de vieillissement, nécessite une grande expérience qui ne peut s’acquérir qu’avec du temps, beaucoup de passion et une pratique assidue pour progresser. Ce plaisir pourrait rester strictement sensoriel si l’homme ne possédait pas cette faculté de mémoire. La dégustation est un voyage dans le temps et dans l’espace pour le prix de quelques gouttes de vin. Un verre de vin raconte une histoire, traduit une technique, révèle les tâtonnements d’un homme ou son génie, il rappelle le temps passé, évoque des lieux ou un paysage. La dégustation, c’est l’éloge du plaisir. Je conchie sur tout le reste d’ailleurs. Je hais les vacanciers qui déboulent, j’anathématise les références, les images, les comparaisons, les mises en abyme quotidiennes.
Je hais et je déteste les autres et tout ce qui puisse me sortir de cette détestation. Je veux que mon esprit soit remplacé et le corps aussi tant qu’on y est. J’ai surement droit à un reset, une régénération, une résurrection, un truc qui te fait repartir à zéro. Mais attention, pas de connerie, je ne veux pas de résurrection religieuse ou toute autre ineptie du genre. Je ne veux pas de pollution intellectuelle et de bouffonneries absurdes. Pas question de bouddhisme, de sophrologie, de tantrisme, de yoga ou toutes ces merdes pour quadra débile en mal de spiritualité de bazar. Le salut par quoi alors ? J’aurai voulu être un artiste, pour faire mon numéro et avoir mon bureau en haut d’une tour, pas une villa en bord de mer entre Brigitte et Bernard… Mais l’art n’est qu’une putain qu’on pense pouvoir toucher, sentir, pénétrer mais qui ne fait que renvoyer encore et encore à notre inculture crasse. L’art est aujourd’hui un diable pour de riches abrutis absconds. L’art transforme le monde en grande surface, en bête à haïr. Reste la bouffe et le vain et le vin, oui, quoique, certes, ce n’est pas très sain, mais je m’en cogne le saucisson, on est rarement seul pour bouffer et boire vainement du pinard. Après quelques verres, on est moins torturé par notre mince potentiel physique et psychique. Le vin est le meilleur des antidépresseurs contre le coté vain du monde…
On est bien obligé d’aller vers les autres, pire s’y intéresser. L’homme est donc fait pour être libre, boire et manger, c’est son karma et c’est la seule chose qui le rende vraiment heureux. A bien y réfléchir, la liberté n’est même pas indispensable, il ne saura jamais qu’en faire et sera aliéné par elle jusqu’à en devenir azimuté, puis ira dépenser son blé chez un psy en mal de vacances à Zanzibar. Pour ce con d’homme, il lui faut du vain et du bon vin, une bonne table et des potes à moustache. Je plaisante vous l’aurez compris, la moustache n’est absolument pas obligatoire ! Les émotions sont des concepts très complexes, philosophiques avant d’être scientifiques, ce qui explique qu’elles furent longtemps dédaignées par les scientifiques. En effet, comment concevoir étudier des phénomènes aussi subjectifs, aussi personnels, aussi intimes que le coté vain des choses ? Mais l’émotion n’est pas un phénomène totalement subjectif, certains éléments, certains processus physiologiques, comme l’accélération du pouls, la transpiration, sont communs à l’ensemble des Hommes sur la planète. Un sourire est reconnu, du fin fond de la forêt amazonienne jusqu’au cœur de la chine comme un signe de joie. Basiquement, l’émotion peut se définir comme une manifestation de la vie affective, généralement accompagnée d’un état de conscience agréable ou pénible.
L’émotion est donc un trouble à durée variable, une rupture d’équilibre, contrairement à la passion, qui est un déséquilibre durable de la raison. Longtemps méprisées, parfois diabolisées, souvent incomprises, les émotions ont fait l’objet de vives discussions, pour certains philosophes, elles constitueraient un obstacle majeur au plein accomplissement de l’action, elles fausseraient le jugement et seraient une entrave aux processus délibératifs menant à l’action. Face au coté vain des choses et souvent des gens, il ne faut pas trop réfléchir, mais se laisser porter par ses émotions. Elles ne faussent pas le jugement, elles amplifient la résonance. Les grands vins aident à oublier le vain et doivent faire vibrer, au sens strict, frissons, chair de poule, voire une petite larme. Je témoigne que le coté vain de diverses automobiles présentées dans Chromes & Flammes (et maintenant dans GatsbyOnline) est d’une grande finesse, il est essentiel de parvenir à écouter son ressenti, nécessaire d’aller plus loin que le simple aspect technique. Les très grands conneries tout comme les vins, ne sont jamais démonstratifs, il faut être capable de les capter, de juste les effleurer parfois. Il est toujours plus difficile de ressentir et d’accepter une caresse quand on attend un coup de poing. Dans la dégustation du vin, l’émotion ne ment jamais, elle est beaucoup plus directe que la réflexion.
Le vain est un découragement mais le vin est parfois une beauté liquide qui entre en résonance avec les émotions du dégustateur qui lui ouvre les portes de son inconscient. Boire ou ne pas boire, telle est la question. La simple évocation de cet inaccessible mythe (oui, déjà !) qu’est C&F et déjà les passions se déchainent. S’il y a bien un coté vain qui est incompris, c’est lui. Rares sont ceux qui ont la chance d’approcher, de humer, le déguster un C&F… et encore plus rares, ceux qui ont réussi à le décrypter et le comprendre. Il souffre toutefois de son coté mythique qui dans l’esprit des gens doit forcément pulvériser les internautes, les marquer au fer rouge, poser une empreinte indélébile sur l’intellect des néophytes crédules qui prennent une claque, un crochet au foie, un uppercut fulgurant, qui met Knock out les plus grands. De plus, c’est un magazine pourvoyeur d’émotions qui délivre une opulence sensuelle, un concentré d’émotions brutes. S’il marque les esprits, c’est plus par son élégance et sa classe que par sa force. Il ne se livre pas spontanément, il faut aller le chercher pour le décrypter. Il se mérite, il peut même se refuser à celui qui lui manquerait de respect. Pour certains, (surtout certaines) c’est une démonstration de puissance et de réussite sociale, pour d’autres, il est un délice des sens et un pourvoyeur d’émotions. Il y a de la majesté là-dedans !
Il ne descend pas de sang royal, il n’a pas été créé par des rois de France et de Navarre, on ne raconte pas l’histoire de C&F à travers les siècles et les siècles. Le mythe Chromes & Flammes est très récent. Son nom ne provient d’aucuns descendants romains, mais du nom du plus extraordinaire orgasme de presse avec lequel le monde entier à joui… Chromes & Flammes avance seul, nu sur la croupe de son terroir, c’est ce terroir unique qui l’a porté au firmament. Dans le monde, c’est certainement le mag’ qui a le mieux décrypté les tendances sur les grandes places de ventes aux enchères. Car le lire c’est comme déguster un grand vin, qui procure un bien-être exceptionnel… Il se distingue comme étant potentiellement le meilleur au monde, d’ailleurs il ne connait pas la crise… De Paris à Hongkong en passant par New York, Chromes & Flammes dans GatsbyOnline atteignent parfois des nombres de lectures très important. Mais alors, outre la frénésie impliquée par le mythe Chromes & Flammes, celui-ci vaut-il vraiment son prix d’abonnement ? Seule une lecture de ses articles d’exception peutt répondre à cette question. Et je me suis donc, en tant qu’ écrivain et grand amateur de vain, envoyé une invitation à moi-même… La dégustation s’est déroulée dernièrement et était supervisée par un célèbre critique.
La lecture fut sans appel : Chromes & Flammes est superbe, il est de plus d’une d’une longévité exceptionnelle. Même les millésimes récents dégagent déjà un potentiel énorme. Cependant, les écarts entre chaque articles peuvent être grands. Alors oui, le Chromes &Flammes est indéniablement l’un des meilleurs magazine numérique d’automobiles du monde et l’imaginaire qu’il véhicule en plus de ses qualités d’écriture en font évidement plus… C’est “icônique”. Vous n’en savez rien parce que vous n’écoutez pas plus, que vous lisez c’est comme un disque rayé, à chaque tranche d’info, toutes rythmées par les putes… Euhhhh, par les les pubs, dedans le mag’ : C’est asséné avec un sourire grave et un ton gloseur : Chromes & Flammes est l’honneur de la Franchouille profonde.. C’est de surcroit mieux qu’un vaccin pour être guéri des commentaires “à la Bellu”… ! Car attention, il va encore muter… Nous en sommes au 666ième variant. Le variant démoniaque sexuel ! A chaque fois plus grave. Les gens vont à nouveau mourir. Les photos qui servent ici d’illustration vous indiquent que c’est un magazine exceptionnel. Toutefois, personne ne sait ou sont passés les morts. Ils se sont liquéfiés, se sont évaporés dans le néant, pas dans les cimetières, déserts, ni dans les fours crématoires… Euhhhhhh ! Ben non ! Là pas plus ! Ils sont ou ?
A chaque jour qui passe au moins un article de plus, comme une dose de plus, et à chaque dose suffit sa peine. Une allégorie comique, est également une dose de plus, encore. Une nouvelle période de folie semble être bientôt re-orchestrée… Tout bien pesé, et le mot est bien choisi, je m’astreins à de grandes réflexions intellectuelles sur la vie, la mort, la religion, l’amour, la famille et la place de la société dans mon moi profond ! De petits morceaux de métaphysique égayent ainsi mon quotidien, mais la seule chose qui m’intéresse vraiment c’est d’écrire tout ce que j’ai d’idées en tête, je tapote donc mes texticules avec un bonheur quasi masturbationnel… Je conceptualise ma filousophie de l’instant. Plus mon commentaire est fumeux, nébuleux, plus ça spermate partouze ! Au plus ça gicle et plus les abonnements s’envolent. Ce n’est rien d’autre que le résultat de la fermentation de mes idées au croisement exact entre ce don de la nature et mon savoir-faire et défaire. Tout le reste n’est que verbiage et bavardage. Après l’aspect chimique, dans un mouvement de balancier inverse, les idéalistes voulant se racheter, vont conceptualiser la filousophie, projetant leurs déjections putrides dans l’éther des idéologies et préjugés. En réplique C&F publie le charme des Castillanes, le sourire des Sévillanes et la croupe des Andalouses, ainsi qu’un poème d’Aragon…
Voilà bien mieux qui annonce une soirée que je concocte s’annonçant sous la bannière espingo. En avant pour la corrida. J’ai affuté mes banderilles, déployé ma muleta. Petite entorse à la tradition de la corrida, j’ai choisi de laisser de côté le taureau pour du cochon fumé et braisé. C’est moins dangereux ! Pour ne pas être tenté par mes préjugés, j’ai laissé Blacky veiller au grain ! On commence par un premier verre de Petrus, une grande bouteille ! Il en faut de la concentration pour analyser sa puissance, ses notes beurrées et florales ! Ensuite, bien beurré comme un p’tit-Lu, j’ai débouché une seconde bouteille avec un bel oxydatif maitrisé, belle fraicheur, grande profondeur, du fruit, une pointe minérale, finesse et volume, tout ce qu’il faut pour accompagner mes gambas au pastis. Nez de truffe blanche, d’aubépine, de miel, d’armagnac, de fruits jaunes et de fleurs blanches, gros volume en bouche, une acidité en retrait mais une belle et longue finale. Blacky était impatient pour la suite. La charcuterie espagnole et un vin en adéquation ! Un dicton populaire espagnol résume tout : “J’aime le porc, tout le porc ! Chorizos, Lomos, Morcilla, Sobrasada, Fuet, Bellota !” Les espagnols ont tout compris des tapas. Jamon de mi corazon. Déguster du Jambon Iberico Pata Negra de Jabugo, nourrit au Bellota (gland de chène)…
Boire un Petrus est une belle expérience. Hipssss ! Les beaujolais en comparaison ne sont que des vins de saucissons. En bon filousophe ésotérique je sais que la terre raconte très souvent de bien belles histoires, par exemple que le cochon Ibèrique est intelligent, grâce à un mystérieux mécanisme biologique et génétique qu’il a développé, il emmagasine de grandes quantités de lipides justement produits par les glands. Les lipides s’infiltrent dans la masse musculaire, ce qui lui confère cette onctuosité et cet arôme incomparable, le bonheur est dans le pré, enfin dans la porcherie. Des cochons qui ne mangent que des glands, c’est aussi extraordinaire qu’une cochonne qui vous susse le gland et ça explique pourquoi elle garde longtemps le goût du gland en bouche, ça fait remonter de vieux souvenirs textuels… Avec l’âge, je déguste bourgeois dans des Zalto hors de prix, finis les dégustations à l’arrache, c’est con, mais c’est drôle, la connerie, ça repose. Les filousophes écrivent beaucoup sur le vain ! Ahahahaha ! Que d’humour ! Dans Le Banquet de Platon, la consommation de vin est tout sauf modérée. C’est plus un prétexte à se rencontrer, parler, boire et manger qu’un objet de filousophie en soit. Les filousophes ne sont que des Soiffards avant l’heure.
Les filousophes ne boivent pas les bons vins comme le Petrus pour étancher leur soif ou pour se rassasier. Non ! Oh que non… Ce ne sont pas les qualités nutritionnelles du Petrus et ses effets bénéfiques sur la santé qui poussent à en boire, cela tient autant à la palette des arômes, qu’aux idées qu’on se fait de ce nectar des dieux. Il serait bien utile qu’on en revienne à plus de simplicité et plus d’humilité dans les jugements, en essayant de comprendre puis de traduire l’histoire de la sympathie ou de l’antipathie que suscitent la personnalité ou les discours des ceusses qui nous emmerdent que ce soit avec le Covid et les variants infinis qui rapportent des milliards aux labos, ou que ce soit avec les dons par milliards à l’Ukraine alors que c’est Zemlinsky qui empoche et remercie en offrant un “return” de 50* aux généreux et généreuses qui lui donnent l’argent des contribuables ! Alors, quand je serai mort de mort, vous pourrez reparlera de filousophie, de l’infini d’ici-bas en buvant une bouteille de Chromes & Flammes… Et d’ici là Pffffffffffffffffff ! Une p’tit partouze…
2 commentaires
Je vous savais amateur de Chateau d’Yquem et de Petrus, vous êtes décidément insaisissable ! Votre ouverture d’esprit et votre capacité à sortir des sentiers battus sont remarquables…
Hipssssssssss ! Yé souisse ein tantinotet danse el cirage de divin vain de bu por mi pleasur Hipppsss !
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