Ou survivre à une guerre nucléaire ?
Je me suis réveillé ce vendredi 10 février 2023 à 5h56 avec cette interrogation en tête : “Ou survivre à une guerre nucléaire ?”... J’ai regardé la mer et n’ai vu que la nuit. Pas d’explosion au lointain. Du coup j’ai enfilé un training, ajouté un pull car la température était curieusement en forte baisse et me suis préparé un café double dose ainsi que le déjeuner familial avec Blacky en tête. En attendant qu’émerge le soleil en sirotant le café, je me suis dit qu’avec la réception fastueuse d’hier, de Volodymyr Zemlinsky, le président de l’Ukraine qui est le pays le plus corrompu d’Europe (après la Belgique, je cause d’expériences vécues) au siège de l’Otan à Bruxelles, la probabilité d’une guerre atomique semblait échapper aux “Va-t’en-guerre” qui nous gouvernent. L’Horloge de la fin du monde comptaient les minutes qui auraient pu nous mener à la guerre nucléaire totale pendant la Guerre froide. Depuis 2007 en suite des incessants débordements américains se considérant comme les Maîtres du monde, l’horloge de la fin du monde s’est mise à compter non plus les minutes mais les secondes qui nous sépareraient de la fin de notre monde. Cette horloge, compte-à-rebours symbolique, est devenue une icône.
Le concept russe de l’hypocrisie occidentale remonte à l’époque de l’Union soviétique et de la guerre froide. Un événement particulièrement important a été la crise des missiles cubains de 1962. Les États-Unis s’opposaient au fait que l’Union soviétique installe des armes nucléaires à Cuba, alors qu’eux-mêmes positionnaient à la même époque leurs armes nucléaires près de l’Union soviétique, en Turquie. Les États-Unis invoquaient la doctrine Monroe, énoncée pour la première fois en 1823 et qui proclame unilatéralement la domination américaine dans l’hémisphère occidental. Les politiciens américains affirmaient (et affirment toujours) que cette doctrine leur donne, de Dieu lui-même (In God We Trust), carte blanche pour dominer le monde ! Bien que le leader cubain Fidel Castro l’ait souhaité, Cuba (l’équivalent de l’Ukraine dans cette explication) n’a jamais été autorisé à rejoindre le Pacte de Varsovie, (l’équivalent soviétique de l’Otan). L’Union soviétique était consciente qu’il aurait été extrêmement provocateur de permettre à Cuba de le faire. La doctrine Monroe a persisté bien après la crise des missiles cubains et s’est reflétée dans les invasions américaines de la Grenade (1983) et du Panama (1989).
Si les États-Unis n’ont jamais renoncé à cette doctrine, qui fait toujours partie de leur boîte à outils politique lorsque le besoin s’en fait sentir, l’Union soviétique de son coté a tenté d’introduire quelque chose de similaire avec ce qui est devenu la doctrine Brejnev (du nom de Léonid Brejnev, dirigeant qui a longtemps régné sur l’URSS). On y affirmait que l’Union soviétique devait intervenir dans les pays où le régime socialiste était menacé, et ce, même par la force, comme le font les américains partout dans le monde). En Occident, on considérait que cette doctrine n’avait pas la même légitimité que la doctrine Monroe, car la cause américaine était perçue comme juste (sic !) et la cause soviétique comme injuste re-sic !). Pareil que pour toutes les guerres de religion qui ne cessent de dévaster la planète depuis la nuit des temps. Vladimir Poutine est donc en train de mettre en œuvre sa propre doctrine Monroe (ou Brejnev), ce qui est logique et compréhensible si on n’et pas lobotomisé par LCI et BFMTV… La censure des émissions TV et Radio Russes ne consiste pas à empêcher ces mêmes idiots lobotomotisés de l’Union Européenne de succomber à la propagande du Kremlin, mais consiste à ce que nous succombions à la propagande occidentale. Il suffit de regarder LCI et BFMTV pour comprendre qu’on se f… totalement de notre gueule (pour écrire franchement)…
Pour les habitants de la Russie postsoviétique, l’Occident a, jusqu’à présent, régulièrement bafoué le droit international en envahissant d’autres États, souvent sur un coup de tête. Le meilleur exemple après la guerre que la France à créée en éradiquant la Lybie sans vraie raison autre que des questions de montagnes d’argent et d’or reçu par Sarkozy de Kadhafi qui en fait commandait et payait d’avance une centrale nucléaire pour couvrir les besoins énergétiques… est l’invasion de l’Irak en 2003, les “armes de destruction massive” de Saddam Hussein ont été inventées par les USA comme un prétexte fabriqué pour justifier l’intervention occidentale dans le but d’en voler les ressources énergétiques. L’intervention de l’Otan en Yougoslavie dans les années 1990 est un autre exemple qui illustre la propension de l’Occident à bafouer les frontières internationales lorsque cela s’avère opportun pour tout voler. L’Occident a supervisé le démantèlement de la Yougoslavie, où il a soutenu la séparation du Kosovo de la Serbie, laquelle était appuyée par la Russie. Il n’y a pas que cela. Le génocide des amérindiens et des australopithèques, les grandes conquêtes de l’Empire Britannique dont l’Inde asservie et même notre Napoléon attaquant la Russie qui n’avait jamais attaqué la France (c’était pour un émoi sexuel pour une Princesse Polonaise)…
Donc, aux yeux des Russes, et du reste du monde non-occidental, l’Occident, outre que ses paroles ne valent rien, a été jusqu’à présent l’agresseur, qui a profité de la faiblesse de la Russie depuis l’effondrement de l’Union soviétique pour soutenir des gouvernements nationalistes dans l’ancien espace soviétique. Ces pays comptaient souvent d’importantes zones russes à l’intérieur de leurs frontières. Du point de vue du gouvernement russe, l’expansion de l’Otan dans l’ex-Union soviétique a constitué une trahison des engagements occidentaux pris à la fin de la Guerre froide de limiter l’expansion de l’Otan à une Allemagne unie. Elle a également été perçue comme une menace croissante pour la sécurité de la Russie, directement dans son arrière-cour. L’armement de l’Ukraine par l’Occident a assurément été perçu par le gouvernement Russe comme une façon de fournir aux Ukrainiens les moyens d’écraser les forces séparatistes prorusses dans l’Est sans avoir à leur accorder le type d’autonomie proposée dans les protocoles de Minsk de 2014-15. Selon Vladimir Poutine, la seule solution devant la stagnation dans le cadre des protocoles de Minsk et le manque de volonté de l’Occident de prendre les demandes Russes au sérieux, a été de reconnaître les républiques sécessionnistes et de passer d’une action militaire secrète à une action militaire au grand jour.
L’approche occidentale de la diplomatie avec la Russie et d’autres puissances qui ne sont pas “des nôtres” a contribué à pousser la crise jusqu’à son point tragique actuel. Donc, nous sommes à quelques secondes de la fin du monde selon l’horloge… Que soit, de toutes façons quasi personne ne passe le cap d’un siècle de vie dans la joie et le bonheur. Pour ma part, je suis déjà mort 4 ou 5 fois, à chaque fois réanimé “in extrémis” et ce n’était pas désagréable de mourir, c’était comme m’endormir après des jours d’emmerdes et de fatigue des humains. Franchement c’était même agréable ! A un moment, dans le brouhaha des gens du médical, affairés, je me suis dit : “Bon OK, je reviens !” avec l’image des proches, de “l’amoure” et de Blacky… Aaah ! Il a fini sa gamelle de croquettes et de filets de poulet, et semble sourire en agitant sa queue… Ce serait dommage que par réaction aux saloperies occidentales, la Russie nous atomise…
Quelles sont les meilleures endroits pour survivre en cas d’apocalypse nucléaire, selon la science ? Quelles îles seraient les plus adaptées à la survie ? C’est la très sérieuse question d’actualité que se sont posées des scientifiques. L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont les nations insulaires les mieux placées pour survivre en cas d’apocalypse nucléaire. Mais l’Afrique du sud est bien placée également. Dans leur étude publiée dans la revue académique “Risk Analysis” le 4 décembre 2022, Matt Boyd et Nick Wilson, auteurs de la recherche, expliquent que les îles de l’hémisphère sud seraient plutôt bien situées pour survivre à un hiver nucléaire. Cette catastrophe environnementale causée par l’explosion de plusieurs bombes nucléaires entraînerait un refroidissement du climat, “chose qui ne s’est encore jamais produite à ce jour”, précise le site Futura Sciences. Selon l’étude, le cas le plus probable de catastrophe mondiale concerne une réduction de la lumière émise par le soleil sur Terre. Ce scénario pourrait survenir en cas de multiples explosions nucléaires qui abîmeraient la couche d’ozone et créeraient un nuage opaque entre la Terre et le soleil, ce qui supprimerait 95% de toutes vies… Un bonheur pour ceux qui survivent !
Il y aurait donc 5% de poches de survivants autour de la planète, même dans le scénario le plus grave. Parmi eux, les habitants d’Australie, de Nouvelle-Zélande, d’Islande, des îles Salomon et encore du Vanuatu ainsi que l’Afrique du sud pourraient y survivre mais pas certains de se reproduire. Pour donner cette hypothèse, les auteurs de l’étude ont comparé 38 pays insulaires. Production alimentaire, autosuffisance énergétique, effet de la catastrophe sur le climat… Au total, 13 facteurs différents ont été analysés. Grâce à leur localisation éloignée des potentiels conflits nucléaires qui pourraient avoir lieu dans l’hémisphère nord, l’Australie et la Nouvelle-Zélande partent avec un bel avantage. En plus de ça, les deux pays sont des “producteurs agricoles robustes”. La capacité d’approvisionnement australien pourrait même nourrir plusieurs dizaines de millions de personnes supplémentaires, souligne l’étude. Mais les chercheurs mettent en garde et disent de ne pas trop espérer car ces mêmes vont subir un effondrement rapide.
Des études impliquant 300 experts de l’industrie, des représentants du gouvernement, une enquête et des jeux de rôle avec des citoyens, ont révélé que ces pays étaient des zones de survies provisoires car gravement menacées par les suites de la guerre nucléaire en raison de leur dépendance vis-à-vis du commerce, des importations d’énergie et d’un manque de planification. Face à ces préoccupations, l’Australie apparaît comme l’exemple à suivre. Infrastructures de bonne qualité, vaste surplus d’énergie, deuxième sécurité sanitaire la plus élevée au monde, triple des dépenses de défense de toute autre île de l’étude… Tout cela suggère que l’Australie aurait malgré tout le potentiel de prospérer lors d’une réduction abrupte de la lumière émise par le soleil sur Terre. Je subodore toutefois que c’et une étude tronquée pour pousser les lobotomisés à acheter des propriétés en Australie ! À l’inverse, dans le cadre d’hiver nucléaire, des états comme la Chine, la Russie, et les États-Unis verraient leur production alimentaire chuter jusqu’à 97 %. Pour une bombe de 100 Mt, tout serait vaporisé dans un rayon de 1.170 km2 constituant la boule de feu nucléaire. Dans un rayon de 1350 km2, les bâtiments s’effondrent et de multiples incendies se déclarent, le nombre de morts est considérable voire total. Le syndrome d’irradiation s’étend sur 17.080 km2. Rien que le souffle peut causer des dégâts irréversibles jusqu’à 26.450 km² alentours.
Autant dire qu’une bombe sur l’Elysée détruit la France et presque l’Europe… Pourquoi-pas ? Du coup, je me suis bêtement demandé si les Hot-Rod’s et Kustom’s survivraient à une guerre nucléaire planétaire. La réponse est qu’en Australie certains survivraient, mais en gardant en tête que Mad-Max se situe en Australie, c’est sans doute une prémonition de la fin du monde… Pour l’instant, en Australie il y a un peu de tout en matière de Kustom’s et Hot-Rod’s, avec le volant à l’Anglaise… Le plus caricaturalement bien foutu.. Ce n’est pas réjouissant, quoique revenant à Mad-Max, c’est ce type de bagnole qui correspond à la série des films apocalyptiques, avant les bombes atomiques… De là à réaliser cet engin, c’est bof… Autant crever !… Otan crever ça rime aussi…