Il faut pendre Jacques Attali par les couilles… pour l’exemple… et ses sbires et maîtres à penser aussi !
J’en avais marre des shows de bagnoles anciennes, en cause des blaireaux opportunistes, des hyènes et chacals du “fait-moi ton meilleur dernier prix“… et de divers garagistes escrocs, baratineurs jusqu’à l’immonde des vices les plus pervers…
J’ai donc résolu peu à peu de ne plus m’y rendre, malgré que j’avais été “accroc” à l’automobile depuis mes premiers jouets quand j’étais enfant…
Dans le même temps, à force de lire de multiples conneries écrites par des journaleux sans talent, j’ai fini par ne plus aimer l’automobile, qui, de surcroit, est devenue un moyen de consommation abrutissant, dont les formes s’apparentent de plus en plus à des fers-à-repasser mobiles, à des lessiveuses roulantes et à des aspirateurs “branchés“, destinés à une clientèle lobotomisée…
Finalement, cette déglingue est devenue une soupe de merde avec les premiers frimas de la grande crise… et, a incité nombre d’esprits encore sains à “migrer” vers d’autres nébuleuses en matière de transport des personnes et des biens, un monde d’absurdies diverses ou quasi rien ne fonctionne correctement, sauf les rêves semi-éveillés…, une perte de temps…
À force de subir ces mauvais systèmes, j’en ai eu plus que marre… Je ne dois pas être le seul, puisque la population a diminué ses déplacements d’environ 30%, forçant les pétroliers à baisser leurs slips recouverts de diamants et brodés de fils d’or… au tiers des prix de baril d’il y a quelques mois !
De 140 dollars qu’on disait atteindre 200… mi 2009…, à 40 dollars actuellement, au delà d’une certaine satisfaction, les gens, dont je suis, se disent qu’on les a entubés grâve via les communiqués de presse et articles savants, bien souvent co-écrits par divers scribes-porteurs de serviettes des gouvernements avides de nous faire les poches !
Quasi plus personne ne croit encore à ce qui s’écrit dans la presse officielle et à ce qui se dit en TV, ou, les 3/4 des animateurs, s’affichent pro-Israéliens… et ou les films TV ne cessent de nous abrutir d’histoires Juives, en ce compris les ritournelles de sans cesse les mêmes chanteurs qui s’érigent, en plus, comme donneurs de leçons… (Patrick Bruel et Enrico Macias défendant publiquement Tsahal sur TF1, c’est de la propagande, pas de la variété…, d’autant que dans le même lap de temps on interdit Jean-Marie Bigart d’antenne en le traitant d’anti-sémite, uniquement parce qu’il remet en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001) !
En dehors d’annonces débilitantes de culs ouverts à prendre (en chanson ou en jeux à l’Ardunisson des pètes-culs… et à la Druckérisation des masses), les émissions réellement utiles deviennent dès-lors de plus en plus rares, mais il en reste encore malgré-tout, surtout si on sait capter la BBC !
Toutefois, si il y a bien encore quelque chose qui me fasse encore régulièrement rire à en pleurer de désespoir, c’est bien ça.
D’abord, parce que, allez savoir pourquoi, chaque discussion dégénère quasi-immédiatement, tout un chacun, chacune ayant le désir impérieux de répondre n’importe quoi pour en revenir à des thèses quasi nazifiantes pour nous faire la morale de tout et n’importe quoi, du moment qu’on nous bassine qu’avec un gouvernement mondial, tout irait pour le mieux ! (en parti unique s’entend, parce que le message a passer au nom du Nouvel Ordre Mondial est souvent écrit avec le cul), ça en soi c’est mauvais, surtout si le sujet originel valait la peine, mais c’est la manière dont ça part en cacahouète qui me fascine.
A croire que ces émissions “participatives” ou ne participent que toujours les mêmes, ont un genre de fonction “génération spontanée d’abrutis“, quelque chose comme ça.
De plus, il est fréquent que certains/certaines prennent un plaisir masturbatoire évident à ne pas répondre aux questions admirablement ciselées qu’on leur pose dans ces émissions, toutes semblables, dans lesquelles ils et elles veulent s’épancher pour nous manipuler…
Dans le style, Bernard Henry Levy est un orfèvre, mais Jacques Attali n’en est pas très loin, quoique…, l’ensemble de ses thèses rend les discussions totalement incompréhensibles.
Interviewé par Pujadas, bien soucieux de ne pas se faire éjecter d’une place confortable et rentable, Attali s’est, dans le style ampoulé, évertué à nous raconter que le monde allait continuer sa croissance et qu’en conséquence de cet aspect merveilleux, nous avions des jours extraordinaires de prospérité devant nous, pour autant, bien sur, que nous acceptions d’être dirigés par un gouvernement mondial…
Motif que tout est de notre faute, à nous, les consommateurs abrutis… et que nous devions nous y soumettre définitivement…
La sodomisation planétaire en quelque sorte !
Jacques Attali, chantre du Nouvel Ordre Mondial, est chargé de diffuser sur une chaîne TV Française de grande écoute, la nécessité d’un Nouvel Ordre Mondial chargé de réguler le monde, d’abord financier dit-il, alors que la crise a été programmée et mise en marche par ceux-là même à qui Jacques Attali veut donner des moyens illimités… Vous remarquerez en finale, sa totale mauvaise fois lorsqu’il prétend que le monde a encore des possibilités d’expension pour 50 ans grace à l’explosion démographique, alors que la terre est quasi au bout de ses ressources naturelles ! Pourtant, en fait, l’argent, actuellement, c’est quoi ? Du papier, émis par les gouvernements, des papiers sous forme de billets “de banque” que les Etats garantissent remboursables…, mais remboursables en quoi ? Le billet de banque est un moyen de paiement en papier imprimé, émis par une banque.
C’est la monnaie fiduciaire, appelée plus familièrement papier-monnaie ou monnaie-papier.
En économie, une monnaie fiduciaire (du latin fides la confiance) est une monnaie dont l’authenticité est garantie par l’État ou la banque centrale.
Le support de cette monnaie (pièces, billets de banque, comptes de dépôts) a une valeur plus faible que la valeur nominale que leur a attribuée l’État.
L’ensemble de la monnaie fiduciaire est aujourd’hui basée sur la confiance (c’est-à-dire croire qu’un billet de 10 euros vaut bien 10 euros), en particulier pour les billets dont la valeur nominale est bien plus élevée que le prix du papier et de l’encre qu’ils contiennent.
En d’autres termes, la valeur d’échange est conventionnelle.
Autrement dit, la valeur qu’on attribue à l’argent, qui n’est plus lié à l’or que les Etats stockaient pour garantir la monnaie fiduciaire…, est plus que conventionnelle, elle est basée sur la croyance “en quelque chose d’immatériel” et sur la confiance !!!
Pour augmenter totalement artificiellement la richesse, sans la faire reposer sur rien d’autre que des promesses, les banques ont créé la monnaie scripturale…
La monnaie scripturale (deposit money) est la monnaie qui a une existence totalement immatérielle, c’est-à-dire qui ne prend pas la forme d’une chose physique.
Comme son étymologie l’indique, il s’agit d’une écriture / inscription au crédit d’un compte à vue, de nos jours le plus souvent sous forme électronique.
Par exemple, les soldes créditeurs de comptes en banque à vue.
Elle circule d’un compte à un autre grâce à des moyens de paiement, comme les cartes de paiement, les virements ou les chèques.
C’est une monnaie totalement dématérialisée qui n’existe que sous forme d’écritures comptables, de nos jours inscrites dans la mémoire d’un ordinateur… et qui est constituée par l’ensemble des dépôts d’écritures dans les banques et autres institutions financières.
Autrement dit (bis), c’est du vent qu’on nous fait payer cash !
Donc, la crise, aurais-je pu répondre à Jacques Attali (ou à tout autre grand manitou des finances préchant pour l’avènement de la grande dictature mondiale, le Nouvel Ordre Mondial), ce n’est pas nous qui l’avons créée, nous ne la subissons pas, non plus, vraiment…, mais c’est à nous qu’on la fait chèrement payer en nous contant des sornettes !
Pour l’instant, les Etats couvrent une dette virtuelle abyssale, non réelle, par des promesses… et non pas par des fonds en milliards de milliards qu’ils n’ont pas !
En d’autres mots, les Etats créent devant nous, une nouvelle monnaie scripturale et immatérielle pour couvrir, en promesses dans le futur (mais lequel ?) une autre monnaie scripturale et immatérielle qui a servi à ruiner les gnous (les pauvres hères) qui ont fait confiance aux banques pour s’acheter une maison au-dessus de leurs moyens…
Quoiqu’ils aient payé, c’est tout profit pour les banques, qui, de plus, deviennent propriétaires des maisons hypothéquées…
Du grand art!
Sauf que… la monnaie fiduciaire, elle, ne vaut que par la confiance que le peuple lui accorde…
Et… le peuple a perdu confiance !
Le peuple, abruti de travail, a gobé les mensonges du 11 septembre 2001, oui, quoique espérant que tout ce toutim allait apporter du pétrole bon marché et à profusion…
Un peu comme les promesses de Hitler au peuple allemand pour un Reich de 1000 ans et une croissance sans fin !
Ils y ont cru, tout comme le monde a cru aux promesses de Bush…
Sauf que… le pétrole a augmenté et que le peuple a tout payé de plus en plus cher, tout en perdant quasi toutes ses libertés au nom d’une lutte planétaire envers un terrorisme inventé de toute pièce pour mieux asservir les populations !
A force d’être tondu, manipulé, assoiffé, le peuple a modifié ses habitudes de consommation et, à force d’entendre toujours les mêmes mensonges, a perdu confiance…
Et sans confiance la monnaie fiduciaire ne repose plus sur rien !
Dès-lors, il faudrait pendre Jacques Attali par les couilles… et ses sbires avec lui, pour oser encore nous manipuler en nous faisant croire que nous serions responsables !
Ahhhhhh ! Bien sûr, oui, nous sommes responsables de ne plus avoir confiance…
Et cette perte de confiance, pousse de plus en plus de gens vers une économie souterraine qui n’a plus que faire de l’argent fiduciaire et scriptural…
Et c’est là que Jacques Attali et le Nouvel Ordre Mondial qu’il représente devant les médias ahuris qui lobotomisent à qui mieux mieux…, interviennent pour juguler, pour obliger…
Pour obliger à consommer, il y a de quoi rire…
Pour obliger a reprendre des crédits…, on rêve…
Pour reprendre confiance au système…, alors là, c’est le délire !
En réalité, on va étendre à tous les pays membres de l’UE, dans un premier temps, le modèle de dictature financière Française qui oblige tous ses citoyens à délaisser la monnaie fiduciaire (les billets de banque) pour la monnaie scripturale (les chèques et les cartes de crédit), sous le fallacieux prétexte de combattre la fraude fiscale alors que c’est aussi (voire surtout) pour augmenter à la nième puissance, la bulle financière pour créer l’illusion d’une expansion… tout en asservissant l’ensemble de la population…
En effet, posséder en France plus de 25/50.000 euros cash en monnaie fiduciaire peut être considéré comme une tentative de fraude fiscale…
Appréciez ce tour de passe-passe obligeant la population à collaborer à la fabrication d’une masse financière de monnaie scripturale, c’est à dire : du vent !
La population entière prisonnière des banques, elles-mêmes, grace à “la crise“, propriétés de l’Etat actionnaire utilisant l’argent détourné-créé des citoyens !
Et ce sont les mêmes que des personnages dangereux comme Jacques Attali veulent d’avantage contraindre via un gouvernement planétaire…
C’est délirant !
Le problème, c’est qu’il n’y a aucune force politique qui a compris grand chose quant à la finalité de ce plan machiavélique…
Comme si l’histoire se répétait à nouveau, mais en pire…
Soit que ce sont des ex-lobotomisé(e)s de l’Ena (France) comme Royale et Sarkozy, des fonctionnaires d’Etat…, soit que ce sont des ignares sympathiques aux idées courtes qui croient comme Aubry que le salut viendra encore de manifestations populaires !
La belle affaire !
Le salut va uniquement venir de nous-mêmes, si nous en avons le courage… et ce d’autant plus qu’on sera ruiné ou non…
Faire table rase, recommencer de rien avec d’autres têtes, avec d’autres moyens, d’autres finalités espérées…
Et même si on n’y arrive pas, devant dès-lors subir une lente descente aux enfers en attente d’une autre tyrannie comme celle de la Chine, quel plaisir d’être libre de pendre Attali par les couilles ainsi que les autres…
Sur plusieurs milliards de milliards d’êtres humains et inhumains, il doit y avoir forcément quelques blaireaux plus profonds que les autres.
Non ?
Mais même sur des forums archi-élitistes, restreints, planqués, centrés sur des trucs tellement anecdotiques ou à faible attrait que c’est même plus drôle, les ahuris congénitaux semblent sortir des boiseries lorsque je dépose un article tel que celui que vous lisez maintenant !
Ca va du simple neuneu qui, allez savoir pourquoi, décide de pourrir une discussion, ou vingt, comme ça, pour participer (faudra un jour qu’un neuneu professionnel m’explique la jouissance qu’il en tire, ça m’est pour l’instant aussi étranger et incompréhensible que le fétichisme du chou-fleur, ou le succès de la Star Académie), aux vrais psychos qui lâchent une longue tirade prosélytisante à tendance : “Dieu est amour, mais fait gaffe à toi quand même, on va te griller chien d’hérétique, car t’es qu’un sale con de conspirationniste“, sous prétexte qu’une discussion soutenue au départ du groupe Bilderberg et de Rockefeller, déviant rapidement sur les mérites comparés de Lulu la suceuse et du canon de 76.5mm russe (oui, je vous le disais, je fréquente des forums assez spécifiques, parfois), est surement l’oeuvre du démon.
Sûrement !
Le plus fun étant évidemment les forums débilitants qui se prennent au sérieux, là où la proportion de dégénérés atteint parfois les plus de 75% au dessus des normes saisonnières quand le temps le permet (étrangement, les dégénérés postent beaucoup plus que les gens avec un cerveau…, cela doit encore être une histoire de ratio quantité/qualité)… et, par le truchement d’une sélection Darwinienne, où la dégénérescence atteint des proportions géologiques, dans le sens où l’on sent bien que parfois, excitation synaptique et tectonique des plaques ont le même planning horaire…
Bon amusement à le lire en double-sens…
Au final, hors l’intérêt intrinsèque, la contemplation horrifiée du génome finit toujours par l’emporter.
Un peu comme un voyage en bagnole : OK, le paysage est joli, parfois les voyageuses aussi, mais rien ne vaut un bel accident bien gore, avec quelqu’un incrusté dans la rambarde de sécurité.
Un peu comme le ciné : OK, Memento c’est cool, mais ça vaut pas Hercule à New York.
Au final, je finis toujours par passer plus de temps sur les pires pourritures que sur les histoires de qualité.
Les forums, c’est la junk food du web.
Bref, tout cela m’amène à vous écrire que, toutes reflections faites, toute honte bue ;
-Je déteste les gens qui n’ont d’avis sur rien, jamais, qui ne vivent que pour être d’accord avec leur entourage, pour surtout ne pas lui être le moins du monde désagréable.
-Je ne supporte pas les gens qui ont un avis sur tout, se sentent experts sur tel ou tel sujet parce qu’ils ont lu un livre, voire un article, ou même comble du ridicule, un sujet sur ce thème à la télé. Pas plus que je ne supporte les gens tellement enfermés dans leur avis qu’ils refusent de considérer quelque vue contraire, ou pas-contraire-mais-pas-pareil-quand-même, et qui hurlent sur tous les toits leurs convictions imbéciles.
-J’ai horreur des gens qui ont le même avis que moi.
-J’ai envie de gifler les cuistres qui ont les mêmes idoles que moi, sans pour autant avoir les mêmes idées, ou qui ne les aiment pas pour les mêmes raisons, ou qui les aiment pour les mêmes raisons et partagent mes idées.
-J’abomine les gens qui prétendent que la société, la religion, le “Bien Général“, la mission, les intérêts supérieurs de la nation (dieu que cette expression est crétine…), le drapeau, la morale, les principes, le droit des animaux ou quoi que ce soit, sont plus importants que l’homme, l’individu, son intérêt propre, sa vie, ses envies, son opinion, sa façon de vivre, de penser, de parler.
-J’encule (Eh! oui, ça fait du bien, Enculare tutti…, j’en ai fait un panneau), les connards qui font passer leurs intérêts propres, leurs vies, leurs envies, leurs opinions, leurs façons de vivre, de penser, de parler, avant tout, en particulier avant de considérer ceux des autres.
-J’abhorre les hypocrites qui font tout le contraire de ce qu’ils prêchent, les malhonnêtes, les menteurs.
-Je ne fais pas confiance à ceux qui n’ont rien à cacher.
-J’exècre les blaireaux qui marchent en troupeaux derrière une banderole, un drapeau, une idéologie, une carte de parti, anonnant un discours appris et préformaté, des idées communes à leur bord, ou juste l’opinion générale et admise, sans originalité, sans opinion propre, sans vie.
-Je hais les emmerdeurs qui ne choisissent pas de camp, qui ne font jamais que critiquer leurs semblables, sans jamais faire quoi que ce soit de constructif, sans jamais avancer, ou faire avancer quoi que ce soit, sans créer.
-Je crache sur ceux qui ne m’aiment pas.
-Je vomis sur ceux qui me détestent.
-Je chie (Eh! oui, ça m’arrive aussi) sur tous les résignés, tous ceux qui, lamentables et trop lâches pour se battre contre le monde, s’adaptent à lui, compromettent, pactisent…. Les idéalistes aux idées qui marchent “en théorie” m’ennuient.
-Je méprise tous les conformistes, toutes ces vies inutiles qui ne font que suivre, toujours, les modes et les usages, les traditions et les habitudes, tous ces présupposés sociaux imbéciles, qui jamais ne seront plus que des numéros gris, des statistiques de vente, d’achat, de population, de vote.
-J’ai en horreur les présomptueux et arrogants connards qui se veulent différents, supérieurs, extérieurs, faisant tout pour ne pas être comme leur voisin.
-Je n’ai que du dédain pour tous les bellicistes, tous ceux qui prétendent qu’on peut justifier un meurtre, une violence, qu’on peut excuser une guerre ou une bombe, qu’on peut se battre pour une idée, une morale, une religion, une culture ou son père.
-Je compisse les pacifistes, les non-violents, trop faibles pour agir, trop couards pour défendre leurs idées, leurs principes, leurs idéaux ou leurs frères.
-Je déteste tout le monde, et plus je regarde les chiens qui chient sur les trottoirs, plus je les déteste aussi.
A part ça, je suis Quelqu’un de tout à fait respectueux et tolérant, presque aimable.