J.F.Kennedy et les Banksters…
On sait tous que c’est l’argent qui gouverne le monde, mais peu connaissent les mécanismes qui permettent à un groupe restreint d’individus de dominer la planète.
La réserve fédérale américaine semble au-dessus de tout soupçon… et c’est pourtant là que réside le secret le mieux gardé du pouvoir des banquiers internationaux.
Cette institution, en apparence vénérable et respectable, a mis les Etats-Unis en coupe réglée depuis sa création en 1913.
Au cours des deux cents dernières années, tandis que le peuple s’affranchissait peu à peu du pouvoir politique des puissants comme les rois et les nobles, quelques grandes familles de banquiers mondiaux créaient de nouvelles dynasties de contrôle politique, soigneusement déguisées sous la forme de groupes bancaires internationaux.
Voici quelques noms : Barring, Hambros, Lazard, Erlanger, Schroder, Selingman, Speyer, Mallet, Rothschild et Morgan.
Ce qui motivait ces individus était la passion de contrôler le monde par l’argent.
Sans s’en rendre compte, le peuple est passé sous la coupe de ce pouvoir capitaliste insidieux, mais dont le pouvoir dépasse de très loin celui des souverains du passé.
Ce phénomène, qui s’est d’abord produit en Europe, s’est étendu aux Etats-Unis et a conduit à la création en 1913 de la réserve fédérale américaine…, c’est d’ailleurs en 1913 que l’impôt sur le revenu a été créé aux USA.
La réserve fédérale américaine (FED) n’a pratiquement rien à voir avec le gouvernement des Etats-Unis !
Elle est formée de douze banques privées, propriété de banques d’affaires privées, contrôlées par les familles bancaires domiciliées dans le monde entier.
La réserve fédérale crée de l’argent à partir de rien, le prête au gouvernement contre rémunération… et ne paie pas d’impôt sur le revenu sur les produits de ses placements.
Plus les déficits sont importants aux États-unis, plus la réserve fédérale prête de l’argent et plus elle fait des profits considérables.
La dette américaine a ainsi bondi de 1.000 milliards de dollars en 1971 à plus de 200.000 milliards de dollars aujourd’hui !
L’Amérique en ruine ! https://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=636&cat=ataraxie
Les profits de la FED ont donc bondi 50 fois en un quart de siècle.
Ces dynasties bancaires, propriétaires privés de la FED savent que tous les gouvernements, quelle que soit leur forme, monarchique ou républicaine, devaient emprunter de l’argent dans les cas d’urgence comme les guerres ou les crises économiques.
La guerre d’irak coûte 3.000 milliards de dollars, et profite donc à la FED.
La crise des subprimes, délibérément provoquée par la FED et Greenspan en 2001, a coûté au bas mot 5.200 milliards de dollars pour sauver les deux géants hypothécaires Freddie Mac et Fannie Mae…, encore des profits pour la FED qui prête l’argent au gouvernement américain.
La crise actuelle, elle dépasse l’inimaginable, un tapis de Poker de 200.000 milliards de dollars plus les dettes de tous les Etats inféodés à ce système…, soit au bas-mot : 600.000.000.000.000 de dollars…
Quelques politiciens lucides comme Ron Paul aux USA, veulent abolir ce pouvoir exorbitant, en éliminant la FED.
La FED peut créer de l’argent à partir de rien grâce au fait que depuis 1971 et Nixon, le dollar n’est plus adossé à l’or.
Ce que peu savent, c’est que le Président John Kennedy a signé en juin 1963 le décret présidentiel EO 11110 (Executive Order 11110) qui imposait un nouveau système pour se débarrasser de la FED, en adossant le dollar à du métal : l’argent.
Des billets de 2 dollars et de 5 dollars furent mis en circulation pour plus de 4 milliards de dollars, un début, et des billets de 10 et 20 dollars furent imprimés.
Quelques mois plus tard, Kennedy fut assassiné et le lendemain même, EO 11110 devenait lettre morte et les billets de 2 et 5 dollars immédiatement retirés de la circulation, par un document que le successeur de Kennedy, Lyndon Johnson, signait dans l’avion qui l’emmenait à la Maison Blanche…, quelques secondes après avoir prêté serment…, évidence manifeste que tout était préparé d’avance pour ce fait…, sinon comment expliquer qu’un tel documents fort complexe et détaillé ait pu avoir été élaboré et dactylographié en une fraction de seconde dans l’avion !….
La cause de l’assassinat de John F.Kennedy est plus que vraisemblablement le décret présidentiel EO 11110 et les déclarations de Kennedy sur la fin de la guerre du Viet Nam qui était une source de profit pour la FED…
Les déficits extravagants des Etats-Unis, créés par la non convertibilité du dollar en or et provoqués pour enrichir les propriétaires de la FED (réserve fédérale américaine) ont conduit le pays au bord du gouffre économique.
Par extension, le monde entier est en crise économique.
Le principe de réserve fractionnaire adopté par les banques sous-entend que les déficits doivent s’accumuler pour rembourser les dettes, et donc qu’un taux de croissance minimum soit enregistré d’une année sur l’autre, poussant la consommation.
Quiconque voudra pousser plus loin et faire des recherches, comprendra la cause première des malheurs du monde : Le groupe des banquiers internationaux qui, entre autre, ont créé la réserve fédérale américaine (FED) pour mettre l’économie américaine en coupe réglée.
Avec son décret EO 11110, J.F.Kennedy, en homme politique éclairé, a voulu mettre l’intérêt du peuple américain au-dessus de celui des banques.
Le fait qu’il en ait payé le prix et que cet exemple décourage ceux qui voudraient rétablir la souveraineté du peuple américain sur leur économie, penche en faveur d’un statu quo qui devrait perdurer.
On a la tête qui tourne quand on sait que Bill Gates a une fortune de 50 milliards de dollars, mais les intérêts perçus sur une dette de 200.000 milliards de dollars représentent 10.000 milliards de dollars par an, 200 fois la fortune de Bill Gates, que se partagent CHAQUE ANNEE les quelques banquiers internationaux qui ont eu le coup de génie de créer la FED en 1913
Voici un des fameux billets émis en 1963 par J.F.KENNEDY, remarquez bien en haut : c’est bel et bien émis par UNITED STATE NOTE et non pas par la FEDERAL RESERVE NOTE !
J.F.Kennedy et l’Ordre Exécutif 11110…
Le 4 Juin, 1963, le President J.F.Kennedy a signé un document présidentiel nommé Ordre Executif 11110, lequel en plus, modifiait l’Ordre Executif 10289 du 19 Septembre 1961, donnant à J.F.Kennedy en tant que President des États Unis, le droit juridique pour les USA à produire son propre argent pour faire marcher le pays…, l’argent étant produit sans interêt et libre de la dette envers la FED…, ces billets des États Unis ignorant les billets de la Réserve Federale des banques privées de la Réserve Federale.
Les registres officiels montrent que J.F.Kennedy avait fait imprimer pour 4,292,893,825 $ de cette monnaie 100% américaine, lorsque, en Novembre 1963, on l’a assassiné !
Dans l’avion ramenant Lyndon Johnson, à peine eut-il prété serment en tant que nouveau Président des USA, il a annulé les effets du décret de J.F.Kennedy et dès le lendemain ordre fut donné de retirer de la circulation, tous les billets des États Unis que Kennedy avait mis en fabrication.
Tout cet argent fut detruit et on n’en a rien dit au peuple americain.
J.F.Kennedy était entré à la Maison Blanche, avec l’intention de continuer la politique de Dwight Eisenhower (ici on doit se souvenir que Eisenhower lui-même était Juif et que son avancement au pouvoir était du aux bonnes grâces du M.Baruch, lui aussi Juif, qui détenait un pouvoir réel dans la politique américaine d’alors), afin de contenir non seulement l’influence des lobbyes Juifs mais aussi le “MIC” (Le fameux Complexe Industriel Militaire), un nom prononcé par Eisenhower pour décrire les intérêts fixes et puissants avec comme seul but de produire de la richesse par la production et la vente d’armes toujours plus sophistiquées et dangereuses.
Dans son deuxième mandat le Président Eisenhower était réellement préoccupé, avec un chagrin croissant, de la manière avec laquelle les intérêts militaro/industriels avaient développé leur influence sur les décisions du Congrès et aussi de la Maison Blanche.
Ils avaient en effet pris garde d’influencer la plupart des cinquante états en y implantant des complexes militaires er/ou industriels générateurs d’emplois.
Par ce moyen, si le Président voulait couper la somme d’argent venant des contribuables qui allait à la machine de la guerre, les intérêts militaro/industriels pouvaient obliger les Sénateurs de dire au Président : “Vous ne pouvez pas faire ça parce que les gens perdront leurs emplois et nous, nos places au Congrès dans l’élection prochaine” !
Le United States Note est un type de monnaie fiduciaire mis en circulation directement par le département du Trésor des États-Unis entre 1862 et 1971.
Ces billets étaient aussi connus sous le nom de “Legal Tender Notes” à cause de l’inscription sur chacune de leur face : “This Note is a Legal Tender”.
Ils furent parmi les premier moyens de paiements nationaux américains autorisés par le Legal Tender Act de 1862 et commencèrent à circuler durant la guerre de Sécession.
Après l’assassinat d’Abraham Lincoln le 15 avril 1865, d’autres formes de monnaie virent le jour.
Les United States Notes étaient convertibles en or jusqu’en 1933, date à laquelle les États-Unis abandonnèrent l’étalon-or.
En 1963, John F. Kennedy autorisa l’émission de nouveaux United States Notes adossés aux réserves d’argent du gouvernement fédéral… et quelques 4 milliards de dollars en petites coupures furent émises.
Plus aucune “United States Note” n’a été mise en circulation depuis le 21 janvier 1971.
Legal Tender Status : http://www.treasury.gov/education/faq/currency/legal-tender.html
I thought that United States currency was legal tender for all debts.
Some businesses or governmental agencies say that they will only accept checks, money orders or credit cards as payment, and others will only accept currency notes in denominations of $20 or smaller. Isn’t this illegal ?
What are Federal Reserve notes and how are they different from United States notes ?
What are United States Notes and how are they diferent from Federal Reserve notes ?
I thought that United States currency was legal tender for all debts.
Some businesses or governmental agencies say that they will only accept checks, money orders or credit cards as payment, and others will only accept currency notes in denominations of $20 or smaller.
Isn’t this illegal ?
The pertinent portion of law that applies to your question is the Coinage Act of 1965, specifically Section 31 U.S.C. 5103, entitled “Legal tender,” which states : “United States coins and currency (including Federal reserve notes and circulating notes of Federal reserve banks and national banks) are legal tender for all debts, public charges, taxes, and dues.”
This statute means that all United States money as identified above are a valid and legal offer of payment for debts when tendered to a creditor.
There is, however, no Federal statute mandating that a private business, a person or an organization must accept currency or coins as for payment for goods and/or services.
Private businesses are free to develop their own policies on whether or not to accept cash unless there is a State law which says otherwise.
For example, a bus line may prohibit payment of fares in pennies or dollar bills.
In addition, movie theaters, convenience stores and gas stations may refuse to accept large denomination currency (usually notes above $20) as a matter of policy.
What are Federal Reserve notes and how are they different from United States notes ?
Federal Reserve notes are legal tender currency notes.
The twelve Federal Reserve Banks issue them into circulation pursuant to the Federal Reserve Act of 1913.
A commercial bank belonging to the Federal Reserve System can obtain Federal Reserve notes from the Federal Reserve Bank in its district whenever it wishes.
It must pay for them in full, dollar for dollar, by drawing down its account with its district Federal Reserve Bank.
Federal Reserve Banks obtain the notes from our Bureau of Engraving and Printing (BEP).
It pays the BEP for the cost of producing the notes, which then become liabilities of the Federal Reserve Banks, and obligations of the United States Government.
Congress has specified that a Federal Reserve Bank must hold collateral equal in value to the Federal Reserve notes that the Bank receives.
This collateral is chiefly gold certificates and United States securities.
This provides backing for the note issue.
The idea was that if the Congress dissolved the Federal Reserve System, the United States would take over the notes (liabilities).
This would meet the requirements of Section 411, but the government would also take over the assets, which would be of equal value.
Federal Reserve notes represent a first lien on all the assets of the Federal Reserve Banks, and on the collateral specifically held against them.
Federal Reserve notes are not redeemable in gold, silver or any other commodity, and receive no backing by anything This has been the case since 1933.
The notes have no value for themselves, but for what they will buy.
In another sense, because they are legal tender, Federal Reserve notes are “backed” by all the goods and services in the economy.
What are United States Notes and how are they different from Federal Reserve notes ?
United States Notes (characterized by a red seal and serial number) were the first national currency, authorized by the Legal Tender Act of 1862 and began circulating during the Civil War.
The Treasury Department issued these notes directly into circulation, and they are obligations of the United States Government.
The issuance of United States Notes is subject to limitations established by Congress.
It established a statutory limitation of $300 million on the amount of United States Notes authorized to be outstanding and in circulation.
While this was a significant figure in Civil War days, it is now a very small fraction of the total currency in circulation in the United States.
Both United States Notes and Federal Reserve Notes are parts of our national currency and both are legal tender.
They circulate as money in the same way.
However, the issuing authority for them comes from different statutes.
United States Notes were redeemable in gold until 1933, when the United States abandoned the gold standard.
Since then, both currencies have served essentially the same purpose, and have had the same value.
Because United States Notes serve no function that is not already adequately served by Federal Reserve Notes, their issuance was discontinued, and none have been placed in to circulation since January 21,1971.
The Federal Reserve Act of 1913 authorized the production and circulation of Federal Reserve notes.
Although the Bureau of Engraving and Printing (BEP) prints these notes, they move into circulation through the Federal Reserve System.
They are obligations of both the Federal Reserve System and the United States Government.
On Federal Reserve notes, the seals and serial numbers appear in green.
United States notes serve no function that is not already adequately served by Federal Reserve notes.
As a result, the Treasury Department stopped issuing United States notes, and none have been placed into circulation since January 21, 1971.
La Réserve fédérale (Federal Reserve System), appelée souvent Federal Reserve ou, plus court encore, FED, est la banque centrale des États-Unis.
Elle a été créée le 23 décembre 1913 par le Federal Reserve Act dit aussi Owen-Glass Act.
La Réserve fédérale :
– décide de la politique monétaire des États-Unis avec un double objectif de stabilité des prix et de plein emploi, et l’obligation de faciliter la croissance économique,
– supervise le système bancaire américain,
– publie des rapports, tels que le livre beige, relatifs à l’économie américaine
– agit comme prêteur de dernier ressort,
– n’a aucune responsabilité quant à la valeur externe de sa devise, le dollar US
J.F.Kennedy et sa tentative de réforme monétaire…
Il est impossible de ne pas évoquer, à la suite de celle du Président Lincoln, la tentative du Président John Fitzgerald Kennedy de dépouiller la FED de sa puissance, tellement elle lui est parallèle.
Elle eut lieu un siècle exactement après celle de Lincoln… et les coïncidences biographiques, politiques et même numérologiques qui rapprochent les destins de ces deux hommes politiques sont, il faut le reconnaître, tout à fait extraordinaires et ont fait saliver de nombreux Sherlock Holmes amateurs.
Leurs morts violentes semblent les avoir liés pour l’éternité dans un parcours historique en miroir.
En effet, le 4 juin 1963, le Président Kennedy signait l’Executive Order n° 11110 par lequel le gouvernement retrouvait un pouvoir inscrit dans la Constitution, celui de créer sa monnaie sans passer par la Réserve Federale.
Cette nouvelle monnaie, gagée sur les réserves d’or et d’argent du Trésor, rappelait les greenbacks et le coup de force du Président Lincoln.
Le Président J.F.Kennedy fit imprimer 4,3 milliards de billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 100 dollars.
En 1994 il restait l’équivalent de 284.125.895 dollars en circulation aux Etats-Unis , détenus, probablement par des collectionneurs (source : World Almanac).
Les conséquences de l’Executive Order n° 11110 étaient énormes.
En effet, d’un trait de plume John Fitzgerald Kennedy était en passe de mettre hors jeu tout le pouvoir que les banques privées de la FED s’étaient arrogé depuis 1816 et qu’elles détenaient officiellement depuis 1913.
Car si, dans un premier temps, les deux monnaies auraient circulé parallèlement, la monnaie d’Etat, gagée sur les réserves d’argent, aurait fini par terrasser la monnaie créée ex-nihilo par les banquiers.
Cette nouvelle monnaie aurait considérablement diminué l’endettement de l’Etat, puisqu’elle éliminait le paiement des intérêts.
Les 26 volumes du rapport Warren n’ont pas réussi à apporter une explication crédible à l’assassinat du Président Kennedy à Dallas le 26 novembre 1963, cinq mois après sa réforme monétaire.
Il n’est nul besoin d’être un “complotiste” primaire ou secondaire pour n’accorder qu’un crédit poli à la thèse officielle, non pas seulement à cause de l’analyse des conditions de l’exécution, mais parce que le fait que tous les témoins oculaires de l’événement soient morts dans les deux ans ; que la disparition ou l’élimination de 400 personnes en relation même lointaines avec cet événement, y compris le personnel médical de l’hôpital Parkow où Kennedy avait été admis, du portier au personnel médical, ainsi que des proches du tireur accusé, Lee Harvey Oswald…, que tous ces événements soient le fruit du hasard relève d’un pourcentage de probabilités si infinitésimal qu’il est proche du zéro absolu.
Le calcul des probabilités devient un juge plus efficace que n’importe quelle vérité officielle.
De puissants comploteurs ont donc sévi, y compris longtemps encore après le crime initial.
Parmi les innombrables pistes avancées par les uns et par les autres, la piste monétaire était évidemment tentante.
Elle fut relativement peu explorée au début de l’enquête.
Cependant beaucoup la tiennent pour d’autant plus avérée qu’ils rapportent une phrase du père du Président, Joseph Kennedy, lorsqu’il apprit la décision de réforme monétaire de son fils : “Si tu le fais, ils te tueront”.
Le message a été reçu cinq sur cinq par le Vice-Président Lyndon B. Johnson, devenu Président par la grâce de cet assassinat.
Comme son homonyme Andrew Johnson un siècle auparavant… et avec une célérité particulièrement remarquable…, quelques instants après avoir prété serment de nouveau président des USA, dans l’avion qui le ramenait de Dallas à Washington, il suspendit la décision monétaire prise le 4 juin 1963 par le Président assassiné alors que le cadavre de ce dernier, à coté de lui…, n’était pas encore froid.
“L’ordre exécutif 11110 a été abrogé par le Président Lyndon Baines Johnson , trente-sixième président des Etats-Unis de 1963 à 1969, alors qu’il se trouvait dans l’avion présidentiel AirForce One, entre Dallas et Washington , le jour même de l’assassinat du Président Kennedy” écrivait un chroniqueur.
Cette affirmation n’est pas exacte : le décret présidentiel n’a jamais été officiellement abrogé, mais son application fut suspendue.
Fut abrogée l’autorisation d’imprimer de nouveaux billets et de frapper de nouvelles pièces, si bien que l’Executive Order n° 11110 demeure officiellement en vigueur…, mais dans la stratosphère.
Cet assassinat était un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à John Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette…, John Fitzgerald Kennedy a payé de sa vie cette provocation à la puissance de la finance internationale.
Eustace Mullins rappelle que le Président Abraham Garfield avait lui aussi été assassiné le 2 juillet 1881 après avoir fait une déclaration sur les problèmes de la monnaie.
Que de coïncidences!
Depuis le Président Kennedy, aucun successeur ne s’est avisé d’apporter la moindre réforme au fonctionnement de la FED.
De plus, des Israéliens s’étant félicité de ce que l’élimination de J.F. Kennedy ait laissé le champ libre à l’accession d’Israël au statut de puissance nucléaire, cette conséquence s’est métamorphosée en cause pour certains !
En effet, le journal israélien Ha’aretz du 5 février 1999 écrivait, dans sa critique de l’ouvrage d’Avner Cohen, “Israel et la bombe” : “L’assassinat du Président américain John F. Kennedy mit un terme brutal à la forte pression de l’administration des Etats-Unis sur le gouvernement d’Israël afin de l’amener à interrompre son programme nucléaire”…
L’auteur ajoute que “si Kennedy était resté vivant, il est douteux qu’Israël aurait aujourd’hui une défense nucléaire” !
Le Président Kennedy avait, en effet, fermement annoncé au Premier Ministre israélien David Ben Gourion qu’en aucun cas il n’accepterait qu’Israël devînt une puissance nucléaire.
Peut-être faudra-t-il encore vingt-six autres volumes d’enquête pour éclaircir cette énigme…