Je suisse Franchouillard…
Monologue d’un Franchouillard avec sa Majesté sublimissime : Macronic…
Chapitre premier…
Moi, perso’, né en 1949, arrivé presque au bout et à bout, p’tet aux 9/10ème d’mon âge probab’, j’suppose, ou assimilé…, j’tiens à dire sextuellement ceci :
-Tous les hommes sans exceptation, y compris les femelles et les transsexuels (et transsexuelles), j’dis bien, tousses ces gens ; et par toussses, j’veux causer des grands/grandes, des petits/petites, des vieux/vieilles, des jeunes, des Français/Françaises, des Belges, des Noirs/Noires, des Jaunes, des croilliants et croilliantes, des impitoyables, des qui sont d’droite, des qui sont d’gauche, des malades, des qui pètent de santé, des péquenots, des manars, des royal(e)s, des chichiteux (et euses), des cons et connes, des connards aussi…, des esprits forts…
Je répète :
– Tousses les hommes mâles et femelles, trans compris, une fois pour toutes, tousses, sont des enculé(e)s.
Ceci était la première partie.
Fin du chapitre un…
Chapitre second…
Changer de chapitre est une grosse responsabilité que prend un auteur (un noteur aussi, mais qui note ?), car une telle initiative rompt le rythme de la narration en créant un comma (avec deux “m”) susceptible de le faire débander.
Mais il arrive que, chez les grands romanciers, cela constitue une relance de l’intérêt à un moment où, précisément celui-ci ne faiblissait pas…, il y a donc manœuvre technique… parfois, quelques internautes, lecteurs, lectrices de mes chroniques, demandent (ouvertement rarement) eu/ou se demandent (virtuellement plus souvent) comment j’en suis arrivé au degré de cynisme déjanté qui tisse ma légende….
C’est simple, c’est à force d’en avoir reçu plein la gueule… je prends un exemple au hasard dont je ne peux rien dévoiler pour l’instant !
C’est avec cet exemple que tout a commencé…
Ensuite…, il y eut une suite…
Et de ça et de la suite…, il y eut d’autres suites, en suite… et c’est parti en couilles…
Ceci était la seconde partie.
Fin du chapitre deux…
Chapitre troisième…
J’ai beaucoup pensé aux affaires de dupes… et un soir après m’en avoir causé à m’en saouler avec des voisines, j’étais sur une bonne rampe de lancement, en pré-pollutions nocturnes (j’ai mis cet exploit au pluriel pour entretenir l’illusion) dont l’importance ne t’échappe pas (je t’annonce même qu’une troisième me plongerait dans un effarement systémique systématique tant ce serait quasi miraculeux)…
Je n’avais plus qu’à clôturer mes pensées lubriques… quand une sur-pensée occultant les autres est venue empêcher ce moment unique (beaucoup font brûler un cierge pour remercier la Sainte-Vierge et tous les seins du monde, leur taille en dit long sur l’espoir ou la réussite, quoique certains peu scrupuleux trouvent ainsi manière de faire croire aux Saintes-nitouches qu’ils pourraient combler leurs vœux)…, retardant cet instant de communion éternelle avec le divin et les secrets de l’univers, de façon démoniaque…, comme la pipeuse surdouée s’interrompt de te lubrifier le sémaphore une fraction de seconde avant que tu ne lâches les amarres.
Ce diabolisme (ça n’était pas français avant aujourd’hui) stimule tout esprit naturellement pervers, en retardant la révélation de l’assouvissement du désir qu’il a de savoir quelle quantité va encore gicler ou si minablement le poireau va laisser échapper quelques gouttes.
Mais c’est une arme à double (voire à triple) tranchant, (on pourrait plutôt dire que c’est une arme à plusieurs coups…, car si l’image projetée dans le cortex déçoit les coucougnettes, (par exemple qu’il s’agit de ma crémière plutôt que de ma bouchère… ou de ma voisine de gauche alors que celle de droite réveille les morts)…. l’inconscient est alors conscient du subterfuge…, il est terriblement déçu et tu te sens enviandé…, dès lors, l’habileté du procédé, ce mouvement d’amorce d’une pompe qui manque d’air…, se retourne contre le pauvre auteur à la con qui passe pour une pomme, puis pour une poire…
Dans ces cas qui reviennent “plus souvent” que des nuits d’amours en partouzes avec les plus belles salopes du (bon) coin…, la seule solution est de vider une bouteille de rosé-pamplemousse et d’aller dormir en pensant à tout et n’importe quoi… quoique… un essai supplémentaire n’engage en rien…
Ces cons-fidences, te démontrent que ma non-profession est follement dangereuse…, les gens s’imaginent que je ne me fatigue pas… que je suis cool et relax…, mes pieds dans des pantoufles à pompons avec un bonnet de nuit pour garder mes idées bien au chaud… et que je n’ai qu’à laisser pisser ma machine à écrire (en réalité un clavier Hewlett-Packard sans fil) qui œuvre toute seule (à moins que ce ne soit Blacky qui est le véritable artiste créateur de mots en phrases)…
Fi !
Des niais !
Ceux-là n’ont rien compris à ma pathétique non-profession et je leur interdit de trop lire entre mes lignes pour qu’ils puissent pleinement se consacrer à l’étude de mes procédés.
Mais, basta (c’est en Corse)…, je sais que je t’emmerde déjà, ô taciturne internaute…, pour toi, la finalité prime tout…, à la rigueur, tu veux bien que je calce les dindes voisines héroïnes… à condition de te fournir tous les détails…, ton inculture est un bastion d’où je ne te délogerai jamais, mille hélas…, tu mourras la tête vide et les porteurs ne s’en apercevront même pas.
Amen.
Amène-toi, que je poursuive ce récit plein d’épastouillantes péripéties, que merde, je me demande où je vais chercher tout ça, comme ils me disent, les nœuds volants.
Donc, après avoir beaucoup pensé, j’ai résolu de rencontrer Macronic en personne, “le” Maître de la Franchouille… afin de lui dire tout ce que j’avais sur le cœur… et j’ai foncé jusqu’au Grand-Palais…
– Son Excellence Monsieur le Grand-Macronic va vous recevoir dans un instant… m’avertit son pote…
Il me laissa le cul entre douze fauteuils d’époque Catherine II, j’en choisis un au hasard et m’y insérai à reculons, j’eus l’impression de m’atteler à un carrosse…, le salon anti-chambre comportait quatre fenêtres d’environ cinq mètres de haut, à travers lesquelles on pouvait admirer un grand mur blanc où jouait l’ombre d’un petit nuage folâtre… et le parquet dûment fourbi brillait comme une calvitie.
Deux immenses tableaux représentant des batailles, s’opposaient à chaque extrémité du salon…, sur l’un, on voyait quelqu’un en train de foutre une tripotée aux contradicteurs de ses élucubrations lors d’une réunion publique ; l’autre le montrait comptant des liasses de billets sur un bureau, entouré d’hirsutes…
Aucun bruit ne sourdait de l’extérieur, l’endroit était pompeux, magistral et ennuyeux comme tous ces lieux d’apparat où l’on ne fait que passer.
Je pris une attitude stricte qui devait faire chiément bien sur les écrans de vidéo où ma personne s’inscrivait.
D’un air gourmé, je promenai mon œil de vrai faucon alentour, à la recherche des micros et objectifs braqués vraisemblablement sur ma personne.
Nonobstant un strabisme accentué de “son excellence”, que l’Histoire avait omis de mentionner, je ne découvris rien d’anormal dans la pièce…, les techniciens chargés de “l’équiper” en connaissaient long sur leur boulot.
J’attendis un quart d’heure sans m’ennuyer le moindre…, je possède la faculté d’être une compagnie suffisante pour moi, en tous lieux et en toutes circonstances, ce qui est bien pratique dans ma profession où l’on bouffe plus de lapins que d’ortolans…, l’expérience m’a enseigné que la personne avec laquelle je m’emmerde le moins, c’est moi.
Ne vois, à me lire, cher internaute, aucune vantardise dans cette déclaration…, pour te rassurer, je m’empresse d’ajouter que je suis également l’individu que j’exècre le plus sur cette planète, excepté quelques milliards d’autres dont je ne dresserai pas la liste ici de peur qu’elle ne soit pas exhaustive.
Donc, au bout d’une quinzaine de minutes, celui qui m’avait pris en charge revint…, il avait cet air sérieux, à la limite de l’ennui, d’un ordonnateur de pompes funèbres chargé des funérailles d’un haut dignitaire, lorsque les poignées du cercueil viennent de céder et qu’elles restent dans la main des porteurs.
– Son Excellence le Grand Macronic Maître de la Franchouille vous attend !… me déclara-t-il.
Je pris mon fourrage à deux foins et me lançai dans la traversée du salon…, après une marche forcée de chasseur alpin, j’atteignis la double porte livrant accès au cabinet de travail de son Excellence le Grand-Macronic…
Le Maître des basses-œuvres pressa un bouton…, je perçus, à travers l’huis, la vibration d’un timbre sonore, sec comme un coït sur un sac de biscuits.
La porte à moulures, dorures, motifs, gaufrettes en tout genre s’ouvrit d’elle-même…. j’entrai….
Le bureau de Son Excellence était de dimensions relativement modestes…, on eût dit un stand du salon de l’Equipement de burlingue…, car tout y était ultramoderne, métallisé, chromé… des appareils à l’usage mal défini l’encombraient : sur consoles, sur roulettes, suspendus… en comparaison de cette pièce, la salle opérationnelle de la NASA ressemblait à une cellule de chartreux. Un grand portrait de Lui, souriant… et un drapeau l’humanisaient et y apportaient la joie de vivre, sinon, cet antre sophistiqué flanquait les jetons et tu te mettais à glaglater comme le grand-père de la mère Denis quand on le passe au scanner…
Derrière une vaste table en verre fumé surchargée d’ustensiles bizarres, engoncé dans une cape à col de fourrure, un casque orné d’un phallus-godemichet enfoncé jusqu’aux oreilles et affublé d’épaisses lunettes à monture d’or, me regardait venir à lui sans bouger.
Il ressemblait simultanément à un hibou, à un tapir, à Harry Baur dans Crime et Bâtiment, et surtout à ce fabuleux portrait de Giuseppe Arcimboldo intitulé l’Hiver…., je marchai vers lui en pensant que, pour la première fois de ma vie, j’allais adresser la parole à une souche.
Je m’y risquai pourtant.
– Mais quoi qu’y font les keufs ?… que je lui ai crié…
Le Grand Macronic a pointé son doigt vers sa tempe, mais c’était double sens, fallait regarder le doigt… le doigt du gars qui surveille rien et qui s’en branle…, le beauf qui radote, brasse l’air, change d’avis et discute à donf pour rien payer, jamais, enfin, je crois.
– Côté intrigue, croyez-moi, la Franchouille c’est bonjour la purée de pois, le brouillard à mazout et l’embrouille majeure. En gros, un bordel barnumesque.
– Y a une chose qui m’échappe. C’est le fil de votre histoire…
– Musique, maestro. La musique, justement, est bof de bof…, genre impro sur grincements de dents et couinements de cochon prostatique., c’est clair d’évidence…
– Evidemment, c’est dur comme histoire… qu’il me dit le Grand-Macronic... Sûrement un scénario pompé sur un bouquin de Proust, Joyce ou Mallarmé, tous inadaptables.
– Le génie ne supporte pas l’à-peu-près; Sublime Majesté. Là, heureusement, il y a tous les suspects habituels: avec des acteurs comme ça, c’est nickel. Le nanar est cousu main… Si la connerie se vendait au kilo, y a longtemps qu’il serait dans le commerce.
– A la tonne, elle se vend, parole… Revenez demain !
– C’est ça… demain je reviens expliquer… Sans rancune et hop… Merci encore pour le verre d’eau.
Ceci était la troisième partie.
Fin du chapitre trois…
Chapitre quatrième…
Le sommeil du juste, ça n’existe pas, d’ailleurs y a pas de justes… et pas de justice non plus.
On est des pauvres mecs pattouilleurs, aux prises avec d’autres pauvres mecs…, on passe son temps, les uns, les autres, à se faire du contrecarre, des croque-en-jambes, des coups fourrés…, on se délate, on se brime, on se tue à qui mieux mieux.
Le Grand-Macronic, quand il décolle, il te bouffe l’oxygène pour plusieurs jours ; personne ne s’en soucie…, ses ouailles, kif, te pompent l’air d’une décade en trois répliques malséantes, en deux ragotages perfides… et on passe outre…, on rit chétif, on rit peureux pour se faire pardonner la saloperie qu’ils viennent de nous balancer plein cadre.
Qu’ils enculent si ça leur chante : un fion n’est qu’un fion, ça facilite le transit…, on devrait même apprendre aux administrés, les prémunir par des exercices appropriés…, qu’ils s’asseyent sur des bâtons d’agent, puis sur des battes de baise-bol pour se faire un pot d’échappement adapté aux circonstances ; sur des bittes d’amarrage une fois passés pros…, plus ils auront le rond confortable, au mieux ça se passera pour leur avenir, leur vécu.
On se laisse verger à tous les coins de rue, sous toutes les portes cochères, dans les antichambres, à la télé, à poil ou en tenue de gala…, mais t’inquiète pas, t’aurais tort…, faut jamais regimber des miches…, autrefois, on pouvait s’indigner, désormais c’est plus possible, plus permis…, la soumission pleine et entière.
Quéque chose me dit que ces lignes ne seront jamais publiées dans un grand quotidien planétaire… y aura les fusées avant… c’est du peu au jus, de l’imminent, ils s’en foutent, se rassurent de rien, mes petits frères bien-aimés… ils veulent pas le savoir… haussent leurs maigres épaules : Non, non, tout va bien.
Y ajuste quelques voyous de trop, des molesteurs de petites gens sans importance, et puis hop, v’là les impôts de chiasse ; sinon, lèche-moi bien sous les burnes…, la paix des profondeurs, ils la possèdent.
Et puis un de ces petits matins de d’ici pas longtemps, tu vas voir ce badaboum, l’ami…, tchlac tchlac…, deux coups les gros…, on aura le Don des Cosaques…, les points stratégiques en semoule…, le Grand-Mickey et sa clique feront chauffer leur bortsch sur la flamme sacrée… et mes petits potes, crédulés soudain, courront à toute pompe se faire inscrire à la permanence, avec effet rétroactif si possible, l’intention y étant depuis toujours, simplement ils avaient péché par négligence, faut comprendre !
Moi je les sais bien, mes très chers frères…, ce qu’ils disent, ce qu’ils font…, leur comportement en toutes circonstances pour s’arracher à la mémerde…, le brio qu’ils déploient, parfois, je les trouve admirables dans la veulerie, la sodomie processionnaire…, des maîtres, des ès, des fulgurants de la reconversion, qui vaut bien une fesse !
J’aime pas tout ça…, normal…, même toi, si tu étais à ma place, tu te gafferais que l’historiette n’est pas terminée…, impossible !
D’ac, je suis une sorte de plénipotentiaire occulte et j’ai droit à la divine protection…, mais pardon, oh ! oh ! ils veulent savoir ce dont il m’a fait part…, peut-être qu’il le leur aura dit spontanément, va savoir…, une crise de conscience, quand t’as des techniciens autour de toi, elle t’arrive sans crier gare, ni train, ni rien du tout de ferroviaire.
Et me voici tout à fait éveillé, la moulinette pleine de gambergeries en vrac…, pourtant la nuit passe sans incident.
Lorsque les premières lueurs de l’aurore filtrent entre les rideaux, je me mets à en écraser pour tout de bon, rêves délicats à l’appui…, je me vois dans un grand jardin ensoleillé, plein de fleurs et de ramages d’oiseaux…, une belle jeune fille, style Ophélie, sort de derrière un temple d’amour, simplement vêtue de la rose qu’elle tient à la main, ce qui la fait ressembler à son Excellence, le jour de ses noces.
Elle vient à moi, s’assoit sur mes genoux qui prennent un “x” au pluriel, passe son bras parfumé à mon cou…, elle sent le bouquet d’aubépine…, la mienne frétille, d’abord comme un gardon, puis comme un brochet de trois livres…
La sonnerie du bigophone me fait déjanter…, je lumière pour regarder l’heure : 19 plombes et quelques !
Tu parles d’une mayonnaise de dorme que je viens de me payer !
Comme la sonnerie continue de strider, je décroche…, une voix féminine me dit qu’on va me parler…, il se produit une légère série de clic clic clic, l’organe du Grand-Macronic retentit, pimpant…, on a dû lui bricoler deux ou trois transfuses dans la nuit et le gaver de cortisone à son petit déjeuner, car il semble vachement branché…, à moins qu’on ait fait une vidange-graissage à son convertisseur
– Et alors, je vous attends !
– J’arrive, subtile Grandeur émérite, je fonce vous narrer la fin…
– Allez-y, qu’on en finisse…
– Grand-Macronic Altesse sérénissime, en votre Franchouille tout est deviendou toc, bêtassou, glandilleux ! C’est croit que c’est doux comme du beurre sur une baguette bien chaude (on dit pourtant alors qu’elle est fraîche, allez comprendre !)…, je vais donc ci-après vous fournir d’avance le jambon (du sandwich), avec humour… donnant ainsi le LA à la zizique dont je vous causais hier ! C’est histoire de faire durer le plaisir… C’est le tango des cloduques, l’amour chez les cradoques, le romancero des “pue-de-la-gueule” : entre un gorgeon de vinasse boueuse et un baiser entre alcoolos consentants, la love story de deux cabots maquillés à la suie.
-Mais que me voulez-vous à la fin ?
-Il faut publier l’histoire de la Franchouille dans un style populeux afin que la plouquesque comprenne enfin le pourquoi du comment !
-Vous en avez un résumé ?
-Voici, sublime Majesté et c’est même illustré ! Il y a un bout de temps que je voulais publier du mal pensant à souhait, façon croisement improbable entre un Frédéric Dard des temps modernes à la syntaxe hasardeuse et un Clint Eastwood au meilleur de sa forme. Evidemment, mais il faut toujours le répéter avec les bienpensants, la lecture des coups de boutoir qui vont suivre doit se faire au second degré pour savourer dignement cette Histoire de France…, voire au troisième degré pour les moins lobotomisés sous perfusion merdiatique, un Art dont le grand maître reste ce bon vieux et regretté Desproges jamais remplacé…
HISTOIRE DE LA FRANCHOUILLE…
Au début t’avais des Bikers avec des tuniques à carreaux et des casques en bronze que personne n’avait coulé sur leurs têtes parce que les mecs étaient grands et avaient des moustaches. Du coup les Ritals qui étaient beaucoup moins pédés que maintenant sont venus crédibiliser encore plus les Gaulois en les envahissant pour inventer le Gallo-romain : Un pré-français qui rote et pète déjà à table mais sans le coté raffiné qu’il va obtenir plus tard avec les tarlouzes fardés du siècle des bougies. Il faut ajouter à ça un peu d’ADN Franc de Chleu pour le coté sans-gêne et tu comprend pourquoi Chirac baisait autant de femmes différentes sans se dégouter de lui même !
Du coup on arrive au siècle du poil dans le dos et des raies de culs mal torchés parce que le foin et les écorces ça pique alors t’insistes pas trop. Le siècle où les mecs qui dirigent la France se gaufrent des blazes du style Clovis (oui le mec qui fait des conseils municipaux à coup de haches) Childebert, Caribert, Dagobert et tout les autres noms qui te destinent à faire 150 kilos et à régner au pays du fromage en éclatant du Wisigoth sans culpabiliser puisque le parti socialiste n’existait pas. Le siècle de Charlie Martel ou les mecs qui dirigent la France se baladent avec des marteaux d’1m50 pour faire de la politique sociale avec les arabes de la mairie de Poitiers munis de toute la délicatesse qui s’impose quand on échange avec des gens conciliants qui veulent du bien à votre religion.
C‘est le début du très massif moyen âge avec une entrée en matière sympathique puisque Charlemagne trousse la Germanie tandis que Pépin le Bref devance le Front national de 11 siècles en déblayant du bougnoule dans le Var ! Bien entendu , ces enculés de Vikings tentent de voler des trucs à la France parce qu’à l’époque les gitans était roux et ils conduisaient des caravanes à voiles en sapin.
Le Pape Urbain 2 prend la chrétienté pour un gang de salvadoriens et ordonne à ses membres de tomber tous en même temps sur la cage d’escalier de cité la mieux défendue du moyen age : Jérusalem ! Massacre d’innocents musulmans , pillage des principaux kebabs de la ville et vengeance pour le coup de pute qu’ont fait les rebeux en cheval T-max de l’époque quand ils sont tombés à 20 sur Roland dans les montagnes alors qu’il était en mode forfait de ski avec son srab Charlemagne. Un siècle plus tard, le Pape décide que les Toulousains Cathares sont pire que les bougnoules et envoie Simon de Montfort les éclater pour qu’ils arrêtent de parler Occitan et qu’ils remplacent «milediou» par «putain con» à la fin des phrases : Début de la France.
La période qui suit c’est que de la baston avec les anglais et une vague de peste qui fait pousser des pustules de 5 centimètres de diamètre sur la gueule des gens parce que pas grand monde ne se lave la bite même quand la calotte du gland commence à tousser des salves de fromage solide dans les slips de l’époque ! Avant ça, Jeanne d’Arc va servir de charbon de bois dans un apéro spring break pour touristes anglais de l’époque (quand tu peux pas dégrader l’hôtel tu dégrades l’hôtelière) et marquer les esprits en commençant un featuring sur le théme de l’immigration avec Jean Marie le Pen, 9 siècles avant qu’il ne sorte son premier album de gangsta rap : « La France aux français ».
A la fin de cette période le taux de foutre dans les couilles était si élevé que les enfants faisaient leur puberté à 3 ans et commençaient à violer des paysannes en se cuitant dés la fin du CM1. Résultat ? Les tout premiers plumeaux de l’histoire vont inventer une période de pré-homosexualisation avec la Renaisance pour éviter que le siècle suivant soit encore plus violent que les cinq derniers. Manque de bol avec la découverte de la poudre à canon des chinetoques et de nouveaux continents à souiller les vrais mecs vont reprendre le dessus en imposant 2 siècles supplémentaires de violences intégrales… Par humour, les mecs vont appeler ça l’Humanisme ! Un peu comme si un pédé nous parlait de la consentance sexuelle féminine comme s’il savait ce que c’est !
Alors là c’est le méga-féstoche ! La violence explose tout azimut ! Tout le monde à le droit de déborder et c’est à qui va le mieux choquer les autres ! Première règle de l’Humanisme : tout le monde doit en prendre plein la gueule, personne n’est à l’abri ! Les Protestants, les Pédés, les Juifs, les Noirs, les Bougnes, les Ritals, les Chinetoques, les Bourges, Mimissiku et sa putain de Maetika que vont écraser comme un cafard les fascistes bottes espagnoles des lourds conquistadors dans le nouveau monde… et je vous parle même pas de la Saint-Barthélémy et sa grande désinfection religieuse des Protestants de Paris à coups de pas tolérantes hallebardes sur le coin de la fife !
Doucement mais sûrement, l’Humanisme va basculer vers le siècle un peu pédé des lumières. Alors par lumière j’entends pas exactement celle du mirador qui traque les prisonniers pour dessouder du youpin ou celle que font les bombes quand elles éclatent au milieu d’une cantine scolaire au japon. Mais plus celles que produisent les bougies qu’allumaient Louis XIV pour se faire sucer à Versailles par les Rachida Darty de l’époque. C’est le siècle de la poudre blanche sur la gueule (non pas celle de Miami dans les années ’80) où les mecs se sapent avec des rubans de fiottes et des perruques frisées d’enculeurs de mouches. Pendant que la France impose son style dans plusieurs colonies depuis un certain temps, un tas de pédés inventent la Franc-Maçonnerie pour vendre plus de nègres avec plus de bénef mais au nom de la liberté ! Du coup ça te donne un Montesquieu qui fait des calculs de négrier sur le même petit calepin qui lui sert de brouillon pour rédiger les droits de l’homme (blanc) en totale quiétude.
C’est ainsi qu’intervient finalement la grande Révolution Française qui est en fait une farce ou les bourges demandent aux pauvres de les aider à créer le parti socialiste pour finalement se faire enculer sauvagement à sec par tout un système plutôt que de se faire enculer tendrement par un Roi paternel et responsable ! Donc fin de la monarchie, début du foutage de gueule. Des plumeaux de la Bourgeoisie décapitent des Nobles et le petit peuple s’en régale sans savoir qu’il est en train de préparer une nouvelle époque ou il va servir d’esclave aux industries protestantes de merde.
Conscient de l’homosexualité latente de la révolution française, Un mec va décider de redonner un peu de vraie violence équitable à l’histoire de France en levant une des armées les plus stylée que l’humanité n’est jamais prise dans ses gencives blanchâtres ! Napoléon et sa grande armée, un concentré de haine à la corse qui va balayer l’héritage des pédés des sans culotte en installant une dictature impériale d’un style proche de la perfection et très éloigné de la pipe gourmande que représente une démocratie de tantouzes à la Danton ou à la Robespierre ! Encore plus fasciste que Louis XVI, Napoléon va refaire vivre un peu de style à la France avant qu’elle n’entre définitivement dans ses trois derniers siècles de laïcité dégueulasse et traîtrises en tout genres. Un ultime sursaut Gaulois avant le grand “baissage” de froc dont l’accélération va se faire dès la fin de la seconde guerre mondiale !
Finalement Napoléon s’écroule, il se pense plus crédible que les paysans Espagnols et Russes et découvre que certaines races n’ont besoin que d’une vieille branche ou d’un peu de neige pour te crever un œil ou t’affamer. Trahis par les éternels pédés de « l’arrière », sa mort marque le début de l’Epoque Moderne : Un massacre global savoureux, mais avec les prémices de l’homo-sexualisation généralisée des années 2000.
Les décennies suivantes ça colonise donc à tout va un peu partouze dans le monde, la France exporte son savoir faire en échange de quelques brimades extrêmement racistes et violentes mais nécessaires à la construction de l’idéal républicain de gauche ! Tout les “Je suis Charlie” de l’époque se régalent donc à édifier un monde fantastique sans religion ou les nègres coloniaux se tuent aux champs pendant que l’ouvrier français de métropole se tue à la mine en prenant des blocs de 128 tonnes de granit sur la gueule pour engraisser le grand père de François Hollande et ce système Laïque post révolutionnaire si égalitaire !.
Mais manque de bol , les Allemands qui passent plus de temps a êtres efficaces en mécanique plutôt qu’à faire de la critique d’art ou des débats de pédés fragiles sur la place de la faune et la flore dans les villes, proposent à la France de faire une première petite guerre pour l’échauffement ! Résultat des courses, la France prend une branlée et boude pendant 40 piges le temps de fabriquer des costumes de clowns pour la prochaine manche : Pantalons rouges humoristiques, casquette de postier inefficace; fusils à un coup très encombrants aussi fiables qu’un Renault scénic, chaussures de villes inadaptées à la boue. Le petit soldat français est fin prêt pour aller prendre une deuxième branlée humiliante et se payer un traumatisme force 128 sur l’échelle des guerres tragi-comiques.
1914 : là c’est la fiesta ! La grande diarrhée métallique ! L’ultime plongeon vers le grand n’importe quoi de viande à la vinasse et de plomb ! De la tripe, du sale, de la ferraille dans les bides, tout ce qui peut pourrir et tuer la chair au plus profond des estomac et des entrailles ! Plus ça picole du champagne chez les politicards de l’arrière plus le mec de la première ligne se fait déchirer de long en large ! Le grand tombeau de la France à l’ancienne ! Après ça, après ce grand gouffre, il va rester que les tarlouzes et les planqués, les moules, les culs, les réformés du courage, les boiteux et les demi-molles ! Tout ce que la France avait de dur et de couillus, elle l’a enfourné dans cette guerre infâme ! C’est donc les lâches et les difformes pas calibrés qui vont hériter de l’hexagone ! Et ça, ça va annoncer une troisième manche plus que médiocre…..
1940 : ça y est bordel , les Nazis débarquent ! Les types font la guerre éclair (voire presque laser) et éclatent tout sur leur passage comme si la Belgique était l’hymen de la France et que l’armée allemande était la bite d’un tongien qui la déflore sans câlins préliminaires ! Alors tout le monde essaye de trouver ce mec mais personne ne connait son adresse en France !
Non à la place il y à ce mec qu’on trouve surtout à Paris ou a Bordeaux vachement prêt à rendre service à son pays avec une vaillance peu commune….
Alors lui c’est un sacré fils de pute ! Il va balancer les 0.2 pour cents de résistants aux allemands et laisser les arabes, les français couillus (Jean Gabin) et les noirs libérer son pays à sa place ! On aurait aimé voir sa gueule sur la fameuse affiche rouge mais il n’y obtiendra jamais vraiment sa place même en réécrivant l’histoire ! Sans doute était-il en train “d’être charlie” en brandissant courageusement un stylo dans sa cave en signe de révolte !
A partir de là, la France comprend qu’il va falloir re-crédibiliser d’urgence toute son histoire en essayant de recommencer à faire des trucs à l’ancienne ! Genre une guerre d’indoche ou t’envoie presque que des volontaires qui commencent la journée avec un Pernod et qui la finissent en vidant un vièt de ses tripes façon barquette de nouilles sautées que tu verses dans ton assiette quand t’as commandé un chinois à domicile. Comme d’habitude, les pédés de l’arrière ( des étudiants très Charlie de l’époque) ne vont pas du tout soutenir les paras et faire en sorte que la France se plante ! Si t’ajoute ça à la rage des viet congs t’obtient une défaite bien dégueulasse qui te gonfle à bloc pour la boucherie suivante : la guerre d’Algérie !
Alors chez les chaouis tout se complique ! On sait que les mecs sont vénéré par nature et très fort pour lancer un caillou à 250 mètres pile entre les deux yeux d’une chèvre égarée ! Et en plus de viser bien, les mecs fument de la beue qui les rends débiles et insouciants, du coup ils craignent pas grand chose et ils n’ont pas encore été rendu pédés par la vie en France et ses allocs. Complétements en phase avec les reptiles, les fellagas vont se révéler être de fabuleux lézards des sables égorgeurs de soldats français hyper furtifs.
Précision: Surtout Kabyle, le fellaga n’est pas un pédé métisse de la côte facilement colonisable par des romains, des turcs ou des arabes, il est le vrai sauveur de l’Algérie et l’inverse d’un immigré retourneur de veste qui vient s’installer en France après l’avoir combattue. Sa crédibilité est donc totale !
Et alors que les pieds noirs étaient disposés à redoubler d’efforts pour mettre des claques comme à la grande époque, ils ont du rentrer à la maison à cause de “Je suis Charlie” de Gaule !
Le reste de l’histoire tu la connais…. “Mai 68, on à le droit d’enculer des enfants, le drapeau c’est de la merde, les frontières c’est fasciste, l’armée c’est mal, il nous faut plus d’arabes, les pédés peuvent adopter, être fier de son histoire c’est être un nazi, la religion c’est du caca etc etc..” ! Tout se mal donné pour finalement atterrir dans cette décennie de merde ou la France vend son cul au plus offrant et passe son temps à essayer de se détester plus que ne le font les autres ! François hollande à remplacé Henri 4, Joey starr à remplacé Ravaillac, tout est devenu si pédé que je ne peux finir cet article que par une ultime sentence bien méritée à l’égard de celui qui va encore enculer bien profond la Franchouille : Macron !
Ceci était la quatrième et dernière partie. Il n’y aura pas de chapitre cinq, ni de six, ni de sept, ni de huit, ni de neuf… c’est fini…
Fin du chapitre quatre et de l’histoire…