Julia Roberts…
Depuis qu’elle a allumé l’écran comme étant la Cendrillon du trottoir qui gagne le coeur du millionnaire Richard Gere dans Pretty woman, Julia Roberts a été saluée comme l’une des étoiles parmi les plus brillantes dans le cinéma aujourd’hui.
Même quand elle ne fait pas des films, certains diraient “surtout quand elle ne fait pas des films“, Julia Roberts fait les manchettes des journaux people, les paparazzis y documentant fiévreusement les détails “pratiques” de sa vie personnelle.
Quand elle a pris une bière avec les habitués du Hog’s de Manhattan, une sorte de Génital-sex-club… et a discrètement fait don de son soutien-gorge à la collection permanente des sous-vêtements protecteurs ornant l’arrière du bar, respectueux, les chroniqueurs de ragots se précipitèrent sur cet “évènement” pour informer leur public que l’actrice portait une taille 34B… Bien que sa popularité au box-office a ralenti depuis son rôle dans Pretty Woman, Julia Roberts à continué à vivre de nombreux enchevêtrements romantiques avec des célébrités… qui l’ont regardé sous la lentille de leurs microscopes sexuels… et ça fait du monde au balcon du 34B, de Sean Penn à Matthew Perry…
C’est sans doute cette incessante crise sexuelle qui fait qu’elle n’a plus le visage et le corps aussi frais, la pétillante ingénue qui a été nominée deux fois aux Oscars avant l’âge de 24 ans, a perdu quasi tout son charme et affichant un look très quelconque, Pretty Woman à l’envers, en quelque sorte…
Julia Roberts reste néanmoins un grand tirage au box-office et les offres pour jouer dans quantités de navets continuent d’affluer en top-dollar.
Julia Roberts est née à Atlanta, en Géorgie, c’est la seconde fille d’un vendeur d’aspirateurs en continuelle dépression (appréciez le double sens) et d’une secrétaire de l’église Mormone.
Ses parents ont divorcé quand elle avait 4 ans… et son père, avec qui Julia Roberts partageait un attachement profond, est décédé d’un cancer alors qu’elle n’avait que 9 ans.
Julia grandi chez sa mère, avec l’idée de devenir vétérinaire.
Ce rêve a duré jusqu’au moment où elle est sortie diplômée de l’école secondaire, après quoi, à l’âge tendre de 17 ans, elle a rejoint sa sœur Lisa, mi-mannequin, mi-actrice… à New York.
Julia Roberts a alors signé un contrat avec l’agence de manequin qui employait sa soeur.
Elle a vécu exactement la même vie que le rôle qu’elle a interprété au début de Pretty Woman… et c’est peu dire, la réalité fut pire !
Julia Roberts a cru avoir enfin sa première grande chance en 1986, lorsque le frère aîné du directeur de l’agence de mannequin : Eric Masterson l’a prise comme amante en même temps que sa soeur…
Cette promotion sociale fut peu après assortie d’un rôle dans un film à très petit budget, une sorte de drame rouge sang.
Le film a été abandonné peu après avoir été terminé (il est finalement sorti en salles en 1990)… et Julia Roberts, a continué de pateauger jusqu’en 1988, quand elle est apparue à la télévision dans un épisode concernant l’histoire de la criminalité.
Cette même année, Julia Roberts a eu l’occasion de jouer un rôle dans deux longs métrages : “La satisfaction et l’oubli“…, ainsi que le lunatique “Mystic Pizza“, ce dernier lui offrant la possibilité d’une vraie carrière cinématographique.
Jouer le rôle d’une serveuse portugaise dans une pizzeria italienne d’une petite ville américaine dont la clientèle était avant tout mexicaine…, c’était un sacré pari !
Julia Roberts a remporté les bravos de la critique, ce qui était, pour elle, tout ce qui comptait, en sus de son cachet !
Suite à une nomination aux Oscars en 1989 pour le rôle d’une jeune mariée condamnée : “Steel Magnolias“, elle a été sollicitée pour jouer dans “Pretty Woman”.
Dès que ce film fut en salle, il a transformé une jeune actrice prometteuse en une superstar.
Croyez-le ou non, “Pretty Woman” a été conçu au départ comme un sombre drame du genre “Leaving Las Vegas“… et, alors que le projet de ce film en était encore à ses balbutiements, Julia Roberts a été choisie par Vivian Ward, pour un rôle dont elle a admis bien plus tard qu’elle l’a pourchassé comme un chien.
Peu après, le script a été acheté par les studios Disney… qui ont transformé ce sombre drame en comédie légère et romantique ensoleillée…
Julia Roberts était réticente, une fois livrée à cette nouvelle vision à la demande expresse du directeur des studios Disney : Garry Marshall, mais pour vivre…, c’est ce qu’elle a fait !
Le film a atteint des records au box-office et Julia Roberts y a récolté une nomination “Best Actress” suivi d’un Oscar…
Timide et en proie à des incertitudes sur son apparence, Julia Roberts a du alors vivre à la fois sa vie publique et privée dans une sorte de bocal qui représentait son éducation religieuse.
Deux grands succès ont suivi “Pretty Woman“, mais ensuite, son succès au au box-office est tombé à moins que rien… et des rumeurs ont commencé à filtrer à partir du film “Hook” de Steven Spielberg, comme quoi à Hollywood la plus “bancable” des vedettes féminines, c’est-à-dire Julia Roberts, était en train de devenir le cauchemar de tout réalisateur.
Cette période a coïncidé avec d’importants bouleversements dans la vie personnelle de Julia Roberts : un mariage prévu avec Kiefer Sutherland est tombé à néant quelques jours avant la cérémonie… et ensuite, diverses indiscrétions décapantes ont été les gouttes d’eaux faisant déborder le vase émotionnel de Julia Roberts, qui a fui Hollywood pour se réfugier en Irlande avec l’acteur Jason Patric.
Les tensions émotionnelles suite à ses noces avortées ont été de trop pour cette femme fragile, elle a réagit en s’enfermant elle-même, fuyant à la fois les médias et le grand public, dans l’espoir de renouveler ses énergies créatrices.
Au cours des deux années suivantes, Julia Roberts n’a joué qu’une seule fois dans “The Player” de Robert Altman en1992.
Plus mature, plus épaisse de peau, Julia Roberts a refait surface en 1993 avec “The Pelican Brief“.
Un roman d’amour avec le chanteur-compositeur-interprète et improbable prétendant Lyle Lovett, a suivi…
Et cette fois, la relation a culminé dans le mariage.
Le couple s’est toutefois sépareé quelques mois plus tard !
Beaucoup soupçonnent que Lyle Lovette s’est lassé d’être sans cesse appelé le vilain petit canard par Julia Roberts, mais qui sait ?
Elle sait manipuler les gourous des médias avec grâce.
Les années suivantes, elle a pris en sandwich quatre désastres cinématographiques au box-office, mais les critiques ont été ravi de son “Breezy“, un film ou elle jouait une débridée aux côtés de Woody Allen, en 1996.
Julia Roberts n’est plus la mieux payée des actrices à Hollywood, elle percoit toutefois encore des engagements à 8 chiffres par film…, et en 1997 sa nomination aux Golden Globe ou elle jouait aux cotés de Mel Gibson dans un film paranoïaque, l’a relançée….
En 1998, Julia Roberts à ainsi obtenu un nouveau rôle à 8 chiffres pour un film avec Susan Sarandon et Ed Harris : “Ma meilleure ennemie“…
En 1999 elle a joué dans plusieurs comédies romantiques : “Notting Hill“, dans lequel elle s’est donnée son propre rôle de méga-star qui tombe sur le modeste propriétaire d’une librairie (Hugh Grant)…, puis “Runaway Bride” avec Richard Gere.
Sa société de production est ainsi devenue florissante… et elle a été courtisée pour jouer dans un remake d’Alfred Hitchcock’s.
Elle a obtenu 12 millions de dollars pour jouer dans ce remake de George Cukor, film dans lequel elle joue avec Meg Ryan, mais le projet a été lent à se développer.
Voilà, voilou…, à la voir telle qu’elle est en réalité (les photos “parlent” d’elles-mêmes), moins belle que bien des femmes qualifiées “d’ordinaires“…, sans style, assez moche, ayant même réussi à s’enlaidir d’avantage par un lifting “carton-pâte“…., je me demande très franchement et sincèrement pourquoi des producteurs acceptent de la payer 15.000.000 de dollars pour une prestation d’un mois… et pourquoi les gens s’extasient devant ce squelette sans saveur de peau…, rien de bien intéressant en somme, ce qui me donne envie d’aller en piquer un (de somme)…
Ava Gardner et Marilyn Monroe, c’était quand même autre chose…
Elle passe 40 pour cent de ses périodes chômées à son ranch de Taos et le reste à New York, où elle a également des bureaux pour sa société de production.
Lors de la première londonienne de “Notting Hill” Julia a provoqué un scandale en tournant dans une robe rouge sans manches, parsemées de paillettes argent et saluant la foule… sans avoir rasé les aisselles.
La presse britannique en a fait des manchettes offusquées.
Son ex-petit ami Benjamin Bratt surnommé “Scattercash” par Julia a dit qu’il n’avait jamais vu une femme dépenser de l’argent comme elle.
Quand un journaliste a demandé à Julia Roberts : “Avec quelle femme aimeriez-vous le plus avoir des relations sexuelles“, elle a répondu : “Hillary Clinton, car je ne pense pas qu’elle soit capable d’obtenir sa juste part. Mais vraiment, je ne sais pas, Sophia Loren, peut-être. En fait, Julie Christie, She’s the one”…
Julia Roberts a obtenu le paiement de 10 millions de dollars pour “Mary Reilly” (1996), un record du monde à l’époque. Le film n’a obtenu qu’un marché national lugubre de 5,6 millions de dollars, ce qui a couvert à peine la moitié de son salaire… Elle n’a pas eu le moindre geste pour éviter que le producteur fasse faillite !
Quand elle est nerveuse, une grosse veine sort de son front.
Julia Roberts avait désespérément envie d’embrasser Denzel Washington dans “The Pelican Brief“, mais l’acteur a refusé…
Elle a été appelée “Pretty Woman” pendant plus d’une décennie après son énorme succès dans ce film… et est maintenant appelée “America’s Sweetheart“.
Elle a pris l’habitude de tricoter pendant le tournage de “The Pelican Brief” et elle tricote maintenant sur tous les films ou elle joue pour passer le temps. Elle aime tricoter des chandails.
Elle a été la première femme à apparaître sur la couverture du “Gentleman’s Quarterly“.
Le jour de son anniversaire en 1990, elle s’est arrêtée chez un tatoueur pour avoir un dessin d’un cœur rouge gravé sur sa peau. C’était au moment où elle sortait avec Kiefer Sutherland, Julia a dit : Mon amour pour Kiefer durera aussi longtemps que ce tatouage…
En plein tournage d’une séquence difficile pour “Sleeping with the Enemy” (1991), elle a dû passer plusieurs heures devant la caméra en soutien-gorge et string, régulièrement aspergée d’eau. La scène a été tournée à plusieurs reprises. Usée par la situation, elle a exigé que quiconque continuerait à regarder fixement ses sous-vêtements devait quitter le plateau. Elle a obtenu satisfaction.
Avant qu’elle devienne célèbre, Julia vendait des cornets de crème glacée “Baskin Robbins” et ensuite des chaussures.
Elle a changé son nom de Julie à Julia quand elle a demandé une carte de SAG et qu’il y avait une autre actrice membre de la SAG : Julie Roberts.
Elle a évincée Sandra Bullock pour le rôle de Maggie Carpenter dans “Runaway Bride“.
Elle va prêter son nom pour aider à amasser des fonds pour la recherche pour développer un remède contre le syndrome de Rett (une maladie qui peut être mortelle et frappe au hasard les filles entre 2 à 6 ans).
Elle joue de la clarinette dans un groupe d’amis et amies.
Elle a refusé le rôle de Sharon Stone dans “Basic Instinct“.
Susan Sarandon a été demoiselle d’honneur à la cérémonie de mariage en 1993 de Julia Roberts et Lyle Lovett.
Elle est l’actrice principale les films les plus vus de tous les temps, ses films ont cumulativement réalisé des recettes de plus de 1,1 milliard de dollars (non ajustés pour l’inflation).
Elle aurait été si difficile sur le film “Hook” que Spielberg et son équipe la surnomment : Tinkerhell. Le réalisateur du film, Steven Spielberg, a déclaré qu’il était peu probable qu’il puisse jamais retravailler avec elle.
Contrairement à tout ce que tout le monde croit, ce n’est pas Julia Roberts qui joue les scènes dénudées…, on a utilisé une doublure dans “Pretty Woman“.
Il y a une gaffe célèbre film dans “Pretty Woman“. Dans la scène du restaurant avec Julia Roberts, Richard Gere et Ralph Bellamy, tous trois sont font servir un sorbet, la suite vaut son poid de stupidités. Bellamy disparaît, puis Gere et Bellamy… et ensuite Julia Roberts disparaît et revient comme étant Richard Gere.
Elle est gauchère.
“Runaway Bride“, a franchi le seuil des 100 millions de dollars au box-office américain sur son 19e jour de diffusion. Pas une comédie romantique autre n’a jamais atteint ce jalon à cette vitesse. Le record précédent : “My Best Friend’s Wedding“, mettant également en vedette Julia Roberts, a mis 37 jours pour ateindre 100 millions de $.
Elle a été élue l’une des personnes les mieux habillées de 1999 dans le magazine américain People.
Elle a obtenu un record de 17 millions de dollars pour son rôle dans “Runaway Bride“.
Elle a refusé le premier rôle féminin en 1998 dans “Shakespeare in Love“, un rôle qui est finalement allé à Gwyneth Paltrow (qui a remporté un Oscar pour ce rôle).
C’est un ancien mannequin de l’agence Click.
Elle ne fume que des Marlboro Lights dans ses films.
Elle a un tatouage de papillon dans le bas du dos.