L’histoire avec un grand “Q” !
Casanova, qui ne connait les exploits de ce fameux libertin et de ses cent vingt conquêtes !
Mais des hommes et des femmes célèbres portés sur la chose, il y en a eu bien d’autres…
Découvrez l’histoire, avec un grand “Q” !
L’histoire n’est qu’une longue suite de conquêtes amoureuses, d’amants ruisselants de désirs, de débauches, de sommiers dévastés, de passions, mais qui parfois finissent mal aussi… On ne peut pas dire que Casanova n’aimait pas les femmes, on peut seulement lui reprocher de les avoir toutes aimé d’une certaine façon…
Casanova le vénitien fit de brillantes études au cours desquelles il étudia la chimie, les mathématiques, la philosophie et le droit…, il obtint un doctorat en Droit à l’Université de Padoue… Tour à tour imposteur, officier, érudit, écrivain, banquier, escroc, magicien, spadassin, espion, diplomate, il devint célèbre de son vivant en s’échappant des “Plombs“, surnom donné aux prisons de Venise à cause des tuiles de plomb sur les toits qui laissaient passer le froid en hiver et agissaient comme catalyseur des chaleurs de l’été.
Il l’est resté grâce à ses aventures galantes qui occupent une place de choix dans ses mémoires et qui comptent plus d’une centaine de femmes comme “conquêtes” !
Selon ce riche et jouisseur : l’homme est fait pour donner, la femme pour recevoir.
Ses rencontres lui permirent de croiser un abbé, futur académicien et ambassadeur de Louis XV.
A Venise, avec qui il partagea durant plusieurs mois les faveurs d’une religieuse qu’ils retrouvaient alternativement dans un “casin” (une sorte de garçonnière cossue) où, lorsque l’un d’eux faisait l’amour avec leur maîtresse, l’autre observait la scène d’une pièce cachée dans l’obscurité, à travers une tapisserie percée d’une multitude de trous minuscules…
Ces amours furent à l’origine de bonheurs et de malheurs infinis pour l’aventurier qui jugeait que : “Si les plaisirs sont passagers, les peines le sont aussi“…
Hélas pour lui, la maturité venue, la seule femme dont il était amoureux refusa ses avances et malgré toute son expérience, la petite “Henriette” lui glissera jamais entre les doigts…
Persuadé que : “Pour que le plus délicieux endroit du monde déplaise, il suffit qu’on soit condamné à y habiter”…, Casanova parcourut l’Europe tout au long de sa vie…
De Venise à Paris, Madrid ou Vienne, terminant sa vie au château de Dux, en Bohême, en tant que bibliothécaire-écrivain, voyant la mort comme un monstre qui chasse du grand théâtre un spectateur attentif, avant qu’une pièce qui l’intéresse infiniment, finisse…, Casanova finira vieux, seul et rongé par la syphilis, au bout du rouleau, incompris de tous et oublié surtout de toutes…
Même la bible contient son lot de coucheries et d’adultères et comme souvent dans ces cas-là, l’exemple vient d’en haut…
Un autre exemple, la sulfureuse Messaline, épouse de l’empereur Claude… et à ce titre, première dame de Rome.
Non contente de s’envoyer en l’air avec tout ce que la ville compte de beaux gosses, elle transforme une partie du palais en club échangiste et y donne rendez-vous au gratin de toute la noblesse romaine…
Les femmes y sont notamment tenues de se donner à d’autres hommes… et malheur au mari qui s’y oppose !
Mais celle que l’on surnomme “l’impératrice putain” a décidément un sacré tempérament !
La nuit, alors que son empereur de mari se repose sur ses lauriers…, elle se rend dans un bordel des bas quartiers de Rome, une perruque blonde dissimulant ses cheveux noirs, (tiens, j’en connais une autre qui faisait l’inverse…), les seins retenus d’une parune résille d’or…
Messaline y possède sa propre “chambre” et officie comme prostituée sous le pseudonyme de Lycica.
L’aube venue, elle est même la dernière à fermer boutique !
Sacrée Messaline !
Malheureusement pour Messaline, son mari Claude finira par apprendre ses débordements sexuels et la fera assassiner sans un remords…
Cornes de cerf…
Messaline n’est pas la seule tête couronnée bien connue pour son appétit insatiable, que du contraîre…
En matière d’exploits sexuels, comment par exemple ne pas parler de Charlemagne ?
Mais oui, vous savez, celui qui inventa l’école…
Grand (1,90 m), plutôt pas mal selon les canons de l’époque, fils de Pepin le bref, roi des francs à partir de 768, empereur d’occident de 800 à 814, ce conquérant, administrateur et législateur, propagateur de la religion catholique…, l’empereur eut officièllement quatre épouses et quantité de maîtresses qui lui donnèrent une impressionante marmaille : dix-neuf enfants en tout !
Mais le maître en la matière est sans doute Henry IV, le fameux Vert galant, et vert incontestablement, il l’était…, à défaut d’être beau.
En plus de ses deux femmes, il eut plus de cinquante maîtresses plus ou moins consentantes…, sans compter toutes celles qui résistèrent à ses avances…
Ce n’est pas peu dire que Henri IV était porté sur la chose, on lui doit même la phrase suivante : “Jusqu’à ving ans, j’ai cru que c’était un os ! “…, on vous laisse deviner quoi (comme c’est étrange, cela me rappelle Quelqu’un…)
Mais on ne peut parler du Béarnais, autre surnom de Henri, sans parler de sa première épouse, Margueritte de Valois, la fameuse Reine Margot !
Passionnément amoureuse du duc de Guise, mais forcée d’épouser Henri, Margot se vengea comme elle pu des infidélités à répétition de son mari, en le trompant de nombreuses fois.
C’est d’ailleurs elle qui disait : “Quand vos maris vous donnent des cornes de chevreuil, vous leur en rendez de cerf”….
Le pouvoir aurait-il des vertus aphrodisiaques ?
Il facilite en tout cas bien des rapprochements… : d’intérêts.
Il suffit de penser à Catherine II de Russie !
Non seulement elle met la main sur la Pologne en 1764, mais également en y faisant élire pour roi son ancien favori, Stanislas Poniatowski, l’homme qu’elle a épousé secrètement après la mort de son mari, Grigori Potemkine, fort de ses victoires sur les Turcs, colonise les provinces méridionales de la Russie.
L’annexion de la Crimée sera confirmée après la guerre qui opposera l’Empire ottoman à la Russie entre 1787 et 1792… et la signature du traité de Iassy.
Forte de toutes ses conquêtes, elle aimait, semble-t-il beaucoup les jeunes et beaux cosaques, juqu’à les attirer dans son lit et probablement un amant parmi beaucoup, beaucoup d’autre et sur son ordre, assassina son mari le tsar Pierre III…
Un satyre nommé Mao !
Plus récemment, on a appris en détail, la sexualité totalement “débridée”… de Mao Zedong, décrit par un de ses médecins comme un maniaque sexuel !
Le Grand Timonier aimait s’entourer de jeunes et jolies filles et organisait des ballets aquatiques d’un genre particulier et très dénudé (il n’y a pas que les ballets roses…, pourquoi roses, à cause les petits rats de l’Opéra de Paris qui étaient toujours en rose…) !
Mao Zedong était aussi un collectionneur acharné de revues et films porno !
Petit livre, grands effets…
Ses sujets, évidemment ne pouvaient lire rien d’autre que la bible du dictateur…
Sexus politicus !
Sexe et pouvoir !
“Le pouvoir est un aphrodisiaque absolu“, disait un autre Henri et ce Henri n’est autre qu’Henri Kissinger…
L’appétit sexuel semble en touc cas, aller de pair avec l’influence politique…
Plus on a de pouvoir, plus on ne pense qu’à ça !
A moins que ce ne soit tout simplement l’inverse !
On n’en finirait pas d’énumérer les têtes couronnées qui firent un usage très intensif de “leurs sceptre” personnel ou de celui des autres…
Quand on pense à l’impératrice Messaline qui, pour assouvir ses inextinguibles besoins sexuels alla jusqu’à se prostituer dans les bordels de Rome, de même Qu’Henri IV et ses plus de cinquante maîtresses répertoriées, sans compter toutes celles que l’histoire a oublié…, on peut se poser des questions…
Aujourd’hui, mis à part le célèbre rocher, le métier de roi ou de prince n’émoustille cependant plus des masses, la puissance est ailleurs chez les hommes et les femmes politiques notamment…
Mais hormis la Couronne, rien n’a vraiment changé, le pouvoir rend “incroyablement” sexy…!
Il rend aussi celui qui l’excerce avide d’amour et de séduction, quel que soit la façon d’exercer, car qui a-t-il de plus terrible pour un politicien de ne plus être aimé…?
Et donc, reconnu…
Un des meilleurs exemples de cet irrésisistible attrait du pouvoir est justement le Heni Kissinger des années 70’…
L’homme est petit, pas vraiment gâté par la nature… et pourtant il accumulera les succès féminins, particulièrement auprès des starlettes…
C’est qu’à défaut d’ête beau, ce conseiller diplomate de Nixon était un des hommes les plus puissants de la planète, il aimait les femmes et celles-ci lui rendaient bien !
Il n’est pas le seul, beaucoup d’hommes politiques sont connu pour leur amour de la bagatelle et du beau sexe, jusqu’aux échelons les plus élevés de l’Etat, Bill Clinton bien sûr, sans oublier Lyndon Johnson !
Successeur de John Kennedy à la présidence américaine, il eut semble-t-il encore plus de maîtresses que son prédecesseur, Lyndon Johnson appellait son engin, attention à la modestie : “Jumbo“, y compris en public !
Mieux que Kennedy ?
Plus près de chez nous, Monsieur Jacques Chirac s’illustra en compagnie très serrée d’une brune qui jugea que le nuage de Tchernobyl n’avait pas contaminé la France et qu’il n’y avait aucun risque pour la santé…
Redoutable séducteur, le grand Jacques n’hésitera pas à débouler à une réunion avec plus d’une heure de retard, main dans la main avec l’ex-secrétaire d’Etat, Michelle Bazsach…
Dans ce domaine, il sera pourtant complètement battu par Mitterand…, militantes, actrices, journalistes, anonymes, aucune ne lui résistera ou presque…, la gestion des activités officieles du chef de d’Etat et de son agenda privé s’avérera toujours un casse-tête pour les services du protocole, on connait la suite…
Il n’y a cependant pas que le pouvoir politique qui confrère à son détenteur un charme “irrépressible”, c’est le cas aussi de la réussite, de l’argent, de la célébrité… et oui…!
Ce phénomène est si important qu’il va jusqu’à modifier la perception que l’on a de la taille ou la beauté des individus, on appelle ça, l’effet de “Halo”…, un peu comme les blondes…
C’est ainsi que la taille (la taille du sexe ?) des présidents américains se trouve surestimée de 7,6 cm par la population, comme si “les grands hommes” devaient être nécessairement de grande taille…
La notoriété et l’image d’une personne sont parfois si fortes et si positives que celle-ci paraitra séduisante, indépendamment de toute réalité, principalement quand cette personne est un homme…
Car si ces messieurs cherchent souvent des qualités physiques, ces dames sont, elles, plus sensibles aux revenus et à la situation sociale du mâle…
Une étude montre d’ailleurs que les hommes que choisissent les femmes d’épouser, gagnent 50% de plus que ceux qu’elles dédaignent…, mais parfois une si grande solitude change la donne…
Affublez un homme assez quelconque d’un short et d’un ballon de foot, faites-le participer à une coupe du monde où il gagne beaucoup d’argent… et vous le transformez en sex-symbol…
Pour elles deux, cela ne pose aucun problème, elles ne savent pas lire…, seulement dépenser des sommes invraisemblables pour des loques griffées…
Pareil pour certains chanteurs, guitaristes, toréadors, acteurs, peintres, écrivains, sculpteurs…
Et c’est pareil pour les hommes d’affaires très riches…, au moins Salma sait compter…
Aaaaaahhh, les écrivains…
Il y a tant et tant à dire encore…
Colette par exemple !
La célèbre écrivaine vécut en femme libre (coucou Annie… et sa passion pour les chats), elle se maria trois fois, mais eu aussi de nombreux amants célèbres et des amantes lesbiennes.
Elle trompa son deuxième mari avec son fils, (tiens cela me rappelle une première dame…) et s’exibait à moitié nue en public…, un scandale à l’époque…, aujourd’hui, on vend des photos aux enchères…
Autre époque, autres mœurs…
Et Cora Pearl, vous connaissez ?
Cette courtisane du Deuxième Empire, une des reines de Paris, eut pour amants de nombreux hommes, tous très riches, on l’appellait : “La grande horizontale”…, jamais moins de quinze hommes à chaque invitation !
Et que dire de Guy de Maupassant ?
L’écrivain déclarait éjaculer environ six fois chaque nuit et se promenait le pénis en érection !
Une force de la nature…, de même que ce cher Victor Hugo…?
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