La logique destructrice qui se cache derrière The Great Reset, c’est le même eugénisme qu’avait utilisé Adolf Hitler !
Cohérence. Mesure. Limpidité. Loin de tout “complotisme”, voici une contre-narration de la crise en cours qui serait un coup d’État planétaire technologique basé sur le contenu du livre “The Great Reset” de Heer Klaus Schwab, qui exposerait diverses directives à l’attention des élites dirigeante : mise à bas des démocraties, dictature sanitaire, nouvel ordre mondial ou encore société de techno-surveillance. Le nihilisme robotique étant assumé et alimenté par les protagonistes du grand renversement sociétal défini dans ce livre, notamment au travers de la mise à jour permanente des doctrines “resettistes” et transhumanistes de Davos ! On n’est pas loin de l’ouvrage “Les Protocoles des Sages de Sion” taxé de faux pour qu’il ne soit pas considéré comme le “guide-résumé d’une réunion complotiste” ! Tout comme “The Great Reset” revendiqué authentique par son auteur Heer Klaus Schwab, est commenté par les anti-complotistes qu’il ne veut pas dire ce qui y est écrit ! En clair les détenteurs de la seule vérité vraie que sont des anti-complotistes, définissent unilatéralement en invoquant la démocratie que ce que les lecteurs de “The Great Reset” croient comprendre, est en réalité faux, même si c’est exactement ce qui est dit et publié à Davos !
L’effondrement actuel a-t-il été planifié ?
Le président américain Franklin Delano Roosevelt a dit : “Rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive, vous pouvez parier que c’était exactement planifié ainsi”. Waouwww ! Si l’on regarde tout ce qui s’est passé au cours de l’année et demie qui vient de s’écouler, cette phrase est particulièrement terrifiante. Est-il seulement possible que tout ce que nous avons vécu ait été planifié ?
Pourquoi est-ce que les élites tuent de telles masses de gens, alors que personne ne leur résiste et qu’elles ont déjà pris le contrôle total ? Quelle idéologie anime l’esprit psychopathe de l’élite ?
Depuis l’époque de Platon, il y a 2.400 ans, les planificateurs des constructions étatiques ont déclaré ouvertement leur intention de contrôler chaque détail de la vie d’un citoyen. Depuis des programmes de reproduction jusqu’au massacre de vies indésirables. Ce rêve ténébreux dure depuis des millénaires. La justification scientifique de la tyrannie a toujours attiré les élites parce qu’elle fournit un prétexte qui les arrange pour traiter les hommes plus mal que les animaux.
Thomas Malthus est connu pour sa déclaration selon laquelle un effondrement à grande échelle des approvisionnements en nourriture contribuerait à ce plan parce qu’elle éradiquerait les pauvres. Son scénario fictif a été plus tard appelé une catastrophe malthusienne. Malthus est important parce que ses idées ont mené à la montée d’un nouveau domaine de la science qui a finalement façonné le cours de l’histoire humaine pendant plus de 200 ans. Charles Darwin, un admirateur du concept de la catastrophe malthusienne, a développé la théorie de l’évolution. L’un des grands principes étant la survie des plus forts et la destruction des plus faibles ! Avec l’aide de Thomas Huxley, surnommé “le bouledogue de Darwin” en raison de son soutien véhément aux théories de Darwin, ces enseignements ont acquis une large acceptation dans les cercles scientifiques importants en Angleterre, puis aux USA et finalement dans le monde entier. A partir de la théorie de l’évolution de Darwin avec des principes sociaux appliqués au darwinisme social, Francis Galton, le cousin de Darwin, qui porte le titre de “Père de l’eugénisme”, a vu en conséquence une opportunité pour le progrès de l’humanité ! Les familles Darwin, Galton, Huxley et Watchword étaient tellement obsédées par leur nouvelle théorie du façonnement de la société qu’elles ont juré de ne se reproduire qu’au sein de leurs quatre familles. Ils ont prédit à tort qu’ils ne créeraient que quelques générations de surhommes. La pseudoscience en plein essor n’était donc que la justification illusoire de la pratique de la consanguinité, qui était déjà répandue parmi les élites depuis des milliers d’années. L’expérience des quatre familles a été un désastre. Après seulement deux générations d’inceste, près de 90 % de leurs descendants sont morts à la naissance ou étaient physiquement ou mentalement handicapés. Les classes riches et en particulier les familles royales du monde, qui étaient auparavant obsédées par la reproduction et remplies d’un profond mépris pour les classes inférieures, se précipitèrent vers la nouvelle science et commencèrent à en imposer ses buts à l’échelle mondiale avec beaucoup de véhémence.
-En 1870, la biométrie donnait l’apparence d’une nouvelle science. Cependant, elle a été développée par Francis Galton, le cousin de Darwin, pour observer les traits raciaux et le développement génétique et pour décider qui devrait être autorisé à se reproduire.
-En 1904, l’eugéniste Charles Davenport a lancé l’institut de recherche Cold Spring Harbor aux États-Unis, avec le soutien financier des éminents barons-voleurs Rockefeller, Carnegie et Harryman.
-En 1907, les premières lois sur la stérilisation ont été promulguées aux États-Unis. Des citoyens présentant de légères difformités ou de faibles notes dans leurs bulletins scolaires ont été arrêtés et stérilisés de force.
-En 1910, le bureau d’enregistrement de l’Eugénisme est créé aux Etats-Unis. A cette époque, les Britanniques avaient déjà créé le premier réseau de travailleurs sociaux pour servir d’espions et d’organes exécutifs du culte eugénique des races, qui a rapidement pris le contrôle de la société dans le monde occidental. Les travailleurs sociaux décidaient quels enfants devaient être volés, qui devait être stérilisé et, dans certains cas, qui devait être secrètement et discrètement assassiné.
-En 1911, la famille Rockefeller exporte l’eugénisme en Allemagne en finançant l’Institut Kaiser Wilhelm, qui deviendra plus tard un pilier important du 3ème Reich nazi.
-En 1912 à Londres, lors du Congrès international d’eugénisme, il y a eu un battage médiatique international autour de l’eugénisme et celui-ci en a acquis beaucoup de popularité. H. G. Wells, l’écrivain futuriste, auteur de best-sellers de science-fiction, qui avait étudié la biologie auprès d’eugénistes de haut rang, a diffusé la nouvelle croyance dans le monde entier.
-En 1916 Margaret Sanger, la maîtresse de H. G. Wells, a commencé à recruter des eugénistes aux États-Unis.
-En 1923, Margaret Sanger a reçu un soutien financier considérable de la famille Rockefeller. Margaret Sanger a écrit à son collègue eugéniste Clarence J. Gamble qu’il fallait des dirigeants noirs pour servir d’hommes de paille dans les programmes de stérilisation visant les communautés noires.
-En 1924 Hitler a écrit le livre “Mein Kampf” dans lequel il cite, comme source d’inspiration, des eugénistes américains. Hitler a même écrit une lettre d’admiration à l’eugéniste et écologiste américain Madison Grant. Il a appelé le livre de Grant “The Passing of the Great Race”, sa bible ! Hitler a conçu son plan pour le massacre des Juifs et des “autres”, comme il les appelait, des “sous-hommes”, sur la base du travail de Grant.
-En 1929, l’eugénisme avait atteint l’acceptation des masses. La prétendue science a fait l’objet d’une promotion agressive dans les écoles, les églises et les festivals folkloriques dans les différents lands allemands. Les églises organisaient entre elles des concours, avec des récompenses financières pour ceux qui pouvaient le mieux incorporer l’eugénisme dans leurs sermons. De grandes communautés religieuses ont dit aux Américains que Jésus prônait l’eugénisme. La même année, plus de 25 États américains ont adopté des lois sur la stérilisation forcée. La Cour suprême s’est prononcée en faveur de pratiques brutales de stérilisation forcée.
-En 1933, lorsqu’Hitler a été élu démocratiquement au pouvoir, l’un de ses premiers actes officiels fut d’adopter des lois eugéniques inspirées des lois des États-Unis.
-En 1936, l’Allemagne était en tête dans le domaine de l’eugénisme. Des mesures efficaces ont été prises pour stériliser et tuer des centaines de milliers de victimes. Pour aider Hitler dans cette tache divine, les trois eugénistes américains les plus importants (Davenport, Laughlin et Goth) furent envoyés et payés grassement par les Rockefeller, en Allemagne, où ils conseillèrent les nazis sur la manière de différencier le système d’extermination avec le soutien actif des États-Unis et de l’Angleterre ! Toutes les frontières étaient brisées. De cette “association d’idées divines” des millions de personnes ont perdu la vie.
-En 1945, fin de la guerre, les Alliés ont épargné toutes les conséquences pénales de leurs crimes aux scientifiques nazis qui avaient torturé à mort des milliers de personnes. Le programme nazi d’eugénisme a mis ainsi l’élite américaine et britannique dans l’embarras. Cependant, cette dernière n’avait pas l’intention d’arrêter leurs plans de récupérer à leur seul profit les organisateurs de l’Holocauste ! Les puissances alliées se sont battues pour obtenir les scientifiques nazis eugénistes de haut rang. Peu importait que les médecins SS aient torturé à mort des dizaines de milliers de personnes, ils ont tout simplement été libérés. “L’ange de la mort” Josef Mengele et son supérieur Otmar von Verschuer n’ont pas été poursuivis par la justice. Même après la guerre, von Verschuer a continué son travail en Allemagne. Les eugénistes étaient furieux que leur grand travail ait été dévoilé. Ils se sont donc mis à déguiser leur programme. La revue trimestrielle “The Eugenics Review” a été renommée “Biologie sociale”. La fédération américaine pour le contrôle des naissances a été renommée Planning Familial (Planned Parenthood). De nouveaux termes tels que “transhumanisme”, “contrôle des populations”, “développement durable”, “préservation” et “protection de l’environnement” ont remplacé l’hygiène raciale et le darwinisme social !
-Dans le passé, de nombreux eugénistes étaient, de leur propre initiative, actifs dans le domaine scientifique du crypto-eugénisme. Ils ont délibérément dissimulé leurs vues sur l’eugénisme et sont devenus des anthropologues, des biologistes et des généticiens très respectés dans l’après-guerre.
-Les Alliés ont fait passer clandestinement à l’étranger des milliers de scientifiques nazis d’Allemagne et les ont placés à des postes clés dans le complexe militaro-industriel, comme la recherche sur les armes biologiques et la science des missiles.
-Le fondateur d’IBM avait été un fidèle partisan d’Hitler. Thomas J. Watson avait envoyé aux nazis ses calculatrices à cartes perforées et ses techniciens IBM pour qu’ils les utilisent dans les camps d’extermination. Les tatouages des détenus du camp étaient des numéros d’identification IBM enregistrés dans les ordinateurs. IBM avait déjà utilisé des systèmes de cartes perforées similaires en 1928 dans une étude sur le mélange racial en Jamaïque. Les premiers vrais ordinateurs ont été inventés par un eugéniste pour être utilisés dans le domaine de l’eugénisme.
-Julian Huxley, un haut fonctionnaire des Nations Unies et un eugéniste impénitent, a soutenu que les mouvements environnementaux et de préservation lancés par les principaux eugénistes devaient être utilisés pour véhiculer l’idée de la création d’un gouvernement mondial. Selon la vision de H.G. Wells, ce gouvernement devrait être contrôlé par une dictature scientifique et caractérisé par les principes de l’eugénisme.
-Le prince Bernhard des Pays-Bas, fondateur du groupe “Bilderberg” et ancien officier SS, le prince Philip d’Angleterre et Julian Huxley ont fondés le “World Wildlife Fund” (WWF) !
–“Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation”… a dit le prince Philip en août 1988, ce qui a été enregistré par l’agence de presse allemande DPA.
D’absurdité en absurdité !
La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est unique dans l’histoire de l’humanité. Jamais encore le monde entier n’a été soumis à un régime de contraintes comme celui qui règne aujourd’hui. Et jamais encore n’ont été prises autant de mesures qui paraissent à première vue si incompréhensibles, parfois si absurdes et à de nombreux égards si contradictoires.
Officiellement, nous avons, de mémoire d’homme, affaire à la plus grave crise sanitaire de l’histoire de l’humanité. Pourtant, les mesures qui ont été prises pour y faire face n’ont pas amélioré la situation, mais l’ont au contraire continûment dégradée. Tout médecin peut aujourd’hui confirmer que l’état de santé des gens, de la majorité des gens, est pire qu’il n’était avant la crise. Et même du point de vue de ceux qui ont ordonné ces mesures, la situation est catastrophique. La quatrième vague qui prétendument nous menace, comme l’annonce de la nécessité des troisième puis quatrième puis cinquième injections, montrent bien que toutes les décisions prises jusqu’ici ont échoué à atteindre leur but, celui de contenir la maladie.
Le prétendu “vaccin Covid 19” n’a pas pour but de soigner comme tous les autres vaccins contre le coronavirus avant lui. C’est pourquoi les entreprises pharmaceutiques ont renoncé aux tests sur les animaux et aux études de sécurité à long terme. C’est pourquoi la FDA a accéléré le processus d’approbation du vaccin et a supprimé les autres médicaments susceptibles de sauver des vies, réduisant au silence tous les détracteurs de cette politique et poussant à la vaccination universelle, quels que soient les risques de coagulation sanguine, d’arrêt cardiaque, d’attaque et de décès. Le monde a été de la sorte volontairement placé au bord d’une “catastrophe d’envergure internationale” causant une mortalité massive parce que la stratégie a été planifiée de cette façon dès le début.
Le prétendu vaccin n’est pas censé fonctionner mais aggraver les choses, ce qui est évident. Il accroit la vulnérabilité de millions de personnes face aux maladies graves et à la mort. Il s’agit d’une arme biologique furtive dans le cadre d’une guerre d’un genre entièrement nouveau, conçue pour restructurer l’ordre mondial et établir un contrôle social absolu. Ce sont les véritables objectifs derrière ce projet mondial d’ingénierie sociale qui n’a absolument rien à voir avec une pandémie ou une contagion virale. Il s’agit de pouvoir et de politique. Toutes les preuves sont là (notamment sur “deagel” comme certains l’ont relevé). Moins de lits d’hôpitaux, d’écoles, de malades et de personnes âgées…
Deagel, qui est une organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prévoit que grâce au prétendu vaccin-Covid, une dépopulation mondiale massive de 50 à 80% sera effective d’ici 2025, un sort cataclysmique ! Ce qui a été injecté par le sang dans le corps ne peut ressortir. C’est une intrusion “à vie jusqu’à la mort”… Par exemple, selon Deagel, la population de la France passera de 67 millions d’habitants à 39 millions en 2025, celle de l’Angleterre passera de 66 millions à 15 millions, celle de l’Australie de 23 millions à 15 millions, celle de l’Allemagne de 81 millions à 28 millions, tandis que la population du Canada passera de 36 millions d’habitants en 2017 à 26 millions en 2025.
L’élément clé pour mieux comprendre le processus est la migration. Dans le passé, en particulier au 20e siècle, le facteur clé qui a permis aux États européens ainsi qu’aux USA d’atteindre leur statut de colosse était l’immigration avec les avantages d’une expansion démographique favorisant l’expansion du crédit et la fuite des cerveaux du reste du monde au profit de ces mêmes États. L’effondrement du système financier anéantira le niveau de vie des populations tout en mettant fin aux régimes de ponzi tels que la bourse et les fonds de pension. La population sera si durement touchée par un éventail complet de bulles et de plans de ponzi que le moteur de migration commencera à fonctionner en accélération inverse en raison d’effets d’entraînement, conduisant ainsi à la disparition des États. Cette situation invisible pour les États se développera en cascade avec des effets sans précédent et dévastateurs pour l’économie.
Au cours des deux mille dernières années, nous avons vu la civilisation occidentale construite autour de la mer Méditerranée se déplacer vers l’Europe du Nord, puis au milieu du XXe siècle, se déplacer vers un axe atlantique pour finalement se concentrer sur les États-Unis au cours des 30 dernières années. La prochaine étape verra la civilisation centrée sur l’Asie avec la Russie et la Chine au sommet. Historiquement, un changement dans le paradigme économique a entraîné un nombre de morts qui est rarement souligné par les historiens traditionnels. Lorsque la transition des zones rurales vers les grandes villes s’est produite en Europe, de nombreuses personnes incapables d’accepter le nouveau paradigme se sont suicidées. Elles se sont suicidées par un facteur psychologique.
Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Nous avons affaire désormais, dans la foulée des confinements, à une crise économique globale. Dans les moindres coins et recoins du monde, la production est comme suspendue, la logistique est à terre, les chaînes d’approvisionnement sont brisées, nous faisons face à de mauvaises récoltes, des pénuries alimentaires, et de surcroît, à un manque cruel de semi-conducteurs, si essentiels à des pans entiers de l’économie. Mais dans ce domaine également, ce que nous voyons, c’est que l’on ne s’attaque pas aux problèmes pour les résoudre, mais qu’au contraire, par la prise de nouvelles mesures et la menace permanente de nouvelles restrictions, on les multiplie et les amplifie.
Dernier exemple en date : en Chine, un terminal du troisième plus grand port de fret du monde a été fermé à cause d’un unique cas positif parmi les employés du port. Ou bien encore la Nouvelle-Zélande, on a confiné le plus sérieusement du monde 5 millions de gens parce qu’une seule personne de 58 ans a eu un résultat de test positif.
Une autre crise concerne les classes moyennes qui sont de loin les premiers employeurs à la surface du globe et supportent en outre le gros de la pression fiscale. Par une insécurité sans cesse attisée et de nouvelles réglementations qui surgissent en permanence, les classes moyennes se retrouvent acculées, plus fortement de semaine en semaine, et n’ont encore jamais été confrontées à une telle crise.
Mais même cela, ce n’est pas tout. Nous vivons actuellement une violente hausse de l’inflation pour le monde entier, en particulier pour ce qui concerne les matières premières, les prix à la production et les aliments. Et là encore, bizarrement, on ne fait rien pour contrecarrer cela, bien au contraire. On maintient la surabondance d’argent et même on la renforce. Les États et les banques centrales ont injecté 20 billions de dollars dans les circuits financiers mondiaux depuis le début la crise, sans qu’on puisse voir la fin de ces agissements. Et le Fonds monétaire international, la plus puissante organisation financière au monde, a libéré 650 milliards, la plus grosse somme jamais sortie de sa propre monnaie, des droits de tirage spéciaux (DTS).
Et la situation sociale n’est pas meilleure. Un seul exemple: aux États-Unis, la première puissance économique mondiale, près de 4 millions de personnes sont menacées d’expulsion parce qu’elles sont incapables de payer leurs loyers ou de payer les traites de leurs emprunts. Aux États-Unis encore, plus de dix fois autant de personnes (il s’agit du pays le plus riche du monde) ne sont pas en mesure de se nourrir avec leur seul revenu. Et ce que la destruction délibérée de l’économie et l’aggravation de l’inflation n’ont pas réussi à provoquer, les politiciens y sont parvenus : quel que soit le pays, une division au sein des populations comme nous n’en avons jamais connue.
Il faut encore y ajouter désormais, dans une certaine mesure comme un couronnement de tout cela, le changement de pouvoir, prémédité, provoqué par les États-Unis en Afghanistan. Là-bas, on a abandonné délibérément, pour 20 milliards de dollars US de matériel militaire, une armée de l’air complète et onze bases aériennes, ce qui va déclencher de manière absolument certaine la prochaine vague géante de réfugiés vers l’Europe (Les USA se servent machiavéliquement de leur retrait d’Afghanistan pour créer une vague de réfugiés vers l’Europe et la précipiter dans des problèmes gigantesques amenant la ruine économique) !
Pourquoi ? Pourquoi, à travers le monde entier de telles mesures sont prises, qui provoquent un désastre après l’autre, et poussent vers l’abîme la majorité des gens, au lieu de les tirer de leur misère ?
Pour répondre à cette question, il convient d’en poser deux autres : 1° Qui a un intérêt à cet agenda global, et 2° Qui en tire profit ?
La réponse à ces deux questions est indiscutable : le plus grand profiteur de la crise actuelle et le plus important des instigateurs dans la coulisse est le “complexe financier numérique”, c’est-à-dire une sorte de communauté d’intérêts à la pointe de laquelle on trouve les plus grosses entreprises informatiques et les plus gros gestionnaires de fortune de notre temps. Sont comptées au nombre des plus grosses entreprises du numérique : Apple, Alphabet (la société mère de Google), Amazon, Microsoft et Facebook. La valeur boursière de ces seules cinq compagnies représente la somme hallucinante de 9,1 billions de dollars US. À titre de comparaison, le produit intérieur brut de l’Allemagne, de la France et de l’Italie réunies pèse 8,6 billions de dollars US !
À ces entreprises du numérique, il faut ajouter les grands gestionnaires de fonds : BlackRock, Vanguard, Statestreet et Fidelity. Tous ont des participations massives dans chacune des entreprises du numérique. Mais ce n’est pas tout : à eux seuls, ces quatre-là gèrent actuellement un portefeuille d’un montant de 22,6 billions de dollars US. À titre de comparaison, une fois encore: le produit intérieur brut des 28 pays de l’Union Européenne représentait l’année dernière une valeur de 15,7 billions de dollars US.
Mais ce n’est pas seulement la monstrueuse puissance financière de ces entreprises qui rend le complexe financier numérique si puissant. Commençons d’abord par les entreprises du numérique : elles n’ont pas seulement par elles-mêmes une écrasante force sur le marché, elles contrôlent également des centaines de milliers d’autres entreprises, parce qu’elles organisent leur numérisation et jouissent ainsi d’une surveillance permanente de leurs flux de données. L’industrie du numérique n’est rien d’autre qu’une tumeur qui, au cours des années, a répandu ses métastases dans toutes les branches de l’économie, les a placées dans sa dépendance, et désormais les domine complètement.
Il en est de même des gestionnaires de fonds. Ils ont des participations dans toutes les grandes entreprises du monde, et sont en situation de pouvoir pousser n’importe quel marché de leur choix dans n’importe quelle direction. Le plus grand d’entre eux, BlackRock, dispose avec son système d’analyse de données sur plus de 40 ans, du plus gros fonds d’informations financières que le monde ait jamais vu. Et BlackRock, sur la base de ce fonds, conseille les plus grandes banques centrales du monde, c’est-à-dire la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne. Compte tenu de l’avantage considérable dont jouit BlackRock avec son fonds, il est facile de voir qui dépend de qui.
Nous avons donc affaire à l’association, unique dans l’histoire, d’une puissance financière écrasante et de la jouissance d’une base d’informations géante aux dimensions inimaginables. Depuis le début de la crise, cette combinaison a donné à ces entreprises un essor comme elles n’en avaient jamais connu auparavant. Et ce n’est pas tout : cet essor s’accélère sans cesse. Pour le seul dernier trimestre, c’est-à-dire aux mois d’avril, de mai et de juin 2021, elles ont enregistré les plus gros gains de leur histoire.
Un immense geste de désespoir…
Si l’on considère ces faits, on n’a pas besoin d’une imagination débordante pour arriver à la conclusion que l’on a affaire, avec le complexe financier numérique, au centre global de pouvoir autour duquel tout gravite. Le complexe financier numérique se tient largement au-dessus de tous les gouvernements de la planète, il est en situation, à tout instant, de les mettre à genoux et de les soumettre à sa volonté. On s’étonnera d’autant plus des méthodes avec lesquelles le complexe œuvre depuis le début de la crise actuelle : il semblerait presque qu’il sape justement le système dont il profite lui-même. Quelques exemples de cela : Si le complexe financier numérique détruit les classes moyennes, il détruit, de fait, les fondements mêmes de son existence, puisque ce sont les classes moyennes qui paient le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois ; S’il attise l’inflation, c’est bien à lui-même qu’il inflige des dommages ; S’il détruit la paix sociale en faisant exploser les déséquilibres sociaux, cela détruit aussi le terrain sur lequel il fait ses affaires.
Tout cela, ce sont des objections justifiées, mais elles font fi de la réalité. Et voici ce qu’elle est !
La réalité est que le “complexe financier numérique” n’a pas d’autre choix que celui de faire précisément ce qu’il est en train de faire. Ce que nous vivons actuellement, ce n’est pas, par exemple, la mise en œuvre d’un quelconque agenda conçu à une table de travail, par lequel il voudrait s’approprier encore plus d’argent et encore plus de pouvoir, afin de jouir ensuite en paix du fruit de ses efforts. Non ! Ce que nous vivons actuellement, c’est un gigantesque geste de désespoir, sans doute le plus grand qu’il ait jamais été donné de vivre dans l’histoire de l’humanité.
Cet acte désespéré trouve son origine dans le fait que le système auquel le “complexe financier numérique” doit son existence ne peut plus être maintenu en vie avec les moyens employés jusqu’ici. Il a déjà frôlé la fin lors de la crise financière mondiale de 2007–2008. Si les gouvernements, alors, n’avaient pas mobilisé en masse l’argent des impôts, et donné aux banques centrales l’instruction de tirer du néant (c’est à dire de rien) des quantités faramineuses de monnaie, le système se serait alors déjà effondré. De fait, le sauvetage n’était que provisoire. Au cours de ces plus de douze années, il a fallu continuellement accroître la masse monétaire, tandis que les taux d’intérêt étaient réduits pas à pas, rendant ainsi le système toujours plus instable. Cela ne pouvait pas bien se terminer. L’année dernière, on y était: en mars 2020, un nouvel effondrement menaçait déjà. Et cet effondrement a été repoussé une toute dernière fois, par un dernier tour de force, en amenant les taux à zéro et en injectant de la monnaie par billions et non plus par milliards.
La solution du dernier recours…
Cela a fait émerger, qualitativement, une nouvelle situation. Différer l’issue finale nécessiterait désormais de pousser les taux dans le domaine négatif, détruisant ainsi les fondements du système bancaire actuel. Les banques ne peuvent pas durablement vivre avec des taux négatifs. En d’autres termes, il n’y aura pas de nouvelle tentative pour repousser cette issue avec les moyens jusqu’ici utilisés. On peut tout au plus, dans la situation actuelle, injecter une toute dernière fois des billions et des billions, avec pour conséquence, cependant, que l’on attisera une inflation déjà galopante et qu’on la fera basculer dans le domaine de l’hyperinflation. La situation dans laquelle se trouve donc le complexe financier numérique est celle d’une alternative entre, d’un côté, l’effondrement numérique du système, et de l’autre l’hyperinflation, c’est-à-dire la dévalorisation totale de la monnaie. Ainsi, historiquement, nous sommes arrivés à un point où le complexe financier numérique n’a plus que le choix entre deux modes d’effondrement.
Que doit-il donc faire ? De toute évidence, dans cette situation, on s’est décidé, pour un nouveau système et en vue de son installation, à mettre en œuvre une double stratégie. D’un côté, on prépare en arrière-plan, à l’abri des regards du public, un nouveau système. De l’autre côté, on exploite en parallèle la phase terminale de l’ancien système désormais voué à la mort pour le piller, selon les meilleures règles de l’art. C’est exactement ce que nous vivons depuis mars de l’année dernière : la destruction délibérée et consciente de l’économie mondiale par le “complexe financier numérique” dans l’unique but de s’enrichir, avec en parallèle la préparation d’un nouveau système par les banques centrales en coopération avec les groupes informatiques…
Et nous savons déjà à quoi ce système va ressembler, il s’agit de faire disparaître l’argent liquide et les banques dans leur formes actuelles et introduire une monnaie numérique de banque centrale. Le but final comme il apparait, est que nous aurons tout simplement un compte et un identifiant unique à travers lequel toutes les transactions passeront. Et ce compte ne sera pas dans une agence bancaire au coin de la rue, mais à la banque centrale.
Le contexte de ce plan est le suivant: la monnaie numérique de banque centrale est programmable et puisque les banques centrales peuvent créer une quantité illimité de monnaie à partir de rien, alors ils peuvent opérer de cette façon avec des taux d’intérêts négatifs sans avoir à détruire le système. Mais ceci n’est néanmoins pas la seule caractéristique de la monnaie numérique de la banque centrale. Cela permettra au gouvernement de contrôler toutes les transactions effectuées et de nous assigner diverses taxes et aussi de nous imposer des amendes individuelles. Les gouvernements pourront aussi instaurer une date limite d’expiration sur une partie de notre argent ce qui impliquera que nous dépensions un certain montant avant une certaine date. Mais cela peut aussi exiger que notre argent soit utilisé pour des raisons spécifiques, et exiger que des montants spécifiques soient payés pour certains produits ou qu’ils proviennent seulement de certaines régions. Mais par dessus tout, un gouvernement sera dans la position d’annuler notre capacité à faire des transaction avec un simple clic de souris et ainsi, nous éteindre et nous supprimer financièrement. La monnaie numérique de la banque centrale deviendrait la méthode de collecte des taxes dans une société, la plus efficace qui n’ait jamais été mise en place dans toute l’histoire de l’humanité. Et avec cela ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature absolue instaurée par l’argent. Tout ceci est un énorme piège. À savoir, la résistance attendue de la population.
On peut être certain qu’une grande proportion des gens n’acceptera pas cette forme de privation de droits. Ainsi l’introduction d’une monnaie numérique de banque centrale devrait produire d’énormes troubles sociaux. Et c’est exactement à ce problème que le Complexe Digital Financier a bien évidemment pensé, afin d’assurer l’introduction de cette monnaie numérique. Alors ils n’essaieront pas de faire cette transition numérique graduellement mais, sans risquer ainsi une énorme résistance, ils le feront exactement de manière inverse. Ils vont conduire la société au chaos afin de présenter l’introduction de la monnaie de la banque centrale numérique comme la solution à tous les problèmes. À savoir, sous la forme d’un revenu de base universel (RBU).
Pour tous ceux qui pensent qu’il s’agit d’une théorie du complot sortie de nulle part, je vous recommande encore une fois de bien regarder de près ce que nous avons vécu au cours des 18 derniers mois. Sous prétexte de combattre une maladie, des dommages dévastateurs et irréparables ont été faits à l’égard de la santé, de l’économie, et des finances, dont les effets commencent à peine à se faire sentir sous forme de prémices. Mais en même temps, jour après jour, des actions sont en cours pour augmenter ces dommages, et, en parallèle, la fracture sociale de la société est systématiquement aggravée par le fait de creuser constamment de nouveaux fossés entre les gens. Tout cela nous conduit volontairement dans une seule direction: vers des troubles sociaux allant jusqu’à la guerre civile, et cela, à travers le monde entier. C’est exactement cela, selon toutes les informations disponibles, qui est voulu.
Nous croyons aujourd’hui que par tous les moyens concevables, on essaie de créer le maximum de chaos social et puis, au point culminant de ce chaos, ils apporteront une panacée du nom de “Revenu de Base Universel” (RBU). Et de cette façon passer efficacement du chaos maximum au contrôle maximum. D’ailleurs il y a une seconde raison pour laquelle du point de vue de ces puissants courtiers le RBU doit venir. Nous sommes assis en plein milieu de la 4e révolution industrielle. Et attendez-vous, dans la période qui arrive, à la perte de millions et de millions d’emplois en raison de l’introduction de l’intelligence artificielle. Cela signifie que des millions de consommateurs disparaitront. La demande de biens de consommation va s’effondrer de plus en plus. Et parce que le système économique actuel est axé sur le consommateur il faut, pour le maintenir en vie, briser cette spirale descendante. Et cela ne peut arriver que si tous les consommateurs sont au chômage et ne retrouvent pas de travail, reçoivent un revenu.
Ce qui s’est passé au cours des 18 derniers mois, et ce qui se passe encore, est évidemment en train de suivre un plan préparé. Et le nom de ce plan est : “démontage du système économique actuel au profit des élites” avec la création d’un chaos économique et social maximum ainsi que la mise en place d’un nouveau système, sous prétexte de vouloir apporter une aide humanitaire. Ce plan est cependant disponible à la lecture et c’est dans les 2 livres sur la 4e révolution industrielle et “The great reset” (La grande réinitialisation de Klaus Schwab), dont le World Economic Forum (WEF) joue un rôle clef dans tout ce programme. Le WEF (créé en janvier 1971) a réussi ces 50 dernières années à devenir le centre de contrôle le plus important du “Complexe Digital Financier”. Tout d’abord, tous les patrons de multinationales ont été réunis, puis plus tard des politiciens et encore plus tard les patrons de médias dans des rôles de “porteurs des messages gouvernementaux” et des personnalités éminentes toutes en réseau les unes avec les autres. De plus, dans les années ’90, les gens ont été soumis à un programme de formatage ciblé.
On sait aujourd’hui que depuis 1992 les “Global leaders of Tomorrow” et depuis 2005 les “jeunes leaders mondiaux” ont reçu un apprentissage d’intégration systématique au WEF, et c’est exactement ces mêmes personnes qui occupent des postes de pouvoir et d’influence politique. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma du domaine informatique. Que ce soit le PDG Larry Fink de Black Rock, la cheffe du FMI Kristalina Georgieva ou l’ancien directeur de la banque d’Angleterre Mark Carney, de l’ensemble du secteur financier et d’Emmanuel Macron, de Sebastien Kurz et d’Angela Merkel pour la politique. Toutes ces personnes ont été formées par le WEF, ou siègent à son conseil de direction. Et il n’y a pas que les 1.300 membres qui tirent les ficelles dans le monde entier. Depuis 2012, il y en a aussi eu 10.000 autres de moins de 30 ans. Les soi-disant “Global Shapers” qui ont rejoint le club, et qui ont également été réunis par le WEF et y exercent une influence sur le cours des événements mondiaux. Et nous savons à quoi devraient ressembler ces événements. Pour voir cela, je vous recommande de regarder dans le CV du fondateur du WEF : Klaus Schwab.
Pour ceux qui ne peuvent toujours pas croire que tout ce que nous avons vécu suit un plan, ils devraient vérifier la date de publication du travail de Schwab “The Great Reset”. Ce livre est paru le 20 juin 2020 donc même pas 4 mois après le confinement mondial et il donnait déjà des instructions exactes sur comment utiliser le COVID-19 afin, pour le dire avec les mots de Schwab : “De détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde à l’image de l’homme” ! Un monde qu’il (Schwab) a dressé et qui rappelle les temps les plus sombres du national socialisme nazi. Je sais que tout cela semble effrayant, comme une apocalypse soigneusement préparée. En effet, l’agenda qui est suivi n’est évidemment pas seulement prévu mais aussi, mais peut difficilement être dépassé en terme de méchanceté et de tromperie. Qui n’avait jamais soupçonné que l’équipe mondialiste, une fois sous couvert de protéger l’humanité des effets d’une maladie, puisse conduire l’économie mondiale à un effondrement total ? Et supprimer : la liberté de se déplacer, les droits d’association et la liberté d’expression, la liberté d’exprimer ses opinions ! Condamner plus de 100 millions de personnes “pour leur propre protection” ! Qui aurait pensé qu’un eugéniste sans vergogne, nommé Klaus Schwab, serait mis en situation de non seulement répandre dans le monde entier sa vision macabre d’une fusion de l’être humain avec l’intelligence artificielle mais aussi d’arriver à faire avancer cette vision avec l’aide de 10.000 suiveurs. Il s’agit là d’évolutions profondément inquiétantes que nous vivons et subissons actuellement et dont les détails doivent glacer le sang dans les veines de toute personne normale pensante et sensible.
Mais maintenant j’arrive au plus important. Le tout a aussi une autre facette. Un tout autre côté et surtout un côté qui nous donne un énorme coup de boost et une grande puissance pour nos travaux futurs. Ce plan des élites basé sur les visions de Klaus Schwab, est, il faut le savoir, condamné à l’échec. Et ce pour plusieurs raisons. La plus importante est que le récit d’un virus mortel qui est une menace existentielle pour l’humanité ne tient pas debout. On voit déjà comment ce tas de mensonges est en train de s’effondrer sur lui-même de toutes parts. On voit comment, dans les efforts pour les légitimer, ils ont recours à des arguments toujours plus absurdes et à une diffamation enragée. Il est important de reconnaitre ici que la véhémence, dont font preuve les merdias ces jours-ci, témoigne non de leur force mais de leur faiblesse. Ceux qui, avec toujours plus d’emphase, répandent des mensonges toujours plus grotesques comme la pandémie des non vaccinés, ou déclarent les gens en bonne santé comme ennemi public numéro 1, et quiconque sur la base d’une seule maladie ou “cas” positif, verrouille des pays entiers. Ils le font uniquement parce qu’ils n’ont plus d’argument et en désespoir de cause se déchainent aveuglément.
Abraham Lincoln a dit un jour: “Vous pouvez tromper certaines personnes tout le temps, et tout le monde de temps en temps, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps”… C’est exactement cela…
La vérité apparaîtra à notre époque. Et cela a naturellement une énorme signification pour nous, car ironiquement, ça ouvre ce que Klaus Schwab a appelé : “Une fenêtre d’opportunité unique”. Cependant, elle est exactement dans la dynamique inverse (à ce qu’ils espéraient). À savoir, que via le récit qui s’effondre, la crédibilité de ceux qui nous ont conduit dans cette situation est enterrée plus profondément, jour après jour. Et à cause de ça, une fenêtre d’opportunité unique s’est ouverte pour nous tous, pour un vaste et complet réveil global. Les conditions objectives pour éclairer les autres sur le véritable contexte de la prétendue “pandémie”, sur le véritable rapport de force dans le monde et les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés, n’ont jamais été aussi bonnes que maintenant et elles s’améliorent de jour en jour, parce que de l’autre côté ils s’emmêlent de plus en plus dans leurs mensonges incroyables. Et même si le “Complexe Digital Financier” (CDF) devait réussir, l’introduction de leur nouvelle forme de monnaie, ce ne serait pas non plus la fin du monde. Les monnaies numériques de banque centrale ne peuvent uniquement fonctionner qu’en étant la base d’un système coercitif global et n’apporteront uniquement que de nouveaux contrôle des prix, augmentant continuellement le RBU et créant une inflation permanente avec une pression emphatique. Ce qui a son tour conduira à un appauvrissement continu de la population et des conflits constants avec l’état et les autorités.
Ce que nous devons comprendre est la chose suivante : Sans aucun doute nous sommes devant des temps turbulents et dangereux mais, nous avons un atout historique entre nos mains, il consiste dans le fait que nos opposants n’agissent pas selon les règles de la raison, mais s’agitent pour des motifs d’avidité et de pouvoir et donc ne peuvent rien faire d’autre que de se mettre dans des difficultés toujours plus grandes. Nous devrions utiliser exactement cela (cette faiblesse), et garder toujours à l’esprit que de l’autre côté ils veulent toujours plus d’argent et de propriété en plus de disposer de toutes les armes du monde. Mais leur pouvoir n’est pas basé sur leur argent, leurs biens, ou leurs armes, mais repose uniquement sur un facteur : l’ignorance de la majorité des gens. C’est à dire que la majorité ne comprend pas le jeu maléfique, et que cette minorité joue avec eux. Aussi terrible que soit tout ce que le “Complexe Digital Financier” et ses alliés nous ont fait subir au cours des 18 derniers mois et qu’ils continuent à nous faire subir, ils se sont mis dans une situation dont ils ne peuvent pas sortir et où, par désespoir, ils doivent franchir de plus en plus de “lignes rouges”. Cela signifie pour nous tous que, dans cette situation exceptionnelle, nous devrions tout simplement préserver la paix, exposer systématiquement tous les mensonges et montrer aux gens, petit à petit, pourquoi et par qui, ils sont trompés. Quand on fait ça, et ce faisant, réfléchissons à la force de nos arguments. Alors, nous pourrons non seulement résoudre le problème actuel mais éventuellement réaliser quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir utiliser l’une des crises les plus profondes de l’humanité pour changer la direction de l’histoire humaine et ainsi, ouvrir la porte à une nouvelle (et meilleure) ère !
Pour aller plus loin, dernier point sur la monnaie unique de la banque centrale et la problématique de l’identité numérique. Certains n’hésitent pas à pointer la convergence dangereuse entre les deux, le pass-sanitaire n’étant que le prélude à l’intégration des données biométriques, non pas dans un QR code, mais directement dans le corps humain ! Ces applications se trouvent dans le brevet WO2020060606 ! Ça ressemble très fortement à un synopsis de film de science-fiction, et pourtant c’est réel. Microsoft a déposé ce brevet pour un système qui lui permet de miner des cryptomonnaies en utilisant le cerveau humain. Le “Cryptocurrency system using data on body activity” (système de cryptomonnaie utilisant les données de l’activité corporelle) exploite le subconscient pour miner des cryptomonnaies, ce type de minage repose habituellement sur la puissance de calcul des ordinateurs tout en consommant beaucoup d’énergie. Microsoft utilise donc une alternative au minage de cryptomonnaies sans utiliser d’ordinateur, mais le cerveau d’un être humain. Un capteur placé sur le corps de l’individu (par injection sanguine) récupère les données de l’activité corporelle : les activités cérébrales, le flux sanguin et les mouvements. Ces données sont ensuite transmises à un serveur afin de miner les cryptomonnaies.
En fait, le but ici est de remplacer la puissance de calcul d’un ordinateur par l’activité corporelle humaine. C’est-à-dire que les utilisateurs (s’ils peuvent être appelés de cette manière) effectueront diverses tâches telles que visionner une publicité ou utiliser certains services sur Internet, chaque onde cérébrale et même la chaleur corporelle émises pendant ces tâches étant ensuite utilisées dans le processus de minage. La cryptomonnaie est ainsi créée grâce à un algorithme de consensus, un processus utilisé afin d’assurer la fiabilité des données ! De plus, selon le brevet, le capteur pourrait aussi être capable de détecter les différentes ondes cérébrales (Alpha, Beta et Gamma). Les ondes Alpha (8-13 Hz) correspondent à la relaxation légère et du calme et sont donc liées au subconscient. Les ondes Beta (14 Hz et plus) correspondent aux activités courantes plus ou moins intenses de la journée tandis que les ondes Gamma (au-dessus de 30 ou 35 Hz) sont plus rapides et correspondent à l’apprentissage, la résolution de problèmes, la mémoire, la pensée logique, etc. Microsoft indique d’ailleurs que le travail sera effectué par les utilisateurs tandis qu’ils vaquent à d’autres occupations. Le processus est donc réalisé inconsciemment et les ondes Alpha seront par conséquent les plus utilisées.
4 commentaires
Je ne peux bien évidemment que m’incliner devant la quantité et la qualité du travail fourni, sans quoi je ne vous lirais même pas ! N’étant pas tout à fait d’accord sur tout ce qui est écrit j’ai préféré m’abstenir d’une réponse qui aurait pu être interprétée comme une remise en question de votre travail !
Je vous aurais bien imaginé en fuite du bal de l’argent et des menteurs, désabusé, observant les manèges des un et des autres, tel Céline à Sigmaringen !
J’écris de plus en plus à moi-même, poste restante… Pas besoin de timbrer, je le suis !
Tout cela est bien matériel et peu poétique mon cher Gatsby !
Que conseilleriez-vous pour affronter avec élégance la fin programmée du monde actuel ?
Dépenser tout cet argent qui ne vaudra plus rien avant de se suicider ? Jouir tant qu’on peut ? Se réfugier dans un monde intérieur où la culture et la raffinement pont encore leur mot à dire ? Construire un arche de Noé avant le déluge en emportant plusieurs exemplaires de belles créatures pour passer le temps en mer ?
Reconnaissez que j’ai passé beaucoup de mon précieux temps pour analyser l’affaire du Covid et des prétendus vaccins. Quoique je sais que 99% des gens s’en tamponnent, je l’ai fait avec beaucoup de plaisir. Nous revivons les débuts d’une Nième dictature qui cette fois est presque planétaire. Je ne conseille rien. Mes ch€r€$ bagnoles sont dans mon loft-entrepôt et ne m’intéressent plus du tout depuis au moins deux ans. Je ne “fais” plus les “concentres concentrationnaires nazifiantes”, les “shows de prétentieux et de plantes venimeuses”, les “réunions de culs-bénis”, les “cortèges folkloriques d’épaves”, les “ventes aux enchères d’escroqueries”, et les “bordels de luxe”… Je ne regarde plus BFMTV, TF1, A2 et autres sauf si j’ai des difficultés à chier, je ne répond à aucune invitation, je ne vais plus dans les restos, je ne reçois personne, bref j’ai réussi à vivre mieux en détestant presque tout le monde et je ne m’en porte que mieux ! Si vous ne savez que faire de vos euros, faites-moi-en don, je saurais quoi en faire ! Merci…
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