La tempête agite autant les âmes que la forêt…
Sorcières et sortilèges !
Le web est devenu triste…, à votre reflet, sorcières et vos sortilèges.
Oui, je vous trouve tristes aujourd’hui, tristes dans vos écrits, tristes dans vos comportements.
Incapables de soutenir un échange d’idées (puisque ici le dialogue est impossible) vous glissez sournoisement vers des injures misérabilistes dont l’humour de corps de garde du siècle passé fait peine à lire.
Je ne sais qui vous êtes, ni ce que vous faites, ni ce que vous avez créé et bâti, mais la déduction de vos divers écrits et comportements laisse supposer que vous n’avez aucune grandeur, que vous êtes passives, occupées à survivre dans un monde que vous ne maîtrisez pas, et dans lequel vous n’existez que pour survivre sans capacités à le remodeler réellement.
Qu’avez vous fabriqué, créé, inventé ?
Rien que des maux pour d’autres via des mots mal pensés qui reflètent votre incommensurable vide.
L’une court l’emploi, court les aides financières qui lui permettront peut être de vivre fonctionnaire en charge d’ennuyer l’autre moitié du monde, l’autre court après un soupçon d’amour, consciente que le temps qui passe lui meurtrit l’apparence encore pis que son esprit, la troisième vit sous plusieurs masques qui lui donnent l’illusion d’avant que ce soit pire…
Les suivantes sont pareilles, à des degrés divers, froissées par les écrits des autres et par le temps, échouées sur les quais de la vie qui ne fait que passer ce qui leur donne cette tristesse de l’écrit, de l’esprit et de leur corps…
Vous écrivez pathétique, oubliant que la tempête de la vie agite autant les âmes que la forêt…
Que savez vous de la vraie vie, vous qui critiquez le fait de parler des constructions d’autres vies qui sont pierres de l’édifice qui nous abrite toutes et tous ?
Que connaissez-vous des autres, de leur vie, de leur sud ou de leur nord avec ses moulins, ses béguines et ses fous, là ou le trivial danse avec le mystère et la poésie sous jacente de notre univers… ?
Votre fable morbide de fantasmes, de marécages, n’est destinée qu’à des marionnettes que vous espérez encore manipuler.
Vous êtes devenues des sorcières qui ressassent inlassablement des vulgarités incantatoires, insensibles aux rythmes de la vie et à notre langue commune et inconsciente, votre masque de fausse jeunesse cachant votre détresse, votre lâcheté et vos frayeurs…
Vous arrivez en finale à faire pleurer les pavés de l’enfer…
Je fus heureux de vous côtoyer de même que je le suis de vous voir partir.
Je ne vous souhaite rien, que de vivre longtemps pour que vous sentiez la vie partir peu à peu et vous rider de ses empreintes, lentement jusqu’au plus profond de votre corps et de votre esprit, comme pour toutes et tous, inexorablement…
Votre différence sera l’indifférence que vous subirez en paiement de vos intolérances et mesquineries, et surtout le vide de votre avant, ce manque d’empreinte et d’histoire, ce manque de création et d’audace. jusqu’à vos seins rabougris de vieilles chipies que nulle main ne pleurera.
Vous êtes tristes, je préfère la couleur d’autres vies, la mienne est d’un autre calibre qui jamais n’a dépendu de la déchéance que vous subissez de votre médiocrité de vie.
Je vous présente mes civilités…