Faut-il voir notre monde de façon lucide où s’y laisser aller ?
La liberté de la presse est l’un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression.
Ainsi, l’article 11 de la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen de 1789 dispose : “La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi”.
L’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme aussi dispose la protection de la liberté de la presse.
La liberté de la presse est considérée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) comme une composante de la liberté d’expression (article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme).
La protection des sources d’information des journalistes, sans exceptions ni restrictions, est considérée comme “l’une des pierres angulaires de la liberté de la presse”…, souvent confondue avec le secret professionnel, elle s’en distingue pourtant fondamentalement et n’est pas assurée de manière uniforme dans tous les pays industrialisés.
Les atteintes à la liberté de la presse se manifestent :
– d’une part, par l’entrave au pluralisme et à l’indépendance des rédactions, notamment par :
+ la concentration des médias par de grands groupes industriels, les pressions fiscales, les pressions financières, les pressions politiques…
– d’autre part, par l’entrave au métier de journaliste, notamment par :
+ les agressions morales, dont la corruption, les ententes, les pressions liées à l’emploi et les “accommodements”, les agressions physiques, assassinats, emprisonnements, enlèvements, agressions, menaces…
Une sorte d’omerta entoure la question cruciale des budgets publicitaires, “les pages de pubs” sont devenues quasi indispensables pour que les médias puissent fonctionner car le lectorat, de plus en plus se contente des informations et désinformations des médias gratuits (à 95% internet), les annonceurs obligent dès-lors que les contenus rédactionnels soient neutres où favorables, faute de quoi “la précieuse manne publicitaire” n’alimente que les médias amis ou “collaborant” qui deviennent “lisses”, s’abstiennent de toutes critiques et, pire, présentent les “communiqués de presse” des annonceurs comme étant de vrais articles de fond…, une façon de faire qu’on traduit par “Marche (dans le sens du vent) où crève”…, ce qui a été officialisé par un des discours de Georges Bush en suite des attentats controversés du 11 septembre : “Vous êtes avec nous, où contre nous”…, manière simple et radicale d’obliger à accepter les pires mensonges et manipulations.
En réunion de rédaction de notre magazine Chromes&Flammes, il a été récemment pointé du doigt le fait que les agences de publicité et annonceurs, refusent de publier leurs “réclames” dans notre magazine, contre rémunération selon tarification afin de profiter du lectorat de notre média libre et courageux qui informe le monde des pires turpitudes, telles les escroqueries, manipulations des ventes aux enchères, fabrication de fausses anciennes sur lesquelles est illégalement attribué le numéro de châssis et l’identité d’une toute autre automobile et/où moto…
Une attitude plus virulente encore est de mise (la haine s’installe alors aussi durablement que les coups fourrés, les coups de Jarnac et les coups de pieds sous la ceinture) lorsqu’il s’agit de marchands d’art automobile, de société de ventes aux enchères et de prétendus “collectionneurs d’œuvres-d’art-automobile” qui possèdent, gèrent et manipulent leurs ensembles tout en disposant de journaux et magazines ainsi que l’écoute bienveillante de politiciens très influents…
Pour nous emberlificoter, et nous faire croire que leurs précieuses publicités pourraient éventuellement venir, sous toutes réserves, sans reconnaissance préjudiciable…, divers prétextes nous sont débités en grosses tranches de gras, par exemple que le logo Chromes&Flammes date d’il y a longtemps (moins que le logo Coca-Cola et bien d’autres) et qu’il faudrait le “moderniser”, le “re-conceptualiser”, le “lisser”, le “transformer”, tout en expurgeant l’ensemble des textes, articles et chroniques, de toutes critiques et même d’humour et de satire, bref, publier un magazine dédié aux “communiqués de presse” déguisés, après avoir enlevé les Hot-Rods et Kustoms-Cars ainsi que les automobiles hors normes…
Dans le style, on ne peut que rappeler l’affaire mettant en scène l’inénarrable Serge Bellu, payé par un constructeur (Renault) pour réaliser un texte dithyrambique (signé Bellu) destiné à la farde de presse du prototype “Initiale”…, que le dit sieur a ensuite intégralement publié dans “son” magazine automobile “Auto-Classique” comme s’il s’agissait d’un véritable article “indépendant”…, alors que c’était la stricte reproduction de son texte signé Bellu…
La liste des articles et chroniques “putes” à publier serait interminable si on décidait de donner un coup de projecteur sur les vrais dessous d’une certaine presse !
Un parallèle est à faire avec d’autres agissements tout aussi graves, que ce soient les produits agricoles obtenus au rabais par diverses Grandes-Surfaces et qui détériorent presque définitivement tout espoir de revoir notre agriculture française viable… et nos petits garagistes qui sont laminés par les concessions-usines qui disposent seules des appareillages nécessaires aux réparations, ceci conjointement à la promulgation de lois qui empêchent de commercialiser des automobiles “différentes”… sous le fallacieux prétexte de “la sécurité”…
Si encore cela sauvait ou solidifiait l’emploi…, mais non, puisque les Grands-Groupes, délocalisent… et même plus dans les pays défavorisés d’Europe, mais au Maghreb, en Ukraine, en Inde, en Chine… dont des groupes financiers possèdent plus de 10% de Mercedes, 100% de Volvo et bientôt Smart…
Tout cela est la conséquence de l’utilisation “du meilleur” du nazisme, ne nous voilons pas la face, c’est d’évidence que BMW qui construisait les chars Tigre, les chasseurs Focke-Wulf et motorisait les U-Boat a racheté Rolls Royce dont les moteurs équipaient les fameux Spitfire… et que Porsche grand ami d’Adolphe Hitler a œuvré à la fabrication de la “Voiture du Peuple” qui a racheté Bugatti et Bentley… et que Mercedes qui motorisait les fameux Meschersmidt et fournissait les si extraordinaires Mercedes aux dignitaires du Reich… ont gagné la guerre, jusqu’à être les concepteurs des fusées “lunaires” et autres “modernités”…, la liste est interminable !
Le fait d’écrire de telles horreurs va donc me rendre cible de représailles diverses…
Voir et décrire ce monde qui est le notre de façon lucide n’est pas qu’une vision de mon esprit, le psycho-historien Hari Seldon, a déterminé mathématiquement que les conditions essentielles à la survie de l’Empire que nous avons accepté de subir ne pouvaient être prolongées et qu’elles étaient condamnées à disparaître au fil du temps.
À mesure que “le système” renforce sa position de centre dominant, il devient un butin toujours plus grand, car à mesure que la succession impériale plonge le monde des gnous (vous et moi) dans l’incertitude et que les querelles entre familles et groupes, entre industries et continents, se propagent, la responsabilité sociale disparaît.
L’option ultralibérale qui nous est imposée va amener à une célèbre maxime “plus dure sera la chute”…
Comment une classe dirigeante décadente est-elle devenue un risque pour la sécurité mondiale voire une menace existentielle pour toutes les populations?
La réponse est à chercher dans les années 1970, lorsque les faiblesses du contrat social américain du milieu du siècle ont été mises en évidence par la stagflation, la crise énergétique et la catastrophique guerre du Vietnam.
Une poignée de grandes villes, dont Washington, sont devenues hyper-riches et quasiment inabordables à la suite de la concentration de monopoles…, en réaction, les élites politiques américaines ont opté pour les privatisations, la dérégulation, d’énormes réductions fiscales pour les plus riches, la délocalisation des emplois industriels et la financiarisation de l’économie.
Depuis lors, les inégalités ont flambé et une bonne partie des États-Unis connaissent un déclin constant tandis qu’une poignée de grandes villes, dont Washington, sont devenues hyper-riches et quasiment inabordables à la suite de la concentration de monopoles financiers, technologiques et médiatiques et de leurs lobbyistes associés.
Une grande partie de la population américaine connaît cette histoire, peu des populations mondiales le savent et s’en rendent compte…, mais une portion congrue pense aux implications qui en découlent pour son statut international.
Traditionnellement, il existe deux manières d’appréhender le rôle de l’Amérique qui symbolise l’omnipotence dans le monde…
Selon une de ces théories, le monde bipolaire de la Guerre froide a cédé la place à un monde unipolaire où l’hégémonie revient sans conteste aux États-Unis…, certains observateurs voient cela comme une bonne chose et soutiennent l’empire américain, tandis que d’autres le considèrent d’un mauvais œil et cherchent à lui résister, mais dans les deux cas, tous se rejoignent sur l’idée que cet empire constitue le trait dominant qui définit notre époque.
La seconde théorie, qui ne diffère de la première que de quelques degrés, affirme que le monde post-Guerre froide est multipolaire et que les États-Unis en sont la puissance clairement dominante au milieu de nombreux rivaux potentiels, notamment des pays comme la Chine qui pourraient éventuellement, à terme, les surpasser.
Et si aucune de ces deux théories n’était la bonne ?
En effet, la vision quasi-universelle des États-Unis en tant qu’acteur mondial puissant et unifié est défaillante et a besoin d’être revue…., les États-Unis sont moins une grande puissance exerçant sa volonté qu’un marché ouvert de la corruption mondiale, dans lequel les puissances extérieures peuvent acheter des influences, façonner les issues politiques et opposer diverses factions rivales dans leur propre intérêt…, c’est “Le déclin”, une histoire de déjà-vu !
L’histoire humaine regorge d’exemples d’empires puissants en apparence, mais dirigés par des élites faibles et divisées et détruits par des puissances extérieures.
L’Empire ottoman du milieu du XIXe siècle était notoirement surnommé “l’homme malade de l’Europe” à l’époque où les puissances occidentales picoraient ses territoires.
La République des Deux Nations, vaste république aristocratique constituée de la Pologne et de la Lituanie qui domina l’Europe sous une forme ou sous une autre du XIVe au XVIIIe siècle, fut rayée de la carte par ses voisins qui avaient découvert qu’ils pouvaient paralyser toutes ses décisions politiques en corrompant ses sénateurs.
Pendant la même période, la Chine de la dynastie Qing fut forcée de faire de nombreuses concessions territoriales aux empires coloniaux européens qui tous, à leur tour, allaient se désintégrer en moins d’un siècle.
S’il vous semble absurde de comparer les États-Unis de 2019 au déclin des puissances impériales décadentes d’autrefois, considérez l’état de la capitale américaine aujourd’hui…, le président Donald Trump, comme presque tout le monde le concède, au moins en privé, est à la fois trop incompétent pour assumer ses responsabilités les plus élémentaires et se trouve être la risée du monde entier.
L’administration Trump se laisse ouvertement acheter par des gouvernements étrangers par le biais de son réseau international d’hôtels et de complexes résidentiels, notamment celui situé directement entre la Maison-Blanche et le Capitole, dans lequel un lobbyiste financé par les Saoudiens a loué 500 chambres en un mois après les élections de 2016.
Son parti, qui contrôle encore le Sénat et domine de plus en plus le système judiciaire, n’a aucun intérêt à lui demander des comptes dans aucun de ces domaines… et bien sûr, il y a le détail de l’interférence russe dans les élections de 2016, comme le confirment les informations pour l’instant partiellement diffusées du rapport du procureur spécial Mueller, Trump et les Républicains ont été au moins les bénéficiaires passifs et consentants des tentatives d’influence du processus électoral par une puissance étrangère.
Mais Trump n’est qu’un symptôme, l’exemple le plus flagrant et le plus caricatural de la banalisation de la prise de pouvoir par l’argent étranger à Washington au cours de la dernière génération.
De l’influence omniprésente des Émirats arabes unis et d’autres monarchies du Golfe sur des think tanks et des groupes de médias à la quasi-intégralité du gouvernement américain qui fait des courbettes devant le lobby israélien American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), en passant par les chaleureuses relations entre la Chine et la chambre de commerce et la direction de certaines entreprises parmi les plus puissantes des États-Unis, sans oublier le passage d’argent étranger par le secteur immobilier des villes les plus grandes et les plus fortunées du pays…, le gouvernement des États-Unis est clairement à vendre, si pas “VENDU”…
Certes, Washington n’est pas dirigée uniquement, ni même principalement, par de l’argent étranger, plus généralement, de puissants intérêts commerciaux ont presque complètement évincé les responsabilités démocratiques dans la capitale, notamment dans de grands secteurs principalement ancrés aux États-Unis comme la finance, les assurances, l’énergie et les nouvelles technologies. Mais ceci écrit, existe-t-il encore des secteurs ancrés au États-Unis?
La plupart des grandes entreprises sont des multinationales aux sièges implantés dans de grandes villes du monde entier et dont les cadres possèdent des fortunes si ahurissantes que, socialement, ils partagent davantage de points communs avec leurs homologues d’autres nationalités qu’avec la majeure partie de la population américaine.
La dérèglementation complète du financement des campagnes électorales et la légalisation de la corruption qui en résulte à Washington, à une échelle inconnue dans aucun autre pays développé, ont donné naissance à une capitale où distinguer gros intérêts étrangers et nationaux est de plus en plus compliqué.
En d’autres termes, le gouvernement des États-Unis n’existe pas pour servir les intérêts du peuple américain par le biais de ses politiques intérieures ou étrangères; il existe pour perpétuer les intérêt de l’oligarchie internationale.
Il existe un contre-argument évident à tout cela: les États-Unis continuent de dépenser davantage en défense que l’ensemble des sept autres pays aux plus gros budgets dans le domaine, et ils continuent de gérer un réseau de centaines de bases militaires éparpillées dans presque la moitié des pays du monde.
Aucun autre pays ne peut rivaliser même de loin avec sa capacité à projeter sa puissance militaire… et aucun autre pays n’est aussi riche, ni ne frappe la monnaie de réserve mondiale, ni n’exerce autant de soft power.
En même temps, se concentrer uniquement sur une vision verticale de l’empire américain qui partirait du haut vers le bas est susceptible de brouiller les pistes de la causalité…, voyez par exemple le renversement de Mohamed Morsi, le président égyptien élu après le printemps arabe lors d’un coup d’État en 2013…, dans ses mémoires, l’ancien conseiller à la Maison-Blanche Ben Rhodes décrit l’administration du président Barack Obama comme étant la force directrice derrière le coup d’État mais aussi le manipulateur responsable d’une incessante pression de la part de ses alliés saoudiens et émiratis, qui menaient une campagne de communication contre l’ambassadeur des États-Unis tout en complotant avec l’armée égyptienne…
Les empires produisent les conditions de leurs propre chute…
Ben Rhodes raconte qu’il a personnellement reçu une photo par courrier postal montrant l’ambassadeur américain en complice des Frères musulmans, envoyée par Yousef al-Otaiba, l’ambassadeur émirati à Washington, un homme omniprésent, très fêtard et disposant d’un excellent réseau…, si Ben Rhodes et Obama subissaient aussi des pressions de l’intérieur de l’establishment de Washington, leurs plans pour le Moyen-Orient étaient constamment pris d’assaut par leur allié Israélien, le même gouvernement qui faisait du lobbying avec plus ou moins de succès dans le cadre des opérations militaires américaines de la Syrie au Yémen.
La puissance américaine, aussi écrasante qu’elle soit, ne signifie rien si elle est utilisée pour servir les objectifs des plus offrants, dont Israël…
L’empire américain serait donc en train de se déliter, et alors ?
Beaucoup penseront bon débarras, oui…, mais en fait, nos gouvernements européens sont inféodés à l’Empire américain…, et ce n’est pas “notre” Macron qui sera notre nouveau De Gaule…, l’hégémonie américaine a été une catastrophe, elle a répandu la guerre et l’exploitation dans le monde entier et empoisonné le climat au-delà du réparable…, mais les empires ont tendance à tomber parce qu’ils s’étendent trop, qu’il gâtent leurs élites et produisent les conditions de leur propre chute.
Ce dont nous sommes témoins, ce n’est ni d’un retrait planifié et responsable d’un empire dans le but d’investir dans des besoins urgent sur le territoire national et au niveau mondial, ni d’une révolte contre l’empire menée par les misérables du monde.
Il s’agit plutôt d’un effondrement décadent et interminable que n’importe quel étudiant de l’époque romaine ou de Constantinople serait capable de reconnaître : l’Amérique est l’homme malade du XXIe siècle et quiconque a vu son président se ridiculiser au milieu d’un groupe de leaders mondiaux partagés entre perplexité et pitié !
En finale, que faire ?
Tout simplement regarder le “Brexit” d’un autre œil et ne pas croire les chroniques diffusées par les “merdias” aux ordres…, la propagande Européenne a par trop envahi la presse qui débite âneries sur âneries, ce qui va se dérouler c’est que l’Angleterre va devenir un paradis fiscal qui va attirer tous les capitaux dont ceux d’Europe… et notre France va en souffrir en premier lieu !
Le Royaume-Uni est déjà un paradis fiscal, la preuve : Roman Abramovitch, l’oligarque russe, peut vendre le club de Chelsea qu’il a acheté avec de l’argent noir tiré de la spoliation de l’URSS sans qu’on lui pose aucune question.
Avec son réseau de zones offshore dans les territoires d’outre-mer britanniques et les anciennes colonies de la Couronne, c’est déjà le plus gros paradis fiscal et la City fait ses vaches grasses du négoce et du traitement des fonds rapatriés de ces zones…, un tiers des paradis fiscaux au monde sont britanniques.
Débarrassée des réglementations européennes, mais pas des réglementations internationales de l’OCDE, du G20, de la Banque des règlements internationaux…, la place de Londres ne peut que prospérer…, les limitations des bonus des banquiers vont être levées…, il y aura peu de transferts d’activité à Paris et à Francfort…, aucune banque, à part HSBC à Paris, n’a délocalisé énormément d’emplois…. et, surtout, les pays émergents, en particulier la Chine, vont se sentir très à l’aise dans le Royaume-Uni post-Brexit :Londres deviendra la place financière et le cheval de Troie des fonds chinois.
Depuis David Cameron en 2010, le Royaume-Uni joue la carte chinoise, c’est le seul pays qui vend son nucléaire à la Chine, le Royaume-Uni accueille depuis 2010 les banques chinoises en court-circuitant le contrôle prudentiel de la Banque d’Angleterre, à tel point que “le Financial Times” s’est ému des risques systémiques que cela pouvait créer.
La City est le seul vrai centre européen participant à l’internationalisation de la devise chinoise, le yuan… et Londres accorde à tire-larigot des passeports dorés à tous les riches Chinois qui veulent s’installer au Royaume-Uni sans poser aucune question sur l’origine des fonds !
A mon humble niveau, depuis 10 ans Coys me doit (je dispose d’un Jugement Européen en ce sens), d’environ 50.000 euros intérêts compris et comme Coys joue en off-Shore, il n’y a aucun moyen d’obtenir paiement de ce qui m’est du, les tribunaux Belges et Français me renvoient vers l’Angleterre qui dispose que comme Coys œuvre en “Off-Shore”, le Droit Britannique ne s’applique pas, ce qui fait que non seulement moi mais quantité d’autres clients ne reverront jamais l’argent que Coys leur doit…
Ce système va augmenter en force avec le Brexit et nos entreprises, voire nous mêmes, allons “crever” de ce système Européen que le Royaume-Un,i d’Angleterre contourne avec subtilité en placant l’escroquerie généralisée au rand d’institution…
La Grande Bretagne n’est pas un modèle de morale ou un exemple d’éthique, la Grande Bretagne est loin d’être un paradis social où l’égalité et la prévoyance sont loin d’être les préoccupations premières, pour les élites internationales, pour les riches, les gens hyper formés, les citoyens du monde, le Brexit va dans ces conditions offrir un terrain de jeu inespéré et libéré des règles et des contraintes mises en place par l’Europe.
L’avenir d’une Grande Bretagne qui a choisi de divorcer de l’Europe passe donc par la transformation du pays en un centre ultralibéral qui pourrait ressembler à Hong Kong ou Singapour mais aux portes de l‘Europe : un centre offshore à la puissance dix.
Il est évident que les européens qui essaient de combattre la fuite fiscale, et les centres de blanchiment, qui rêvent de l’harmonisation sociale et fiscale, ne peuvent pas approuver une telle évolution…
Bon courage !
L’argent fait le bonheur : vrai ou faux ?
Ce n’est que récemment que des études ont été menées pour répondre à cette question.
Chromes&Flammes passe au crible 4 affirmations relatives à l’argent et au bonheur…
1. Plus mes revenus augmentent, plus je suis heureux…
On constate que le bonheur individuel plafonne à un revenu mensuel net de 4.500 euros… et il n’y a pas de relation linéaire entre revenu et bonheur.
Au-delà d’une certaine limite de revenu, les individus ne deviennent pas plus heureux avec un revenu encore plus élevé.
Pour les gens très pauvres (et incapables de payer leurs factures, leur éducation et leurs soins de santé), l’argent fait indéniablement le bonheur.
Au-delà d’une certaine limite, davantage d’argent n’accroît alors plus le sentiment de bonheur…, le bonheur individuel plafonne à un revenu mensuel net de 4.500 euros.
2. Plus notre société est prospère, plus nous sommes heureux
Bien qu’il y avait moins de facilités il y a quelques décennies (mobilité, temps libre…), le citoyen moyen n’était pas plus malheureux qu’aujourd’hui.
Pendant longtemps, les économistes ont pensé que le bonheur des gens dépendait du produit intérieur brut moyen par habitant…, plus la valeur de tous les biens et services que nous produisons chaque année est élevée, plus nous sommes heureux. Les économistes comprenaient qu’il y avait une distinction entre prospérité (la mesure dans laquelle nous pouvons satisfaire nos besoins matériels) et bien-être (la mesure dans laquelle nous sommes satisfaits de notre qualité de vie), et entre matériel et spirituel…, mais en gros, ils pensaient que le bonheur était directement proportionnel à la prospérité.
Ce n’est pas exact, au cours des 60 dernières années, la prospérité moyenne a triplé, pourtant, le citoyen moyen est aussi heureux qu’il y a 60 ans…, cela signifie que nous avons déjà atteint il y a 60 ans le niveau où plus d’argent ne rend pas les gens plus heureux, bien qu’il y ait eu à l’époque moins de facilités (mobilité, temps libre…), le citoyen moyen n’était pas plus malheureux qu’aujourd’hui.
On pourrait donc en conclure qu’une croissance économique supplémentaire ne rend pas plus heureux, mais il faut nuancer…, en effet, en 1960 comme aujourd’hui, les gens qui gagnent plus que la moyenne font état de taux de bonheur plus élevés que ceux qui gagnent moins que la moyenne…, donc, si votre richesse augmente et que vous commencez à gagner plus que la moyenne, votre bonheur augmentera…, statistiquement parlant, du moins !
3. Que l’argent vous rende heureux ou non dépend surtout de vous
L’art consiste à voir ce que l’on a, et non ce que l’on n’a pas. De nombreuses études sur le bonheur mesurent le sentiment subjectif des gens, de plus, l’argent n’est qu’un des nombreux facteurs qui influencent le bonheur. Quelqu’un peut très bien avoir 10 millions d’euros sur son compte et affirmer qu’il est malheureux…., mais si dans un mois il trouve l’amour de sa vie, il pourra tout à coup être fou de bonheur alors qu’il n’aura pas un euro de plus sur son compte.
Votre bonheur dépend en grande partie de votre propre cadre de référence et des personnes auxquelles vous vous comparez. Le philosophe grec Épicure le disait déjà il y a 2 300 ans : l’art consiste à voir ce que l’on a, et non ce que l’on n’a pas. Si l’on veut être heureux simplement en ayant plus que les autres, on risque d’être déçu.
4. Donner rend plus heureux que d’avoir
C’est paradoxal, mais les gens généreux sont plus heureux que ceux qui se préoccupent surtout de leur propre bien-être et de leur bonheur, les personnes qui s’impliquent dans le bonheur des autres et s’engagent envers autrui font état de taux de bonheur plus élevés que celles qui n’en font pas autant.
L’une des façons de mettre cela en pratique est le bénévolat, différentes études montrent un lien direct entre le bénévolat et l’amélioration du bien-être mental et social, cela ne vous enrichit peut-être pas, mais votre vie en est plus riche !
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