Le 16 mai 2018 a débuté mon année érotique (clin d’œil à Serge)…
J’y suis, le 16 mai 2018 a débuté mon année érotique, c’est coquinou et sexcitant d’avoir 69 printemps, quoiqu’il y a 69 automnes et hivers en suite, le défilé des créatures finira par s’estomper et ne suffira plus à me mettre cul par-dessus tête dans de vertigineuses manipulations de mes texticules (y a pas de “S” mais un “X”) dans tous les sens du terme…, libido au menu, tout est spermis, bouche bée…, qui me reprochera un esprit mal tourné ?
Avec toute la libido qui nous pleut dessus, il ferait beau m’en vouloir, même s’il y a du vent dans les voiles et les vapeurs…, à vouloir peindre (texticulairement) sans fard la triviale réalité de mon univers, lorsque je m’imagine assurément loin de faire partie des meilleurs, mais m’enorgueillit, avec une présomption téméraire, de ne pas compter parmi les pires, je finis toujours par me heurter à la plate sottise, l’égocentrisme désolant, ou la virulence débridée, d’individus au cerveau mal irrigué, trop souvent persuadés que le monde n’attendait que leur naissance pour devenir un endroit agréable à vivre selon leurs brillants préceptes…
Malthus avait raison : il faut apprendre à vivre avec les imbéciles tant qu’on a pas d’armes nucléaires à disposition…, je le cite de mémoire…, c’est une fatalité à laquelle on ne peut que se résigner à moins d’avoir une tendance avérée à l’homicide de masse…, vous me direz qu’après 69 ans je pourrais la tenter pédagogue, essayant de changer le cours de l’histoire par le dialogue, convaincre les inconvenants grâce à la subtilité de raisonnements finement ciselés…., ouais…., bon.
Comme je connasse (question vécu) l’abyssal niveau de l’internaute moyen, inévitablement démiurge productiviste de récurrentes Saint-Barthélémy de la syntaxe, incapable de se livrer sans efforts à d’innombrables Bérézina de l’orthographe et qui, conduisant tous les jours au ravin le Bus de Knysna de la rhétorique (La grève des joueurs français lors de la Coupe du monde de football 2010 constitue le paroxysme d’une série d’événements connus sous le nom de fiasco de Knysna qui désigne l’échec sportif, les conflits internes, la grève d’un entraînement par les joueurs et, plus généralement, la crise connue par l’équipe de France de football et ses joueurs durant la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud)…, me prouve sans échappatoire que les tentatives d’édification de ce style de demeurés ne me sont, au fond, qu’autant d’occasions me offertes pour tester la fiabilité de mon stoïcisme, la progression de mon ulcère et l’efficacité de mes antidépresseurs…
Un autre aspect désopilant de ma vie publique d’homme moderne, plus ou moins actif sur les réseaux sociaux et donc avide d’apporter la lumière du savoir à un monde, jusque là plongé dans les ténèbres de l’ignorance…, consiste à justement me protéger des lumières aveuglantes de mon intellect, grâce à mon penchant prononcé pour les termes savants que je saupoudre comme du sucre impalpable (sic !) au gré de raisonnements divers… et, parmi ces termes éminemment galvaudés par un sophisme halieutique exacerbé, je vous souligne tout particulièrement “l’éthique”… du grec ηθική [επιστήμη], “la science morale”…, de ήθος (“ethos”), lieu de vie, habitude, mœurs, caractère, état de l’âme, disposition psychique… et du latin ethicus, la morale…, c’est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain…, qui se donne pour but d’indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure.
En son infinie sagesse, wikipédia qui est un peu, de nos jours, l’équivalent de la Pythie de Delphes, les hallucinogènes en moins…, précise ce qui suit :
“L’éthique se donne pour but d’indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure”…
Bon courage…, je crois que la Sainte-Inquisition, la Tchéka ou même l’éducation nationale… ont déjà essayé d’atteindre cet objectif , chacune avec ses petites recettes, sans rencontrer, malgré des réussites ponctuelles, le succès dans la constance…
Dans notre système social contemporain, pitoyable agrégat d’égoïsmes, où la seule volonté de puissance accessible au vulgaire est d’écraser la gueule de son voisin pour un ticket resto supplémentaire, avant de se faire, implacablement, à son tour, ratatiner la sienne, là où le fantasme prolétarien de réussite se limite au triptyque pavillon Mikit/Barbecue/Berger allemand pour protéger tout ça…, l’éthique, en tant que morale collective, n’est qu’un concept creux pour sinistrés du cognitif, un mantra pour indécrottables adolescents, bref, le dernier argument expiatoire des losers…, seul le résultat prime, quels que soient les moyens à employer pour y parvenir, c’est sans doute cynique, mais allez donc expliquer au Medef, au Hamas ou à un agent de footballeur, que l’éthique, c’est cool…
Adopter un comportement conforme à une éthique, quelle qu’elle soit, n’est, de toute façon qu’une démarche individuelle, nécessairement soumise à interprétations et pleine de contradictions, tout spécialement lorsqu’elle concerne l’automobile, domaine philosophique relativement mineur, certes…, mais qui reste bon an mal an le principal objet de ce site.
L’éthique, transcrite en actes, n’a rien à voir avec une discipline intraitable fondée sur un règlement gravé dans le marbre, assorti d’une coercition immanente, nul n’est parfait dans sa pratique…, la perfection n’existe que lorsque on la décrit avec une emphase croustillante en tapant sur son clavier de PC…, on ne peut, d’autre part, passer sous silence, sans verser dans la langue de bois, l’ignoble propension de l’internaute se voulant d’élite, raisonné, voire raisonneur en mode tambour tournant dans le vide, à sempiternellement vouloir se mesurer la zigounette avec le concurrent ou le contradicteur…, quand la testostérone supplante le neurone…
Bref, l’internaute, dès qu’il se présente comme le porte-parole éclairé d’une avant-garde sans défauts, se voit un peu trop vite comme le chef des bonobos…, et cela, d’autant plus que l’écart est important entre son cervelet format petit pois et sa boite crânienne melonisée aux proportion d’une montgolfière atteinte d’aérophagie chronique…, de ce fait, l’éthique est trop souvent considérée, par certains de ces valeureux primates, comme un alibi sur mesure pour d’une part s’arroger à peu de frais une once de supériorité morale légèrement hors de propos et de l’autre, s’immiscer dans la pratique d’autrui, avec une régularité dans l’outrecuidance dictatoriale qui constitue assurément la marque infalsifiable des crétins d’élites…, ce qui donne lieu, avec une régularité mécanique, sur internet, à des sommets dans l’art de la rhétorique.
“On en revient toujours aux fondamentaux”, comme le disait Aimé Jacquet, dans son folklorique patois ayant échappé au formalisme académique des orthophonistes jacobins…, “comment empêcher les cons de mettre à profit leur latitude à proférer des conneries, tout en sachant très bien qu’ils peuvent à tout moment passer de la parole aux actes ?”..., cette question résume à elle seule la condition humaine…, quoi que l’on fasse, on se heurtera toujours à la mauvaise foi des uns, au messianisme niais des autres et surtout au bon vieux réflexe qui consiste à faire passer sa gueule avant celle des autres…, bref, coercition ou persuasion ne sont plus que les deux mamelles flétries de notre vache de société.
Mettre préventivement un flic dispendieux de la matraque derrière chaque citoyen… ou brandir, comme un talisman réchappé de Woodstock, le postulat que tout être humain est capable d’être responsable…, c’est nier la terrible évidence…, on débouchera toujours sur une impasse, consacrant l’impossibilité de jouer un coup supplémentaire sur l’échiquier du possible, qu’il soit légal ou tout simplement utile…, on en arrive au Pat-éthique…
Agoraphobe militant, misanthrope sélectif et trop souvent contempteur accablé de la bêtise béate de mes navrants contemporains, je tiens à répéter que si j’écris mes ressentis, c’est simplement pour me vider la tête (temporairement, j’espère) et, éventuellement, sur un malentendu, débusquer une histoire…, bref, pas du tout pour me donner en spectacle en faisant l’article aux Bidochons de rencontre…, je dois être trop vieux pour ces conneries…, j’ai le plaisir et l’assurance de ne pas croiser la populace habituelle…
Je ne croise pas grand monde mais quand j’en croise, j’ai droit à de l’authentique, je ne résisterai donc pas à la tentation de vous narrer la conversation surprise entre un vénérable collectionneur d’autos à la mâle couperose, aux nobles bacchantes dignes d’un choriste de Village People…, et son alter-ego juvénile un peu moins rougeaud de la pommette et poilu du labial…, d’après le véhément ancêtre, il serait de notoriété publique que les taxes ancêtres augmenteraient encore sous peu…
Encouragé par les grognements enthousiastes de son comparse, il n’a pas manqué de poursuivre sa diatribe par un commentaire abrupt sur le capital neuronal (supposé en pleine déliquescence) des décideurs pris en otages par les ingénieurs (à la virilité douteuse) des grands constructeurs automobiles…., puis, dépité par tant de malheurs, conscient de n’être qu’une voix criant en plein désert, accablé par ce modernisme transgenre niant l’animalité tribale sévèrement burnée qui fait tout le charme un peu bourru de la néo-ruralité revancharde, ce traditionaliste rougi sous le Gamay a conclu sa tirade par un “de toute façon, c’est de la faute des jeunes qui roulent en Young-Timers !!!”…, imparable…
Après une longue attente, comme n’importe quel pessimiste ayant une vague idée des relevés météorologiques des 7 ou 8 dernières années pouvait le présumer, rien d’étonnant à ce que le mois de mai 2018 ou j’ai écrit ce texticule, était une énième fois bien pourri… et, plutôt que d’aller patauger dans la gadoue de divers shows regroupant des bagnoles, j’ai employé ce week-end à sagement narrer l’inénarrable…, car, s’il existe un domaine dans lequel la sobriété, la probité et l’exposition objective des faits sont plus maltraitées qu’un Rom à un meeting UMP, il s’agit bien des automobiles anciennes “de collection” dans sa dimension “médiatique”…, en effet, il est rare de trouver un environnement aussi propice aux bobards éléphantesques.
Au pays de Canaan des mythomanes, dans cet Eldorado des joueurs de pipeau…, la tartarinade trop bien assumée est à la connerie ce que les dessous de table sont aux marchés publics…, l’image du collectionneur compulsif, surtout pour ceux qui fréquentent les zéros sociaux, reste ainsi traditionnellement attachée à cette représentation immuable qui le dépeint comme un sordide hâbleur de bistrot, un pathétique velléitaire va-de-la-gueule, bref, un pauvre type dont la finesse d’esprit n’est pas la qualité première, ne vivant que pour sauver l’industrie du picon-bière et, plus ou moins occasionnellement, colporter des rumeurs mettant à mal les certitudes scientifiques de certains crédules fréquentant le même estaminet…
Cela écrit, le dipsomane baratineur…, le harangueur de comptoir…, le m’as-tu-vu de chef-lieu de canton…, ça se cantonne sagement dans le pittoresque, rien à voir avec l’engeance visqueuse qui ressort de son trou à chaque trimestre de fermeture…, le Pépère la Morale dans toute sa splendeur…, le psychorigide en démonstration…, le pharisien pour chromos…, l’arbitre des élégances…, le peigne-cul adepte du dernier mot…, le hargneux, plus casse-bonbons qu’un teckel érotomane…, le malfaisant qui à toujours relancé le schmilblick…, celui qui a raté sa vocation de juteux de semaine et qui compense tant bien que mal en bouffant du Code Civil et en chiant du répressif…, celui qui aurait fait un tabac avec un crayon, du papier et des timbres sous la mandature du si sincèrement engagé dans la construction européenne Pierre Laval…, bref, la punaise de paillasse qui se prend pour la Nadine de Rotchild des viandeurs de bassines…, le mollahcron qui crache des Fatwas au plus petit soupçon d’hérésie et qui se drape, outré, dans sa pudibonderie sournoise de peine-à-jouir congénital…, tout ça finit à la longue par éroder mes penchants humanistes…
J’aime autant vous prévenir, une dénonciation sans aucune concession de cette ambiance merdique, si furieusement tendance, régnant à tous les étages du net et impliquant à la fois la dérégulation de l’orthographe, le viol collectif de la syntaxe, bref la prime sans cesse renouvelée au moins-disant culturel…, la “collectionite d’automobilia”, loisir populaire par excellence, mis trop souvent en lumière par des zélateurs dont la qualité première n’est souvent que l’adhésion à un onanisme virtuel frénétique…, n’échappe évidemment pas une seule seconde à cette altération générale de l’expression…, enfin, à quelques rares et heureuses exceptions près !!!
Exagération ? Médisance ? Faut voir…, en effet, mes acerbes propos peuvent apparaître pour le moins pessimistes aux profanes et aux optimistes, bref, aux victimes des clichés médiatiques qui ne conçoivent ce type d’activité qu’en mode “sérieux”… soumis à toutes les avanies dont sait se montrer prodigue l’intouchable mafia qui règne en maître sur (et dans) le gigantesque panier de crabe ou grouillent les espèces de c… qui sont cause de tout le pire…
Autant dire que les populations autochtones y sont plus que rarissimes, souvent à la limite de l’artéfact… et que les balivernes qui y sont déversées via les merdias habituels, pour satisfaire leur innommable clientèle… n’ont qu’un très lointain rapport avec ce qu’était jadis l’usage réel des tacots qu’ils vénèrent…, attitude me rappelant une époque révolue où les pauvres avaient un espoir ( hum…) d’amélioration de leur condition…
Le collectionneur prolétarien, mal dégrossi est souvent ancillaire (je sais, je sais mais je peux pas m’en empêcher…), n’allez pas croire cependant que son extraction populaire en fasse le gogo idéal, le pendant automobilistique du contribuable moyen, un individu aboulique et naïf, capable de se contenter de la cantine du boulot, d’une innocente accoutumance à “Plus belle la vie “ et d’un vague Plan d’épargne pour sa retraite…
Non, vous feriez une grave erreur…, c’est un dur, un tatoué, d’une méfiance légendaire, confinant à la paranoïa…, sa pathologie est si grave chez lui qu’on ne la trouve, à ce niveau d’intensité, que chez les militants d’extrême-droite, la plupart des habitants de Gaza et un ou deux journaleux de Nitro, LVA et Retroviseur !!!
Fin de la parenthèse…
Pas de polémiques…
A l’inutile, nul n’est tenu !!!
On ne peut faire confiance à ces brillants spécialistes, à l’avis plus qu’autorisé…, en plus, ils mordent en général, pis que des Rottweilers enragés…, autant s’attaquer à un black-bass, une boule de nerfs cyclothymique dotée du cerveau de Paris Hilton, certes, mais au moins, c’est ultra-tendance !!!
Entre nous, je le dis en toute sincérité, en réfutant par avance vertement la moindre accusation de démagogie : les gens qui prennent le temps de lire ce site, alors qu’ils pourraient s’instruire en parcourant “Valeurs actuelles”, “Predators” ou mieux encore les si émoustillantes pages saumons du “Figaro”…, font tous figure d’êtres raffinés, profondément altruistes et d’un développement intellectuel supérieur à celui d’un sous-officier russe…, il est par là même évident qu’à côté d’eux, bien des Prix Nobel de la Paix auraient de faux airs de violeurs de poules fraudant sans vergogne les aides sociales tout en n’hésitant pas à militer dans des formations extrémistes…
Après une période forcée d’abstinence, j’ai eu l’opportunité de passer le reste de mon existence au bord de merde-terrannée…, courant soutenu…, vent fort…, soleil…, génial…, si on y rajoute une hausse soudaine des températures sexuelles non estivale mais des estivants et vantes, j’étais en droit de m’attendre à du bonheur tout en laissant gambader Blacky !
Là et las… en cet endroit anciennement paradisiaque, il n’y a que trop de sable avarié, des kilomètres de nylon vrillé, quelques kilogrammes de boites de cassoulet, des canettes de bière, boissons sucrées et autres déchets typiques prouvant s’il en était besoin, l’indéfectible amour des touristes pour la sauvegarde de l’environnement local, j’ai même eu le plaisir de tomber sur un certain nombre de poissons crevés…
C’est touchant, au fond, cette constante dans la gougnaferie…, on devine l’esthète, on subodore l’artiste, on voit se dessiner un être raffiné, d’une finesse extrême et à la poésie à fleur de peau derrière chaque monticule de merdes érigé négligemment par le touriste du dimanche !
Au hasard des arcanes du Net, nous pouvons parfois, nous autres, obscurs et misérables victimes unilatérales d’une mondialisation bien ordonnée pour le bénéfice sans cesse grandissant de ceux du dessus…, tomber miraculeusement sur des sites où l’achat de la moindre connerie ne nécessite pas de mettre quelques organes aux enchères sur le marché noir turc…, le commerçant n’est rien sans le client, voila bien une affirmation qui semble dépasser un tantinet la compréhension du beauf de base…
En effet, sous l’influence de la publicité, du baratin fumeux du moindre vendeur soi-disant spécialisé ou même du super-pro de forum à panoplie officielle (le plus souvent “stipendié” de ses basses-œuvres par un échantillon gratuit et une tapounette sur le crâne), le gnou lambda de base reste convaincu que s’il achète à prix d’or un “machin” il va immédiatement devenir heureux… et va enfin pouvoir réaliser ses fantasmes les plus inavouables !!!
Inutile de persister dans l’équivoque…, ce n’est pas vrai du tout…, malgré les sommes folles dépensées, les convaincus de l’intégrité, de la probité et de l’objectivité de ceux qui vivent du business, force est de constater que la pêche aux cons nécessite un certain apprentissage et surtout des milieux bénéficiant d’une densité correcte de carnassiers…, il n’est pas totalement nécessaire de flamber ses économies ni de vendre ses enfants à l’usine la plus proche pour acquérir une “ancienne-Young-Timer-de-collection”.., on peut douiller de manière moins dispendieuse…, si, si, je vous assure !!!
Comme à chaque début de saison, les affairistes pullulent, particulièrement à Saint-Tropez ou j’ai jeté l’ancre (et pas encore l’encre)…, je sais bien que le profit est la base du système capitaliste, que beaucoup de retraités n’ont que la spéculation pour boucler leurs fins de mois et que si je ne suis pas content de cet état de fait, je n’ai qu’à suivre les conseils éclairés de certains électeurs déçus et courir me faire vigoureusement empapaouter, merci, au revoir, à bientôt…, je subodore aussi que les prix annoncés seront toujours plus élevés que ceux de l’année dernière…, mais pour ça, vous me direz, il y a pas besoin de s’appeler Nostradamus…
La question n’est même pas là en fait…, on devrait désormais se demander pourquoi il serait normal de raquer des sommes de plus en plus astronomiques dans ce qui reste finalement des gadgets produits en masse…, d’autant que tout le monde achète à deux ou trois producteurs chinois en se contentant d’appliquer un logo sur un blister et que du coup les soi-disant frais de développement, d’études et autres billevesées technico-techniques qui “avant” faisaient le miel du gogo avide de faire semblant d’être dans le secret des demi-dieux…, ont fait long feu depuis belle lurette…
Derrière la façade, l’enfilade puis l’enculade…, plus le temps passe et plus je me dis que la pêche aux cons est en train de devenir un signe extérieur de richesse voire une discipline pseudo élitiste visant à plumer un public d’attardés sociaux et intellectuellement basiques, incapables de ne pas se faire tamponner le valseur par des mercantis ayant flairé l’aubaine…, franchement, comment se justifient-ils ?
Je ne parle même pas du ressenti de plus en plus pénible vis-à-vis des commerçants : manque de courtoisie, incivilités, pour ne pas dire parfois manifestations patentes de bestialité primitive, semblent marquer de leur sceau le comportement d’une trop forte majorité de pratiquants…
Entre les branluchons marketés jusqu’au fond du slip qui baratinent en méprisant le reste du monde… et les beaufs qui font ça pour la bouffe en étant prêts à toute sorte de violences verbales ou physiques pour préserver l’intégrité de leurs mensonges, pas facile, n’est-ce pas de se faire des amis…, enfin, passons…, il vaut mieux prendre son parti des cons plutôt que de les laisser nous prendre à partie…, quant aux artifices du business et autres poires à lavement pour gogos franchouillards, essayons de les laisser le plus possible de côté…, quitte à tenter nous aussi de nous lancer dans la grande aventure de la créativité consumériste qui, grâce à un concept novateur à inventer, nous ouvrira certainement sur un odieux malentendu, les portes de la gloire…
Après une journée catastrophique m’ayant vu sauver de justesse ma nouille d’une manière aussi inespérée qu’exotique, j’avais placé beaucoup d’espoir dans une sortie festive en compagnie d’une sorte de Jack-Sparrow-rasta-friendly sévissant dans mes parages…, évidemment , parfois, sur un malentendu, “l’espoir”, ça peut marcher…, mais pour d’autres, moins chanceux , moins talentueux aussi , il est plus ardu avec leurs moyens limités de s’échiner à éviter les stigmates infamants de la bredouille automnale devant témoins…
Cela écrit (bis !) , l’individu dont il est question , un quadragénaire aussi dynamique qu’une palourde oubliée dans un coffre de Citroen BX “collection” toute la semaine suivant un week-end de grandes marées , finira par faire preuve d’une opiniâtreté forçant l’admiration jusqu’à ce qu’il bénéficie , soyons pour une fois honnêtes, d’un conseil fort judicieux, comme quoi même les plus grands champions peuvent parfois éprouver de la pitié pour les organismes vivants manifestement sous-développés du cognitif !
Il va de soi qu’en tant que Grand Satan honoraire, mon image publique inspire une sainte terreur aux hordes de “collectionneurs de tutures”…,
Heureusement que pour me consoler d’être allé me les geler sous les rafales de commentaires débilitants au milieu de divers moustachus…, il me reste la roborative compulsivité de l’éjaculation fiscale… et le tour sera joué…
Bon, je vous laisse, c’est l’heure de mon Prozac…, quant à vous, je vous offre l’ultime chance d’obtenir mon livre/roman virtuel en PFF que vous pourrez lire sur votre écran ou faire imprimer le tout pour en avoir un livre “papier” en souvenir…
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