Le bombardement sensoriel de la France…
Le bombardement sensoriel est une forme de torture généralement employée sur des “ennemis” capturés pour les faire parler… les autorités déshabillent les prisonniers à nu et les enchaînent à un mur, avant de les forcer à écouter une chanson en boucle diffusée à plein volume, pendant plusieurs jours, voire même plusieurs semaines… Le bombardement sensoriel est utilisé en TV…, à trop regarder les “News” extrapolées des communiqués de presse obligés, les fonctions cérébrales et musculaires commencent à s’altérer, réduisant progressivement les sens à néant.
Au fil des jours, des semaines, des mois, des années à regarder les infos en télé et lire les vérités des médias qui se sont auto-proclamés “sérieux”…, soit on est lobotomisé durablement au point de croire en tout ce qu’on nous raconte et explique (avec des graphiques, ça fait encore plus vrai), soit on apprend à détester chaque minute de ces manipulations, jusqu’à ce que notre santé mentale s’en trouve affectée.
Ce qui débute comme un débat de trente minutes sur les écueils et les pièges de la vie sociétale, entre diverses chansons grotesques ânonnées par des imbéciles…, lentement se transforme en une succession de rires maniaques, de réflexions existentielles et de séances d’autoflagellation…, c’est tellement mauvais que ça en devient divertissant.
Quel effet ça fait sur vos cerveaux de voir les mêmes idioties qui se répètent et parfois tournent en boucle ?
L’effet premier est qu’il devient impossible de se concentrer sur ce qu’il se passe réellement… on ne peut plus porter son attention sur la réalité… on regarde tellement ces “tellement vus” que notre cerveau ne peut plus le supporter… d’où des sautes d’humeur parfois violentes.
Parfois, on arrive encore à se marrer sur une blague, mais cinq minutes plus tard, on est au fond du trou… on se fait parfois des jeux de rôle, étranges, qui consistent à se mettre dans la peau des victimes supposées… on garde nos rôles pendant une heure, puis certains pètent les plombs avec l’inquiétude de devenir vraiment fou… et se disent : “Putain mais qu’est ce qu’on branle de tout ça ?”…
Ces mêmes certains/certaines subissent en cette suite, de vraies souffrances psychologiques, voire même philosophiques au lieu de se demander ce qu’ils auraient pu accomplir s’ils avaient consacré leur temps à une activité plus utile ! Oubliez les affirmations péremptoires d’experts auto-proclamés (il n’y a pas d’école d’expertise, pas de diplômes officiels d’experts d’aucune sorte, ce sont tous des charlatans), à l’appui des infos basées sur les communiqués de presse (un journaliste qui ne s’y plie pas n’est plus invité/accrédité et n’a d’autre avenir que les chiens écrasés ou le chômage)… Oubliez le langage des politiciens et des chefs de gouvernement ainsi que des banquiers vassaux inaliénables (donc aliénés) de la Fed et ses réunions FOMC…
http://fr.wikipedia.org/wiki/Federal_Open_Market_Committee
La véritable histoire mondiale qui va réellement vous pulvériser et déclencher l’apocalypse, c’est quand éclateront deux bulles…, la bulle des 100.000 milliards de dollars US d’obligations ET la bulle des 200.000 milliards de dollars US de taux d’intérêt basée sur les obligations… Quand elles éclateront, peu importera ce que diront ou feront : la Fed, le gouvernement des USA et l’Union Européenne, y compris ses institutions… ce sera terminé, tout comme l’ont été quantités d’empires éternels… Janet Yellen, la patronne de la Fed, a annoncé en septembre 2014 que l’institution qu’elle préside allait cesser sa politique d’assouplissement monétaire… et que par la suite, elle relèverait les taux d’intérêt américains… les programmes de quantitative easing ont donc été suspendus et l’attention s’est alors tourée vers les taux d’intérêt : quand seront-ils augmentés ? Probablement pas avant une vingtaine d’années, car pour le moment, c’est impossible, une remontée des taux provoquerait un effondrement du système monétaire !
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-17/fed-sitting-191-trillion-time-bomb
La dette officielle des Etats-Unis dépasse les 17.000 milliards de dollars… et l’Empire USA ne sera jamais capable de rembourser une telle somme… le pays est condamné à émettre de la dette pour payer les échéances de sa dette en cours… et rien qu’en janvier,…, il a créé plus de 1.000 milliards de dollars de nouvelle dette dans ce cadre ! Toute augmentation d’un point de pourcentage du taux d’intérêt américain signifie que la charge d’intérêt sur cette dette colossale augmente de 150 à 175 milliards par an… ainsi, en maintenant les taux d’intérêt le plus bas possible, la Fed limite la charge d’intérêts sur la dette souveraine… et évite au pays de faire faillite. Mais ce n’est pas tout… les banques américaines ont investi plus de 236.000 milliards de dollars “fabriqués” (ne reposant sur rien d’autre que du vent), dans des produits dérivés… et 81% de ceux-ci sont basés sur le taux d’intérêt américain. Autrement dit, les banques américaines ont misé l’équivalent de 1.100% du PIB américain sur le taux d’intérêt… et bien sûr, ce sont principalement les plus grandes banques d’investissement américaines, les “Big Five” (JP Morgan, CitiGroup, Goldman Sachs, et Bank of America), trop grandes pour être mises en faillite, c’est-à-dire les banques systémiques que la Fed a dû renflouer au moment de la crise financière pour éviter un naufrage planétaire
http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_syst%C3%A9mique
La Fed ne relèvera jamais les taux d’intérêt de façon significative, cela provoquerait l’effondrement de ces banques, donc de la finance mondiale, donc du système, tout le monde (sauf ceux qui sont à l’origine de cette escroquerie planétaire) serait ruiné…
Il ne suffit pas d’écouter/regarder notre ex-délirant et exalté Président pour être rassuré, pour se sentir pousser des ailes, parce que ses discours ne dévoillent pas tout ça, mais cachent tout sous le biais d’une autre guerre, celle du terrorisme, une guerre ou les souffrances deviennent des charges épiques, folles, violentes… avec un rythme martial défoncé par des hurlements quasi inhumains …
Une force brute qui tourne dans tous les sens, qui n’arrête pas d’imploser, d’exploser, une attaque militaire belle comme la mort…, car oui, chez notre Président ce qui est beau, c’est la mélodie du verbe qui explose…, aucune limite, il a en fait intégralement copié la manière d’être et paraître du précédent Premier Ministre, Manuel Valls avait qui il était ami…; Manuel Valls était un escroc-politique, il avait oublié/effacé qu’il était le défenseur de la cause Palestinienne, qu’il avait jumelé sa ville d’Evry avec un camp Palestinien dont les habitants se faisaient démolir par des gens monstrueux… Ensuite, au son d’un violon, ces monstres étaient devenus des anges tabassés par les hordes Islamiques, en sang les anges, mais sortant toujours vainqueurs d’un abominable conflit…, Manuel Valls se trouvait soudé de manière indéfectible à ces anges…, c’était difficile de décortiquer tant chaque seconde était majeure, tant le tout était fou… en cette suite la France était atone, les gens pleuraient…, sûrement qu’ils croyaient se faire sodomiser dans un trou noir…
Cette mascarade clownesque a ensuite évolué, tabassant la population avec une atmosphère plus enjouée, dans d’autres digressions imparables qui ne s’embarrassaient pas de détails et tapaient dans le dur…, sans hésiter, sans discontinuer, quitte à sonner La Marseillaise au Cor de chasse, si possible, Manuel Valls tempêtait : “Quand même”… L’un et l’autre nous avaient habitués à plus de fractures…, mais loin était l’ère de la banalité…
– Coucou popu, tu sens les sirènes poindre, tu entends des barrissements à l’horizon, tu imagines le sang répandu dans nos sillons ? Aux armes, popu, avec la joie de la fin générale, à partir d’une fracture brutale, quasi mélodique, que les choses s’emballent en frôlant le pathétique…, putain, t’attendait que ça, hein, popu !
La plombe générale traverse les consciences de bout en bout comme un métronome régulier, point encore de déchirure, pas de cavalcade, d’explosions hors-normes… et plus on avance, plus l’on se dit qu’on va vivre un bordel sans non. Mon texte, dans ce barnum, n’est qu’un petit chuchotement fragile balayé par le cri des hyènes pachydermiques qui massacrent ceux qui gênent et critiquent les faux-anges psychotiques qui nous bercent de mélodies trop candides pour être honnêtes. Malaise et peur : un peu…, la folie déboule et emporte tout…, les discours de Manuel Valls n’étaient pas les divagations d’un homme face à la mort de la France…, il n’avait rien d’un dépressif louche… et savaiit sortir des feux d’artifices dès qu’il le fallait pour cajoler nos cœurs…, nous f… des papillons dans le ventre…, mais des putains de papillons mortels…, après des années à ruminer, il s’emballait, hurlait, cognait !
– Ben, euhhhhhh !
– Putain, popu, à me lire c’est ton palpitant qui se fait la malle, bouge toi, c’est toi qu’on assassine ! Tour de force : il t’ordonne de danser avec les morts, et de penser à eux en tournant sur toi même. Tout se casse, popu…, tout se nécrose, tout meurt, s’étouffe et s’arrache…, un peu trop tôt, clairement…, c’est mauvais pour ton cerveau…, oui, mais c’est jouissif d’entendre cette voix comme une mélodie nauséeuse au rythme métrique au départ, puis rapidement qui flingue…, finalement, popu, t’es plus trop à l’aise, avoue…, pas à l’aise à cause des mots employés…, avec, pile au milieu, le traumatisme, la gerbe comme après la bière de trop, avec la pièce qui tourne, la vue qui se déforme, le cerveau qui n’en peut plus de la vie…, popu, merde quoi, quand même, oui, quand même, tu vas te prendre les pieds dans le tapis avant de vomir tes tripes…, tu n’entends plus rien, ça tourne dans tous les sens, tu comprends vaguement que les politiques se f… de ta gueule…, sauf qu’à la fin, tu le voit jamais venir par derrière… et tu gis à chaque fois la tête en sang dans le caniveau… et vu que tu prends à chaque fois une dérouillée, tu préfères rendre les armes. Manque de pot, une dernière correction déboule, et pour le coup, ce n’est pas la petite baston de maternelle, c’est la guerre, c’est la pluie de feu, l’Armageddon.
– Y a de ça, oui…
– Quand tout délire, popu, c’est la déraison qui s’installe, l’angoisse, la beauté folle, la nécrose, l’hiver noir, le désastre, toi, popu, toi, tu te retrouves bouche bée, sur le cul après une chevauchée pareille, avec les oreilles qui sifflent et le cœur qui bat la chamade… ce n’est pas dans ce barnum que tu trouveras la rédemption, juste un peu de réconfort peut être, avec un bien bel écrin ambiant et des anges qui te perdent dans le brouillard des chimères… tu me vois venir, de très loin, hein, popu, t’annoncer tout de go que chaque gouvernement est dingue, qu’il défonce tout, ça dégouline de solitude, ça pue le sexe mort, c’est une longue cavalcade qui ne s’arrêtera jamais…
– Ben, euhhhhhh !
– Mon Popu, tu t’es fait enculer bien profond avec Manuel Valls… L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit : Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d’une famille suisse enrichie dans le trafic de l’or par sa mère, ce fils d’un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l’île Saint-Louis…, ce qui lui a permis de fréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique. Dès ses 18 ans, alors qu’il n’était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé “Pacte de Tolbiac”, avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, qui fut pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension rn France devait beaucoup à ces deux hommes avec lesquels il est demeuré étroitement lié. Le Premier ministre était aussi l’incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d’appareil, à la fois “boboïsé”, social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l’européisme, au métissage et au multiculturalisme…, ce que d’aucuns pourraient appeler l’after-socialisme ou “socialisme à l’eau de rose”…. Il était bien évidemment membre du club d’influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-conservateurs américains, en général venus de l’extrême gauche, il était également un soutien fanatique d’Israël, pays avec lequel il s’était tardivement déclaré “éternellement lié” alors qu’il fut durant de nombreuses année un soutien fanatique de la cause palestinienne…, c’est cet individu qui se voyait évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République. C’était un arriviste à multiples faces, traitre à tous les idéaux…, un personnage sournois et dangereux…. Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l’emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d’une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l’exercice du pouvoir : le syndrome d’hubris… et là, ce n’est plus Valls qui est parti faire la Corrida politique en Espagne…, non, maintenant c’est Emmanuel Macron…