Le micmac des choses…
Difficile de démêler le micmac des choses qui fait que le monde part en sucette… J’euphémise la descente aux enfers qu’on nous impose sous forme d’un harcèlement quotidien. Avec le recul permettant un examen, cela s’avère être une forme d’éradication généralisée. Les populations sont épuisées, déprimées, stressées, en danger. Les sociétés sont gangrénées par un mal psychologique sournois qui ne touche pas que la France, mais la plupart des pays occidentaux. Presque tout le monde est intoxiqué par les merdias subventionnés par milliards et aux mains de divers milliardaires, qui vont et viennent en répétant que depuis début 2022, les Russes nous intoxiquent via leurs chaines d’infos !
En deux coups de cuillère à pot, RT a été interdit, fermé, chassé. La liberté d’expression a ainsi été, à mon sens, ignoblement attaquée sous le nouveau prétexte des “Fake-News”. C’est pareil que pour l’obligation des vaccins sous le prétexte médical qui contourne les bases constitutionnelles qui précisent que chacun reste maître de son corps. Dans le cas des injections, c’est effectivement une intrusion qui s’apparente au viol ce qui est interdit par la Constitution, la base de notre nation ! Elle ne se négocie pas, ne s’interprète pas, elle fait partie des valeurs de la république, comme la liberté d’expression ! Chacun est libre de raconter toutes les conneries qui lui passe en tête. Chacun est libre d’y croire ou pas.
Par exemple, j’ai 50 ans d’expériences automobiles, plus de 2.000 me sont passées dans les mains et pas en tant que journaleux œuvrant à la pige sous-payée pour des merdias subventionnés, où chaque “plume” sait d’avance que des critiques trop vraies excluent leurs auteurs à ne plus être conviés à des essais soigneusement programmés par des agences de com’… Avant le web c’était de plus assorti à la manne publicitaire : Si un article déplaisait, immédiatement les agences de putes merdiatiques stoppaient les annonces ! Sanctions ! Les pages de pubs qui payaient l’impression et les salaires étaient stoppées tandis que l’auteur était banni (blacklisté à vie) !
Pour un journaleux, ne plus être convié tous frais pré-payés, c’est le bagne, plus d’hôtels de luxe avec putes “offertes” plus de dîners somptueux et gratuits ! Terminés les essais et sans essais c’est comme devenir un précaire sans boulot, un paria, un mouton noir, un nul-minable qui va donc crever socialement, n’ayant plus que la possibilité d’accepter d’être un sous-précaire, c’est-à-dire une sous-merde sociale devant travailler asocialement dans une friterie non inscrite dans les registres, où livrer des conneries partouze en vélo, où se prostituer en bas de gamme : fellations et sodomies ! Non, du tout ? Si, si ! Sauf s’il sait jouer du saxo, du tuba, de la flute voire gratter une guitare ! C’est comme ça que va le monde !
Donc les journaleux tapotent des conneries qui conviennent pour garder leur boulot de merde ! Fermer sa gueule et tout accepter pour survivre ! Notez que ces esclaves disparaissent, ils crèvent à petit feu, ils sont remplacés par des logiciels-robots qui écrivent exactement ce qu’on leur demande. N’imaginez pas un “e-Robot” qui tapote un clavier ! Non, du tout, c’est un programme que l’éditeur achète et adapte, textes et photos, tout est pré-monté, pré-mâché, prêt pour l’impression ! C’est payé à la ligne et le nombre de ligne est pré-calculé… Et il n’y a pas à craindre de revendications salariales ni de baises dans les toilettes ni d’orgies dans le local des archives.
C’est ça qu’on vous sert en presse-papier (c’est un double-sens) et avec d’autres moyens (pires), en TV où là c’est le festin orgiaque, la foire aux cons et connes, toujours les mêmes abrutissant(e)s qui dirigent les débats et coupent illico tout ce qui sort de la ligne directrice… Leurs invité(e)s interchangeables débitent les mêmes fumisteries, chacun chacune avec une note personnelle, une anecdote préparée par les sévices ad-hoc destinée à faire pleurer les gnous ahuris qui regardent en bouffant la merde du soir… Ahhhh ! Mais c’est de vous que je cause !
Je pré-suppose (sic !) que la focalisation actuelle sur la “liberté d’expression” procède d’une réaction compréhensible : les citoyens français doivent proclamer leur attachement à la liberté d’expression. Soit, quoique c’est assez confus. La liberté d’expression consiste à ne pouvoir être légalement inquiété pour les propos que l’on tient. Il s’agit donc d’une limite posée à l’État : celui-ci s’interdit, dans une mesure variable (gag !) de contrôler l’expression des citoyens, renonçant à toute censure (a priori) et à la répression pénale des propos inconvenants, hétérodoxes ou subversifs. Si vous insultez votre voisin (ou sa mère, son pays, sa religion sauf Judaïque, etc.) et que le voisin vous colle une baffe, voire vous assassine, il ne porte pas atteinte à la liberté d’expression : il porte atteinte à votre personne ! Et en punissant votre agresseur, l’État ne protège pas la liberté d’expression, il assume sa responsabilité de protéger les personnes qui parlent et/où écrivent leurs points de vue…
Lorsque des Russes sont torturés ligotés, que des Nazis-Ukrainiens (qui n’existent pas) leurs tirent une balle dans les genoux et/où dans les parties intimes, voire assassinés par ces Braves Ukrainiens (a priori non mandatés par l’État français, quoique…), on ne peut pas parler ou écrire que c’est barbare, que c’est un carnage, un massacre, du terrorisme ! Stop ! On doit dire que c’est un juste retour des choses, que ce sont les Russes qui ont commencé à ne pas vouloir qu’on massacre leurs frères au Donbass et ailleurs : “De quoi ils se mêlent ces Ruskoffs de merde” ! C’est donc officiellement un contresens de dire et écrire que la liberté d’expression est menacée. Elle le serait, bien entendu, si au lendemain de cette tuerie, une loi était adoptée, qui viserait à interdire de publier la vidéo qui est une atteinte à la vie privée.
Capito ? Et pour “noyer les poissons” qui regardent hébétés, hop hop hop ! Un p’tit coup de com’ du mollusque président comédien qui jouait du piano avec son pénis… Il organise vite fait un contrefeu par un massacre inversé et “plus fort de pluche de cadavres”… Que le big-boss de l’ONU accepte d’être le con-plice en faire-valoir de ce type de manipulation qui spermet de donner des milliards (de notre argent) à l’Ukraine en contrepartie de rétro-commissions substantielles payées en Off-Shore… il y a là plus qu’une dérive. Cette confusion ne mériterait pas d’être relevée, bien sûr, s’il ne s’agissait que d’un problème de mots. Je crains qu’elle n’abrite des malentendus plus inquiétants. Il y a eu quelque chose de diaboliquement malin (si je puis me permettre ce pléonasme) dans ces manières d’agir au nom de la charité ! Il y a aussi de quoi s’inquiéter !
Les migrants Libyens viennent chez nous parce qu’on a détruit toute la Libye pour libérer les Libyens… (demandez pourquoi à Sarko et BHL). Pareil pour les autres pays du Moyen-Orient que nous avons détruits sans même disposer d’un mandat ! On se lamentait pour quelques centaines de migrants Nord-Africains venant “voler le pain et l’air des vrais Français” ! On riait aussi des enfants Syriens morts échoués sur les plages, même que les chefs de gouvernements responsables sont venus défiler/manifester pour la liberté d’expression de pouvoir dire que ces enfants au moins ne deviendront pas des terroristes !!! “Je suis Charlie qui massacre les Palestiniens” ! Je n’ai jamais vu le slogan au complet !
Maintenant ce sont des millions de migrants Ukrainiens qui déboulent… Et ils sont subventionnés par milliards d’€uros et ont des compétences pour ne pas devenir des sous-merdes sociales devant travailler asocialement dans des friteries non inscrites dans les registres, où livrer des conneries partouze en vélo, où se prostituer en bas de gamme : fellations et sodomies ! Non, du tout ? Si, si ! C’est comme ça que va le monde ! Tuer des innocents, c’est s’assurer une couverture merdiatique mondiale. La clameur pré-définie se démultiplie en quelques heures et devient exponentielle. Les commentaires anti-Russes permanents, ces insultes assourdissantes, rendent impossible de démêler ce qui tient à la réaction civique profonde de ce qui relève de la perception spécifique des affectés par l’assassinat d’autres innocents.
Le fait est que c’est une Com’ réalisée par des agences de Com’ avec une perception journalistique qui crée une forme acceptablement vraie à un faux événement du même style que “la liberté d’expression doit être défendue” tout en fermant RT… Et se multiplient les haines… et leur effet de souffle atteint des proportions “atomiques”. C’est inquiétant. Ce n’est sans doute pas le plus grave, puisque cela reste dans l’ordre du symbole. Ce qui n’est pas symbolique, en revanche, c’est le fait qu’en s’en travestissant, les réalités, les vrais tueurs de démocraties que sont les Pro-Nazis Ukrainiens, sont approuvés ! Toutes ces crapuleries rendent impossible tout discernement.
D’un côté, ces gens s’assurent que, par réflexe de solidarité, d’empathie, par identification soudaine, les pires crapuleries sont passées “au bleu” ! On publie et republie les mêmes saloperies, moitié en hommage spontané, et moitié par bravade. D’un autre coté, on rend impossible pour de nombreux Français de ne pas adhérer à la ferveur carnavalesque orchestrée par les corrompu(e)s et corrupteurs/corruptrices qui ont pris le pouvoir suite au coup-d’Etat-Maïdan organisé par les Etats-Unis et l’OTAN ! L’objectif stratégique de ces gens est d’alimenter la Russophobie basique jusqu’à la haine qui justifie une guerre, tout en s’appropriant tout l’argent disponible et même en organisant du caritatif personnel.
C’est l’image des mongols-Russes envahissant l’Europe Sacrée qu’ils ont créé, qui leur rallie sans cesse de nouvelles troupes, sur fond de frustration, de dépit, de désillusions ressassées à l’infini. J’ai même entendu (comme tout le monde), de nombreux appels à ne pas céder à l’amalgame. Oui, bien sûr. Moins que jamais maintenant. La volonté de vivre ensemble ! Mais sans les Russes… Mais j’aurais aimé entendre plus souvent que l’amalgame est précisément le but recherché. Le mot exact est celui de provocation. C’est la responsabilité des politiques de plus en plus corrompus et /où laxistes, et aussi des merdias occidentaux “aux ordres” de l’argent qu’ils reçoivent sous forme de subventions à la presse, ce qui est destiné à créer encore plus de haine. Il y a des mesures humiliantes, des suspicions renforcées, c’est le but recherché. C’est horrible, c’est tragique, mais la stratégie est efficace et, si elle n’est pas identifiée pour ce qu’elle est, il est peu probable qu’on lui opposera une parade opportune.
Parader autour de la liberté d’expression, en tous cas, me semble au mieux dérisoire, au pire contre-productif. Je vois bien que mettre en avant aujourd’hui, à tout propos, la liberté d’expression, tout en interdisant aux Russes de s’exprimer, en agrémentant les discours de crânes revendications justifiant les sanctions, est sans doute ce qui permet le mieux de créer l’émotion populaire sans se compromettre avec le patriotisme ou (ce qui n’est pas la même chose) l’obsession sécuritaire. Mais l’équivoque subsiste, à l’arrière-plan et ne devrait pas tarder à resurgir au grand jour. Si les remarques qui précèdent ne sont pas totalement dépourvues de fondement, alors je ne peux qu’avouer ma perplexité sur les formes que pourra prendre notre réaction face aux dérives guerrières. Certains vont plaider à la fois pour la tolérance et le respect, pour la liberté d’expression et l’exigence morale de ne pas heurter les uns et des autres. Ce sera donc, comme souvent, confus et mièvre à la fois, ni lard ni cochon !
Il faut être idiot, aveugle ou hypocrite pour prétendre que notre présent problème est créé par les Russes, cela ne signifie rien ! Les adeptes d’une “morale éthique” vont de leur côté, invoquer mécaniquement les mânes de Voltaire et se draper dans les “valeurs républicaines”, sans s’aviser que ce discours est devenu creux depuis longtemps. J’observe avec terreur, de ce point de vue, les manœuvres de notre Président Macron qui veut sans cesse rajouter une couche dans une accumulation dérisoire d’autres couches. Lorsque je constate que la population, à une écrasante majorité, ne sait pas quand a été instituée la Cinquième république et sont unanimes pour juger soûlants les commentaires explicatifs, je me dis que tout ce barnum est destiné à imposer les solutions politiques les plus autoritaires. C’est en cours, sous nos yeux, depuis des années, sur fond d’ignorance crasse et d’illettrisme massif, il n’existe plus que le choix qu’entre le fanatisme et le fatalisme.
Certain(e)s tournent le dos au système et se jettent dans la violence pure ; la majorité (c’est pre encore) renonce à sa liberté pour protéger sa tranquillité. Et ce qui me frappe encore davantage, en un sens, c’est qu’il existe un point commun entre tous, celui d’être farouchement attachés à leur droit à s’exprimer. Seulement, ce droit signifie pour eux ceci : le droit d’énoncer publiquement ce qu’ils ont dans la tête, sans réflexion, sans argument, sans possibilité de discussion, style : “J’ai dit ce que j’avais à dire, c’est tout, lâchez-moi maintenant, allez vous faire foutre”... Si j’étais Vladimir Poutine, j’appuie sur le bouton…Tant qu’à crever, que tous crèvent aussi, dieu retrouvera les siens n’est-il pas ?
2 commentaires
Comme à votre habitude, votre sagesse vous honore. ! Mon cher Gatsby, vous qui avez longuement pratiqué le monde des affaires, les grands de ce monde ressentent-il un intérêt à convoquer les philosophes pour faire de la philosophie , ou bien se contentent-ils du socle d’humanité qui leur a été transmis il y a fort longtemps ? La diplomatie chinoise donne l’impression d’en être plus emprunte que celles des puissances occidentales, est-ce là un préjugé raciste de ma part ?
A l’instant où vous m’écriviez et publiiez ce à quoi je suis présentement assidu à vous tapoter en réponse un texticule broyé par le chagrin, je commentais le brouillon de mon assassinat dans un document inédit réalisé au péril de ma vie… Que je compte finaliser dans les minutes qui suivent. Présentement dans mon sarcophage au cœur de la pyramide de mes pensées, je cherche néanmoins la clé de l’issue de secours…
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