Le “Projet Deep Space” d’Hennessey est du “Sub-Space” BDSM…
C’est sexuel ! L’extase masochiste qu’est le “Sub-Space” désigne l’état de transe mental spirituel et physique, dans lequel se retrouve un où une soumis(e) durant une séance BDSM lorsque profondément pris(e) dans un jeu ou une scène. C’est un état second insaisissable et recherché, le saint-Graal ! Certaines pratiques BDSM provoquent en effet des réponses physico-sexuelles fortes, l’aspect physiologique du BDSM causant une séparation mentale avec l’environnement lors d’un “subspace” caractérisé par un état de récession profonde et d’incohérence ! Pourquoi cela arrive-t-il ? Comment un/une “Dom” peut-il-elle profiter de cette situation ? (Accrochez vous à vos sièges, c’est la partie scientifique)…
Pour un/une “Sub” (je vais prendre cette simplification “Sub” pour éviter d’allonger le texte en précisant l’identité sexuelle), pendant une session BDSM, l’expérience intense de la douleur et du plaisir d’être sans défense, nu(e), attaché(e) avec des accessoires dans les fondements, et un baillon ouvert permettant des fellations, déclenche une réaction du système nerveux causant la libération d’adrénaline dans le corps en soumission. D’autres substances sont alors libérées, comme les endorphines et enképhalines (qui sont des anti douleurs naturels) et ces agents naturels vont alors combattre le stress imposé à l’organisme “Sub” et produire effet comparable à celui d’une prise de morphine durant une orgie de sexualité sans limites.
Ces réactions chimiques de l’organisme ont un effet sur le cerveau, ils accroissent sa résistance à la douleur tout en provoquant des stimuli normalement inatteignables, même dans des masturbations effrénées ! Plus le jeu s’intensifie, plus cet effet s’approfondit (en double sens, car existent quantités de jouets et machines). Sous l’influence ce ces réactions chimiques, le où la soumise (“Sub”) entre alors en transe, jouit intensément en répétitions “hoquetantes” et alors qu’attaché(e) commence à se sentir détaché(e) de son corps, c’est l’instant ou la réalité commence à disparaitre. Beaucoup de “Subs”, atteignant ce point, perdent la sensation de douleur qui se mêle aux jouissances extatiques et n’importe quel stimuli prolonge cet état. Une fois que le système nerveux parasympathique revient en force pour contrer les effets du surplus des réactions susnommées, une profonde hébétude apparait, le/la “Sub” entre dans le “Sub-Space” et flotte dans le vide dans des jouissances paroxystiques !
Comme pour les mystiques religieux au bucher : “Le drame, c’est que ça ne puisse pas à la fois durer et brûler ! Tout ce qui nous consume finit par s’éteindre”… Ou presque. Les mystiques sexuels sont comme des mystiques religieux, ils/elles jouissent à n’en plus finir ils et elles ne peuvent viser que l’éternité du “Sub-Space”… La jouissance éternelle dans la douleur, l’humiliation, la mise à nu jusqu’à l’intérieur du corps ! En entant en “Sub-Space” les “Subs” croient que leur jouissance ne s’achèvera jamais. Même pas dans la mort. Ne dit-on pas en religion que les cadavres des mystiques fervents restent intacts, autant que la charge explosive de leurs témoignages miraculeux ! Le “Sub-Space” est comme entrer en religion, voir Dieu, toucher au sublime. C’est un état qui fait peur aux non-pratiquant(e)s ! Sans cesse, des médecins et des philosophes religieux, surtout même évidement les hommes d’église , essayent de neutraliser le pouvoir des mystiques qu’ils nomment des hystériques ou des suicidaires… Mais en vain.
Malgré toutes les explications que la science croit fournir concernant ces fous et folles d’amour, le mystère de leurs embrasements perpétuels perdure. On se demande comment un tel désir peut exister. Inextinguible. Toujours intensément désirant, le/la mystique ne sera jamais rassasié(e). Jamais lassé(e). Dans ce monde dit profane uniquement peuplé de petits autres, c’est-à-dire de créatures humaines (viscéralement astreintes à un régime de finitude ontologique), les élans mystiques et le “Sub-Space” questionnent nos limites ! Dans notre société, ceux et celles qui jouissent “trop” sont appelés “addicts”. Quant aux “folles et fous de sexe où de Dieu et de dieux” et aux “illuminé(e)s”, ils/elles transcendent dans le BDSM… Rangées par le “grand-public” pêle-mêle dans la même catégorie, celle des “malades mentaux”, les personnes qui s’adonnent à l’excès de sexe et/où de religiosité, n’ont plus vraiment droit de cité.
Aucune civilisation ne peut cependant échapper à sa “part maudite”, c’est-à-dire son besoin d’actes gratuits, jouissifs et suicidaires (Pas que religieux où sexuels, car rouler à plus de 200km/h sur routes “ouvertes” l’est tout autant que les sports hyper dangereux, d’ailleurs pour augmenter le plaisir, certains se font faire une fellation ou se masturbent en étant en bagnole à plus de 200 km/h, d’autres en sautant en parachute, certains Boss se limitant aux mêmes joies en dessous de leur bureau !)… Vivent les frénétiques, les fous, folles et saint(e)s car l’abîme est le fond du possible ! C’est la théorie de l’excédent, de la dépense improductive d’énergie, de fluides corporels, de temps ou même de vie qui ne vise rien d’autre que la pure perte d’une jouissance totale.
Un gaspillage ? Un sacrifice dénué de sens ? Au nom de quoi ? C’est comme un traité d’économie qui repose sur un raisonnement qu’on pourrait grossièrement résumer ainsi : d’un côté il y a le bourgeois qui travaille et qui a un but en vue ; de l’autre l’homme ou la femme “souverain(e)” qui cherche le plaisir, sans but ou, du moins, sans autre but que s’oublier, jouir, s’épuiser, se vider, se brûler. “Can’t get no satisfaction” ! Le bourgeois, la bourgeoise veulent se fortifier, l’homme et la femme souverain(e)s veulent s’user. L’un(e) invoque Dieu, l’autre Satan. Monter en grade ou chuter. Spiritualité ou animalité. Avoir le souci du lendemain ou vivre dans l’instant présent. Les irrécupérables consument et les capitalistes consomment.
En ce sens, la dépense, tout autant gratuite qu’insensée, bataille contre la logique de l’utile. L‘histoire de notre société occidentale est celle d’un basculement. Avec notre siècle, fini de rire. La seule forme de résistance possible, suivant l’exemple du soleil qui rayonne sans rien recevoir en retour c’est la recherche de l’extase, quelle soit-elle. Nous vivons dans une société qui pose en idéal la notion de liberté et d’épanouissement individuel. Problème : nous ne pouvons pas choisir nos désirs. Parfois même ils nous dominent. Quand cela arrive, nous nommons cette perte de contrôle une perversion. Voilà donc où nous mène la pensée des Lumières… Alors même que des lois garantissent les droits et les libertés individuelles, elles génèrent l’apparition d’une angoisse profonde : une véritable phobie de la perte de contrôle.
Il s’agit d’être en permanence autonome et responsable. Par contrecoup, tout ce qui nous échappe devient l’ennemi. Le corps que nous n’avons pas choisi à la naissance, nous voulons le modifier. Notre sexe ? Nous voulons le changer. Notre société fait la chasse à l’inné, comme on traque les sorcières. L’inné, c’est mal. L’acquis, c’est bien. Nous ne voulons pas être prédéterminé(e)s. Nous voulons la liberté de choix, avec, pour triste conséquence, qu’à force de chasser tous les facteurs d’aliénation, nous avons fini par haïr nos propres pulsions… Sous prétexte qu’un être libre doit pouvoir contrôler sa sexualité, nous l’avons mise en examen. Elle est coupable de nous faire faire des choses que nous n’avons pas décidées de notre plein gré. Elle fait de nous, sans qu’il soit possible de savoir pourquoi, tantôt des hétéros, tantôt des homos, tantôt des fétichistes ou des amoureux de grosses fesses. Scandale !
Dans la société moderne, constituée de citoyens adultes et responsables, nous soupçonnons nos propres désirs de vouloir nous aliéner. Hypocrisie ! Il faut expliquer pourquoi le mot “perversion” est devenu synonyme de sexe : Cela bouscule nos idées reçues sur la question des normes. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les normes dans lesquelles nous vivons, en Occident, ne sont pas celles qui répriment les sexualités dites alternatives, au contraire… Notre culture encourage l’explosion des tribus sexuelles. Mais à une condition : il faut que ça reste soft. La démesure n’a plus droit de cité. «Tant que les plaisirs considérés comme déviants restent discrets, qu’ils se pratiquent au bordel ou dans l’intimité, et qu’il ne s’agit somme toute que de petits plaisirs, ça passe… Si l’on est un petit sadique, tout va bien. Mais un grand, c’est une autre affaire”…
Et ce schéma libéral envers nos petites perversions, impitoyables envers les grandes, c’est très exactement ce que nous sommes devenus : des peureux, des pleutres. Bref, la libéralisation des sexualités a un prix et un contrepoint très, très lourd politiquement. Et même si l’on doit être heureux de vivre dans des mondes libéraux relativement aux mœurs, où les options érotiques et amoureuses sont extrêmement variées et labiles (même s’ils pourraient l’être encore plus), il ne faut pas ignorer ce coût-là. La liberté a un prix : le nivellement par le bas, la médiocrité sexuelle. Mais aussi la relégation à l’extrême de la société des grands pervers, ces miroirs déformés de ce que ne voulons et ne pouvons pas être… D’où mon exposé sur le Sado-Masochisme, et vous n’êtres qu’au premier tiers… Si fatigue et incohérence se font sentir à cet instant de votre lecture, sachez que je l’ai ressenti au moment de l’écriture.
C’est à ce moment que la notion d’After-Care dans le BDSM va être ressentie dans votre tête d’internaute et va devenir importante. Tomber profondément dans le “Sub-Space” coupe toute communication. Ça veut dire que le soumis où la soumise ne sont plus capable d’utiliser leur “Safeword” ou “Safesignals” quand les choses tournent mal ! En fait ils ne sont même pas conscients que le choses tournent mal ! Cette capacité réduite ou absente à communiquer avec leur “Dom”, combiné avec le fait qu’ils/elles sont moins ou plus capables de ressentir la douleur à cause du trop haut niveau d’endorphines présentes dans leurs corps, peuvent amener la scène à aller trop loin. Si par exemple, un/une “Dom” peu expérimenté(e) doit gérer un(e) “Sub” qui est est tombé(e) dans un “Sub-Space” profond, et qu’il/elle ne sait pas comment en reconnaitre les symptômes, ce/cette “Dom” peut passer la limite de la résistance physique du/de la “Sub” et aller trop loin en attendant sincèrement un “Safeword” qui ne viendra pas parce que son/sa “Sub” est incapable de le lui donner.
C’est exactement comme le reste de la vie, par exemple dans une escroquerie ou l’imposition de taxes diverses par le Gouvernement, ça varie d’un individu à l’autre. Le temps qu’il faut pour atteindre le “Sub-Space”, le genre d’activité qui le déclenchent sont souvent spécifiques à chaque individu. Pour certain(e) il faut de longues séances de stimulation, pour d’autres ce peut être simplement de bonnes paroles apaisantes comme celle du Docteur Mengele de la TV qui explicite les faux bienfaits des “Vax’s” sur le Covid créé en laboratoire… Mais il y a quand même quelques signes révélateurs : Le/la soumis(e) va devenir moins communicatif lorsqu’il/elle entre dans une phase intense du “Sub-Space”. Le/la “Dom” va certainement noter une difficulté à utiliser les mots des “Subs” pour communiquer ou décrire les ressentis, remplacé par des gémissements ou des grognements (qui sont, admettons le, difficile à interpréter). Il y a des changement de couleurs de peau, les yeux peuvent se révulser. Le corps peut devenir complètement amorphe !
Le “trip-BDSM” que provoque les discours gouvernementaux sont comme les endorphines mixées à l’adrénaline souvent comparés à une drogue addictive. Exactement comme peut l’être la crédulité en promesses de demains qui chantent. Un(e) “Sub” tout comme un/une contribuable peut supplier pour moins ou plus de stimulations pour se garder en “Sub-Space” (c’est le bonheur de la soumission totale sans se rendre compte que cela peut finir en catastrophe. C’est là que le rôle revient au chef du Gouvernement ou au “Dom” de garder le contrôle de la situation, et d’organiser le “retour sur terre” de son/ses “Subs”.
Un/une “Dom” qui n’aurait pas conscience des effets physiques et mentaux du “Subspace” sur son/ses “Subs” est comme un dictateur en phase terminale, certains s’en vont profiter des tonnes d’or volés au peuple, d’autres, “Hyper-Sadiques”, se masturbent du spectacle et en profitent pour éjaculer/jouir partouze dedans/dehors avec le bonheur décuplé que les “Subs” sont toujours en “Subspace”. D’ailleurs les “Doms-Hyper-Sadiques” les y maintiennent jusqu’à la limite entre la vie et la mort ! L’épuisement accompagne souvent les “Subs” dans leur redescente du “Subspace”. Le/la “Dom” peut en avoir profité pour se tailler fissa vider les comptes bancaires ! Un/une “Sub”, toujours en “Subspace” n’a plus la concentration et les capacités nécessaires pour se rebeller puisque jouissant des tourments infligés !
Le phénomène de “Subdrop” est le nom donné aux épisodes qui surviennent dans les heures voir les jours qui suivent une session de BDSM intense. Le terme “Subdrop” est généralement utilisé pour les effets négatif ou l’état dépressif qu’un/une “Sub” peut vivre après les manipulations (sexuelles, textuelles et autres pompages de flouze). Pour ceux et celles qui ont été élevé(e)s dans un milieu très traditionnel il peut en résulter que le “Subdrop” soit associé avec un sentiment de culpabilité ou de honte. Maintenant que vous connaissez le BDSM, en voici diverses applications pratiques avec l’ajout de l’informatique qui n’est pas uniquement l’internet ou vous pouvez soit vous branler devant des scènes BDSM, soit en vous mettant à la place des “Subs”, soit à celle des “Doms” ! Que nenni ! Pas du tout. Non, nananana pas du tout, vous devez considérer le Sado-masochisme en ses généralités pratiques, le business financier et Gouvernemental qui y sont souvent associés !
L’informatique, c’est la science actuelle du traitement rationnel du savoir et en conséquence de l’information, un ensemble considéré comme le support des connaissances humaines, physiques, mathématiques, historiques, techniques, économiques, sociales etc.etc… L’informatique ne se substitue pas à la matière qui désigne en physique la substance de tous les corps mais à l’esprit qui définit le principe de la pensée et de la réflexion humaine. Il n’est pas “le Saint-Esprit du christianisme”… qui désigne à l’origine un simple souffle (spiritus). Ces deux notions s’opposent si on admet que l’esprit constitue une substance séparée du monde physique, métaphysique au sens strict, ce qui est au-delà de la nature (meta ta physica). Comment, alors, unir ces deux substances ? L’homme est-il l’union d’une âme et d’un corps (Descartes) ou bien l’étude de la matière cérébrale traduite en science informatique peut-elle suffire à rendre compte de nos pensées ?
D’un côté donc, les matérialistes, des atomistes grecs jusqu’à Marx, qui refusent la substance à l’esprit ; de l’autre, les spiritualistes (ou idéalistes), de Platon à Bergson, qui défendent l’idée que la matière ne peut expliquer la pensée. Avant le rationnel tout n’était qu’empirisme et religiosité ! Opposé au rationalisme, l’empirisme soutient l’idée que la totalité des connaissances, croyances et goûts humains, dérive de l’expérience sensible interne ou externe, directement ou indirectement. Si le terme d’empirisme désigne, chez les Grecs, une forme de scepticisme rattachée à l’école de Pyrrhon, son emploi ne s’est généralisé qu’au XIXe siècle sous une signification nouvelle. Le mot “empirisme” servant à interpréter l’histoire de la philosophie en distinguant rétrospectivement, avant Kant, les philosophes rationalistes (Descartes, Spinoza, Leibniz) partisans des idées innées, et les empiristes (Bacon, Locke, Berkeley, Hume, Condillac) pour qui toute connaissance est a posteriori.
Le critère de distinction entre ces deux courants concerne principalement le problème de la construction du savoir objectif humain. Alors que les rationalistes défendent l’idée d’une toute-puissance de l’esprit et de la logique, les empiristes déduisent toute connaissance de l’expérience passive de nos sens et fondent ainsi une théorie de l’évidence confirmative. Avec sa “Critique de la raison pure” (1787), Kant modifie cependant la thèse empiriste en y ajoutant la dimension active de l’esprit humain, car “de ce que toute connaissance commence avec l’expérience, il ne s’ensuit pas qu’elle dérive toute de l’expérience”. Au XXe siècle, l’empirisme logique (Russell, Wittgenstein) fait de la raison un instrument pour classer dans des énoncés bien fondés les données d’observation. La psychologie associationniste, selon laquelle on peut reconstruire toute la vie mentale à partir de la manière dont se combinent dans la conscience des données sensorielles élémentaires relève aussi de l’empirisme.
La religiosité se réfère aux aspects de l’activité religieuse d’une population et à l’intensité de celle-ci. Elle désigne, dans une acceptation plus restreinte, les rapports qu’entretient un individu avec la religion et/ou la doctrine religieuse. La religiosité c’est une conséquence des limites humaines de l’intelligence dont des gourous tirent parti grâce aux effets de la peur du lendemain ce qui conduit à des dérives de type sectaire, voire à la folie de détruire ceux qui n’adhèrent pas aux “obligations divines” et tout ce qu’ils ont créé. C’est ainsi que furent détruites des civilisations entières, leurs langues, leurs écrits et leurs sens de compréhension. Généralement une religion se doit de détruire toutes les autres et qu’il n’en reste rien qu’à en rire, médire, se moquer..
-George Berkeley (1685-1753) : “Et si tu n’existais pas, dis-moi pourquoi j’existerais ?”… Trois siècles avant la chanson de Joe Dassin, George Berkeley faisait déjà l’hypothèse radicale que les corps qui nous entourent n’ont pas d’existence en dehors de notre perception.
-René Descartes (1596-1650) : “Je pense donc je suis”... C’est nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature ! Peu de philosophes peuvent se vanter d’avoir formulé des idées narcissiques qui ont à ce point changé la face du monde.
-David Hume (1711-1776) : “Comment vivre avec l’incertitude ?”… Ce penseur du scepticisme, vivant sans cesse broyé par une crise existentielle profonde qui le conduit à écrire son “Traité de la nature humaine (1739)”, car selon lui, on ne peut rien dire de certain sur la nature humaine discontinue, mouvante et changeante…
-Emmanuel Kant (1724-1804) : Austère et rigoureux à l’extrême. D’une santé fragile, Kant observait un régime de vie strict, avec un rythme de travail soutenu et des promenades à heures fixes. Il ne modifia la trajectoire de sa promenade que deux fois : la première en 1762, pour se procurer un exemplaire du “Contrat social” de Rousseau ; une seconde en 1789, pour acheter “La gazette” après l’annonce de la Révolution française.
-John Locke (1632–1704) : L’art de poser des questions sans y apporter de réponse autre que se réfugier dans le délire du divin : “D’où viennent nos idées, les mots que nous employons, le sentiment de notre identité ? Jusqu’où peut s’étendre notre soif de liberté, notre goût de la propriété, nos convictions religieuses ?” Prions pour ne pas contrarier Dieu…
-Bertrand Arthur William, comte Russell (1872-1970) : Mathématicien, logicien, gentleman, philosophe Russell est tout cela à la fois et bien plus encore puisque, outre son prix Nobel de littérature en 1950, il est également un homme très engagé dans la vie sociale et politique en faveur du pacifisme et ardent défenseur des droits de l’homme et de la liberté sexuelle… ce qui lui valut de passer un peu de temps en prison. L’essentiel de son œuvre consista à élaborer un rapprochement entre philosophie et logique, à poser les fondements de la logique formelle moderne et à ouvrir la voie à la philosophie analytique…
L’histoire de l’informatique a commencé bien avant la discipline moderne des sciences informatiques, généralement par les mathématiques ou la physique. Les développements des siècles précédents ont évolué vers la discipline que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’informatique. Cette progression, des inventions mécaniques et des théories mathématiques vers les concepts et les machines informatiques modernes, a conduit au développement d’un domaine académique majeur, à un progrès technologique spectaculaire à travers le monde occidental qui est à la base d’un commerce et d’une culture mondiale massive qui est actuellement détournée aux vues de ses découvreurs dans l’immuable besoin viscéral de vouloir dominer et exploiter le monde (l’aspect religiosité détourné et adapté). Nous sommes des beaufs qui doivent se nourrir pour être exploités. Une forme actuelle de l’esclavage qui existe depuis sans doute “la nuit des temps”!
L’informatique est née de la machine de codage Enigma et de la manière d’en percer les secrets de fonctionnement. L’informatique vient des cartes perforées IBM des années 30 utilisées par les Nazis pour comptabiliser les sous-hommes à exterminer, également pour calculer le vol des fusées V1 (aléatoires) puis V2 (probabilatoire) de Werner Von Braun, et également pour utiliser l’atome en arme de destruction massive avant d’être un moyen de créer de l’énergie plus ou moins bien domestiquée… Le premier ordinateur date de 1949, c’est facile à mémoriser car c’est l’année de ma naissance. Il y a 30 ans il n’y avait pas encore d’informatique. L’informatique est née dans le consumérisme outrancier de la vente d’ordinateurs et logiciels et peu à peu récupéré dans les possibilités (encore) de surveiller et donc diriger l’humanité, qui est exploitée, dirigée, manipulée, extorquée, comme depuis toujours ! S’y ajoute récemment une évolution d’un nouveau nazisme doctrinal planétaire sous le prétexte du médical. Les religiosités de tous temps ont été radicales, créer la peur et l’horreur, en ce cas il y a trop d’humains pour les ressources naturelles et l’idéal serait de repartir d’un meilleur pied avec 90% d’inutiles qui s’auto-suicident volontairement. Du chaos renaitra la lumière !
Plusieurs exemples de religiosité excessive nous sont fournis par l’Histoire, y compris dans l’Histoire récente :
-Le culte de la Raison et de l’Être suprême, qui eut lieu pendant la Révolution française en 1793 et 1794.
-Le Saint-Simonisme, fondé par Barthélemy Prosper Enfantin et Saint-Amand Bazard, avec la publication d’une doctrine exposée dans le Catéchisme des Industriels (1823-1824) et Le Nouveau Christianisme (1825), qui entraîna dans son sillage un certain nombre d’utopies et d’idéologies.
-L’Église positiviste fondée par Auguste Comte en 1847, après la mort de Clotilde de Vaux.
Les périodes actuelles de changement de vision du monde (les nouveaux paradigmes), entraînant des bouleversements sociaux, favorisent de telles attitudes telles les visions nazies “la race arienne pure”, les visions consuméristes américaines “le dollar roi de l’univers”, les visions religieuses exacerbées “le pétrole roi du monde” et “Allah Akbar” ainsi que les visions de domination planétaire des propriétaires multimilliardaires GAFAM “Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft”... sans oublier les laboratoires pharmaceutiques, tous capables de créer des pandémies mondiales mortelles ou de domination des populations rendues folles et esclaves… Rien de nouveau, l’être humain étant basiquement rapace, abject et abominable… L’analyse des causes sur le succès d’une religion ou d’une dérive sectaire suppose l’intervention de la sociologie.
-Pierre Musso, Télécommunications et philosophie des réseaux, la postérité paradoxale de Saint-Simon, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Politique éclatée », 1997, 395 p. (ISBN 978-2-13-048397-7)
-Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts : Auguste Comte, Paris, Epel, coll. « Monographie clinique », 2001, 156 p. traduit de l’argentin en 2001.
-Philippe Breton, Le culte d’internet, Paris, Découverte, coll. « Sur le vif », 2000, 124 p. (ISBN 978-2-7071-3302-1).
-René Rémond et Jacques Le Goff, Histoire de la France religieuse, t. 3 : Du roi très chrétien à la laïcité républicaine : XVIIIe-XIXe siècle, Paris, Seuil, coll. « L’univers historique », 1994.
L’informatique sous sa forme actuelle sera raplapla sous 10 ans, la prochaine décennie qui devrait recueillir les bénéfices de l’extinction de 80% des populations dégénérées (sic !) devrait voir l’avènement de l’informatique quantique. Un secteur sur lequel les multimilliardaires investissent déjà massivement car “les choses sont claires” : l’informatique actuelle sera bientôt à bout de souffle pour ce qui est du calcul intensif, il reviendra d’ici 10 ans à l’informatique quantique de prendre le relai pour permettre l’émergence d’une nouvelle génération de composants hautes performances d’où une hausse drastique des investissements dans les prochaines années, par centaines de milliards !
(Rapport IDC aux “propriétaires du monde” de ce 29 novembre 2021) “Le Nouvel Ordre Mondial” est toujours là !
Ces investissements sont motivés par des besoins de plus en plus importants en calculs intensifs. Besoins auxquels l’informatique sous sa forme actuelle ne serait bientôt plus en mesure de répondre. L’informatique quantique, de son côté, pourrait apporter une solution concrète à cette demande d’ici quelques années. On notera que cette nouvelle ère technologique se fait de moins en moins abstraite. Il y a quelques jours, le géant américain IBM présentait par exemple son “Eagle”, un processeur quantique de 127 qubits capable de distancer la concurrence chinoise, mais aussi de prendre une longueur d’avance sur les efforts également fournis par Google sur le terrain quantique. Au travers de cette annonce se dessinent aussi les contours d’une informatique quantique plus attrayante et intelligible.
Comme je dirige GatsbyOnline et que l’automobile y dispose d’une place importante, ce que je viens d’expliciter est volontaire pour introduire une Nième arnaque destinée à profiter des ceusses qui savent et peuvent encore créer des fortunes. Pour eux (pas pour vous qui devenez de plus en plus fauchés et allez vraisemblablement crever dans d’atroces souffrances après lente décomposition de vos finances et de vos fausses bontés d’âme (êtes-vous abonnés à GatsbyOnline, bande de rats ?) Hennessey dévoile l’idée conceptuelle d’une Hyper-GT purement électrique à six roues motrices sans précédent, qui n’existe pas, sauf sous forme d’un crayonné rapide agrandit en affiche murale de 40m²!
Le Boss d’Hennessey, spécialiste en illusionnements-planétaires, a inventé l’invention (sic !) de la première Hyper-GT à six roues motrices au monde, dont le nom de code est “Project Deep Space”, qui selon lui : “Offrira des niveaux prodigieux de puissance et de performance, des sièges diamantés à quatre places et une somptuosité de classe jet privé. Cette prochaine phase du plan stratégique des produits Hennessey introduira trois nouveaux véhicules au cours des 10 prochaines années. Notre ‘Project Deep Space’ suit la production de notre ‘Hypercar Venom F5’ avec six roues motrices, six moteurs de propulsion électriques, permettant une adhérence et des performances étonnantes”... Pour aller où ? Pour circuler où ? Sur quelles routes ?
La cabine de l’espace est prévue pour quatre passagers avec disposition des sièges en “diamant” distinctif, le conducteur est positionné au centre et l’arrière offre 3 sièges allongeables à la façon d’un jet privé hyper-GT ! La production du véhicule électrique le plus cher au monde est prévue pour 2026 débutera en fonction des commandes enregistrées via un paiement en acompte réel de 3 millions de dollars américains, le solde devant être plus ou moins similaire, plus options, taxes sur les deux paiements, homologation et emmerdes ! La puissance sera “démoniaque” (3.000 chevaux) et la vitesse “dévastatrice” (600km/h) avec une traction inégalée grâce à son groupe motopropulseur unique à six roues motrices et 50% de contact de surface en plus par rapport aux véhicules traditionnels à quatre roues ! Pour aller où ? Pour circuler où ? Sur quelles routes ? Robert Jankel qui purge ses peines en enfer permanent pour, entre-autres, ses 2 Panther 6 roues Cadillac V8 bradées à 40.000 euros il y a quelques années, doit demander une réduction de peine au démon !
“Hennessey a passé plus de 30 ans à construire certains des véhicules les plus rapides et les plus excitants au monde”, a expliqué en réunion de presse le super méga super boss John Hennessey, PDG et fondateur de l’entreprise…
“Ce mantra se poursuivra au cours de nos 30 prochaines années après l’introduction de cette première hyper-GT à six roues motrices entièrement électrifiée au monde. La cabine passagers est également très avant-gardiste. Les positions assises innovantes en forme de losange, avec le conducteur situé au centre, permettent à deux passagers de s’asseoir sur le côté et légèrement en arrière du conducteur. Le quatrième passager (C’est le titre d’un film de science-fiction récent), positionné directement derrière le conducteur, occupera le premier siège automobile couché VVIP (Very Very Important Person) au monde, apportant le luxe de classe jet privé au monde de l’hyper-GT. Dans ‘Project Deep Space’, nous avons fusionné l’essence des grands tourers du début du XXe siècle avec une forme hyper-GT d’un autre monde de l’espace temps qui ne laisse aucun doute sur ses capacités”… a déclaré Nathan Malinick, directeur du design chez Hennessey.
“Intégrant de nombreuses premières dans l’industrie, notre tout nouveau modèle renverse le concept d’hypercar des véhicules électriques tout en exposant notre philosophie de conception dans l’art de la réduction. En combinant la passion de Hennessey pour la performance avec le summum du luxe automobile, nous offrirons à nos clients le meilleur des deux mondes avec une position de conduite centrale, un espace suffisant pour les passagers, de la place pour les bagages et les meilleures performances de leur catégorie. Le résultat de notre programme de développement avancé sera une voiture pas comme les autres équipé de portes à ailes de mouette spectaculaires ! Notre ‘Project Deep Space’ sera construit avec un châssis et des panneaux de carrosserie en fibre de carbone ultra-légers. L’intérieur sera équipé de matériaux de la plus haute qualité, toute commande étant sur sur mesure après paiement de 3 millions de dollars d’acompte, permettra aux clients exigeants de personnaliser chaque hyper-GT électrique selon leurs souhaits. Je construis des véhicules aux accélérations les plus rapides au monde depuis des décennies, mais ils ont toujours été limités par leurs performances par l’adhérence mécanique. La propulsion électrique à six roues est la solution. La technologie est sans précédent dans ce segment, à la fois avant-gardiste et innovante. Notre équipe de conception et d’ingénierie est enthousiaste à l’idée d’embrasser l’avenir”, a redéclaré le super méga super boss John Hennessey, PDG et fondateur de l’entreprise…
Pour mieux endormir les gogos, il a dit également : “Hennessey Special Vehicles construira la nouvelle hyper-GT électrique dans son usine de production avancée de Sealy, au Texas qui n’existe pas encore ! Hennessey y travaillera en étroite collaboration avec des partenaires technologiques tels que Shell Pennzoil et Delta Cosworth pour développer le groupe motopropulseur électrifié. L’usine actuelle située au Texas, construit l’hypercar Hennessey Venom F5, que personne n’a encore vue en réel pour préserver l’intégrité physique des acquéreurs” !
“J’ai récemment eu l’occasion de rendre visite à l’équipe Hennessey et d’entendre les nouvelles passionnantes sur leur hypercar électrique”, a déclaré Carlos Maurer, vice-président exécutif des secteurs et de la décarbonisation chez Shell. “Il est clair que les véhicules électriques joueront un rôle de plus en plus important dans la mobilité. Notre collaboration avec Hennessey nous fournira un banc d’essai extrême pour développer nos propres fluides et lubrifiants innovants alors que nous nous efforçons d’être à l’avant-garde de cette transition vers un avenir à faibles émissions de carbone”…
Plus sérieusement, la réalité du “Project Deep Space” n’est qu’un plan de produit stratégique de Hennessey sur 10 ans. L’hyper-GT électrique, conçue pour le grand tourisme, devrait suivre la production du coupé Venom F5 qui n’a jamais commencé malgré que Hennessey prétend que la “décathlonienne hypercar de 1817 chevaux est construite à guichets complets” ! C’est faux, rien n’existe, John Hennessey est un Master BDSM sadique qui manipule le public en quête de clients et investisseurs façon “Casino”... Qui joue perd ! Les spécifications complètes du “Projet Deep Space” n’ont pas encore été annoncées, elles ne le seront jamais car tout ce qui en existe sont 2 croquis de table de restaurant agrandis et retouchés… Mais John Hennessey a confirmé que les prix commenceront à 6 millions de dollars américains moyennant un acompte cash de 3 millions de dollars et que la production sera plafonnée à 105 unités dans le monde pour assurer l’exclusivité de ses clients. Une production qui devrait commencer en 2026… Un conte de Noël macabre ! Un prêchi-prêcha de Master BDSM, car ça va jouir dans la souffrance, enculés bien profond, certains vont surement atteindre le “Subspace” dans l’évanouissement de leurs millions de dollars !
2 commentaires
Maintenant je comprends mieux pourquoi vous teniez à nous faire part de l’importance capitale du chapô introductif !
Toutes mes félicitations pour cette saillie filousophique !
Je suis fervent des longs préliminaires…
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