Les écrits vains de l’écrivain lus ailleurs dans un certain futur…
(Cliquez sur les phrases et mots en liens et sur les couvertures pour être téléportés ou il faut pour mieux comprendre) !
On s’accorde aujourd’hui à considérer l’œuvre littéraire de Patrice De Bruyne, comme l’une des plus étranges du vingt-et-unième siècle (de la fin du vingtième aussi, ne soyons pas mesquins…) !
Sans crainte de se tromper, on peut parler de véritable révolution esthétique et stylistique depuis la sortie de ses magazines Home et de ses journaux Promotion N°1 durant les années ’70, du roman Par qui ce Scandale en 1975, et surtout de ses magazines automobiles Chromes&Flammes durant les années ’80 et ’90…
Toutefois, si cet homme hors du commun a brièvement été sujet à controverses, c’est à cause de ses 2 livres : Dictatucratie… Le livre qu’on veut interdire ! et Les Protocoles de Sion… publiés en 2006…
Pourtant, il n’aura de cesse par la suite d’assimiler l’origine de ses ennuis à son style d’écriture et à ses incessantes moqueries d’amertumes désabusées envers la société via son site-web GatsbyOnline…
– “C’est pour quoi qu’on me cherche, piting ? Sous la hache, je l’hurle ! C’est un compte entre moi et le reste du monde ! Au tout profond… Pas racontable”…, telle est la préface pré-écrite à une réédition d’un futur livre non encore publié et déjà autodafé concernant son aventure épique et hectique avec diverses femmes dont sa muse éternelle, mais ou figurèrent également Mouna en mai 2008 (le nom a dû être censuré) et Anamary Del Miguel Saavedra rencontrée au hasard du web en 2001… raisons sexuelles irraisonnées pour lesquelles cet homme, considéré comme un des plus grands écrivains des vingtièmes et vingt-et-unièmes siècles réunis (répétons-le et disons simultanément qu’il partage la vedette avec Marcel Proust, Raymond Devos et Pierre Desproges), n’est depuis jamais sorti du purgatoire, sauf épisodiquement en écrivant des le monde vu par le trou d’une serrure…
Il est aussi surprenant que paradoxal de constater que ses plus grands adversaires n’ont bien souvent jamais lu les livres incriminés ni regardé attentivement ses texticules, en ce compris deux autres de ses livres : Quelqu’un, le roman du web, suivi de Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens… Chapitre 1 (et chapitres suivants) et surtout Liens d’Amour réalisé dans un moment de détresse psychologique !
Jamais réédités depuis la guerre que le monde entier a engagé contre lui (dont la trame se trouve dans Quelqu’un contre le reste du monde…, un roman éponyme et quasi anonyme jamais publié officiellement), ses ouvrages sont quasiment introuvables et vendus à prix d’or dans des ventes aux enchères secrètes… et dans le cas contraire, sous le manteau dans des endroits inavouables seulement connus de quelques irréductibles anonymes. L’idéal serait de parvenir à détacher de manière absolue l’homme de son œuvre, comme le recommande Proust dans son Contre Sainte-Beuve… mais… et le problème en devient encore plus délicat, Patrice De Bruyne est quelqu’un d’entier ! Libre à chacun de se constituer sa propre opinion et, pour cela, le meilleur moyen reste de lire son oeuvre… car de son vivant, il a spermaté d’innombrables texticules bien couillus, des quantités de pamphlets, un guide sexuel et quelques livres…
Depuis sa mort virtuelle, la source ne s’est pourtant pas tarie, mais les publications actuelles les plus abondantes restent Les émails et messages de Quelqu’un, la saga d’un épistolier furieux et très prolifique… Il semble que certains soient encore à les découvrir au hasard de divers sites-web, dont www.GatsbyOnline.com, ce dont on ne peut que se réjouir dans la mesure où ils permettent d’éclairer l’homme et ses écrits… (pour autant qu’ils n’aient pas été effacés par les fous-furieux qu’il a ridiculisé…) !
“On écrit parce qu’on est malheureux, pas mâle heureux, le monde dévore tout le reste des restes, on nait seul, on est seul, les poètes n’ont pas de vie intérieure, pas de mort extérieure, les écrivains sont en général des bafouilleurs d’écrits vains, piting, j’ai soif… je vais boire un Mojito, peut-être deux, attendez-moi ici quelques secondes, je reviendou”…, telles furent ses dernières paroles lorsqu’il a tourné le coin de la rue pour aller acheter une bouteille de rhum !