Les gens cherchent toujours quelque chose, mais ils ne savent pas quoi…
Certains, tel mon ami Guy qui avait créé un site court www.CollectionCar.com, me disant que mes articles étaient trop longs !
C’est un débat sans fin, pareil que les cheveux courts ou longs, le court ou le long terme… un court métrage ou un long métrage (en cinéma), les mini-jupes ou les robes longues… c’est à l’infini !
En écriture, certains ont peine à lire des légendes sous les photos, alors que d’autres dévorent un roman de 1000 pages !
Le débat est fréquent : les textes pour le Web doivent-ils, oui ou non, être courts ?
Il existe des blogs et des sites-web avec des articles plus ou moins longs, selon que ce sont des sites de news ou plutôt de réflexions.
Tout dépend du style et du contenu.
Divers sites-web préfèrent publier de la qualité et des réflexions, sinon impossible à développer en quelques lignes…
Certains blogs de news vont faire de la quantité et donc des articles plus courts.
De toute façon, s’ils faisaient des articles plus longs, ils seraient vite dépassés par le temps et par l’actualité.
Et puis, les sites-web qui créent des discussions et des débats se doivent, selon moi, d’amener des arguments, soulever l’envie de laisser un commentaire, car chaque style trouve son lectorat.
Il y a des internautes qui n’aiment pas les articles longs… et d’autres qui aiment ce genre de réflexions et d’analyses.
Le public peut être varié.
Je ne suis pas sûr qu’il faille s’aligner sur un style ou sur un autre, lorsqu’on édite un blog ou un site-web, on doit rester soi-même et garder sa manière d’écrire, c’’est ce qui fait la différence.
Personnellement, j’ai souvent du mal à écrire des articles très courts, j’ai l’impression de balancer un sujet bâclé, comme ça, sans analyse ni réflexion.
Je le fais parfois dans un forum, mais peu souvent, il faut quand même trouver une certaine limite pour ne pas faire fuir les visiteurs.
Je lis beaucoup de blogs et sites anglophones et parfois, il faut vraiment que j’accroche au titre pour tout lire…
Trop de blogs et sites à lire peut-être… et j’ai alors tendance à rester en surface, à parcourir, plutôt qu’à explorer…
Je ne sais plus où j’avais lu ça, mais un jour un blogueur disait : “Trop de flux, tue votre veille…” !
Un autre aspect intéressant est l’importance de l’accroche.
Les visiteurs semblent rester peu de temps sur une page web.
Avoir une “accroche” qui leur permet de rester plus longtemps, est importante.
Ça commence par un bon titre, des illustrations, des choses faciles à lire et à décrypter.
Les conséquences en termes de référencement pour ce qui est des articles courts ou longs sont multiples, certains analystes semblent penser que des articles faisant entre 400 et 800 mots sont idéaux pour le référencement.
Maintenant, il semblerait que tout le monde ne soit pas d’accord.
Personnellement, les articles qui marchent le mieux sur www.GatsbyOnline.com sont ceux qui ont un titre et un sujet accrocheur, indépendamment de la longueur du billet.
Maintenant, je ne joue pas dans la même cour que les blogs de rencontre !…
Il existe des “trucs” pour attirer l’attention sur ce qu’on publie sur le web…
La formule consiste à diviser le contenu papier par deux…, disent certains.
En d’autres mots, un A4 donne un A5 sur le Web (façon d’écrire, bien entendu).
Tout dépend du site Web, de la stratégie de communication, de l’audience.
En fait, il n’y a pas de règle universelle, une fois de plus.
Qu’en dit l’utilisateur, c’est à dire vous ?
Précisément, les lecteurs semblent avoir changé d’attitude ces dernières années face au défilement vertical (scrolling) des pages Web.
Qui dit défilement, dit page (plus) longue, vous l’aurez compris.
Si le lecteur n’appréciait pas trop la manœuvre avant (jusqu’en 2000 plus ou moins), il s’y est aujourd’hui bien accoutumé.
Par ailleurs, il est vrai que les pages Web ont pas mal augmenté en taille… et les écrans aussi.
Même si la technologie a évolué, que le contenu multimédia et interactif est venu se mêler au texte, certaines ficelles sont (restent) précieuses pour augmenter le taux de lecture des longues pages.
La longueur du texte n’est pas un problème, c’est plutôt tout le reste.
Le contenu doit être :
– Captivant : Ne pas écrire pour le seul besoin de faire des lignes comme les journaleux payés à la ligne.
– Lisible : Une police adaptée doit être utilisée (type et couleur), le contraste avec le background ne doit pas être négligé.
– Aéré : titre, sous-tire, paragraphe, introduction, conclusion… et photos illustratives.
Bon…, tout cela écrit, reste les sujets que j’aborde avec un style qui m’est tout particulier…
Dans mes grandes réflexions philosophiques, je défends l’idée que l’être humain, souvent un non-être inhumain…, est perdu, paumé sur une terre dénuée de sens, ou certains se suicident car ils trouvent rarement le bout du tunnel de leurs soucis…
Mais, en fait, c’est normal d’aller mal, c’est l’état naturel de l’être humain.
Ce qui est artificiel c’est la joie, le bonheur…
Je connais une personne qui se rend malheureuse d’être heureuse… et je ne parviens plus à comprendre qu’on puisse préférer s’enfoncer dans un grand malheur inexistant plutôt que de profiter pleinement de mille bonheurs…
Les bonheurs sont si éphémères que les rejeter quand on les vit devient une sorte de suicide moral !
J’écris souvent pour tenter d’éterniser les instants de grâce éphémères…
Le problème des gens est finalement assez simple, chacun cherche quelque chose, mais sans savoir quoi !
Et quand les gens détruisent ce qu’ils ne savaient pas qu’ils avaient, ils ne ressentent qu’un vide abyssal qui les empêche sur le moment, de se rendre compte qu’ils avaient tout le bonheur du monde…
Les gens cherchent toujours quelque chose, mais ils ne savent pas quoi…