La presse se casse la gueule sur ses “propres” peaux de bananes, se tire balles après balles dans les pieds, s’auto-mutile en contrepartie de piécettes ! La presse fait “la pute” pour survivre, elle s’est vendue à des milliardaires sans scrupules. Elle “bouffe” de la merde à tous les râteliers et en “chie” tout autant sur “son” public qu’elle méprise mais utilise pour glaner des pubs. Elle s’est rendue malade d’un cancer généralisé inopérable, auto-victime-très-consentante des intoxications qu’elle a contribué à générer depuis qu’elle se vend en compromissions aux “puissants” : publi-reportages, fausses informations, actualités biaisées, propagandes, copinages politiques, obséquiosités maladives, sur-merdiatisations et surtout : “assassinations” rédactionnelles des opposant(e)s, ignorance et mépris envers les “d’autres-mondes”, les “politiquement-incorrects”, les pauvres, les affamés, les “ceusses” qui n’ont plus de voix “valables”, qui manifestent pour ne pas crever trop vite parce qu’ils perçoivent (enfin) qu’ils sont manipulés depuis des lustres…
C’est grâce à Poivre d’Arvor et son faux interview de Fidel Castro que “le franc est tombé” en décalage dans les têtes de pifs de la Franchouille ! Horreur, il avait menti et trompé ses amis/amies “du poste” qui le vénéraient comme le dieu de l’info… C’est Michèle Cota qui a accentué la glissade en s’auto-couronnant “la papesse des anti-fake-news” dans une tournée des popotes subventionnée par le Gouvernement exerçant des pressions auprès des maires du même bord politique afin d’organiser des débats tronqués en monologue de la “papesse” ! Se juxtaposant merdiatiquement à Poivre d’Arvor, elle était aussi peu crédible que ces faussetés désinformatives sur les “fake-news”...
Le ver était toutefois dans le fruit de la vraie démocratie et des vraies libertés de plus en plus rares… Tout ce qui allait à l’encontre des lignes gouvernementales, les moindres et plus petites critiques et témoignages étaient soudainement devenues des “Fake-News”... Et les “ceusses” qui persévéraient étaient des complotistes… C’est devenu systématique dans le but d’étouffer toute remise en question. C’est devenu une injure légale, une discréditation automatique quasi définitive relayée par des cohortes de dévots en attente d’une dictatucratie mondiale ! La presse merdiatique en a fait son pain quotidien se mettant totalement aux sévices des “puissants” qui les avaient achetés. La France est “en marche” vers une dictature de la pensée…
“Hitler de retour”, du moins une caricature en presque pire des méthodes nazies sous faux-drapeau, ce qui n’a pas échappé aux “Anti-Pass-Sanitaire” et avant eux aux “Gilets-Jaunes” qui pour certain(e)s ont sorti l’étoile-jaune (elle aussi) pour souligner que la France n’était plus vraiment démocratique !
Qu’écrire d’autre lorsqu’on constate que 90% et plus de la presse appartient à des milliardaires… et à des conglomérats de milliardaires… et à des sociétés nébuleuses qui fonctionnent off-shore sans quasi-rien payer d’impôts dans divers paradis et dictent leurs visions aux gnous corvéables à merci ? C’est un retour au Moyen-Âge, l’inquisition fiscale est déjà en place et la reconnaissance faciale est programmée de manière généralisée, comme en Chine ! Ça vient ! Ça y vient ! Les Merdias n’offrent pas d’alternative “humaine” à leurs “clients” en retour de leur asservissement obligatoire, leurs propriétaires font écrire ce qu’ils veulent aux journaleux de sévices ! Marche ou crève… Et comme il y a malgré tout quelques réticences (un sursaut révolutionnaire ?), les pigistes besogneux, les journalistes jusqu’aux rédacteurs en chef de rien ni de personne sont remplacés par des logiciels-robots qui fournissent les reportages que les Maîtres veulent !
Pour la plouquesque et les gnous intoxiqués de “sports-beuveries”, de jeux-télévisés-débiles et d’infos pré-machées surcuites par des belles plantes vénéneuses des 3 sexes, il n’y a plus d’alternatives ! La TV c’est tout pourri aussi pire que qu’est pourrie la presse papier ! C’est pourri partouze ! Pas d’échapatoire, car les réseaux-sociaux sont aux mains de milliardaires psychopathes qui font leurs lois, phagocytent les publicités, décident quelle société, quel chef d’Etat doit vivre ou disparaitre… Ces dictateurs des réseaux sociaux ne payent pas d’impôts et achètent les gouvernements jusqu’y compris contribuent à l’organisation de fausses pandémies, réussissant à tripler leurs milliards en ayant investi dans les laboratoires pharmaceutiques…
Voilà, il n’y a plus rien ! Vous avez été abusés, roulés, cotillonnés, couillonnés ! Ça fait cher payé de pouvoir déposer un “J’aime” en dessous d’un texte et ne plus débourser le moindre euro pour s’abonner à de la presse encore libre ! Pour ma part, je suis conscient que vous écrire tout cela est inutile. Selon les statistiques même pas 10% m’ont lu jusqu’à cette ligne et je ne sais pas si cela ne représente finalement pas qu’un micron% infinitésimal des lecteurs et lectrices terrestres ? Mais je me sens vachement mieux, je vais d’ailleurs en arrêter là après un bref historique de la presse ci-après… et aller jouer à la baballe entre Saint-Tropez et la Corse, en pleine mer, avec mon chien Cocker Blacky …
Allez donc toutes et tous vous faire foutre ! Je n’ai pas besoin de click “J’aime” sur Fesse-bouc ! Avant qu’il cancérise les réseaux asociaux et s’arroge tous les droits, le web représentait une liberté d’expression et d’échange. Les GAFAM ( Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) ont tout vampirisé en copiant divers romans d’apocalypse, en pire ! Dès le début du Web, avant eux, mes sites GatsbyOnline et SecretsInterdits avaient leur Forum de discussion qui ne désemplissaient pas ! Je n’ai pas honte de vous écrire que j’ai besoin que vous achetiez mes magazines et que vous vous abonniez à www.GatsbyOnline.com, pour continuer une presse “autre” ! Mais il y a maintenant matière à désespérance ! Fessebouc censure !
Le monde est tellement devenu fou et égoïste qu’un Brooker millionnaire de Yachts pour milliardaires m’a écrit qu’il n’avait pas les moyens de payer une page de pub dans Gatsby ! Pareil pour d’autres marques, il me faudrait faire la pute et publier des publi-reportages obséquieux pour percevoir une aumône… alors qu’en plus une grande part des lecteurs et lectrices (vous ?) ne payent strictement rien ! Trop c’est trop ! Mr et Mme Gratuit sont morts d’être aimables ! Sur la boite-cadeau est maintenant écrit “Fuck-You” !
Pas grave, je vais vivre retranché sur Gatsby ! Merci par contre à ceux et celles qui me lisent “en entier” sur www.GatsbyOnline.com, s’y sont abonnés et achètent également GatsbyMagazine (le N°5 est totalement Gonzo et déjanté). Savez-vous que la version numérique de chacun de mes Gatsby comporte 300 pages ? Pfffffffffffffffffffffffffffffffffff !
De l’Ancien Régime à la Révolution…
Avant “la presse n’existait pas”, on placardait des phrases, on racontait “des choses” dans les bistros et les cloaques à putes, voire en apartés chez “les Nobles”… Au Moyen Âge, le mot “information” était employé en latin sous la forme “Informatio” ou sous la forme verbale “informare”. Il conservera jusqu’à la fin du XVe siècle son sens philosophique emprunté à Aristote, de donner une forme (ce qui revient à donner vie et âme à quelque chose) à un objet ou une idée. À partir du XIIIe siècle, le terme “informatio”, est couramment employé dans un sens judiciaire, comme synonyme de “apprise”, pour désigner un moment de la procédure civile et surtout, criminelle, qui consiste à recueillir des renseignements, en général par le biais de témoins, sur ordre du juge, ce qui contribue à former son jugement. Dans le sens actuel de communiquer des connaissances, le mot “information” n’apparaît qu’au XIVe siècle, à un moment justement où les échanges de nouvelles se sont accélérés du fait des guerres et de la croissance des États : on s’enquiert de “l’informacion” des gens, donc de les former en quelque sorte, mais une formation qui se doit, comme dans le sens judiciaire, de flirter avec la vérité. En 1477, Louis XI ordonne d’organiser les relais de la poste royale pour mieux gouverner en étant directement “informé” (plus de 2.000 lettres du roi sont conservées justement où les échanges de nouvelles se sont accélérés du fait des guerres et de la croissance des États. Dès le XVe siècle se multiplient les “Occasionnels”, des pièces d’actualité de large diffusion sous forme de plaquettes ou de placards. De présentation stéréotypée, au discours formalisé, elles annoncent les grands événements comme les faits divers, avec un goût pour l’extraordinaire. C’est sous forme d’une suite chronologique de dépêches venues des villes d’Europe, qu’apparaissent en 1631 les premiers périodiques d’information français, notamment “La Gazette de Théophraste Renaudot”. (Illustration ci-dessus) Pendant cette période, très encadrée par le pouvoir royal, la presse se développe lentement dans les sociétés de cour. Elle connaît avec “les Lumières” un premier essor, marqué par le premier quotidien d’information : “Le Journal de Paris” en 1777. C’est avec la Révolution française et la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, qu’est consacrée, le 24 août 1789 “La libre communication des pensées et la liberté d’imprimer ses opinions”. En 1791, l’Assemblée Constituante réglemente toutefois la liberté de la presse pour la maintenir “à l’œil”, ça dérive trop ! Alors en plein essor, les journaux de toutes tendances prolifèrent et le lectorat s’accroit dangereusement ! La censure se durcit pire encore sous “La terreur”, et se prolonge sous le Directoire et l’Empire, période qui voit en conséquence s’effondrer le nombre de journaux autorisés.
L’âge d’or de la presse…
Au cours du XIXe siècle, la presse se développe en France et devient un canal d’information de masse. De nouveaux dispositifs économiques et des formes éditoriales inédites bouleversent les modalités de la communication. Ainsi nomme-t-on “Civilisation du journal” la période qui court de “la monarchie de Juillet” à 1914. Concentrée sur les “grands boulevards parisiens”, la vie qui émane des journaux se répand dans les rues par le biais de crieurs, des brasseries où de célèbres chroniqueurs tels Alphonse Karr ou Aurélien Scholl animent des débats en prise directe avec l’actualité. D’abord oratoire, comme en témoigne la vogue des feuilletons, le métier de journaliste connaît une évolution vers 1885 avec l’émergence du modèle rédactionnel anglo-saxon et d’une professionnalisation de la transmission de l’information. Les figures du journaliste, puis du grand reporter, apparaissent, ainsi que des formes nouvelles, comme l’interview. Diverses innovations industrielles et économiques telles les rotatives ou la linotypie font du journal vers 1900 un produit rentable et de bonne facture. Mais c’est une loi, celle du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui permet aux journaux d’acquérir une place prépondérante dans la cité entre 1881 et 1914. Les principaux journaux se dotent d’un appareil complet incluant imprimerie, portage, transmission, correspondants. Le journal s’adresse désormais à toutes les classes sociales, propose jeux ou feuilletons et couvre les faits divers. La presse est devenue un “quatrième pouvoir” redouté des politiques qui imaginent en prendre la direction par le biais de leurs “bienfaiteurs financiers”. La culture du journal était à son apogée : après la prise en main de divers journaux par les “amis-bienfaiteurs-millionnaires” et le premier conflit mondial, la presse ne retrouvera jamais le même niveau de diffusion et d’influence.
D’une guerre à l’autre (1914-1945)…
La guerre de 1914-1918 marque une première césure. Les difficultés furent nombreuses : main-d’œuvre mobilisée, pénurie de papier… Le ministère de la Guerre impose un contrôle préalable et prends des sanctions, voire interdit des titres. Le refus de l’accès au front aux agences et aux photographes amène enfin une pénurie d’images. Cette censure se double d’une participation de la presse à la propagande, le “bourrage de crâne”, qui jette un discrédit durable sur la profession est le second pas vers la transformation des médias et merdias aux ordres ! Décriée pour son propagandisme, la presse voit, entre-deux-guerres, stagner sa diffusion et baisser le nombre de ses titres. Hausse du prix et crise du lectorat touchent les quotidiens politiques, mais épargnent les quotidiens régionaux et hebdomadaires. Du nationaliste “Je suis partout” au communiste “Regards”, nombre de titres apparaissent exprimant des positions radicalement opposées au Gouvernement dans un contexte de tensions politiques, sociales et internationales. La débâcle de juin 1940 plonge la presse dans une crise sans précédent. La quasi-totalité des grands titres disparaissent, par sabordage, par mesure de l’occupant ou du gouvernement de Vichy. Attentisme, collaboration, censure, propagande étatique et contrôle strict de l’opinion précipitent le déclin de la presse. Le public se détourne des journaux jugés pro-allemands. Il manifeste son intérêt pour toute information non officielle, faisant ainsi le succès de la presse résistante, pourtant illégale : “Défense de la France”, “Combat”, “Le Franc-Tireur”, lus malgré la répression par plusieurs centaines de milliers de personne en 1944. C’est à ces titres, qui portent une exigence de rupture et de renouveau, que la presse doit son salut après-guerre.
De l’après-guerre à Internet…
A la Libération, l’épuration entraîne un immense transfert de propriété des journaux, dont le nombre explose grâce au rétablissement de la liberté de la presse. Pour rompre avec les dérives des précédents régimes, la presse obtient un statut garantissant son indépendance vis-à-vis des pouvoirs. Les nouveaux titres, souvent engagés, favorisent l’avènement de chroniqueurs et d’éditorialistes, journalistes d’avant-guerre tels Pierre Lazareff et Hubert Beuve-Méry, ou de nouveaux venus tels Françoise Giroud ou Raymond Aron. Le succès est là pour les titres associés aux conflits de l’époque : “L’Express”, “l’Indochine”, “France Observateur”, “Témoignage chrétien” et “l’Algérie”. Parallèlement à la presse d’information se développe une presse spécialisée illustrée alors que la télévision ne s’impose que lentement. Cette presse de loisirs, tels “L’Équipe”, “Elle”, ou la presse à destination des jeunes publics, accompagne les mutations sociales du pays. La qualité du journalisme permet alors d’endiguer une crise latente de la presse. Outre l’apport des éditorialistes et chroniqueurs, le succès des journaux d’information provient du reportage, surtout social et politique, au tournant des années 1960.
La libéralisation progressive des mœurs, l’accélération des événements sur fond de guerre froide et de luttes sociales amènent la couverture de sujets plus diversifiés répondant aux nouvelles aspirations culturelles. Reflet de cette évolution, “L’Express” et “Le Nouvel Observateur” bien sûr, ou encore “Le Point” créé en 1972. Mai 1968 provoque la création de titres irrévérencieux (“Hara-kiri hebdo”) mais aussi d’une nouvelle presse militante et, quelques années après, de journaux issus de la contre-culture (“Actuel”). Ce renouveau éditorial ne saurait cacher la persistance de la crise : le tirage des quotidiens diminue dès 1969, et de grands titres disparaissent (“Combat”). Le renouveau attendu des mutations technologiques n’a pas lieu, et celles-ci sont un facteur supplémentaire de fragilisation. Pourtant, de nouveaux titres naissent encore : “Politis”, “L’Événement du jeudi”… C’est dans le même temps que je crèe “Home” un magazine d’art, déco et architecture qui sera suivi fin des années ’70 par un concept qui va révolutionner la presse automobile : “Chromes&Flammes”…
Et aujourd’hui ?
La fin du XXe siècle n’est guère propice à la presse généraliste qui s’installe petit à petit sur Internet et aligne insensiblement son format papier sur les pratiques en ligne : plus d’illustrations, articles plus courts, goût croissant pour les sujets anecdotiques. C’est en 1998 que je crée “SecretsInterdits” un des premiers web-site qui va très rapidement grimper à 50.000 abonnés payants. En 2002, le succès des journaux gratuits (“Métro”, “20 Minutes”), entièrement financés par la publicité, ravive les inquiétudes des quotidiens payants dont le lectorat diminue. Pour contrer, je crée “Promotion N°1” diffusé à 400.000 exemplaires dans le nord de la France et la Belgique Wallonne qui comporte les programmes cinéma par zone… Afin d’enrayer ce mouvement, beaucoup de journaux développent des suppléments (“Le Figaro magazine”, “Le Monde 2”) qui se concentrent sur des sujets de société ou de loisirs, ce climat morose n’affectant pas toutefois la presse spécialisée.
Dans ce paysage, je lance “GatsbyOnline” qui grimpe en quelques semaines à la même audience que “SecretsInterdits”, plus de 10.000 visites par jour !!! Certains confrères à mon exemple tentent d’exister uniquement sur Internet (“Rue 89”, “Bakchich”, etc.) tandis que d’autres projets journalistiques se détournent du numérique pour s’intéresser aux reportages (“XXI”, “Le Tigre”, “Six mois”) ou miser sur la photographie (“Polka”), espérant ainsi redonner du sens à l’information.
Un groupe concurrent “Michel Hommell” me torpille par délation fiscale d’où une imposition d’office de 117 millions que je vais mettre 10 ans à remonter et gagner… En retour du grand balancier de la vie, il va faire une faillite retentissante en centaines de millions fin 2019 jetant la totalité de ses employés dans les égouts comme des rats ! Je venais de relancer “Chromes&Flammes” mais après 8 numéros le diffuseur Presstalis est en faillite après avoir escroqué tous ses clients-presse pour un total d’un milliard et demi d’euros, ce qui me fait migrer aux MLP avec un nouveau titre “Gatsby Magazine” qui s’appuie sur GatsbyOnline qui continue d’afficher, imperturbablement, 10.000 visites/jour. Le N°5 sort fin septembre 2021… Ci après “la bande-annonce” !