Les vacheries américaines de McDonald…
L’amérique se vante de ses “valeurs”… et McDonald est cité en exemple d’une société américaine prospère qui développe ses valeurs et celles de l’Amérique partout dans le monde…
Qu’en est-il outre la “malbouffe” ?
Voilà, ce qui se cache derrière ce genre de valeurs…
Ne faut-il rien en écrire et préférer les “Experts” ?
Un homme botté de caoutchouc se tient debout sur le museau d’une vache noire étendue au sol jusqu’à suffocation.
Une vache tachetée sur un tapis roulant vomit un liquide jaune en balançant frénétiquement sa tête de droite à gauche.
Des dizaines de bovins qui tiennent à peine sur leurs pattes, s’effondrant sous leur propre poids, se voient administrer des décharges électriques à répétition. D’autres, suspendus par une patte au-dessus du sol, se débattent vigoureusement, en attendant d’être égorgés…
Bienvenue dans un des établissements de Central Valley Meat Company, une chaîne d’abattoirs californienne qui fournit McDonald’s, le ministère de l’agriculture américain (USDA) et, à travers lui, les cantines scolaires du pays.
Ces images choc ont été diffusées mardi 21 août sur la chaîne américaine ABC.
L’abattoir avait été infiltré en juillet et en août par un enquêteur d’une société de défense des animaux : Compassion Over Killing.
Mercredi, McDonald’s a interrompu ses achats auprès de Central Valley Meat après que les inspecteurs fédéraux de l’USDA ont temporairement fermé l’abattoir, évoquant des preuves de “traitements inhumains du bétail”.
Quelques jours plus tôt, une autre chaîne de fast-foods, In-N-Out Burgers, avait, elle aussi, annoncé la résiliation de son contrat avec l’abattoir, qui fournit 20 à 30 % de sa viande.
Si McDonald’s et l’USDA ont tous deux suspendu leurs achats, ils assurent que la fermeture de l’abattoir n’est pas motivée par des questions de sécurité alimentaire et que la viande qui en provient ne présente aucun danger.
Dans un communiqué, l’USDA affirme que : “si certaines images de la vidéo montrent un traitement inacceptable des bovins, elles ne dévoilent rien qui pourrait remettre en question la sécurité alimentaire”.
Le ministère de l’agriculture américain, qui fournit les cantines du pays, certaines réserves indiennes et des banques alimentaires communautaires, a acheté l’an passé 15,7 % de sa viande bovine à cet abattoir !
La vache se prénomme Yolande, elle dégage un mystère étonnant.
Ses yeux, superbes, donnent sur un vide débouchant dans une caverne d’Ali-Babesse où sont cachés tous les sentiments humains.
Son grand corps joue parfois d’une raide maladresse.
Il suffit d’un mouvement pour que, soudain, elle ressemble à la géante chantée par Baudelaire.
Elle intimide.
Et, pourtant, elle est un aimant qui attire l’amitié et la curiosité.
Il n’y a pas que les vaches dans la vie, il faut apprendre à voir parmi une foule dans laquelle il fait bon se fondre, surtout s’il s’agit de jeunes femmes en mini-jupe.
Car l’amour peut frapper plusieurs fois, mais la mort, elle, cette garce, ne cogne à notre porte qu’une fois… et on a donc toutes et tous, bien raison d’être stressés, angoissés, peureux, lâches, tendres, raisonnables, menteurs, truqueurs, irrationnels et gentils… tant qu’on en a le temps !
Ce stress et cette angoisse peuvent, si on les canalise autant que faire se peut, créer de l’humour et de l’art !
Et moi qui aime tant les côtes-à-l’os saignantes…, vais-je devoir me résigner à ne consommer que des salades mielleuses ?
Tant de souffrance animale pour assouvir des besoins qui ne sont absolument pas une priorité alimentaire !
A qui profite ces assassinats de vaches paisibles et sans défense ?
Pourquoi leur infliger des tortures ?
Qui sont ces malades mentaux ?
L’utopie c’est de croire qu’on mange des animaux morts de vieillesse…, de croire que ceux-ci se reproduisent naturellement, qu’ils se délectent de l’herbe fraiche et du foin durant l’hiver…
Mis à part quelques fermiers qui respectent leurs vaches tant qu’elles donnent du lait, épuisées, vidées, elles finiront leur vie à l’abatoir, en patée pour chats et chiens…, dans des boîtes dorées à des prix mirobolants !
Tant que les annonceurs accepteront ce genre de publicités, (avec la tocarde Paris Hilton qui doit vomir après une bouchée !), rien ne changera…, tout y est, bagnoles puissantes, fourrures, sans oublier les sièges en cuir “véritable”…
On ajoute en finale, un jet tout aussi “puissant” et “libérateur”… et nous courons au drive-in pour obtenir la même “extase”…