L’Univers Hélicoïdal Infini…
“Il y a 2 choses d’infini au monde: l’univers et la bétise humaine…mais pour l’univers j’en suis pas très sûr”
Albert EINSTEIN
Qu’est-ce qu’on vous a enseigné quand vous étiez enfant sur le système solaire ? Que les planètes se déplacent autour du Soleil dans un joli cercle parfait ?
C’est faux ! La vie est souvent présentée comme un cercle, un cycle infini (voire infernal) dans lequel nous évoluerions de manière perpétuelle et qui nous ramènerait sans cesse à notre point de départ. Mais ceci est une erreur fondamentale de point de vie. Car rien n’est jamais identique à ce qui a précédé.
Selon certains, les sociétés obéiraient à ce cycle avec leur développement, leur summum et leur disparition. Mais ceci est une vue simpliste. Car bien qu’évoluant sur un cycle semblable, celles-ci sont toujours différentes parce que les consciences ont évolué ce qui fait que rien n’est jamais pareil.
La Terre tourne autour du soleil en 365 jours et un quart. Mais le système solaire avance dans la galaxie. Aussi ne revenons-nous jamais à notre point de départ qui s’est déplacé durant ce laps de temps. La Terre décrit ainsi une hélice et non un cercle autour du soleil
L’ADN tout comme les protéines ont des formes hélicoïdales. Or, ce sont les éléments fondamentaux de la vie.
Les images fractales montrent aussi des images hélicoïdales de notre environnement.
Les ondes scalaires sont des éléments essentiels de la vie et de notre vie, sans lesquels nous ne pourrions pas exister. Or, celles-ci ont une forme hélicoïdale contrairement aux ondes électromagnétiques.
La forme hélicoïdale est donc propre à la vie.
De la même manière, notre existence ne procède pas d’un cycle (cercle) sans fin dans lequel nous évoluerions. Il s’agit d’une hélice dans laquelle nous évoluons et progressons. Vu sous l’angle matérialiste, tout revient à son point de départ… Mais sous l’angle de la vie, rien n’est jamais identique. Nous évoluons et avançons. Chaque tour de spire peut nous sembler revenir en arrière. Mais il n’en est rien. Nos expériences, nous ont permis d’avancer et de progresser.
Nous ne reviendrons jamais à notre point de départ.
Demain sera toujours différent d’hier.
Imaginez-vous un instant en train de chevaucher un grain de lumière, l’objet le plus rapide de l’univers. Vous filez à près de 300.000 km par seconde. À cette vitesse, il ne vous faut qu’un peu plus d’une seconde pour arriver sur la Lune et trois minutes pour atteindre Mars (dans la meilleure configuration orbitale possible). Mais même ainsi, il vous faudrait encore plusieurs heures pour sortir du Système solaire et plus de quatre ans pour rejoindre l’étoile la plus proche de nous, Proxima du Centaure! Et ce n’est rien encore. À dos de photon, il faudrait plus de 100.000 ans pour traverser notre galaxie, la Voie lactée qui contient des centaines de milliards d’étoiles. Et c’est en millions d’années (2,55 pour être précis) que se chiffrerait le temps de trajet pour arriver jusqu’à Andromède, la plus proche galaxie de taille comparable à la nôtre.
Voilà qui peut déjà donner le vertige. Et pourtant nous n’avons fait que démarrer ce voyage vers l’infiniment grand.
Covid, Vaccins, Macronite, Zémourophobie, Mélanchomania, Lepenopérama, Trumpisme, Biddenphobia et Poutinerie… que de petites gens, petites pensées, petites choses en regard de l’univers… Même les dieux, les démons, les saints, les prophètes, les apôtres, sont y sont dissous ! C’est l’effet “Zebulon”: Tournicoti, Tournicoton… Un Manège spiralé étonnant.
L’astronomie a commencé avec des mesures de position d’astres sur la voûte céleste et les premières théories pour rendre compte de leurs mouvements. Les Grec, notamment avec Hipparque, avaient même réussi à mesurer la distance de la Terre à la Lune et de la Terre au Soleil mais il faudra attendre le XIXe siècle avec les premières mesures de parallaxe des étoiles pour que l’on commence à avoir une idée des distances dans la Voie lactée.
Aujourd’hui, les héritiers d’Hipparque, reprenant sa méthode de la parallaxe déjà perfectionnée par les astronomes français Joseph Jérôme Le François de Lalande (1732-1807) et l’abbé Nicolas Louis de La Caille (1713-1762) et en 1838 par leur collègue allemand Friedrich Bessel, sont devenus non seulement nettement plus ambitieux mais aussi plus performants comme le montre la mission d’astrométrie de l’ESA avec son satellite Gaia dont le troisième catalogue stellaire vient d’être publié. Il s’agit de mesures sur parfois plus d’un milliard d’étoiles dans la Voie lactée et indiquant avec une précision sans cesse plus grande leur position sur la voûte céleste mais aussi leur distance, leur vitesse ainsi que leur luminosité et une partie de leur spectre. On peut en tirer de nombreux renseignements et, en particulier, en fouillant en quelque sorte les strates d’étoiles dans la Voie lactée, faire de l’archéologie galactique en retraçant certaines des étapes de l’évolution de notre Galaxie. En effet, lors par exemple d’un passage rapproché et même d’une collision suivie parfois de fusion entre des galaxies naines ou géantes, les orbites des étoiles dans la Voie lactée se trouvent perturbés et de nouvelles distributions d’étoiles avec des ensembles de vitesse bien caractéristiques se mettent en place. Par exemple la galaxie naine Encelade qui est entrée en collision avec notre Galaxie il y a environ 11,5 milliards d’années. 1,6 million de grandes galaxies contenant des quasars sont situées à des milliards d’années-lumière de notre Voie-lactée. Il n’y a pas de mouvements absolus dans l’Univers et on se doit donc de définir un référentiel par rapport auquel on décrit un mouvement donné.
On peut prendre le barycentre des masses du Système solaire comme origine d’un repère et d’un référentiel pour décrire les mouvements des planètes dans le Système solaire. Mais, tout comme la rotation de la Terre affecte les mouvements à sa surface, ces mouvements planétaires sont affectés également par le fait que ce barycentre est lui-même en mouvement par rapport à celui de la Voie lactée.il y a presque deux siècles, l’astronome britannique John Pond avait discuté, pour la première fois en 1833, d’un effet d’aberration stellaire mesurable sur Terre en relation avec son mouvement par rapport à une sorte de référentiel absolu défini par des étoiles lointaines fixes, au moins en pratique.
Le phénomène d’aberration stellaire en rapport avec le mouvement de la Terre autour du Soleil avait été observé et mesuré en 1727 par un autre astronome britannique, James Bradley, et qu’il s’agissait en fait de la première vraie preuve du mouvement de la Terre autour du Soleil. Cet effet n’est pas difficile à comprendre si l’on imagine la lumière comme une pluie de particules. Pour un observateur au repos avec un parapluie sous une averse et des gouttes tombant verticalement, le parapluie le protège, mais s’il se met à courir, son mouvement propre conduit les gouttes à se mouvoir par rapport à lui comme si elles étaient inclinées et ce d’autant plus vite que l’observateur se déplace rapidement. En transposant l’analogie à la lumière, dont la vitesse était connue à l’époque de Bradley et qui était considérée comme formée de particules, on pouvait donc se servir de ce phénomène pour démontrer que la Terre était bien en mouvement autour du Soleil et comment — la théorie ondulatoire de la lumière conduit au même effet de sorte que les calculs de Bradley n’étaient en fait pas faux avec son modèle corpusculaire. En effet, cela va se traduire par des modifications de la position des étoiles sur la voûte céleste au cours d’une année selon un mouvement bien précis.
Théoriquement, seuls 10% des internautes ayant été attirés par cet article sont arrivés ICI… C’est donc avec un sourire contrit de circonstance que je m’en vais tapoter d’autres textes !
6 commentaires
Mon cher Gatsby,
Votre sagesse vous honore ! Pensez-vous qu’il s’agit du privilège de l’âge, de la somme d’expériences plus ou moins douloureuses, des prédispositions extra ordinaires que je devine, ou juste du mélange de tout cela ?
Votre réponse pourra, selon sa teneur, donner plein d’espoir au popu-lecteur, l’inciter à se pendre un peu plus vite, ou même à participer à une vente aux enchères d’automobiles anciennes !
C’est tout à la foi… Je pense… Je suppose… Quoique…
Ah j’ai lu pas plus tard qu’hier l’ouvrage d’un journaliste féru de politique qui souhaite devenir président et qui affirme que l’Islam a toujours tout fait pour étouffer les connaissances. Est-ce le fanatisme, d’une façon plus générale, qui est l’ennemi de la connaissance ?
Je ne sais qui est-ce, mais je m’en méfierais car le Christianisme et ses dérivés multiples furent à la base de la croyance obligée en en Dieu créateur du ciel et de la terre qui était le centre de l’univers.
Qui affirmait que le terre tournait autour du soleil était torturé, mis à mort, ses biens confisqués, un “savant” fut épargé s’il jurait s’être trompé et que c’est le soleil qui tournait autour de la terre.
La Chrétienté à par ailleurs détruit absolument tout ce qui donnait une autre vision du monde lors des conquêtes Portuguaises et Espagnoles (Mayas, Incas et autres) empêchant de pouvoir comprendre ces peuples qui pourtant possédaient des connaissances extraordinaires. Un crime contre l’humanité et les connaissances humaines. Il en aurait été de même en Orient si ces peuples avaient été plus faibles. Idem en Chine, Inde et Japon qui ont conservé les croyances originelles, quoique… Mao a fait beaucoup de dégats !
Pour ce qui est de nos colons partis conquérir l’Amérique du Nord, quoique les civilisations Améridiennes du Nord n’étaient pas un peuple de constructions, on a détruit et massacré sans discernement.
Nous sommes des salauds.
Pour ce qui en est des civilisations du Moyen-Orient, la Perse est sans doute un des berceaux originels, ces gens : Indiens (ceux de l’Inde, aux USA ce sont des Amérindiens) Afgans, Irakiens et Iraniens question passé culturel, valent bien plus culturellement que les Yankees et que nous.
Mais, je suis né en Europe, j’ai subi le catholicisme en école, j’ai donc été déformé avant de pouvoir refaire mon éducation.
Donc, pour répondre à votre question biaiseuse, OUI le fanatisme est l’ennemi de la connaissance, mais NOUS sommes des fanatiques Catos, déformés par notre éducation…
“Vu sous l’angle matérialiste, tout revient à son point de départ… Mais sous l’angle de la vie, rien n’est jamais identique. Nous évoluons et avançons. Chaque tour de spire peut nous sembler revenir en arrière. Mais il n’en est rien. Nos expériences, nous ont permis d’avancer et de progresser.
Nous ne reviendrons jamais à notre point de départ.
Demain sera toujours différent d’hier.”
C’est beau mon cher Gatsby… je pense que c’est ce que je retiendrai de cet article !
Vous me procurez grand plaisir en sélectionnant cette phrase/réflexion d’avoir lu “l’Univers Hélicoïdal Infini”… Je vous avoue en avoir marre des petitesses des gens, de leurs idées stupides, mêmes pas basiques et de la répétitivité des imbécilités humaines… Dans ce cas, constatez que peu de médias causent de la réalité de l’univers et préfèrent nous assommer avec des sujets débiles tout en nous forçant à y croire. C’est le Christianisme qui a détruit les connaissances des autres civilisations, jusqu’en les plus basiques éléments, telle que la terre est le centre de l’univers avec tortures, excommunications et mort envers ceusses qui maintenaient leurs recherches scientifiques et rejetaient les croyances imbéciles ! Notre civilisation au nom d’un Christ inventé 300 ans après qu’on prétend qu’il a vécu a détruit tout ce qui pouvait nous aider à comprendre les civilisations disparues… Impossible par exemple de comprendre l’ajustement des pierres constituant les murailles d’Amérique centrale et du sud, celles des Egyptiens ainsi qu’en Chine… C’est triste… Donc… Merci de me lire !
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