L’€uro-guerre de Macron 1er, Empereur de l’Europe, vient de commencer…
On y est, ça y est, les merdias officiels ont reçu l’ordre de ne pas informer le peuple avec la complicité des réseaux sociaux, mais l’affreuse réalité est celle-ci : Les troupes allemandes prennent actuellement d’assaut la Grèce… Les chars de Poutine écrasent la Lettonie… La France humilie l’armée britannique à Dunkerque et envahit la Belgique, le Luxembourg, le Lichtenstein, la Suisse, l’Italie, la Sicile, la Corse et Monaco…
(Attention, ceci est une €uro-Fiction-Satirique !)
La France fait face à ses plus sombres heures. Sur les champs de bataille d’Europe, nos forces armées ont été humiliées. Dans les camps d’emprisonnement improvisés, des milliers de nos jeunes hommes et femmes sont assis tristement, témoins de l’effondrement de nos ambitions. Des terrains des tueries de Belgique jusqu’aux rues éventrées d’Athènes, un continent continue de saigner. Et, à l’est, l’ours russe resserre inexorablement sa prise, cet ancien empire émerge ainsi du naufrage du rêve européen.
Hier, à la suite d’un chapelet de défaites militaires encore jamais égalées dans notre histoire, le Premier Ministre a remis sa démission. On parle d’un Gouvernement National mais personne n’illusionne un nouveau Charles De Gaule attendant dans les coulisses. Dans les rues des banlieues, les vieux comme les jeunes, creusent dans l’air froid de l’hiver des positions défensives. Mais avec un équipement insuffisant et des munitions inexistantes, toute résistance durerait difficilement une semaine de plus. D’aucuns parlent de reddition, personne n’évoque la victoire. L’Empereur Sarkozy a été arrêté par l’armée Russe venue “délivrer” la France et l’Europe, puis déféré à la C.P.I. pour crimes contre l’Humanité, sur une plainte du filousophe détraqué, B.H.L. sur laquelle nous reviendrons en finale de cette affaire surréaliste… Moins de dix années en arrière, des millions de gens croyaient encore en une Europe de paix et d’unité. Comment en est-on arrivé là ?
Lorsque les futurs historiens se pencheront sur notre humiliation, ils détermineront certainement le moment-charnière comme étant la dernière semaine d’octobre 2011. Largement oublié aujourd’hui, l’événement majeur en était encore un interminable sommet européen à Bruxelles, la quatorzième tentative pour sauver l’euro en seulement 20 mois. En espérant assurer le soutien allemand d’un plan de secours massif de 1.000 milliards d’euros, la Chancelière Angela Merkel a offert à ses parlementaires un avertissement ‘effrayamment’ prescient : “Donc, je le redis une dernière fois : Si l’euro s’effondre, l’Europe s’effondre. Cela ne peut arriver”.
A l’époque, de nombreux observateurs fanfaronnaient qu’elle était mélodramatique ad absurdum. Mais, sept ans plus tard, personne ne rit. Ce qu’Angéla Merkel avait saisi… et que beaucoup de dirigeants européens refusaient de reconnaître, était que le Continent allait s’effondrer par une combinaison toxique d’une spirale déficitaire, d’une récession économique, d’un anarchisme montant et d’une insinuante chute de confiance en le capitalisme en soi. Cette semaine-là, l’immeuble abritant les studios de TF1, outil de la propagande gouvernementale Sarkozienne et oeuvre de la défiance capitaliste d’avant la guerre européenne, fut explosé par 40 protestataires-anticapitalistes-suicidaires alors que les stars de la désinformation des JT de 13 et 20 heures y avaient été enfermés et aspergés d’essence !
A ce moment, même avec ces 300 morts “de l’information” (un chiffre officieux, la préfecture n’en reconnaissant qu’une cinquantaine), cela a été présenté comme un incident insignifiant, qualifié de trivial par l’AFP. Mais ce n’était qu’un avant-goût de ce qui allait advenir.
Aux environs de février 2012, il était terriblement clair que le dernier plan pour tenter de sauver la zone euro était un échec. En Grèce, les protestations contre les mesures d’austérité du gouvernement s’étaient muées en batailles acharnées quotidiennes, alors que la majeure partie de l’Europe occidentale avait sombré à nouveau dans la récession. Un mois plus tard, après qu’une foule en colère eût envahi le parlement grec, la Grèce annonça qu’elle se retirait de l’euro.
En une nuit, les marchés européens furent touchés par les pertes, qualifiées d’être les plus grandes de toute l’histoire de la finance. Comme la loi et l’ordre s’anéantissaient dans les rues d’Athènes, la France et l’Allemagne y envoyèrent 5.000 “Gardiens de la paix” afin de restaurer le calme. Mais, lorsqu’ils subirent l’attaque de manifestants qui lançaient des cocktails Molotov, il était clair après que 2.364 eussent été brûlés vifs, qu’une action plus drastique dût être envisagée.
Simultanément, l’effondrement grec projetait des ondes de choc à travers l’Europe. Avec les marchés portant leur attention sur l’Italie et son nouveau gouvernement assiégé, se battant pour maintenir l’ordre, la cinquième plus importante économie d’Europe fut soudainement en danger.
A l’été 2012, de massives manifestations anticapitalistes dans les villes italiennes majeures se transformèrent en révolte pure et simple. Et, quand le gouvernement aux ordres de Goldman-Sachs y envoya l’armée pour assurer le maintien de l’ordre, les premières bombes explosèrent dans les banques de Rome, Milan et Turin. L’imagination d’une génération fut alors captivée par l’anticapitalisme. Et, l’alerte à la bombe à la Banque d’Angleterre sonna le glas, d’autant plus fort que toute la City dut être évacuée à la suite d’admonestations émanant du “Collectif Anti-Rigueur Euro-septiques : Guy Fawkes & Nigel Paul Farange”, menaçant d’un bain de sang dans les rues de Londres… et ce fut seulement la première d’une longue série.
En juillet 2012, trois personnes furent tuées par une bombe dans une banque à Francfort. Un mois plus tard, 15 personnes furent tuées à Dublin. Et, en septembre, dans des circonstances tragiques qui resteront à jamais dans les mémoires, 36 personnes furent tuées dans des explosions dans toute la City de Londres. Les manifestations et les émeutes, étaient en permanence aux nouvelles du soir. Et, comme l’Allemagne et la France se battaient pour garder en vie la zone euro, les premiers signes d’un nouvel autoritarisme perturbant firent leur apparition. En Italie, où le gouvernement avait déclaré l’état d’urgence permanent, certaines villes avaient sombré dans la guerre civile virtuelle. Et lorsque qu’il requit formellement l’aide de ses partenaires européens, il était trop tard ! Le président français Nicolas Sarkozy, avait certes été réélu de peu face à Marine Lepen (qui fut par la suite assassinée dans d’atroces conditions : brûlée vive comme Jeanne d’Arc après avoir été violée par une centaine d’UMP-tistes), mais il ne disposait plus de moyens policiers pour réprimer quoi que ce soit…
A la fin de l’année 2012, le nombre des troupes françaises dans les rues d’Italie du Nord était estimé à 15.000, ainsi que 14.000 autres “Gardiens de la paix européens” à Athènes et en Thessalonique. Doucement mais sûrement, le continent glissait vers la confrontation armée. A l’aune de l’année suivante, une issue paisible à l’implosion de l’Union Européenne semblait de plus en plus improbable. Le dernier grand sommet à Bruxelles en mars 2013, tourna au vinaigre, lorsque de nombreuses nations européennes plus petites refusèrent les exigences de l’Allemagne pour une austérité fiscale et une intégration économique plus importante. Avec une vitesse alarmante, les trames d’une unité paisible s’effilaient. Avec l’économie européenne se dirigeant vers la dépression, les mouvements nationalistes gagnaient du terrain à travers le continent.
Les skinheads étaient en marche dans les cités, à Madrid, à Budapest, à Bruxelles, les étrangers et les immigrés furent les victimes de violentes agressions. A un autre moment, les terribles émeutes espagnoles du printemps 2014, durant lesquelles 63 personnes furent tuées dans une choquante vague d’incendies et de pillage, avaient monopolisé les gros titres. Toutefois, l’attention se portait plus à l’Est. Aucun pays pays n’avait été plus durement heurté par la crise financière que la petite Lettonie, qui, en 2014, enregistrait un taux de chômage de plus de 65%. Et… avec près d’un tiers des citoyens d’origine russe, la frustration économique tourna vite en confrontation nationaliste.
Le 12 août 2015, après des jours de combats dans les rues de Riga, l’armée russe a passé massivement la frontière. Vladimir Poutine assura au monde que les Russes étaient venus pour “Restaurer l’ordre, comme les armées alliées en Irak et en Lybie”. Mais son discours au peuple russe narra une histoire différente.
“La crise européenne est la chance de la Russie”, annonça Poutine… “Les jours d’humiliation sont finis ; notre empire va renaître”.
Autrefois, l’Ouest serait venu en aide à la Lettonie. C’était, après tout, un membre à la fois de l’Union Européenne et de l’OTAN, quoique le nouvel isolationnisme américain définissait l’adhésion à l’OTAN comme sans valeur réelle. Cependant, comme les troupes françaises avaient été projetées en Grèce et en Italie, Paris refusa d’intervenir… tandis qu’à Londres, le nouveau Premier Ministre, Ed Miliband, assurait à la nation qu’il n’enverrait jamais de troupes britanniques pour assister “un pays lointain dont on ne connait rien”. Pour Moscou, le message était clair. Six mois plus tard les “Gardiens de la paix” russes passèrent la frontière de l’Estonie… et en mars 2016, l’armée de Poutine occupait la Lituanie, la Biélorussie et la Moldavie.
Quand Bruxelles se plaignit, le Kremlin fit remarquer que les “Gardiens de la paix européens” étaient déjà dans les rues d’Athènes, Rome et Madrid. “Pourquoi”, demanda Poutine, “les règles devraient-elles être différentes à l’Est ?”… Et, en effet, il marquait un point. Même à Paris, Sarkozy avait ordonné une répression sans pitié de l’insurrection civile, présentée comme une mesure provisoire visant à mater la montée du terrorisme anticapitaliste. Des milliers de cadavres jonchaient les rues de la capitale française, un immense charnier avait été creusé place du Champs de Mars, le couvre-feu avait été instauré à 20h et la totalité des comptes d’épargne avaient été confisqués. Cet été là, Sarkozy amenda la Constitution française afin qu’il pût transformer la France en “Empire capitaliste démocratique européen”, (l’E.C.D.E), arguant que la stabilité comptait davantage que les gentillesses législatives. Maintenant plus que jamais, il semblait se prendre pour la réincarnation de Napoléon Bonaparte, en nichant ostensiblement sa main dans son grand manteau de style militaire.
De retour en octobre 2011, il avait dit à David Cameron de “la fermer”, clamant que l’Europe en avait “eu assez” des conseils des Britanniques. Dorénavant, il versait dans l’anglophobie pure et simple. Sarkozy avait même dit à la télévision française en août 2016 que la crise avait été “engendrée à Londres”. Pour certains journaux britanniques, ces mots étaient la preuve d’une alliance tacite entre Moscou et Paris nourrie avec le pétrole et l’argent du gaz russe.
Et, maintenant, les ambitions napoléoniennes semblaient avoir monté à la tête du président français. Cinq jours avant Noël 2016, Sarkozy annonça à une foule en liesse à Vichy que : “Tous les membres de l’Union Européenne doivent embrasser notre projet et rejoindre l’euro, ou ils en paieront le prix”… En Grande-Bretagne, ses allégations provoquèrent une tempête d’indignation.
Cependant, à cet instant, le faible premier ministre était presque complètement dominé par son Chancelier outrecuidant, Ed Balls, qui insistait sur le fait que la Grande-Bretagne ne pourrait simplement se permettre de rejoindre une monnaie franco-allemande manifestement injuste. Comme la France accentuait la pression, avec les agriculteurs français incendiant de manière rituelle les importations britanniques à la sortie des ports du Channel, Miliband craqua, se résignant et fuyant pour prendre un poste d’enseignant à Harvard. Dans une tentative désespérée de revigorer la popularité du Parti Travailliste, Ed Balls annonça qu’il ouvrait des discussions sur le retrait de la Grande-Bretagne de l’Union Européenne, même si la France et l’Allemagne insistaient sur le fait qu’ils feraient barrage à ce “piratage nationaliste hors-la-loi”. Maintenant les événements du Channel prenaient une tournure sanglante et décisive.
Pendant des années, la Belgique avait été paralysée par un antagonisme entre les Flamands néerlandophones et les Wallons francophones. Depuis l’été 2010, le pays n’avait même pas bénéficié d’un gouvernement propre, d’abord dirigé par une coalition intérimaire et, ensuite, à partir de 2014, par l’Union Européenne elle-même. Mais à l’été 2017 les affrontements inter-communautés dans le centre de Bruxelles devinrent terriblement brutaux. De Wallonie furent reçus des rapports de néerlandophones battus et intimidés hors de leurs domiciles. Le 1er août, Sarkozy envoya les parachutistes français sur Bruxelles. “Bruxelles est le cœur véritable de l’Europe”, déclara-t-il…, “ce qui veut dire que c’est une partie intégrante de la France”.
Pour la Grande-Bretagne, il s’agissait de l’ultime provocation. Tous les partis s’accordèrent sur le fait que, grâce à la promesse de longue date de la Grande-Bretagne de défendre l’indépendance belge, il n’y avait pas d’autre choix que d’y envoyer des “Gardiens de la paix”.
Les événements des quelques mois suivants font peine à lire…
Même en 2011, la Grande-Bretagne ne disposait que de 101.000 soldats réguliers en comparaison des 123.000 de la France, mais les années de coupes sombres dans les dépenses avaient eu un impact négatif. En 2017, les troupes terrestres de la Grande-Bretagne étaient réduites à seulement 75.000.
Et, lorsque le combat éclata entre “Gardiens de la paix” français et britanniques dans les environs de Gand en ex-Belgique, personne ne doutait sérieusement d’une victoire française. Assistée par des auxiliaires espagnols et italiens, galvanisée par les fonds allemands et soutenue par la Russie néo-impérialiste, l’armée française a encerclé les forces expéditionnaires britanniques sur l’autre bord du Channel et les a réduites en lambeaux. Les USA, totalement ruinés (Plus de 500 millions de milliards d’euros) étaient incapables d’assister leur partenaire européen, alors que chaque semaine apportait à Londres son lot d’émeutes anti-guerre et anticapitalistes. Les placards se vidaient progressivement, le moral de la nation touchait le fond. En Écosse, les sondages montraient que plus de 70% voulaient l’indépendance ! En Irlande du Nord, les bombes de l’IRA se mirent à exploser presque quotidiennement.
La semaine suivante, s’adressant à une vaste foule dans Bruxelles occupée par les Français, Nicolas Sarkozy a déclaré : “Il est temps d’effacer la honte de Waterloo. La Grande-Bretagne a toujours fait partie de l’Europe, même s’ils refusent de le reconnaître. Il est temps de leur souhaiter la bienvenue dans notre famille, par la force, si nécessaire”. La reine d’Angleterre n’a pu que constater que le drapeau national pendait déchiré et triste : “Nos jours glorieux se sont envolés. Et, à Bruxelles, nos nouveaux maîtres se préparent à la victoire”, a-t-elle dit dans un discours émouvant, juste avant de se suicider, cédant le trône à Camilla, son mari le Prince Charles, devenu paraplégique suite à une chute de reins (c’est sexuel), lui ayant permis de régner !… Le chamboulement des destinées était incroyable.
C’est l’exact moment que choisit Poutine pour envahir toute l’Europe… En moins de huit jours, l’armée Russe était dans Paris et arrêtait Sarkozy pour crimes contre l’Humanité selon une plainte déposée par Bernard Henry Levy qui venait de racheter cet ancien journal communiste, arguant que le Président Français était la cause du suicide de trois rédacteurs… Le Procureur Général de la Cour Pénale Internationale, demandant la peine de mort pour ces faits, rappela qu’il y avait sept ans, les propos d’Angela Merkel sur la menace à l’encontre de la paix semblaient non plausibles, même absurdes : “Quelle tragédie que de ne pas écouter lorsque nous en avons encore l’opportunité”…
Fin 2018, le chômage a encore grimpé… de 22 % il est passé à 54 %. Toutes les classes sociales ont manifesté leur ras-le-bol dans un concert de casseroles, tout ce gâchis provenant de l’explosion de la dette sous la dictature Sarkozienne du début des années 2000. En récession, la France s’enfonçait dans la pire crise économique de son histoire. Le FMI a alors refusé d’aider le gouvernement radical de François Hollande qui remplaçait celui du traitre Sarkozy, il n’y avait plus moyen de tenir la parité d’un Euro pour un Yuan qui servait d’arme anti-inflation après la déconfiture américaine… et Poutine dans le même temps voulait obliger les gouvernements européens à remplacer l’Euro par les Roubles. La fuite des capitaux avoisinait alors les 2.000 milliards. Le gouvernement a alors limité les retraits bancaires à 40 euros par semaine. Des Yuans se sont mis à circuler pour pallier l’absence d’euro- cash. Dégoûtée, appauvrie, une partie de la population s’est mise à piller les supermarchés. Les grèves se sont multipliées. C’était l’état de siège, la répression policière, la France plongeait en enfer. François Hollande a alors fui l’Elysée en hélicoptère et s’est réfugié au Quatar.
En deux semaines, la France a changé quatre fois de président, DeVillepin, Baroin, Joly et, fin décembre 2018, sous la présidence de Jacques Attali, grabataire, elle fait défaut sur sa dette publique extérieure… La France est en faillite. C’est en finale un jeune blanc-bec employé de la banque Rothschild qui prend la présidence tout simplement en s’installant au Palais de l’Elysée déserté ! Dans ce coup d’état sans un seul coup de feu, il est aidé par l’ensemble des employés des finances ! Sorti en 2004 dans la “botte” (c’est-à-dire parmi les tout premiers) de l’ENA, Emmanuel Macron a rejoint à 27 ans la très élitiste Inspection des finances. Il devient rapidement le protégé de Jean-Pierre Jouyet, alors chef des inspecteurs des finances, qui le présente à Jacques Attali. De fil en aiguille, Emmanuel Macron est désigné en 2007 rapporteur général adjoint de la Commission pour la libération de la croissance. Présidée par l’ancien sherpa de François Mitterrand, ce cénacle est un vivier de patrons, d’économistes et d’intellectuels. Le jeune Macron étoffe son carnet d’adresses et croise quantité de bonnes fées qui se penchent sur sa carrière naissante. Elles l’orientent vers la banque d’affaires. Au moins trois commissaires, Jean-Michel Darrois [avocat], Serge Weinberg [président du conseil d’administration d’Accor] et Xavier Fontanet [PDG d’Essilor International], le recommandent chez Rothschild. C’est C’est l’homme d’affaires Alain Minc qui est son mentor et lui a donné ce conseil, dès sa sortie de l’ENA : “Pour faire de la politique aujourd’hui, il faut être riche ou ascète. Donc, commence par fabriquer de l’épargne et deviens banquier d’affaires. D’abord, tu seras libre de conseiller des hommes politiques pendant cette période. Mais, surtout, tu gagneras bien ta vie pendant plusieurs années, et tu y gagneras ta liberté”.
Emmanuel Macron a suivi la suggestion de son mentor et s’est mis en disponibilité de la fonction publique. A trente ans, il rejoint la banque d’affaires Rothschild & Co, dix jours seulement avant la chute de Lehman Brothers ! Krach ou pas, Rothschild & Co conserve son cœur de métier : l’ingénierie financière. A l’instar de sa grande rivale Lazard, la banque d’affaires est spécialiste des fusions-acquisitions (les “fusac” pour les initiés). A elle de faire les évaluations financières lorsque deux entreprises s’allient, cèdent des filiales ou échangent des participations. A elle, surtout, de “renifler” à l’avance les mariages supposés juteux entre grandes entreprises, pour jouer les entremetteurs intéressés. Pour le jeune banquier Emmanuel Macron, il s’agit donc de décrocher des marchés, et de prouver ses compétences dans un domaine tout neuf pour lui. Son plan est d’entrainer le monde de la finance avec lui dans la conquète absolue du monde ! Grâce à Peter Brabeck-Letmathe, PDG de Nestlé rencontré à ce moment-là, il décroche le gros lot, il se voit confier la négociation du géant agro-alimentaire pour racheter aux laboratoires pharmaceutiques Pfizer sa branche de laits infantiles. Il réussit. Nestlé débourse près de 9 milliards d’euros, Emmanuel Macron est milliardaire… avec Pfizer et quantité de multinationales à ses bottes. Il se lance en politique. Son discours insiste sur le modèle Sarkozien pervers, repris par ses sbires : “Cette gabegie a jeté 20 millions de citoyens dans l’indigence, détruit la classe moyenne et l’industrie”, se lamente-t-il. Il a donc créé “son” coup d’Etat avec l’aide du personnel des finances, s’implantant à l’Elysée qui avait été désertée et s’est ainsi emparé de tous les pouvoirs grace à ses relations ! Il va ensuite rompre tout lien avec le dollar, avec le Yuan et les Roubles et il va restaurer le Franc Français qu’il appelle le FrancMacron dont le symbole “Franc-Maçon” avéré est une pyramide au sommet duquel un oeil veille ! L’oeil de Macron !!!
Les banques sont prises d’assaut. Mais les Français ont beau frapper contre les rideaux de fer, on leur interdit de retirer leurs dépôts. Certains perdent toutes leurs économies. Le chômage touche plus des neuf-dixièmes de la population. La pauvreté est généralisée. La nuit tombée, des dizaines de milliers de recycleurs de carton fouillent les poubelles. Macron tient bon, il reprend à son compte divers discours de Winston Churchill : “Des pleurs et des larmes, il faut lutter”… et autres discours… Il crèe artificiellement une pandémie calquée sur les conseils de Microsoft : “Créer d’abord l’antivirus avant le virus pour que les consommateurs l’achètent en masse”... Il va plus loin, il décrète l’Etat de guerre contre le virus ! Le succès est total grace à une habile campagne basée sur la peur ! 100.000.000 de vaccins sont rendus obligatoires sous peines d’amendes et de réclusions. Qui ne se soumet pas ne peut voyager ni percevoir quelconques assistances… C’est évidemment un retour d’ascenseur aux laboratoires qui lui avaient permis de devenir milliardaire ! Le chiffre d’affaire est colossal. Le très peu de “FrancsMacron” que possédait la population change de mains… Les populations meurent quand même, pas du faux virus, mais de faim !
“Ce fut le pire Noël de ma vie”, se souvient le styliste Karl Lagerfeld. Un mois plus tard il ré-ouvre pourtant une boutique de mode. Aucune cliente ne franchit la porte du magasin dans les premières mois… “Il n’y avait ni futur ni perspective d’amélioration. Ni cash, ni main-d’oeuvre, ni matériel”, poursuit-il…, “mais j’avais confiance en moi. Pour faire marcher ma boutique, je m’achetais des vêtements à moi-même, puis je les revendais à ma boutique à qui je les achetais, c’était très rentable, cela me permettait de vivre en autarcie. Mon boucher a voulu m’imiter mais il est mort d’une intoxication alimentaire”…
La boutique de fringue “New Karl Lagerfeld” fait partie des quelques 20.000 PME en faillite récupérées par leurs employés. 40.000 emplois ont été ainsi préservés. Karl se réjouit : “J’ai démontré que l’autogestion peut rapporter des bénéfices. Ne cherchez pas le patron, Chanel c’est fini, terminé : il n’y a plus de patron. Nous sommes tous notre propre patron et moi le patron des non-patrons, c’est ainsi, je reste le meilleur. D’ailleurs grâce à la crise mondiale les gens sont devenus beaux car très minces, la maigreur est un grand avantage dans les périodes troublées. J’ai d’ailleurs lancé deux collections spéciales pour les femmes, l’une pour les pauvres inspirée des tenues portées dans les camps Fema qui ont été ouverts dans le monde entier, l’autre pour les moins pauvres, principalement des robes “Pétain For Ever” en Vichy”.
À son image la France ce qui reste de la France sauve progressivement sa peau à force de débrouille, de cynisme, d’entourloupes… et d’un peu d’autogestion. Après l’enfer, le pays s’enfonce peu à peu dans le purgatoire. Grace à des salaires revus sur base des standards orientaux, le pays affiche une croissance à la chinoise, de plus de 1 % par an, sauf en 2019 (0,8 %) et 2020 (0,9 %), à cause du rebond de la crise internationale aux USA. Du jamais-vu dans l’histoire ! Bref, de bonnes bases pour entreprendre et réduire la pauvreté et le chômage, qui est tombé sous les 72 %. Si le gouvernement Macron est toutefois accusé de manipuler les statistiques officielles, mais l’embellie est bel et bien là. Les Français jouissent d’un salaire minimum de 250 FrancsMacron par semaine, soit équivalant à la moitié des salaires Chinois… et d’un pouvoir d’achat moyen parmi les plus élevés d’Europe, malheureusement inférieur à ceux du Pakistan et de l’Inde.
Son salut, Macron affirme que “SA” France le doit d’abord à son toupet : “Ma France a dit MERDE aux plans d’austérité et au FMI, puissance honnie. J’ai dû répéter trois fois au directeur du Fonds à l’époque, que la France retirait ses demandes de prêt. Il n’en croyait pas ses oreilles”, affirme Macron qui a piloté la plus grande restructuration de dette de l’histoire moderne : 1.020,5 milliards d’euros avec une décote (réduction de la dette) de 75 %. Début 2019, la France a remboursé d’une seule traite les 180 milliards d’Euros qu’elle devait encore au FMI.
Reste que les marchés financiers internationaux la boudent toujours… ou lui proposent des taux d’intérêt prohibitifs, considérant que le risque pays est trop élevé. Car la France doit encore de l’argent à certains créanciers récalcitrants qui ont entamé des procès, notamment les États-Unis et l’Algérie ! Bien sûr, le rebond n’aurait pas été possible sans la flambée des prix des matières premières agricoles, portée par la demande chinoise. Le prix du litron de Beaujolais nouveau est passé d’environ 450 dollars la bouteille à 800 FrancsMacron ces dernières semaines. Une aubaine pour la France, premier pays exportateur mondial de vin. Un flot de devises (100 milliards de FrancsMacron par an) renfloue les caisses de l’État, qui prélève de fortes taxes sur les exportations. La formidable rente vinicole (chaque français est légalement obligé d’acheter et consommer chaque jour un litron de vinasse) finance les mesures prises, qui passent par la relance de la demande, avec une aide spéciale pour les classes moyennes et défavorisées (plus de 40 FrancsMacron par mois donnés à chaque enfant scolarisé). Le gouvernement subventionne aussi les tarifs de l’énergie, de l’eau et des transports, le ticket de métro vaut 20 centimes. La consommation est vigoureuse, les centres commerciaux bondés. Cette année, il se vendra en France plus de Citroën AMI électriques qu’au Mexique ou en Albanie.
Macron mène une politique interventionniste et protectionniste, n’hésitant pas à nationaliser les régimes privés de retraite et mettant les sociétés au pas. Il reçoit parfois les chefs d’entreprise avec un revolver posé sur le bureau ! Le gel des tarifs des services publics a mis les entreprises dans une situation intenable et quelques-unes se sont vues contraintes de partir… Macron a ainsi lancé un plan de substitution et d’entraves aux importations, afin de protéger l’industrie locale, objectif : réduire de moitié les importations d’ici à 2025. Les importateurs sont sanctionnés, sauf s’ils s’engagent à exporter.
Cette année, la Barbie de Mattel a été bannie de la France. Pour que la poupée blonde fasse son come-back, le géant américain du jouet s’est engagé à offrir un set alimentaire à chaque acheteur (une bouteille de Beaujolais et un pack de 250gr de Camenbert) d’une poupée Barbie. Gonflé, mais efficace.
“Le gouvernement Macron a revalorisé toute l’industrie nationale, a aidé les fabricants à améliorer leur production pour exporter, néanmoins, le troc exportation pour importation crée des curiosités. La filiale de Porsche doit exporter du vin d’Alsace, celle de BMW du Roquefort ! La France devient la championne du monde du protectionnisme, avec plus de 150 mesures”… affirme Dominique Strauss Kahn devenu président de Global Trade Alert… De quoi vider de sa substance l’union douanière internationale qui a été privatisée et reprise par des capitaux Israéliens sous son instigation, puisqu’il est également devenu double casquette, gouverneur de la banque mondiale et des finances Israéliennes…
Le voisin National Socialiste Allemand, l’un des principaux fournisseurs, est très agacé, prétendant que la France joue avec le feu. Le FMI crie au casse-cou, mais quelques Prix Nobel d’économie conseillent aux USA d’imiter la France pour renaître de ses cendres. “L’exemple Français Emmanuel Macron montre que le défaut est une idée formidable”, écrit le New York Times… “Les plans de sauvetage consistent à réduire la demande en pleine récession. Or, une économie ne peut pas s’en sortir sans consommation. Le FMI et la BCE se trompent encore. Macron avait raison. Il a sauvé la France”… Les yeux de Macron se tournent alors vers la Russie. Son nouveau discours est de ramener la France aux portes de Moscou et de continuer là ou Napoléon Bonaparte a dû rebrousser chemin… Il s’autoproclame Empereur, trace ses plans d’attaque et s’invite à une présentation de son plan sur les chaines TV en Mondovision…
En direct, le monde entier est stupéfait… Vladimir Poutine vient d’envoyer 10 missiles balistiques atomiques sur Paris et l’ensemble de la France avec un message simple : “La France est toujours en retard d’une guerre”…