Mourir pour sauver la planète…
“Covid19”, “Grippe Aviaire”, “Grippe Espagnole”... il n’y a aucune raison de s’inquiéter, l’humanité n’en est pas à sa première pandémie ! Dans le passé, des dizaines de millions d’humains ont succombé à des virus qui se sont répandus dans la population mondiale ! La grippe espagnole de 1918 avait une très bonne capacité de contagion, elle a tué plus de 50 millions de personnes ! Le virus de l’influenza aviaire (H5N1) inquiète bien plus les optimistes, car son taux de létalité avoisine les 60 % et il est occupé à muter, ne se satisfaisant plus des poulets il veut de la chair humaine et s’associe avec le Covid19 pour contrer tout vaccin par avance… Il y a également le Mers en embuscade, ainsi qu’Ebola, une vieille saloperie qui a fait ses preuves en Afrique… et aussi le H1N1 qui a fait la fortune d’un(e) de nos ministres franchouille…
Ce qui est merveilleux c’est que les virus (et nos “politiques”) se mélangent tous peu à peu entre-eux contribuant aux directives des diverses Cop (depuis Cop21) reprises par l’OMS et divers multimilliardaires, indiquant qu’il est urgent de réduire le nombre d’humains de 80%… (traduisez qu’il est IMPERATIF de supprimer 80% des 8 milliards d’êtres humains actuels) !
Selon le scénario le plus probable (le scénario moyen), la population mondiale devrait atteindre son maximum vers 2050 ou 2060 avec neuf milliards d’êtres humains sur notre planète, encore faut-il préciser que ce scénario moyen est assez optimiste car il suppose que des mesures efficaces (contraception notamment) seraient prises dès à présent via quelques pandémies, divers massacres d’envergure et quelques guerres en ce compris un accident atomique en Iran) pour enrayer quelque peu cette hausse vertigineuse… car la question principale qui se pose aux dirigeants de notre Planète, est : “La Terre, notre planète à nous seul(s)s, peut-elle supporter toute cette population d’ahuri(e)s, de débiles et de dégénéré(e)s aimant les pires conneries (courses automobiles, matchs de Foot et Rugby, jeux télévisés), de manière durable ?”…
Et la réponse est : NON ! Quoiqu’il faille préciser cette réponse car en fait il y a deux questions qui se cachent là-dedans :
-La première est de savoir si la Terre pourra nourrir tous ses habitants ?…
-La seconde est de savoir si l’empreinte écologique de tous ces êtres humains sera supportable pour notre planète ?…
En d’autres termes, peut-on encore rêver d’un développement durable avec neuf milliards d’habitants ? Et ces deux questions sont liées !
Pour nourrir neuf milliards d’humains, il faudrait généraliser l’agriculture intensive et anti-écologique telle qu’elle se pratique en Europe, au Japon et aux USA ainsi que peu à peu sur toute la planète. En fait ce qui se produira le plus probablement c’est que le nombre d’êtres humains mal nourris ou souffrant de famines chroniques va croître de manière vertigineuse, accentuant encore les écarts entre les pays dits “du Nord” et ceux “du Sud”.
Quand on sait que l’empreinte écologique de la population mondiale est d’ores et déjà supérieure à la surface des terres utilisables pour la production agricole et industrielle, il est malheureusement certain que neuf milliards d’individus ne peuvent pas vivre de manière durable sur notre planète.
La population maximum que notre planète peut soutenir de manière durable dépend du mode de vie de ses habitants ! Si l’on veut que tout le monde puisse, un jour, bénéficier de la qualité de vie d’un occidental (disons un français, blanc, sachant parler le français, respectant le Gouvernement élu même non démocratiquement… et acceptant nos origines Chrétiennes sans jamais dire ou penser quoique ce soit de négatif envers les Juifs) un “bon-français moyen” dont l’empreinte écologique est de 4,4 hectares par tête de pif… alors le calcul est simple :
La surface de nature “utilisable” de la terre (surface des terres émergées moins les déserts et les surfaces temporairement habitées par des sous-hommes) est d’environ 13 milliards d’hectares. Il suffit donc de diviser 13 milliards par 4,4 et on trouve à peu près trois milliards d’habitants. Eh oui, c’est le nombre maxi d’êtres humains que la planète peut supporter de manière durable ! Si la population mondiale dépasse ce seuil (ce qui est le cas depuis les années 1970), alors nous dégradons irréversiblement la planète, nous gaspillons ses richesses et nos descendants vivront automatiquement moins bien que nous. Peut-être pas tout de suite, car les cycles de changement sont lents, mais comme on va rapidement vivre moins bien qu’aujourd’hui il est impératif de créer un génocide généralisé.
Divers écologistes scientifiques, affirment dès-lors que “faire des enfants tue”, qu’il faut réduire notre empreinte écologique à moins de 2,9 hectares, donc que la copulation doit être régulée par une stérilisation des masses via des vaccins censés combattre n’importe quelle pandémie imaginée…
Et pour la France, sa surface comme chacun sait est de 550.000 Km2… il est primordial de réserver 20% de cette surface pour les habitations, les villes, les moyens de transports (routes…) et les espaces naturels à préserver absolument. Restent 444.000 Km2, soit 44,4 millions d’hectares… et puisque l’empreinte écologique d’un français tourne autour de 4,4 Ha, cela donne une population “soutenable” de 10 millions d’habitants. Les français sont d’ores et déjà six fois trop nombreux !
Mais ils maintiennent leur niveau de vie en pillant les ressources des autres pays et en créant des guerres un pneu partouze comme les Américains. Donc ; la France bombarde la Lybie, la Syrie, toute l’Afrique, bientôt l’Iran (en s’étonnant et s’offusquant que les déchets humains de ces sous-pays de merde (dixit !) osent venir se révolter chez nous en s’explosant ou en coupant l’une ou l’autre tête) ! L’Amérique et son micro-état protégé des dieux s’amusant durant ce temps en créant de faux problèmes entre la Russie, la Chine et le Japon pour qu’ils s’atomisent ensemble… et au-delà, hop, terminé ! Dans ce jeu de dupés, il faut aussi trucider ceux qui ne sont pas de “bons-Français” ou de “bons américains” (Blancs, Chrétiens et dérivés, Juifs acceptés) … tous les autres sont à exterminer, c’est le résultat d’un calcul mathématique intitulé : “8 solutions à la surpopulation mondiale” !
La racine du problème, c’est que nous raisonnons toujours comme nos ancêtres d’il y a deux mille ans, pour lesquels la croissance de la tribu était ce qui comptait le plus. Nous sommes tellement habitués à croire que “plus on est nombreux, plus on est fort” (plus on est de fous plus on rit) à tel point que nous avons du mal à accepter ou même à imaginer que, dans le monde moderne, c’est exactement l’inverse ! En effet, en réalité, dans un monde aux ressources limitées, plus on est nombreux, plus on est faible. Nos instincts tribaux, renforcés pendant des siècles par les trois grandes religions monothéistes, pour une fois toutes d’accord sur le “croissez et multipliez”, ne nous servent plus, ils nous desservent.
Le contrôle des naissances semble une solution raisonnable, même s’il se heurte à d’innombrables problèmes pratiques et éthiques… mais si l’on raisonne froidement, en n’écartant aucune alternative, il n’y a que 8 solutions possibles, a priori, pour résoudre le problème de la surpopulation au niveau mondial :
1- La guerre avec génocide général de tous les autres que nous (un moyen basique utilisé d’abord par les expatriés européens d’il y a quelques siècles s’appropriant le continent Américain sud, centre, nord… puis une solution (finale) perfectionnée par les nazis). Variante “à la Française” : une pandémie provoquée ! C’est plus subtil, quasiment frivole, plus fun que les têtes coupées lors de “notre” Révolution Française… (honte aux barbares qui nous copient à cause de Charlie Hebdo) !
2- L’interdiction ou la limitation des naissances par la religion ou les Etats. Variante plus extrême, la stérilisation partielle de l’humanité, ou la stérilisation totale d’une grande partie de celle-ci (On a essayé le Sida, mais on s’est trompé de cible avec les “zomos”)...
3- La bunkerisation “à-la-Trump” : vivre dans un pays-bunker, s’entourer de murailles et regarder le reste de la planète crever de faim.
4- La fuite en avant technologique. L’idée élaborée par quelques Végan, convaincus que les rendements agricoles pourront toujours augmenter, que les cultures hydroponiques ou les algues ou les insectes, pourront alimenter les humains de demain.
5- L’euthanasie programmée par l’instauration d’un âge limite légal variable selon la surpopulation.
6- La génétique, par la miniaturisation des humains, ou la création d’une nouvelle race de format 1/8ième nécessitant moins de ressources ! Tolkien avait prédit l’affaire avec la prolifération des nains !
7- La fuite vers l’espace (Vision d’Elon Musk, patron de Tesla)
8- Le transhumanisme : La possibilité (qui reste à démontrer par Microsoft) de “migrer l’esprit humain” dans des robots ou des nano-puces. Solution qui permettrait l’immortalité de Bill Gates !
Chacune de ces huit “solutions” possède d’ores et déjà ses défenseurs et ses lobbys. Dans cette partie d’échecs planétaire ils avancent leurs pions. Consciemment ou non, chacun de nous sera dans l’avenir de plus en plus contraint de choisir entre l’une ou l’autre de ces huit solutions, qui représentent donc les forces qui influencent l’actualité, et même, inconsciemment, la plupart de nos décisions à nous, simples citoyens… besogneux et besogneuses, larbins, larbines, irrévocablement prédestiné(e)s à avoir l’honneur d’être bientôt comptabilisé(e)s dans la liste de 80% d’élu(e)s pour qui notre Président termine la concoction savoureuse d’un Patriot-Act à la Française !