Nouvelles fraîchement pourries du Belgikistan…
La police judiciaire fédérale de Bruxelles a informé le ministre de la Justice de l’existence de poursuites visant de hauts magistrats.
La police suspecte le parquet général de Bruxelles et le parquet général auprès de la Cour de cassation de vouloir protéger ces magistrats.
Faire intervenir le ministre de la Justice serait selon la police judiciaire fédérale, le seul moyen de faire avancer la procédure.
Il est question d’un système de corruption et de faux en écriture mettant en cause : “La magistrature de Bruxelles et en dehors“.
De sources bien informées, on affirme que : “Si ce dossier caché au public depuis des années éclate au grand jour, les conséquences pour la crédibilité de la magistrature seront incalculables, de quoi jeter un regard tout autre sur de nombreux dossiers comme la faillite de la Sabena… Sobelair… et récemment l’affaire Fortis“, dit-on à ces sources… et rapportent divers quotidiens belges, qui précisent que le ministre de la Justice n’a pas souhaité réagir à ces informations.
La justice est humaine, inventée, créée, légiférée, appliquée par des hommes nommés par des hommes, pour que tout le monde soit : “Egal devant la loi et traité de la même façon“.
Si ceux qui élisent, nomment, écrivent, légifèrent, appliquent… ne sont pas intègres, il y a forcément des problèmes.
Il n’y a pas de demi-mesure dans “l’intégrité“…
Croire que le ministre de la justice : “Serait le seul moyen de faire avancer la procédure” est d’une totale naïveté, puisque toute la classe politique est corrompue, l’ancienne ministre de l’injustice, la Stalinienne Laurette Onkelinxk étant elle-même en tête d’un parti regroupant les pires magouilles et faits de corruption imaginables, que ce soient l’affaire des pots de vin liés aux hélicoptères Agusta qui a frappé les plus hauts dignitaires du parti socialiste, l’affaire des détournement des maisons sociales de Charleroi, l’affaire de la raffinerie de pétrole de Feluy, l’affaire Cools/Vanderbiest, de même que quantités de scandales liés au pouvoir socialiste qui ont gangrénés définitivement la belgitude patrie, dont la DIV et ses lois faites sur mesure pour enrichir quelques pontifes via les obligations du contrôle technique et autres joyeusetés…
Pourtant…, oui, pourtant…, il faut se méfier davantage d’un Etat policier que d’une république des Juges…
Une république des Juges protège un système en accordance avec le monde politique, ne sanctionnant que les abus par trop criants et dérangeants…, laissant diverses libertés à la population comme autant de soupapes laissant échapper trop de pression…, tandis qu’un Etat policier prive la population de ses libertés les plus élémentaires…
Un système ou un autre laisse aux populations un semblant de liberté, même sous le joug de la “stratégie de la peur” consistant à créer de toutes pièces des attentats pour faire croire à la population qu’elle est en grave danger mais qu’un renforcement des structures étatiques permettrait d’annihiler les prétendus terroristes…
Mais les deux systèmes, s’ils se rejoignent, sous l’autorité étatique…, c’est la dictature !
La dictature, dans les pays dits démocratiques, n’étant pas “politiquement correcte”, a été remplacée insidieusement par un mélange de dictature et de particratie ou se sont toujours les mêmes qui finissent au pouvoir alors que leur succession est assurée par leurs enfants politiques, génétiques ou/et politiques…
Dans les grandes affaires d’argent, la justice du Belgikistan est un véritable état de non-lieu (non-droit), abonnée aux abonnés absents, elle est mise au service du pouvoir politique plutôt qu’au service du droit, de l’application de la loi et de l’éthique des principes fondamentaux qui régissent cette institution, mère de toutes les libertés, de toute vie publique harmonieuse, basée sur la transparence et l’égalité des chances, des droits et des devoirs.
Elle, plus que toute autre institution, devrait être dans l’obligation d’être la référence et le recours devant toute forme d’abus ou dérèglement public, de tout ordre.
Mais, la justice du Belgikistan, en se soumettant à un ordre dictatorial imposé par divers politiques aux bottes d’un “Nouvel Ordre Mondial“, justifie tout le désordre, les vices de formes, l’absence de vertu et la mise en jachère de la société.
Elle est devenue par la dégénérescence et la duplicité de certains de ses membres, placés à ses postes clés par la dictature politicienne Belgikistane, une sorte d’institution potiche, vidée de son essence et de sa sève, aux ordres d’un pouvoir politique dont les membres n’ont qu’un seul but : s’en mettre plein les poches, même s’il leur faut vendre le contenu de leur pays à ceux qui leur offrent les plus importants dessous de table versés sur des comptes anonymes dans les banques de pays qui le sont tout autant…
L’actuel scandale est l’affaire du Tamiflu, soi-disant le vaccin miracle obligatoire (les lois sont prévues pour ce)… d’un virus de grippe porcine créé de toutes pièces par les mêmes laboratoires qui commercialisent l’anti-virus…, les pots-de-vin colossaux qui sont de mise dans le business des laboratoires au profit des médecins et hôpitaux est exactement le même processus qui a été bénéficiaire aux décideurs (décideuses est plus approprié considérant la Belgique et la France), des achats de millions de doses d’un anti-virus qu’ils (qu’elles) ont rendu obligatoire via l’adoption de lois scandaleuses !
Le nouveau grand scandale en devenir qui va sans nul doute démontrer que la vente de la Sabena, de Fortis et autres a été calculé pour que des “politiques” s’assurent (en double sens) un pactole de centaines de millions d’euros avec la complicité non bénévole de très hauts magistrats…, ne vise pas vraiment, ces institutions ainsi reformatées, mais vise pour la police fédérale, à obtenir que ces mêmes hauts magistrats et “politiques“, ferment leurs yeux sur d’autres pratiques…
Ce grand charivari n’est donc nullement une soudaine soif de justice, mais un moyen politique de redonner une “bonne” image à la simple police en sacrifiant quelques pions (d’envergure) mais qui s’avèrent maintenant inutilisables…
Cela ne fait que reproduire en permanence les visions dogmatiques et anticonstitutionnelles des marionnettistes qui gouvernent le Belgikistan, eux-mêmes manipulés par le grand Mickey financier qui gère le “Nouvel Ordre Mondial“…
Le champ de l’application de la loi… et des références du droit sont, ainsi, totalement neutralisés pour laisser libre cours, à un ersatz de règles qui répondent pleinement à la main mise policière, juridique et politique, réalités sociales, économiques et culturelles confondues.
Cette dictatucratie, s’est faite par l’abus de pouvoir, par des formulations quasi-dogmatiques et divers tripotages (des “accomodements-législatifs“) qui ne respectent ni les codes, ni les procédures, ni le droit….
La perversion de la justice, de la police et de la politique ne date donc pas d’aujourd’hui, les lois et la justice ne peuvent se faire dans le bricolage et la forfaiture, tout devrait être transparent.
La dictatucratie a perverti l’idée même de la justice, pour en faire un des principaux outils de dérèglement de la société : des juges serviles et aux ordres, rien que dans l’apparat et le mensonge, pour annoncer des arrèts et jugements incompréhensibles au mépris même des lois sans cesse interprétées en attente qu’un amendement ne les modifie…
Ce pouvoir des juges est la cible de l’attaque de la police fédérale qui cherche ainsi à obtenir la soumission des juges dans une dictatucratie policière !
C’est un crime organisé !
Le fonctionnement de cette justice “aux ordres” par des magistrats dévoyés en dysfonctionnement permanent, le tout couvert par la classe politique au pouvoir, va lentement faire son oeuvre en accentuant les “délits d’opinion” et autres condamnations pour des faits imaginés par le “Nouvel Ordre Mondial” (le terrorisme), sans aucune considération autre, une dictatucratie paranoïaque et schizophrène, répondant ainsi aux critères du privé, plutôt qu’aux obligations constitutionnelles qui doivent être la règle suprême de toute institution et administration d’un état qui se respecte.
Avoir une opinion personnelle devient peu à peu un crime en soi, comme si ne pas accepter les diktats de la dictatucratie, en exigeant la liberté totale de parole, la liberté totale d’écrire, la liberté totale de penser, la fin des faits des princes et du roi avec ses suites interminables et coûteuses…, étaient des crimes de sang, ou comme le “Nouvel Ordre Mondial” l’affirme sans vergogne : des crimes terroristes…, véritables délits d’opinion !
C’est la dictatucratie qui pourtant les commets à chaque instant, quand elle sévit en amont de l’opinion par le biais d’une propagande qui popularise la doctrine officielle “mondiale” comme étant la seule valable et que toute autre opinion que la vérité officielle est déclarée comme dangereuse pour le bien de la société et de l’humanité.
C’est le point commun aux régimes totalitaires et à toutes les formes de dictatures !
Cette justice et ces magistrats aux ordres, sont partie prenante de la stratégie liberticide, il ne peut en être autrement, que ce soit dans le sens moral, politique, ou juridique, une dictature sans complices, ce n’est rien du tout !
De l’identité de la raison chez tous les hommes et du sentiment de respect qui les porte à maintenir à tout prix leur dignité mutuelle, résulte l’égalité devant la justice.
A mesure donc que le sentiment de Justice apparaît parmi les hommes, ils tendent donc à se reconnaître comme égaux, l’égalité est donc un effet de la liberté, en tant qu’elle permet l’expression de la Justice.
Le refus de l’autorité est quant à lui motivé par le fait que le principe autoritaire est extérieur et qu’il commande, dès lors, si la source du droit, ou de la justice, est placée hors de l’individu, elle ne saurait être la Justice, car il ne s’agirait pas d’un commandement que l’individu s’est donné mais qu’on lui impose.
Il cesse donc d’être libre et la Justice ne peut se déployer, à la manière d’une mécanique dont l’un des rouages viendrait à manquer.