Putes de luxe à Monaco : Mode d’emploi #2
Putes de luxe à Monaco : Mode d’emploi #1 , est, avec 918.531 lus, l’article N°1 des 4.000 publiés dans GatsbyOnline
Le vol de ma LéaFrancis #5502 (ACE of Spades), est, avec 915.822 lus, l’article N°2
Le Groupe Michel Hommel en faillite, est, avec 621.794 lus, l’article N°3
La seconde collection Schlumpf a disparu de France, est, avec 538.721 lus, l’article N°4
La Bugatti Atalante 57S de Louis-Charles-Antoine-Alexandre de Portbail-d’Ambremont et Louise-Marie-Léonie-Anegonde de Saint-Bénèvrieux de Lissac, est, avec 535.118 lus, l’article N°5
Donc, ce que vous lisez le plus, sont des scandales par dizaines, centaines et milliers voire plus de millions d’€uros… De l’argent, du sexe et des bagnoles… C’est donc avec bonheur que je crée ici un “Putes de luxe à Monaco : Mode d’emploi #2”...
Des carnets d’un administrateur limogé apportent leur lot de révélations sur le fonctionnement de la famille Grimaldi… “Le paradis terrestre est là où je suis”, écrivait Voltaire. Le paradis fiscal, lui, serait là où la presse n’est pas… Sauf GatsbyOnline. Une enquête de notre confrère/presse “Le Monde” révèle en effet que la famille princière de Monaco a, malgré la politique fiscale avantageuse du micro-état, placé une partie de sa fortune dans des paradis fiscaux. Ces placements offshore auraient été décidés pour mettre la fortune des Grimaldi à l’abri d’éventuels regards mal intentionnés et de la curiosité de la presse… Ce qu’avancent des sources proches du dossier sont époustouflantes. Déjà secoué par plusieurs scandales autour du marché de l’immobilier, du limogeage de Claude Palmero, administrateur des biens princiers et ex-proche d’Albert II, qui a tourné à la guerre judiciaire, Monaco est au cœur d’une nouvelle tempête après une série d’articles du journal “Le Monde” évoquant la gestion de la fortune des Grimaldi… Pour écoper l’avarie des moteurs et la voie d’eau, la défense des Grimaldi-Monégasques consiste à dire à l’AFP pour publication immédiate, que : “Des sociétés offshore ont effectivement été créées au Panama en 1984 du temps de Rainier III, le père d’Albert II”… Maître Jean-Michel Darrois, l’avocat du prince, ajoutant qu’il avait été demandé à plusieurs reprises à Claude Palmero de régulariser la situation, ce qu’il n’a pas fait… La réponse a été rapide : “Depuis que M. Palmero a été remplacé, tout cela est en train d’être liquidé. Claude Palmero n’a jamais rien fait à l’insu de ses mandants, bien au contraire, cela a toujours été en parfait accord avec eux et dans leur plus strict intérêt” a rétorqué Maître Marie-Alix Canu-Bernard, l’un des avocats de l’administrateur déchu.
En juin 2023, Claude Palmero avait été démis de ses fonctions, prié de quitter sur le champ son bureau installé dans une aile du palais princier, sur le Rocher, un coup de tonnerre pour ce sexagénaire qui gérait depuis 2001 la fortune de la famille princière. Depuis, il n’a de cesse de contester devant les tribunaux monégasques, mais sans succès puisque la Justice y est donnée au nom du Prince, même si c’est la Justice Française… L’éviction de Claude Palmero a été le déclencheur…. Il a formé il y a quelques jours un recours devant la Cour européenne des droits de l’homme, à Strasbourg, estimant avoir été privé d’un procès équitable. Les révélations du Monde se basent sur ses carnets personnels dans lesquels, selon le quotidien, il notait scrupuleusement les rendez-vous qu’il avait avec le prince pour régler les affaires de la Principauté et particulièrement celles concernant la gestion de la fortune personnelle de la famille Grimaldi, et ce depuis l’accession au trône d’Albert II en 2005. Ces carnets personnels avaient été saisis l’an dernier dans le cadre d’une autre enquête diligentée par la justice monégasque. Alors que le journal Monaco-Matin parle de “grand déballage” après la série du journal Le Monde, les avocats de l’ex-administrateur ont rétorqué que ce dernier “n’avait rien déballé”, soulignant qu’il avait au contraire réaffirmé au quotidien français que : “ces cahiers sont confidentiels et n’ont pas vocation à être montrés”…
C’est donc la fête dans la Principauté de Monaco, façon des “fêtes de villages” en Franchouille… Elles sont nécessaires, donc utile, c’est un peu comme si la civilisation avait besoin de chier et qu’elle le fasse à cette occasion précise. Une opportunité ponctuelle d’expulser de ses entrailles un méli-mélo infâme de tout ce qu’elle compte de triste, d’inabouti et d’archaïque dans une sorte de bouse récapitulative de 50 ans de drames. Alors déjà il faut comprendre que la fête de village de la Principauté Monégasque est quelque chose de GRATUIT et d’OUVERT, tout le monde peux venir sans que le moindre videur ne fasse office de filtre pour éviter que les affreux sans argent ne rentrent dans la Principauté pour “F… le bordel”… ou qu’une horde de Princes et Emirs arabes déboulent en Supercars, Yachts et Jets privés pour niquer les putes de luxe de Monaco comme de vrai gentlemans alors que les belle plantes vénéneuses et carnivores s’exhibent quasi nues un peu partouze… La fête de village de la Principauté, c’est la liberté comme au Moyen-âge : “Venez les plus nues possible”... Des plantes pré-effeuillées en quelque sorte…!
La fête de village de la Principauté, c’est le cocktail qu’on aime, les milliardaires sans scrupules, en bandes organisées pour réaliser diverses escroqueries d’envergure internationale, qui s’entrainent, qui s’agitent à savoir qui est le plus vicelard. Notez que “c’est bien tenu et bien propret” les racailles savent bien se tenir et comporter, pas de rixes à la chevrotine comme dans n’importe quelle cité de France, mais le principe (éculé) est le même, se taper des truies et des poules de luxe, qui jouent toujours le même répertoire dégueulasse… Prix de départ 10.000 la passe et 100.000 euros/dollars la nuit BDSM… Pas de nananas obèses avec des shorts moulants qui déglutissent des sandwichs à la saucisse huile-mayonnaise comme à Marseille, ni de putes de 13 ans qui essaient d’imiter la mode d’il y à longtemps en tentant un rapprochement vestimentaire pour aller tapiner. Il y a toutefois quelques salopes de 45/55 ans qui zieutent tout les friqués égarés susceptibles de leur filer 500 euros pour leur faire oublier l’espace d’une étreinte la triste vie qu’elles mènent… La France, en contrepartie, ne peut que proposer de la sodomie ou du néolithique… Vous l’aurez compris, la fête de village à Monaco est une œuvre d’art contemporaine, une sorte de mix généralisé…