Quid des dons à l’Ukraine, des escroqueries au Jugement au nom d’AXA et de la corruption du Parquet Bruxellois ?
Les hommes légendaires sont sensés n’avoir que des conversations, des interrogations et même des monologues légendaires, et ce dès leur réveil, du genre :
-“Où est le savon, putain ?”…
-“Merde ! Il n’y a plus de papier-cul”…
-“Le chien à bouffé tes nouveaux Louboutins”
-“Abramovitch a vomi sur le tapis Persan”…
-“Y a un cadavre dans la piscine”…
-“J’retrouve pas l’attaché-case avec le milliard d’euros du retour de commission des dons à l’Ukraine”…
-“J’peux pas répondre au Président au telléphone concernant les milliards de Pfizer et McKinsey, j’suis à poil sous la douche”…
-“Pour AXA, j’veux pas les 200.000 € d’la Convention, mais 2.800.000 €uros pour me payer des emmerdes que ces crapules m’ont fait”…
De plus, lorsque deux légendes se rencontrent, les mots qu’ils prononcent changent parfois le monde ;
–“Bernard tu me fais chier avec LVMH, j’ai d’autres choses en tête que les copies chinoises réalisées par tes mêmes fournisseurs”…
Ce fut également le cas lorsqu’un riche fabricant de tracteurs italien s’est confronté à Enzo Ferrari en s’engueulant copieusement concernant les pannes de sa Ferrari achetée au pépère de Maranello… Le Logo imaginé ci-dessus alors en réciprocité, aurait été plus “parlant”...
Bien… OK… Venons-en à l’affaire LéaFrancis ! Est mise en avant la pierre tombale de ma LéaFrancis Ace Of Spades #5502 avec description des faits…
Je suis le premier à comprendre tout cela car j’ai envoyé les semaines précédentes une dizaine de courriels incendiaires (en envois prioritaires avec accusé de réception) au CEO d’AXA, au Procureur Général de Bruxelles, au Collège des Procureurs de Belgique (avec copies au Roi des Belges et tous les ministres), les traitant de corrompus, chefs d’une bande criminelle organisée dans le vol de ma LéaFrancis, pour leur responsabilité dans la rédaction et l’usage de faux et le vol du dossier d’instruction avec destruction de preuves dans le but de protéger AXA des conneries réalisées en bande criminelle organisée par eux, leurs agents et sous-fifres en ce compris l’organisation du vol et l’exfiltration de ma LéaFrancis…
Ni Michel Audiard ni Frédéric Dard n’auraient mieux réalisé mes courriels plus qu’incendiaires… Deux ans d’enquêtes et l’avis d’ Alexandre Moretus du Bureau de la SA Jean Verheyen, décrétant que c’est l’organisateur qui est le responsable du vol car il n’a pas gardienné la Léa Francis, n’ont rien changé concernant les turpitudes du Parquet Bruxellois…
14 ans de crapuleries plus tard , toujours rien d’honnête ne vient ! Notez que comme il n’y a pas de fumée sans feu, sur ce principe d’évidence, les fins limiers qui cherchent la vérité dans les affaires apparemment les plus complexes (on “complexifie” pour brouiller les pistes, et parfois le passage aux pistes est barré par des liens fixés par des nœuds Gordiens), qu’il suffit de couper au plus bref comme Alexandre le Grand pour comprendre quasi tout ce qu’on nous cache…
« Aujourd’hui, je voudrais attirer l’attention sur la corruption, sous tous ses visages. Qu’elle prenne le visage d’agents étrangers qui tentent d’influencer notre système politique. Ou celui de sociétés ou fondations écrans qui détournent des fonds publics. (…) La corruption sape la confiance placée dans nos institutions. Nous devons donc la combattre avec toute la force du droit ».
Un corpus européen déjà existant
L’Acte du Conseil du 27 septembre 1996 établissant un Protocole à la Convention relative à la protection des intérêts financiers des Communautés européennes a voulu spécifiquement incriminer les actes de corruption (passive et active) commis par les fonctionnaires communautaires ou d’États membres, portant atteinte aux intérêts financiers des Communautés européennes. En outre, l’Acte du Conseil du 26 mai 1997 établissant la Convention relative à la lutte contre la corruption impliquant des fonctionnaires des Communautés ou des fonctionnaires des États membres de l’Union européenne, établit des règles concernant les actes de corruption dans lesquels sont impliqués des fonctionnaires des Communautés ou des fonctionnaires des États membres en général. En complément, une décision-cadre 2003/568/JAI du Conseil du 22 juillet 2003 relative à la lutte contre la corruption dans le secteur privé vise à faire en sorte que la corruption active et passive dans le secteur privé constitue des infractions pénales dans les États membres.
Surtout, la directive (UE) 2017/1371 sur la protection des intérêts financiers de l’Union de 2017 rappelle l’importance de la lutte contre la corruption et demande aux États membres, d’incriminer les faits de corruption active et passive qui portent atteinte aux intérêts financiers de l’Union. Cette directive constitue le socle de compétence matérielle du Parquet européen, et selon le rapport annuel de ce dernier pour l’année 2022, 87 enquêtes ont été ouvertes pour corruption publique active et passive depuis son entrée en fonction, en plus des nombreuses enquêtes ouvertes pour détournements et fraudes liées aux marchés publics.
Enfin, d’autres instruments de l’Union à visée plus transversale permettent de lutter contre la corruption : directive (UE) 2019/1037 sur les lanceurs d’alerte, directive 2014/42/UE sur le gel et la confiscation du produit du crime (en cours de refonte), directive (UE) 2018/1673 sur la lutte contre le blanchiment de capitaux, réglementation concernant les visas et passeports « dorés »,…
Un corpus international déjà étoffé
Si la Commission veut légitimement impulser une nouvelle dynamique anticorruption au sein des États membres de l’UE, force est de constater que ces derniers sont, depuis plus de vingt ans, parties à plusieurs conventions internationales prévoyant des mesures très concrètes de lutte contre la corruption.
La Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales, adoptée en 1997 et incriminant la corruption active d’agent public étranger, a ainsi été ratifiée par la quasi-totalité des États membres de l’Union (tous sauf Chypre, la Croatie, Malte et la Roumanie).
La Convention des Nations unies contre la corruption de 2003, dite Convention de Merida, la plus universelle et la plus détaillée, a été ratifiée par tous les États membres de l’Union, et par l’Union européenne elle-même.
Enfin, tous les États membres de l’Union sont membres du Groupe d’États contre la corruption du Conseil de l’Europe (GRECO), qui est l’organisme en charge de faire respecter un large référentiel anticorruption du Conseil de l’Europe, et notamment la Convention pénale sur la corruption du Conseil de l’Europe, en vigueur depuis 2002.
Un nouveau corpus européen original
Le corpus européen présenté il y a quelques semaines est hybride en ce qu’il s’inspire fortement de l’existant (reprise d’éléments de fond d’instruments internationaux rappelés ci-avant), tout en faisant preuve d’innovations (éléments de prévention et création d’un nouveau régime de sanctions).
Communication de la Commission
Cette communication, publiée le 3 mai 2023, annonce notamment la création d’un réseau anticorruption au niveau européen, avec des points de contact nationaux, ainsi que des actions de cartographie et de sensibilisation. Une stratégie européenne anticorruption est également annoncée, sans plus de détails à ce stade sur son contenu.
Le projet de directive relative à la lutte contre la corruption
Un volet répressif déjà annoncé
Le projet de directive, qui couvre la corruption publique et privée, prévoit plusieurs incriminations pénales devant être adoptées par les États membres (avec une harmonisation des définitions), afin de favoriser la coopération pénale internationale. De manière assez classique, sont détaillées les incriminations de : corruption active et passive dans le secteur public (art. 7) et privé (art. 8), détournement de fonds publics et privés (art. 9), trafic d’influence (art. 10), abus de fonctions (art. 11), entrave au bon fonctionnement de la justice (art. 12), enrichissement lié aux infractions de corruption (art. 13), incitation, complicité et tentative (art. 14). Pour toutes ces infractions, des sanctions minimales applicables aux personnes physiques sont détaillées (art. 15).
Le projet rappelle également le principe de la responsabilité pénale des personnes morales, « lorsque (les infractions) sont commises à leur profit par toute personne physique, agissant soit à titre individuel, soit en tant que membre d’un organe de la personne morale, qui exerce un pouvoir de direction en son sein », et « lorsque le défaut de surveillance ou de contrôle de la part d’une personne visée au paragraphe 1 a rendu possible la commission, y compris par une personne placée sous son autorité, de l’une des infractions pénales définies par les articles 7 à 14 au profit de ladite personne morale ». Des sanctions spécifiques sont prévues pour les personnes morales, notamment avec pourcentage minimal du chiffre d’affaires mondial total de l’acteur en cause (art. 16 et 17). S’agissant de la compétence territoriale, il est notamment prévu qu’elle doit être établie par un État membre quand « l’infraction a été commise au profit d’une personne morale établie sur son territoire » (art. 20).
Des circonstances aggravantes sont énumérées, ainsi, quand l’auteur a « obtenu un avantage considérable ou l’infraction a causé un préjudice considérable », mais aussi des circonstances atténuantes, par exemple, quand les personnes en cause ont volontairement révélé les faits ou collaboré avec les autorités, ou « mis en œuvre des programmes efficaces de contrôle interne, de sensibilisation à l’éthique et de conformité afin de prévenir la corruption avant ou après la commission de l’infraction » (art. 18). Enfin, il est prévu d’instaurer des délais minimums de prescription de l’action publique (art. 21), ainsi que des règles de protection pour les personnes qui dénoncent des faits de corruption ou qui concourent à l’enquête (art. 22).
Un volet préventif récemment apparu
Le projet de texte contient un volet relatif à la prévention de la corruption, ce qui n’était pas le cas dans les annonces de septembre 2022. Or, en avril 2023, le comité européen d’éthique, réunissant douze autorités de pays membres de l’Union européenne actives sur les sujets d’intégrité publique (dont la HATVP), s’est exprimé sur le sujet, en demandant que des mesures de prévention de la corruption soient incluses dans le nouveau paquet, à côté du volet civil et pénal. En outre, les consultations réalisées depuis l’automne dernier ont confirmé cette demande de volet préventif.
L’article 3 du projet de directive contient donc un volet « prévention de la corruption », avec des aspects de sensibilisation et d’éducation, des cartographies des risques à réaliser par les États, et une cartographie commune des risques à réaliser d’ici 2024 par la Commission en concertation étroite avec les États. Si le texte demande aux États membres de prendre toutes mesures possibles pour prévenir la corruption dans le secteur public comme dans le secteur privé (y compris en matière de gestion des conflits d’intérêts et de déclarations de patrimoine des agents publics), il n’impose pas comme la loi dite « Sapin 2 » en France, de programmes de conformité applicables aux entreprises d’une certaine taille. Enfin, l’article 4 se concentre sur les organes spécialisés anticorruption et notamment ceux dédiés à la prévention, en demandant qu’ils soient « fonctionnellement indépendants du gouvernement » et qu’ils bénéficient de ressources suffisantes.
L’extension du régime de sanctions « PESC » à certains faits de corruption
Le projet consiste en une extension du régime de sanctions déjà existant (lié à la politique étrangère et de sécurité commune), à certains faits de corruption. Il s’appliquerait aux faits de corruption active, corruption passive, et détournement de fonds publics, commis par des personnes dans des pays tiers, et portant atteinte aux objectifs de la PESC (notamment, protection de la démocratie, de l’État de droit et de la stabilité politique). Les sanctions applicables seraient les mêmes que celles déjà pratiquées de manière générale par l’Union européenne (gel des avoirs, interdictions de séjour pour les auteurs et complices…).
Quelques semaines à peine après les annonces de la Commission Ursula von den Leyen de septembre 2022, éclatait le scandale du Qatargate, rendant urgente pour beaucoup la nécessité d’une refonte de l’arsenal anticorruption, non pas au niveau des États, mais des institutions européennes elles-mêmes.
Ainsi, dès sa prise de fonction en 2019, la présidente de la Commission avait appelé de ses vœux la création d’un organe éthique indépendant, chargé de contrôle la « transparence et l’intégrité » des institutions européennes. Quelques mois après le Qatargate, le premier projet d’organe éthique européen a été présenté le 12 juin dernier, et cet organe aurait notamment la charge des problématiques des conflits d’intérêts et du lobbying, au sein des institutions européennes. Un accord interinstitutionnel devra statuer sur son établissement et ses attributions précises, d’autant plus que le 13 juillet, les eurodéputés ont demandé à ce que le projet soit revu en faveur d’un organe réellement indépendant et bénéficiant de plus de pouvoirs.
Une autre avancée institutionnelle majeure serait l’adhésion de l’Union européenne au GRECO, alors qu’aujourd’hui, l’Union n’a qu’un statut d’observateur, contrairement à la Convention de Merida où elle est une partie.
Enfin, nul ne doute que le Parquet européen, qui a acquis, en deux ans d’existence, une véritable légitimité sur la lutte contre les fraudes portant atteinte aux intérêts de l’Union, pourrait être impacté par un renforcement global de la répression européenne contre la corruption.
L’exemple de ce que m’a fait la Belgique, serait un élément de taille…
Le plus simple et plus énorme en rentabilité c’est par exemple de créer une pandémie au départ d’un antivirus existant ce qui est même simultanément un moyen d’injecter des nanoparticules sous couvert de la médecine…
Ca peut servir !
Profits par centaines de milliards…
Mais il y a mieux, faire des dons de charité à l’Ukraine, directement au dictateur “démocratique” le plus corrompu de l’univers (lui et le pays).
50 milliards de fonds européens donnés d’un coup de stylo et 25 milliards directement ristournés sur un compte Off-Shore.
Pas de traçabilité dans un pauvre pays en guerre ! Pas de fisc, pas de flics, pas de presse et toute remarque est considérée comme Fake-news complotistes !
Qui au monde pourra vérifier les comptes de Zemlinsky et de l’Ukraine ?
Et qui donne des milliards à Zemlinsky qui est l’honnêteté même ?
Macron après l’affaire irrésolue de McKinsey ou œuvre David Von der Leyen…
Coïncidence troublante et écran de fumée avec Benalla…
Ensuite vive la guerre en Ukraine massacrée par des mangeurs d’enfants Russes, ce pourquoi Zemlinsky demande des dons de charité par milliards…
Et Macron donne…
Biden père donne… (son fils y est déjà)… Mais une peu plus…
Ursula Von der Leyen donne aussi… Mais elle donne beaucoup, beaucoup plus…
Des milliards à la pelle, ce sont pas leurs milliards, mais en un voyage en Ukraine la moitié est à eux seuls…
Fiscalement indétectable et tout est aussitôt effacé, surtout les pré-discussions téléphoniques et émails.
Quelques lampistes disparaissent.
Que du bonheur…
C’est une rarissime occasion qui ne se présentera plus et c’est bouclé…
Vladimir Poutine doit apprécier la décadence totale de l’occident presque pire qu’en Russie, en finale il sait qu’un coup de parapluie les fera disparaitre à moins que cela serve de scandale pour fomenter une révolution…
Cliquez ICI… https://antimafia.net/…/la-cupidite-obsene-dursula-von…/
Au fil des ans, Ursula von der Leyen a montré sans voile sa cupidité effrénée, son avarice et les moyens horribles devant lesquels elle ne recule jamais pour satisfaire sa soif de pouvoi… Ursula Von der Leyen a été incriminée dans des affaires peu reluisantes de plagiat et de mensonges. Mais au-delà de cette malhonnêteté qui semble un simple trait de caractère, cette politicienne irritante a d’autres squelettes dans son placard.
En 2018, Ursula Von der Leyen est encore alors à la tête du ministère de la Défense malgré une gestion calamiteuse. Les critiques s’enchaînent non seulement dans l’opposition, mais au sein même de son propre parti politique. Fin septembre 2018, la Cour des comptes signala des dépenses abusives et une gestion catastrophique du ministère. Suite à ces allégations et devant les preuves versées au dossier, le Parquet de Berlin ouvre alors une enquête. Malgré l’énormité du scandale, l’aristocrate allemande qui est la confidente d’Angela Merkel reste en place jusqu’à l’été 2019. Impopulaire en Allemagne, elle est considérée comme la moins compétente du gouvernement. Alors qu’elle n’est pas du tout attendue à ce poste, devant le fort soutien du président français Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen est désignée pour occuper la place de présidente de la commission. Loin de faire l’unanimité, elle décroche le poste grâce à un jeu d’alliance de politique politicienne. La presse allemande s’offusque sur l’ancienne ministre de la Défense en écrivant que cette nomination à Bruxelles est pour Ursula von der Leyen une fuite d’Allemagne pour échapper ainsi à ses responsabilités devant les scandales financiers qui ont entaché son mandat.
En 2019, le Bundestag (assemblée parlementaire) confirme que le ministère de von der Leyen aurait contourné les règles des marchés publics lors de l’octroi de contrats d’une valeur de plusieurs millions d’euros aux sociétés de conseil McKinsey et Accenture. De plus, la justice examine si la présidente de la Commission européenne actuelle s’est rendue coupable de népotisme lorsqu’elle a embauché une cadre de McKinsey, Katrin Suder, comme secrétaire d’Etat à l’Armement chargée de superviser les achats d’armes du ministère de la Défense.
Forts soupçons de népotisme
Katrin Suder est accusée d’avoir stimulé le recours aux consultants externes qui ont remplacé les experts du ministère pour 208 millions d’euros. Face aux critiques, Katrin Suder, bras droit d’Ursula von der Leyen, a estimé avec la même arrogance que sa cheffe qu’avec un budget d’armement d’environ 100 milliards, les 208 millions ne représentaient que 0,2 % de cette somme. « NDLR Circulez il n’y a rien à voir ! ». Les soupçons de népotisme ne s’arrêtent pas là.
Lors des enquêtes, il est apparu que le directeur responsable d’Accenture, Timo Noetzel, entretenait non seulement des liens étroits avec Katrin Suder, mais aussi avec l’ancien chef du département de planification du ministère, le général Erhard Bühler. Ce dernier n’étant ni plus ni moins que le parrain d’un enfant de Noetzel !
On comprend mieux pourquoi à peine son mandat entamé, Ursula von der Leyen est rapidement devenue la coqueluche des cabinets-conseils américains. La Cour des comptes estime que l’ex-ministre a trompé la Commission du budget. Et pour cause, celle-ci a approuvé de payer des consultants avec un tarif journalier entre 900 et 1700 euros. Le salaire moyen en Allemagne est de 3500 à 4000 euros . Il faut dire qu’à la même période — curieux hasard — son fils ainé, David Von der Leyen, venait d’être engagé comme cadre supérieur chez McKinsey & Company. Mettons en relief que le fils de l’irritante présidente de l’UE a été employé dans cette entreprise de 2015 à 2019. (Sa mère a été ministre de 2013 à 2019). Durant cette période, il y a eu une explosion du recours aux cabinets-conseils, notamment du groupe américain qui rafla la mise.
Encore plus scandaleux dans ce qui ressemblerait furieusement à un conflit d’intérêts ou pire, à de la corruption éventuelle, c’est Ursula von der Leyen elle-même et personne d’autre qui était responsable de l’attribution des contrats aux sociétés et conseil externe. NDLR : (Allo fiston ? C’est maman. Tu as le contrat ! Bravo t’es le meilleur !)
Les rapports d’enquête précisent entre autres :
• Des dizaines d’irrégularités dans l’embauche de consultants ;
• Violation de la loi sur les marchés publics ;
• Des contrôles manquants ;
• Des contrats obscurs ;
• Tromperie de la Commission du budget en utilisant de l’argent pour d’autres choses que ce à quoi il était prévu ;
• Des employés de McKinsey auraient eu accès à des documents confidentiels et agissaient en tant qu’autorité ministérielle ;
Ursula von der Leyen efface des preuves sur ses téléphones portables
Comme cité ci-dessus, le fils, David Von Der Leyen a démissionné de McKinsey en même temps que sa mère Ursula quittait le ministère de la Défense pour devenir la présidente de l’UE. Ajoutons que deux téléphones portables professionnels appartenant à Mme Von Der Leyen ont été saisis par les enquêteurs. Malheureusement, ces appareils n’ont rien apporté puisqu’elle les a expurgés de toutes leurs données [i] peu avant la saisie. Une pratique dont elle en a fait une spécialité puisqu’elle a pratiqué exactement de la même façon pour dissimuler les échanges secrets qu’elle a eu avec Albert Bourla, le PDG du laboratoire Pfizer lors de l’achat pour des centaines de millions d’euros de doses d’injection lors de la crise COVID qui a vu Pfizer s’enrichir de façon empirique en quelques mois. («Une enquête a été ouverte sur cet accord d’une valeur d’environ 35 milliards d’euros, mais la Commission européenne n’a pas retrouvé les SMS échangés entre Ursula von der Leyen et le patron du géant pharmaceutique Pfizer – a déclaré l’exécutif européen au médiateur de l’UE dans sa lettre publiée le 29 juin 2022»)
Mais voici une liste non exhaustive des « exploits » de la Présidente de l’Union européenne qui ne l’amène même pas à faire profil bas malgré la honte qui entache à jamais son nom qui finira dans les poubelles de l’histoire de la même façon que Toto Riina ou Pablo Escobar.
- Ursula von der Leyen supprime ses SMS avec Albert Bourla (Pfizer) malgré des enquêtes en cours ;
- Ursula von der Leyen signe des contrats de gaz et renforce la dictature d’un régime (Azerbaïdjan) ;
- Ursula von der Leyen se sert de la défense des droits de l’homme uniquement quand ça l’arrange ;
- Ursula von der Leyen se prend pour une cheffe d’État alors qu’elle n’est que la plénipotentiaire caricaturale des lobbyistes ;
- Ursula von der Leyen agit contre la paix et met en péril le continent dans le conflit en Ukraine ;
- Ursula von der Leyen arbore les couleurs de l’Ukraine, mais aucune couleur pour l’Arménie, le Yémen ou le Tibet ;
- Ursula von der Leyen est indifférente quand les Arméniens sont attaqués sauvagement ;
- Ursula von der Leyen décide de l’achat de vaccins pour l’UE alors que ça n’est pas de sa compétence ;
- Ursula von der Leyen menace les électeurs italiens qui s’expriment démocratiquement ;
- Son manque total de transparence profite à l’industrie, pas aux citoyens européens ;
- Elle a fait appel en sa qualité de ministre de la Défense au cabinet McKinsey ou travaillait son fils, pour un total de 200 millions d’euros en trois ans, sans appel d’offres ;
Ajoutons que Le mari de la présidente Ursula von der Leyen, Heiko von der Leyen est depuis décembre 2020 le directeur médical de la société biopharmaceutique américaine Orgenesis, spécialisée dans les thérapies cellulaires et géniques. Il travaille également en tant que consultant pour une société européenne de conseil sur le marché de la santé. Lorsque Heiko von der Leyen a rejoint le conseil d’administration d’Orgenesis, la Commission européenne était en train de signer une série de contrats avec des sociétés pharmaceutiques entre août et novembre 2020, dont deux avec Pfizer-Biontech. Orgenesis entretient des liens étroits avec Pfizer grâce à ses participations dans les thérapies génétiques à base d’ARN messager ;
La liste est encore longue. Malgré cela, cette irritante oligarque allemande est toujours en place et continue à s’exprimer sans qu’aucun dirigeant élu par son peuple ne la remette à sa juste place. Par qui est-elle protégée ? (NDLR : Tais-toi complotiste !)
Le plus insupportable, c’est que le citoyen honnête devrait pouvoir se réconforter en se persuadant que l’État de droit et la démocratie le protège de toute forme de criminalité et que personne n’est au-dessus des lois. Qu’il s’agisse de crimes violents, de corruption ou de conflits d’intérêts, la loi devrait être appliquée. Or, depuis quelques années, on s’aperçoit que les scandales s’enchaînent et surtout se diffusent plus facilement qu’autrefois. Il a quelques années encore, avec des transgressions aussi graves que celles commises par Ursula von der Leyen du temps où elle était ministre de la Défense jusqu’à sa présidence calamiteuse et catastrophique de la Commission européenne, elle aurait dû démissionner avec le déshonneur qu’elle incarne. Au contraire, malgré qu’elle ne représente aucun peuple, qu’elle n’est élue par personne, elle reste protégée par une presse francophone aux ordres et continue à se montrer arrogante en se prenant pour la reine du continent alors qu’avec son attitude, elle semble plutôt la folle de service de ce « bateau ivre » qu’est l’Union européenne.
Dans les milieux du crime organisé, dans les cartels ou les mafias, aucun individu ne pourrait se permettre d’avoir une conduite mettant en péril la crédibilité du clan. Ursula von der Leyen incarne le pire et a anéanti la respectabilité de l’UE. Certes, la comparaison d’un clan avec l’UE est volontairement outrancière. Mais sur un site consacré à l’information sur le crime organisé, force est de constater qu’il y a très peu de différence entre les mécanismes mis en place au sein d’une institution officielle ou d’un clan criminel dirigé de façon pyramidale.
C. Lovis – © Antimafia.net 2022
Bonne journée ! L_2017198FR.01002901.xml (europa.eu)