Хромы и Пламя в России… Chromes et flammes en Russie…
Chromes&Flammes (since 1979) est diffusé depuis décembre 1979 en France, Belgique, Luxembourg, Suisse, ca vous le savez… Mais sachez que depuis 1982 il existe un Chromes&Flammes en Russie et dans les pays de l’Est (Хромы и Пламя в России), ainsi que les pays européens, et les USA (TopWheels), partout…
Tout a commencé dans l’approximation et les délires tels le Chopper Russe de la vidéo ci-dessous et les Hot-Rod’s et Kustom’s (Russes également) que je présente… Et maintenant, pour faire exploser vos têtes, un GAZ-51 Hot Rod Pick-up…
Vous souvenez-vous du bon vieux temps des premiers Chromes&Flammes ? Vous aviez 45 ans de moins si vous étiez présent dès le premier numéro !!! Vous devez donc avoir plus de 60 ans… Vraisemblablement 65… Donc, outre que le temps passe inexorablement, j’avais 31 ans en 1979 ! Eh bien, pffffffffffff ! Maintenant je ne sais pas quel âge vous avez exactement, mais j’en aurais 75 en mai 2024… Et pourtant, il y en a qui trouvent encore le temps et les moyens de se souvenir si pas de regarder en arrière avec tendresse. Pas sûr et certain que revoir des anciens machins suffit pour considérer qu’une tendance se redessine, mais par contre, de cette époque, peu de gens avaient la notion que C&F était “partouze”, pas qu’en France, et s’y trouve toujours !
L’opération spéciale de Poutine en cause du Grand Bordel actuel en Ukraine, n’est pas seulement la cause qui plombe tout et entraine le comportement Napoléonien de notre Président de la France Macron 1er…, c’est surtout des suites d’une opération “révolution” du Gouvernement américain… Les Russes disent en cette suite aux Français : “Pourquoi n’avez vous pas manifesté lorsque votre armée a détruit la Libye ? Pourquoi n’avez vous rien dit lorsque des Ukrainiens-nazis se sont auto-proclamés Israéliens puis ont volé la terre des Palestiniens entre ’45 et ’47 ? Pourquoi avez-vous fermé les yeux sur le coup d’état organisé par l’Amérique en 2014 place Maïdan à Kiev ? Pourquoi les colons européens devenant américains ont-ils “génocidés” les Amérindiens d’Amérique et atomisés les populations civiles d’Hiroshima et Nagasaki, puis détruit une partie de la Polynésie en y faisant des essais atomiques ?… La Russie n’a jamais fait cela, au contraire elle a perdu plusieurs millions d’hommes et femmes pour sauver l’Europe du nazisme ! C’est comme cela que vous nous remerciez ?”…
Il y a eu effectivement un coup d’État soutenu par les États-Unis en Ukraine en 2014… et les néo-nazis y ont une influence significative. Washington a organisé un coup d’État contre un gouvernement démocratiquement élu parce que les USA n’aimaient pas la couleur politique de l’Ukraine qui était soutenue par la Russie … Les États-Unis ont donc attaqué la Russie par le biais de l’organisation d’une révolution dite du Maïdan, qui a renversé le président ukrainien de l’époque, Viktor Yanikovych en 2014… Les ingérences américaines sont innombrables… Ils ont créé une guerre chaque année dans le monde et ont a chaque fois pillé toutes les ressources économiques… John McCain était donc à Kiev en décembre 2013 pour soutenir les manifestants et organiser un coup d’État par le biais de l’organisation de manifestations contre la décision de Ianoukovitch de suspendre les préparatifs en vue de la signature d’un accord d’association et de libre-échange avec l’Union européenne ainsi que de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN… Cela signifiait pour l’europe de disposer d’une main-d’œuvre 80% moins chère que dans n’importe quel autre pays de l’Union Européenne… Viktor Ianoukovitch avait été démocratiquement élu président de l’Ukraine en 2010 lors d’une élection certifiée par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, un fait qui n’est plus mentionné dans les Fake-news européennes sur le changement de gouvernement en Ukraine.. Bien que Ianoukovitch ait accepté un règlement politique de l’UE et des élections anticipées, la violence orchestrée contre lui, l’a forcé à fuir la capitale le 21 février 2014. Le groupe néo-nazi Secteur droit était à l’avant-garde du renversement violent.
Les violences avaient commencé le 1er décembre 2013 lorsque des groupes néo-nazis ont attaqué la police avec des chaînes en fer, des fusées éclairantes, des pierres et des cocktails Molotov et ont tenté de fait passer un bulldozer à travers les lignes de police pour écraser un maximum de gens. Les néo-nazis avaient des haches, des battes de baseball, des bâtons, des casques… et des armes. Ils ont dit que c’était leur territoire… La violence des groupes nazis et d’extrême droite a évidemment été tolérée par le sénateur John McCain, qui a exprimé son soutien au soulèvement en s’adressant à la foule du Maïdan. La secrétaire d’État adjointe Victoria Nuland et l’ambassadeur américain de l’époque, Geoffrey Pyatt, se sont rendus sur la place après le début des violences… Les manifestants avaient commencé à occuper l’hôtel de ville de Kiev en décembre, avec un portrait du dirigeant nazi fasciste ukrainien de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera, accroché aux chevrons.
Dans la nuit du 21 février, le leader du parti néonazi fasciste Secteur droit, Andriy Parubiy, a annoncé que le Verkhovna Rada (le Parlement), l’administration présidentielle, le cabinet des ministres et le ministère de l’Intérieur étaient tous passés sous le contrôle des manifestants. Le lendemain de la fuite de Ianoukovitch, la Rada a voté sans la présence du parti de Ianoukovitch (le plus important du pays) pour le destituer après son renversement violent. Lorsque les dirigeants démocratiquement élus sont renversés par une défaite électorale, une destitution ou des votes de défiance, ok… Mais lorsque c’est par ce type de violence, c’est un coup d’état… Et en ce cas un coup d’état payé par les USA…. Les révolutions de l’histoire ont TOUTES été dirigées contre des monarques ou des dictateurs, et non contre des dirigeants démocratiquement élus. Par exemple, la Révolution américaine de 1776, la Révolution française de 1789, la Révolution russe de 1917, la Révolution égyptienne de 1952, la Révolution iranienne de 1979 et d’innombrables autres étaient contre les monarques.
Par contre, les coups d’État sont quasi toujours dirigés contre des dirigeants élus, par des groupes d’extrémistes style nazi…. Le mouvement Maïdan n’a jamais été soutenu par, comme les merdias l’ont diffusé, plus de la moitié de la population ukrainienne, il a seulement été soutenu par 20% de la population dans l’ouest de l’Ukraine, par moins de 5% dans l’est et le sud du pays. Avec seulement 17% de la population, il ne s’agissait manifestement pas de la destitution légitime d’un gouvernement qui avait perdu l’appui de la population à un point tel qu’il y avait un consensus général pour qu’il démissionne. NON…. Ce fut un coup d’Etat politique réalisé par environ 20% du pays qui a imposé sa volonté par une violence brutale et meurtrière… Victoria Nuland a avoué en 2013 que depuis 1991, les États-Unis avaient dépensé 5 milliards de dollars pour aider à réaliser la nazification de l’Ukraine pour faire tourner l’Ukraine vers l’Occident et de l’éloigner de la Russie. Et les États-Unis avaient du pain sur la planche. Dans un sondage de 2008, 17 ans après le début de cet effort américain, et l’année où les États-Unis ont déclaré que l’Ukraine rejoindrait un jour l’OTAN, 50 % des Ukrainiens s’opposaient à l’adhésion à l’OTAN, contre seulement 24,3 % qui y étaient favorables.
Un sondage Gallup de 2010 a montré que 40 % des Ukrainiens considéraient l’OTAN comme une menace plutôt que comme un protecteur. Seulement 17 % avaient un point de vue opposé. La construction de la société civile par le biais d’ONG financées par les États-Unis pour favoriser l’Occident était le défi des États-Unis qui y a dépensé 5 milliards de dollars… La National Endowment for Democracy (NED), qui finance des ONG dans les pays ciblés par les États-Unis pour un changement de régime, a financé 65 projets en Ukraine pour créer des structures politiques dans l’ombre de divers médias… et de groupes d’activistes qui ont été ensuite déployés pour attiser des troubles… L’appel téléphonique de 2014 entre Nuland et Pyatt, l’ambassadeur américain en Ukraine de l’époque, dans lequel les deux discutent de qui composera le nouveau gouvernement quelques semaines avant le renversement de Ianoukovitch est édifiant… Sur l’enregistrement qui a fuité, Nuland et Pyatt parlent de “midwifing” d’un nouveau gouvernement ; Le rôle du vice-président Joe Biden et l’organisation de réunions avec des politiciens ukrainiens pour y parvenir. Nuland dit que le Premier ministre devait être Arseni Iatseniouk, et en effet, il est devenu Premier ministre après le coup d’État. Le département d’État américain n’a jamais nié l’authenticité de la vidéo, et a même présenté des excuses à l’Union européenne après que Nuland ait été entendue sur l’enregistrement en train de dire : « Fuck the EU ».
À l’époque, les médias grand public se sont concentrés presque exclusivement sur cette remarque déplacée pour détourner l’attention de l’importance plus grande de l’ingérence américaine dans les affaires intérieures de l’Ukraine. Pourquoi Nuland a-t-elle dit : « Fuck the EU » ? Au moment où elle l’a dit, la France, l’Allemagne et la Pologne travaillaient pour l’UE à un règlement politique avec la Russie de la crise de Maïdan qui laisserait Ianoukovitch au pouvoir. En effet, l’UE avait négocié un accord avec Ianoukovitch, qui avait accepté des élections anticipées en décembre 2014, une restauration de la Constitution de 2004 et une amnistie pour tous les manifestants, ouvrant la voie à ce que personne ne soit tenu responsable de l’éviction violente. Ianoukovitch a annoncé l’accord, avec des responsables de l’UE à ses côtés à Kiev, le 21 février 2014.
Plus tard dans la journée, il a été violemment chassé du pouvoir. Les médias institutionnels laissent délibérément et trompeusement des informations et faits de côté pour changer le sens d’une histoire. L’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine la veille du Nouvel An 1999 a progressivement commencé à freiner l’influence des États-Unis dans la Russie post-soviétique, en particulier après le discours de Poutine à la Conférence de Munich sur la sécurité en 2007, dans lequel il a fustigé l’agression unilatérale des États-Unis, en particulier en Irak. Finalement, Poutine a restauré la souveraineté sur une grande partie de l’économie russe, retournant Washington et Wall Street contre lui. (Comme le président Joe Biden l’a clairement indiqué à plus d’une occasion, l’objectif des États-Unis est de le renverser.)
La primauté des États-Unis, ou la domination mondiale, qui anime toujours Washington, n’est pas possible sans le contrôle de l’Eurasie, comme l’a soutenu Brzezinski et cela n’est pas possible sans le contrôle de l’Ukraine en repoussant la Russie (la prise de contrôle de l’Ukraine par les États-Unis lors du coup d’État de 2014) et en dominant Moscou comme elle l’a fait lorsque cela a été écrit dans les années 1990. Ianoukovitch avait déjà fait du russe une langue officielle, il avait rejeté l’adhésion à l’OTAN et renversé la décision de son prédécesseur pro-occidental de glorifier les collaborateurs nazis. Le prédécesseur de Ianoukovitch, le président Viktor Iouchtchenko, avait fait du dirigeant nazi fasciste ukrainien de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera, un héros de l’Ukraine… Le gouvernement installé par les États-Unis à Kiev a interdit les partis politiques, y compris le Parti communiste, et a supprimé le russe comme langue officielle. Le Parti des régions de Ianoukovitch a été interdit dans plusieurs oblasts et s’est finalement effondré. Un citoyen américain est devenu ministre des Finances et le vice-président Joe Biden est devenu le vice-roi virtuel de Barack Obama en Ukraine. Des vidéos ont émergé de Biden donnant des instructions au président nominal de l’époque, Petro Porochenko.
De son propre aveu, Biden a forcé la démission de Viktor Shokin, le procureur général d’Ukraine. Shokin a témoigné sous serment qu’il était sur le point d’enquêter sur Burisma Holdings, la société sur laquelle le fils du vice-président Biden a obtenu un siège lucratif au conseil d’administration quelques mois seulement après le coup d’État soutenu par les États-Unis. Biden, d’autres responsables américains et les médias de l’époque ont menti en disant que Shokin avait été démis de ses fonctions parce qu’il était corrompu. Huit jours après que près de 50 manifestants anti-coup d’État à Odessa ont été brûlés vifs le 2 mai 2014 par des contre-manifestants d’extrême droite dominés par Secteur droit, les provinces de Louhansk et Donetsk, dans la région du Donbass, ont déclaré leur indépendance de l’Ukraine.
La Russie a commencé à les aider et, après une visite à Kiev du directeur de la CIA de l’époque, John Brennan, Porochenko a lancé une guerre contre les séparatistes qui a duré huit ans, tuant des milliers de civils, jusqu’à ce que la Russie intervienne dans le conflit civil en février. Après le coup d’État, l’OTAN a commencé à armer, à entraîner et à mener des exercices avec l’armée ukrainienne, la transformant en membre de facto de l’OTAN. Ce ne sont pas seulement les intérêts d’une partie de l’Ukraine qui sont servis, mais aussi ceux de puissants acteurs étrangers. Cela s’apparentait à une prise de contrôle coloniale d’un pays dans le style du 19e siècle. La gestation en Russie fut toutefois plus longue et ce qui continue d’être construit est toujours dans cette tendance…
Depuis quelques temps, un phénomène alarmant se déroule sous nos yeux (pou plutôt des plus attentifs) : l’industrie allemande, autrefois florissante, semble progressivement migrer vers les États-Unis. Cette tendance, qui peut sembler anodine au premier abord, cache en réalité des enjeux économiques et géopolitiques majeurs. Suite à une augmentation drastique du coût de l’énergie en Europe, notamment en Allemagne, de nombreuses entreprises se voient contraintes de chercher des alternatives. Mais derrière cette crise énergétique se cache une série de manœuvres politiques qui pourraient bien changer le paysage industriel européen. Rappelons que l’automobile représente 20% du total des revenus de l’industrie allemande.
En effet, tout semble indiquer que les États-Unis, sans l’annoncer officiellement, ont orchestré cette crise énergétique. En provoquant la guerre (de manière très indirecte certes) contre la Russie et en détruisant les pipelines acheminant le gaz (non officiel bien que tout le monde le sait clairement désormais), ils ont sciemment éliminé tout espoir pour l’Europe de bénéficier d’une énergie bon marché. Cette action, bien que non avouée publiquement, semble avoir pour objectif de drainer les moyens de production européens vers les États-Unis, dans un effort pour limiter les pertes face à un contexte économique et géopolitique mondial très difficile. L’Europe, vue comme une réserve de ressources pour les États-Unis, se retrouve ainsi aspirée dans une spirale économique préoccupante.
Les conséquences de cette manœuvre sont déjà visibles. Une récente étude de la Fédération des industries allemandes (BDI) révèle que de nombreuses entreprises envisagent sérieusement de délocaliser leurs activités, cherchant des environnements plus stables et économiquement avantageux. Environ 16% des entreprises interrogées ont déjà pris des mesures pour délocaliser une partie de leurs activités, et 30% envisagent sérieusement de suivre le même chemin. Les prix de l’énergie et des ressources sont cités comme l’un des défis les plus urgents par près des deux tiers des entreprises sondées. Des géants industriels, tels que Tesla, ont également ajusté leurs plans en conséquence. Alors même que Tesla avait prévu de fabriquer des batteries en Allemagne, la société a décidé de recentrer ses projets vers les États-Unis, attirée par des incitations financières plus attractives et un environnement économique plus stable (la marque a semble-t-il compris la manoeuvre et elle ne va pas tenter de perdre des plumes en allant à contre courant).
Cette fuite de l’industrie allemande vers les États-Unis soulève des questions majeures concernant l’avenir économique de l’Allemagne et de l’Europe. La Commission européenne a récemment prédit une croissance économique particulièrement lente pour l’Allemagne en 2023, mettant en lumière les défis auxquels est confrontée l’économie européenne dans son ensemble. Face à cette situation préoccupante, des voix se lèvent pour demander des mesures concrètes. Le ministre allemand de l’Économie, Robert Habeck, a proposé des initiatives visant à réduire le prix de l’électricité pour les entreprises, notamment par le biais de subventions temporaires (qui serait une fuite en avant) et de programmes incitatifs pour une transition vers une production neutre en carbone. Mais ces solutions sont à la fois hors sujet et contre-productives…
Les USA ont tout à gagner ! Selon un article de l’IFRI (institut français des relations internationales), les États-Unis seraient les principaux bénéficiaires de la guerre en Ukraine. Thierry de Montbrial, fondateur de la World Policy Conference et de l’Institut français des relations internationales (Ifri), affirme que les États-Unis tirent profit de la situation en augmentant la dépendance de l’Europe à leur égard. En poussant les Européens à adopter des sanctions contre la Russie et en renforçant leur position stratégique dans le domaine de l’énergie, les États-Unis cherchent à devenir les maîtres du jeu en Europe. Montbrial souligne également que les États-Unis considèrent la guerre en Ukraine comme une opportunité pour élargir l’OTAN et accroître la dépendance de l’UE en matière de sécurité et d’énergie. Les États-Unis utilisent leur capacité stratégique pour renforcer leur propre position, au détriment de l’Europe, ce qui souligne le besoin pour les Européens de développer leur propre stratégie et de préserver leur autonomie.
En conclusion, l’exode de l’industrie allemande vers les États-Unis est bien plus qu’une simple migration économique. C’est semble-t-il le résultat de manœuvres géopolitiques complexes, visant à redessiner les équilibres économiques mondiaux au détriment de l’Europe. Face à cette situation, il est impératif que les gouvernements européens prennent des mesures rapides et efficaces pour préserver la compétitivité de leurs industries et éviter un affaiblissement économique plus profond. Hélas, ils sont à la solde de l’oncle Sam et cela depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, il serait donc naïf d’espérer une tendance inverse. Enfin, après la France qui a perdu son industrie et qui perd désormais son agriculture, c’est au tour de l’Allemagne de passer à la moulinette. Le dernier pilier européen est donc en train de vaciller à son tour, et il est à craindre que l’Europe devienne une Grèce XXL. Car à ce rythme, et avec une dette qui monte au ciel, les choses ne pourront pas tenir indéfiniment.
Bien… Changeons d’air, l’est trop vicié… Ce Hot-Rod-Kustom-Pick-up a été construit sur un châssis récupéré d’un détournement de l’ambassade américaine à Moscou, une Cadillac Escalade EXT en panne, abandonnée et récupérée en échange de quasi-rien… Je n’en ai pas grand chose d’autre a en écrire… Redessinée pour ressembler à une vieille camionnette GAZ-51 dont sont repris quelques éléments de carrosserie, l’authenticité est garantie “à-la-Russe”… La bête a été réalisée à Moscou… Je réactualise donc mon reportage ! Croyez donc bien qu’ayant des mag’s en Ukraine, en Bielorussue, en Tchéquie et en Russie (imprimés à Vilnius, un comble), que je suis bien placé pour commenter les réalités de l’Ukraine, une contrée de corrupteurs et corrompus puissance mille toujours prêts à monter des escroqueries…
Les milliards de dons de charité à Zeelinsly sont ristournés à 50% aux donneurs, perso sur des comptes Off-Shores indétectables et la majorité des armes “offertes” sont vendues par le clan Zeelinsky à des mouvements terroristes en Afrique… Toutes les “parlottes et discours” n’existent que pour que ça dure le plus longtemps possible… Mais que ce soient Biden et Trump, ils arrêtent ces hémorragies. Biden reconnait même que les guerres d’Irak et d’Afghanistan furent des erreurs… Regardez où mènent les “directives”, les “obligations sécuritaires en contrôles techniques” et les illusions brandies… C’est la ruine partout et les menaces nucléaires… Ce sont nos vies qu’on suicide pour l’honneur d’un nouveau rêve Napoléonien et d’une nouvelle bérézina…
2 commentaires
Il n’y a hélas rien à ajouter, les popus continueront à transpirer pour servir les intérêts des puissants qui jouent à la guerre, militaire ou économique…
Je n’ajoute donc rien à votre remarque d’autant que je ne suis pas en bon état de santé… Demain, c’est tout à l’heure et on verra que faire…
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