Copiez/collez, mon “faire-part” est ci-dessous déjà illustré/composé…
GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsIntersits, serait-ce une machine à penser issue de la cybernétique contenant une part de la mémoire du monde enregistrée dans le cerveau de son auteur ? Moi-même… C’est un sujet évidemment très ardu de conservation de divers trésors accumulés en une existence emplie de circonvolutions de l’esprit et de l’intelligence ayant subjugué une part du monde pendant plus d’un demi siècle… Et vous, d’applaudir à l’œuvre qui traîne les médiocres dans leur boue… L’utopie est un jeu de construction, un puzzle social des mots et des expressions dont l’homme est la mesure puisque, parmi les créatures vivantes, à lui seul est revenue la faculté, le privilège, de penser et juger toutes choses et toutes actions, bonnes ou mauvaises pour lui…
Mes chers amis, mes Popu’s internautes, sachez que l’imprévisible de l’hâtif pratiqué dans les réseaux asociaux rend l’incompréhensible plus encore qu’il n’est. Je suis prêt naturellement à faire le nécessaire pour rétablir l’original du relevé manuscrit que j’ai tapoté, qui montre les coulisses secrètes d’une conformation mémorielle explorant les recoins obscurs du monde, les amenant à la lumière de l’exaltation hyperbolique de la modernité recelant une dose d’ironie rendue par les dissonances de la partition des vents et ondes martelant les cerveaux abrutis pour en tirer une efficacité démultipliée de l’argumentation d’un enjeu crucial pour l’humanité : organiser la mémoire du faux-vrai en dissonances exaltées.
Domestiquer méthodiquement la matière tout un temps imprimée, c’est préparer le progrès du monde dans sa rétroactivité surdimentionnelle par le biais (illusionné) d’une mise en relation du microscopique et du macroscopique comme une oasis de l’intelligence et de la culture réunissant l’ancien et le nouveau grâce à une exposition de l’histoire des moyens employés par l’humanité, ce qui génère un intérêt quasi touristique qui ne passe pas sous silence ni ne laisse à l’arrière-plan l’aspect essentiel, atypique, des activités de diverses personnes dont le rôle est généralement méconnu. Car si l’on veut que la compréhension corresponde plus exactement à la réalité, il faut insister davantage sur certaines de leurs activités atypiques.
Par exemple : suivre une idée jusqu’au moment où elle est entrée dans la tête d’un fou rendu furieux pas sa folie même. Ces diverses étapes ne peuvent pas être représentées classiquement pour la vulgate populaire, il en résulterait toutes sortes de perturbations… Il faut qu’une idée directrice véritablement digne du sujet à traiter évolue vers un résultat valable coordonnant les avis et élaborant un programme précis s’inscrivant dans un discours de psychologie cognitiviste sur les rapports de la mémoire et de la connaissance, car il y a autant de mémoires que d’individus. Ces mémoires sont prises en défaut tout simplement par le jamais vu, jamais catalogué, répertorié… Ce pourquoi ils ne disent rien à la forme vivante de la connaissance : la mémoire en action…
Oui… À quoi sert-elle ? En quoi est-elle ? La réponse à ces questions sont des mots jamais pensés, ni prononcés ni écrits, donc jamais lus et où entendus, en quelque sorte inaudibles et illisibles, même par ceux qui y auraient pensé, car trop de temps et trop d’espace nous environnent. L’homme (et la femme est pire encore) ne peut tout connaître… Et même s’ils arrivaient en tandem à une parfaite connaissance du passé, ils seraient chaque matin aussi incultes que des primitifs puisque le monde progresse sans cesse. Ils leur faudrait pourtant pouvoir tout connaître et disposer d’un catalogue où seraient répertoriées toutes les “Connaissances” au jour le jour. Il faudrait qu’ils aient à leur disposition une mémoire universelle de toutes les civilisations à toutes les époques.
C’est science-fictionnel et utopique. Rien n’interdit cependant de la croire possiblement achetable dans un Grand Magasin des Connaissances humaines. Ce web-site en serait le réceptacle et vous les réceptionnaires médusés et perplexes… Pour faire moderne, la technique du bruitage juxtaposé peut être utilisée pour que rien ne soit compréhensible, le Rap, le Rock, le Zouk, bref, les beuglements d’illettré(e)s repris par exemple de BDSMTV et autres machines lobotomisatrices destinées à diffuser des “Fake-News” et créer du bruit, n’emploient que des harmoniques surélevées telles que les produisent les vibrations longitudinales des rails ou des profilés d’usines… Ainsi, la connaissance, havre de silence, de méditations et d’études, est-elle assassinée sciemment.
Ces voix semblables à des bruits criards, grinçants, ces martèlements lancinants, ces séries de chocs d’enclumes et de vrombissements de scies circulaires, vous représentent les tempêtes qui tenaillent les crânes. Il s’agit là d’un état rendu permanent, délibéré, enracinant la folie rythmique des malheureux qui, ne pouvant plus supporter le silence, entretiennent en permanence dans leur tête les plus monstrueux des grincements de l’Enfer… La raison de ces tintamarres affolants qui ne peuvent, naturellement porter de nom, sont des cimetières d’ombres toujours ressuscitées par le peuple des voix mortes qui se font entendre dans le mystère de l’abominable… C’est l’insoutenable qui assassine en toute impunité…
Ô mes écrits, musiciens du silence ! Pouvais-je mieux faire pour vous évoquer, chers esprits profanes, que lâcher, dans le domaine de la pensée pure, la meute ridicule et sacrilège des bruiteurs matérialistes qui, sous prétexte qu’ils ont reniflés quelques odeurs, se sont mis à copier, très mal, la symphonie du monde sans comprendre, un seul moment, qu’il s’agissait de leurs pestilences et celles d’un monde totalement ignoré d’eux. Étant sur le point de m’absenter définitivement du monde des morts-vivants pour entrer dans celui des morts en survie par procuration… Je vous prie de n’indiquer en réserves d’usages, que celles que vous parviendrez à gribouiller, exclusivement concernant les parties intimes évoquées, qui sont entre les lignes de mes texticules… Civilités…
2 commentaires
Maître, Vos mots sont une symphonie exaltée, une danse entre le passé et le présent, entre la réalité et l’utopie, qui nous pousse à applaudir l’effort intellectuel qui dérange les médiocres dans leur boue.
Ecriture nocturne… Le silence… Je m’évapore dans la nuit… Je survole tout… Valérie me dit après que je lui ai lu vos commentaires de ces derniers jours, qu’il faudrait tout compiler en un livre sacré… tellement ça “vole haut” bien au delà de notre atmosphère terrestre… Diantre, c’est un dialogue texticulaire dans les étoiles, les galaxies lointaines et au delà encore, dans le divin… Cher Docteur, reprenez donc une hostie et une lampée d’eau bénie qui fut du Petrus 1949 à notre santé éphémère… Hipssss !
Commentaires désactivés.